Shelby Mustang 350 GT H 1966
Né le 11 janvier 1923 à Leesburg au Texas, États-Unis, Carroll Hall Shelby aurait eu 100 ans le 11 janvier 2023. Sachant que le temps ne fait que passer, nous refusons pourtant toutes et tous d’admettre que nous finirons par mourir. Et si pour les stars et starlettes c’est toujours aux détours d’un article de presse, d’un roman, d’une biographie, d’un film, que l’utilisation promotionnelle et consumériste de la mort destinée à générer encore des dollars, déboule sans crier “gare, tout le monde descend” à l’appui d’une resussée/souvenir, tandis que la plouquesque, elle, meurt, presque toujours sans même arriver au niveau d’un fait divers de chien écrasé… Mais certains destins ayant défiés la vie, persévèrent à défier la mort.
Le nom de Carroll Shelby associé à un de ses portraits de pirate au sourire carnassier a refait surface lorsqu’il est décédé à l’âge de 89 ans, le jeudi 10 mai 2012 à l’hôpital de Dallas, d’un trouble du cœur du à un besoin quasi surnaturel de se compliquer la vie. Mais ce bougre de Texan n’est pas décédé “conventionnellement” au coin d’un feu de cheminée dans un fauteuil suite à un excès de vieillesse d’une fin de vie paisible et monotone, mais à la suite de complications dues à un contact avec Linda Vaughn… Pas même donc la gloire de mourir en course au volant d’une automobile portant son nom. Ce n’était pas un grand secret qu’à la fin de sa vie Carroll Shelby était proche de la mort (sic !), donc la triste nouvelle de son décès ne fut pas surprenante…
Mais ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est la raison pour laquelle il s’est retrouvé malade au point de mourir. Carroll Shelby était en novembre au SEMA 2011 à Las Vegas, quand il est arrivé pile-poil sur Linda Vaughn, alias 1 “Miss Hurst Shifter d’or”, alias 2 “La Première Dame du sport automobile”, qui, comme à son habitude, exhibait son célèbre décolleté. Certes se n’étaient plus des obus 400mm de cuirassé, mais ses mines-molles dérivantes restaient magnétiques ! Carroll Shelby aimait les femmes presque autant qu’il aimait ses voitures et il à littéralement sauté sur les vieux seins toujours exubérants de Linda Vaughn, avant de lui rouler un “patin” dans une accolade sans équivoque… Mais, Linda Vaughn était malade et lui a transmis ses microbes…
Cette maladie l’a fait atterrir à l’hôpital, pour une pneumonie. Il n’a plus été en pleine santé en cette suite… Et ainsi, bien que les seins de Linda Vaughn n’ont pas directement tué Carroll Shelby, ils ont été la première étape de son martyre… Parfois, quand menace l’inéluctable fin, ou une rupture définitive avec sa façon d’être, on tente un dernier appel qui est comme une lettre d’amour et aussi un ultimatum à soi-même. C’est ce cri du cœur que Carroll Shelby a voulu se lancer en se laissant aller à des attouchements sur sa secrétaire quelques semaines après avoir “sauté” sur Linda Vaughn… “Chute et rechute”… furent ses dernières paroles. Quelques jours plus tard et quelques minutes avant de mourir furent pathétiques, il délivra un dernier message repris ci-après !
“J’ai toujours et beaucoup aimé les gros nichons de Linda Vaughn, je pars dans l’au-delà avec ce souvenir. Mais pour ma secrétaire, il n’y a pas eu pénétration”. Miracle ! J’ai eu les mythiques gros seins de Linda Vaughn en mains (et plus) et je n’en suis pas mort comme Carroll Shelby. Mais, savoir que ses mains sont passées ou les miennes se sont posées, reste pour moi, un grand bonheur. Venant donc de vous révéler un premier secret, je me dois, en suite de cette chronique, d”écrire ce qui changera à jamais votre perception de Carroll Shelby. Un pneu de patience… C’était en 1983, à l’époque de mes magazines Chromes & Flammes, j’étais jeune, beau, mince et plein d’avenir, Linda Vaughn l’était encore, plus ou moins, mais qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse…
Les américains sont de grands enfants… Un rien les amuse, un rien les excite, ils sont d’ailleurs “totalement tous” (sic !) gaga des gros seins, mais ils ne se prennent pas trop au sérieux pour autant, quoique, lorsqu’ils se mettent en tête d’aller faire la guerre pour préserver leurs approvisionnements énergétiques (gros nibards compris), pour consolider leurs parts de marché et prêcher leur seule bonne parole dans le style : “Vous êtes avec nous ou contre nous”…, là, sans aucun doute, ils se prennent au sérieux ! J’ai suivi cette bonne parole et j’ai ainsi été tout contre Linda Vaughn (la vue est magnifique, c’est cinémascope en relief, elle a aussi beaucoup de conversation), mais ce faisant, j’ai moi aussi été abusé par l’Amérique… et sexuellement par Linda Vaughn…
Qui plus est, les prémisses de cette “affaire” se sont déroulées par le biais d’un autre mythe de l’Amérique profonde : sur les sièges de la fameuse et fumeuse Hurst-Olds ’83, le panard divin, le pied intégral, la conjonction des deux aurait propulsé n’importe qui dans toutes les émissions TV…, mais j’ai su rester ZEN et stoïquement moi-même ! L’Amérique d’aujourd’hui n’est plus la même aux yeux de ceux qui l’ont bien connue, quand on a toujours désiré la liberté et qu’on a aimé l’Amérique au point d’en aimer le cinéma Hollywoodien, les automobiles de Détroit et Carroll Shelby, on regrette que l’Amérique mène toujours entre deux apothéoses “Barnumnesques”, une si mauvaise vie : tortures, invasions, corruptions, injustices…
Elle est allée bien loin dans le vice, l’Amérique sur le retour, elle a trompé tout le monde en diffusant des millions de milliards de dollars sans valeur réelle, elle s’est laissée aller à violenter tous les pays dont elle désirait les biens énergétiques… et elle n’hésite pas actuellement à mettre ses mains dans les affaires d’autres pays (l’Ukraine) pour les dominer tout en asservissant l’Europe… Mon aventure avec Linda Vaughn, c’était lors d’une course de dragsters en Californie, Oldsmobile (marque maintenant disparue suite à la faillite de General Motors de 2009 et son refinancement par le Gouvernement Américain de Barak Obama), lançait un nouveau modèle “sportif”, la “Hurst/Olds”, une “série limitée” à deux mille exemplaires.
Elle offrait en série bien plus que deux phares antibrouillards, des appuie-têtes, des enjoliveurs chromés et une bande de caisse polychrome avec un sigle distinctif… Chez Oldsmobile, c’était devenu une tradition, puisqu’ils fêtaient cette année-là (1983), le quinzième anniversaire de leurs “éditions spéciales” ou “séries limitées”… et qui, depuis 1968, ont toutes porté le nom de Hurst/Olds. Le modèle dont il est question s’appuyait sur une image sportive (gants à trou-trous et lunettes Polaroid)…, et s’appuyait aussi sur la sexualité (les gros seins) de Linda Vaughn, car aux États-Unis, la Hurst/Olds ET Linda Vaughn ont su séduire les “vrais pilotes”.
Pour vous résumer la chose en quelques lignes : “Une équipe spéciale était chargée de prélever de la chaîne de montage, chaque nuit, dans le mystère le plus absolu, UNE Oldsmobile Cutlass strictement de série, pour la transporter dans un lieu ultrasecret où une équipe d’ingénieurs hyperspécialisés dans les machines de compétition la transformait en une véritable auto de course, mais utilisable tous les jours pour aller faire le marché familial”…, c’est du moins ce qu’affirmaient les brochures destinées aux enfants qui passaient leur temps dans les shows… Si pour moi c’était une “aventure américaine”, pour Carroll Shelby, ce besoin de jouir la tête enfouie dans les seins (il est vrai gigantesques) de Linda Vaughn et ceux de sa secrétaire, alors qu’il était cardiaque, pose de multiples autres questions.
Une des réponses est à chercher dans le fait que son égérie surnommée “Miss Hurst Golden Shifter” était connue du public Yankee pour la promo d’un levier de boite de vitesse qu’elle faisait presque nue sur le coffre d’un cabriolet Oldsmobile, les deux mains accrochées au levier-phallus géant… Il y a dans tout cela une insondable bêtise de la condition humaine américaine. Mais pour comprendre et aller outre son travers de bandeur-fou, il vous faut savoir que Carroll était un éleveur de poulets amateur d’automobiles devenu pilote de course et ensuite bricoleur génial d’un Roadster AC remotorisé d’un V8 Ford 289ci…
Ce Texan “pure souche” avait été, très jeune, attiré par les courses automobiles auxquelles il assistait dans les arènes de Dallas avec son père : Warren Hall Shelby, un facteur qui aimait les voitures. Après des études dont on a perdu la trace, il a effectué un service militaire (obligatoire) pendant la Seconde Guerre mondiale, prétendument comme pilote d’avion, ce dont aucune trace ne subsiste. Démobilisé, il s’est lancé dans le transport routier, sans succès, puis a tenté la chance, sans plus de réussite, dans l’exploitation pétrolière et s’est retrouvé dans l’élevage de poulets ou il a fait faillite à la suite d’une épidémie qui a décimé ses 20.000 volatiles ainsi que ses espérances. Shelby a alors décidé en 1952 de tout abandonner et de se consacrer à l’automobile sportive !
Oui, mais, en tant que “Trompe-la-mort” n’ayant que sa vie à perdre au volant d’une MG. Casse-cou quasi suicidaire. Après 5 ans sans accident, il va passer de cette MG à une Allard remotorisée d’un V8 Cadillac plus à même de l’envoyer en enfer. Que nenni, en 1958, il fait ses débuts en Formule 1 au Grand Prix de France, avec la Scuderia Centro Sud. En Italie, il partage sa voiture avec Masten Gregory et se classe quatrième de l’épreuve, mais ne reçoit aucun point pour avoir partagé sa voiture. L’année suivante, il passe chez Aston Martin, mais la DBR4, pas compétitive, il est contraint deux fois à l’abandon en quatre courses.
Mais après une participation avec le Belge Paul Frère sur Aston Martin DB3S, il remporte les 24 Heures du Mans 1959 avec l’Anglais d’origine italienne Roy Salvadori, toujours sur Aston Martin. Plus question de se suicider, la vie de pilote d’automobiles de course s’offre à lui. En 1960, en championnat USAC, il remporte une belle victoire à Castle Rock au volant de la Scarab du Team Reventlow. Après de nombreuses courses et d’essais de prototypes, il doit toutefois terminer sa carrière prometteuse de pilote qui aurait pu être plus étoffée s’il n’avait pas souffert de problèmes cardiaques. Shelby tente en 1961 de battre les Ferrari avec une voiture de sport américaine qui coûterait trois fois moins cher que les mécaniques hors de prix et sophistiquées du Commendatore.
Son rêve passe par une sympathique escroquerie consistant à dire aux gens d’AC qu’il dispose du nouveau moteur V8 260ci et aux gens de Ford qu’il dispose d’un Roadster AC qui serait imbattable en course. Il reçoit un moteur, une AC, mixe le tour et la l’AC Shelby Cobra 260 Ford est née. Elle va donner naissance en 1962 à l’AC Shelby Cobra 280, voiture survitaminée, qu’il décline dans de nombreux modèles dont la 427S/C sera la plus emblématique. En 1965, à la suite d’une demande de Ford de doper la nouvelle Mustang, il développe la Shelby Mustang GT350, afin de concurrencer Chevrolet et Plymouth sur le secteur à la mode et hautement concurrentiel des Muscle-cars.
Carroll Shelby s’est avéré virtuose avec la Shelby GT350 qui s’est avérée un tel succès qu’en septembre 1965, Carroll Shelby, plus ou moins alcoolisé a confondu Hurst et Hertz dans la conclusion d’un accord avec pour proposer sa Mustang Shelby GT350 dans le cadre du nouveau club de voitures de sport. Ayant Hurst en tête avec l’image des gros seins de Linda Vaughn il a confondu Hertz et Hurst tout en voulant promouvoir intelligemment la nouvelle Shelby à travers ce qui équivalait à des essais routiers payés par des acheteurs potentiels. Il fut le premier à en rire ! Donc en 1966, Ford Motor Company (FoMoCo), Shelby American et Hertz s’associent pour présenter la Shelby GT350H.
C’est une voiture que le loueur international souhaite proposer à la location au sein de son programme intitulé “Rent-A-Racer”. Tout de suite, le modèle rencontre un grand succès sur les routes américaines. Au total, 1.000 modèles GT350 H, dont la plupart étaient finis en noir avec des bandes “course” dorées distinctives, ont été vendues à Hertz en 1966. Il n’était pas rare que les voitures soient restituées après une location de week-end avec des signes de numéros de course sur les portes. Sur la commande initiale de 150 voitures, les GT350 H les plus désirables sont les 85 exemplaires livrés à l’origine en transmission manuelle à 4 vitesses. Hertz a rapidement informé Shelby que tout le monde ne pouvait pas “conduire avec le bâton” (le changement de vitesse).
Donc les 850 voitures restantes après le lot de livraison initial comportaient toutes des transmissions automatiques. Les 85 premières GT350H étaient livrées avec des carrosseries dont les couleurs pouvaient varier. Les bandes dorées n’étaient d’ailleurs pas toujours présentes. C’est seulement à partir de la 86ème voiture que la GT350H a arboré “de série” une carrosserie noire à bandes dorées. Le programme “Rent-A-Racer” (louez un bolide) comprenait 1001 Shelby GT350H produites en 1966. Ces Mustangs Fastbacks équipées de V8 289ci étaient produites chez Ford pour être ensuite envoyées à l’atelier de Shelby. Ce dernier se chargeant de doper le moteur et d’ajouter un kit carrosserie aux couleurs du loueur de véhicules.
Enfin, Hertz diffusait la Shelby GT350H grâce à son réseau national des USA. Le grand public avait alors accès à ce bolide de 306 chevaux. Les voitures de Hertz disposaient toutes des sièges arrières rabattables ainsi que d’une roue de secours, deux options de la Shelby GT350. En termes d’évolutions par rapport à la simple Mustang, cette Shelby GT350H se voyait monter des jantes plus larges chaussées de pneus Goodyear Blue Streaks (210 km/h, 7,75 x 15). Des bras oscillants étaient également ajoutés à l’arrière ainsi qu’une barre stabilisatrice d’un pouce à l’avant. Concernant le freinage, c’étaient des disques Kelsey-Hayes de 11 pouces à l’avant et des tambours de 10 x 3 pouces à l’arrière.
La Shelby GT350H répondait d’ailleurs aux exigences de la FIA (Fédération Internationale de l’Automobile). Hertz pouvait la faire courir en “Groupe 2″. C’est ainsi que les amateurs de circuits et potentiels futurs acquéreurs de Shelby pouvaient essayer cette voiture de rêve pour quelques dollars à la journée. Effectivement, à New York, la location de la Shelby GT350H coûtait 17 dollars la journée et 17 cents par mile au-delà de la limite définie par le loueur. La belle bête était également disponible à 70 dollars la semaine. Le prix variait un peu en fonction du lieu de location et Hertz refusait de louer ces véhicules lorsque les routes étaient enneigées, ne disposant pas de pneu neige/hivers pour ce modèle.
Certains états, comme celui de New York, avaient alors une loi mentionnant l’interdiction de circuler durant une “snow emergency” (littéralement alerte neige) si la voiture n’était pas chaussée en pneus appropriés. Nombreux sont ceux qui louaient une Shelby GT350H le samedi pour ne ramener la voiture que le dimanche soir après avoir profité du bolide sur circuit. Parmi les 1001 exemplaires de GT350H produits, on ne retrouve aujourd’hui que quelques rares survivors. Les modèles les moins onéreux s’échangent désormais pas loin de 300.000 dollars. Cette Shelby Mustang GT1966H de 350 est l’une des 1 001 produites. Selon le registre de la SAAC, la voiture avait été expédiée en mars 1966 à Metke Ford de Bellevue, Washington avant livraison à Hertz à Seattle.
Après avoir été utilisée dans le programme Hertz, elle a été vendue en mai 1967 à Ray Schultens Ford à The Dalles, Oregon. Ce premier propriétaire privé l’a conservée pendant 37 ans avant de la vendre au propriétaire actuel, qui a ensuite commandé une restauration. Le projet comprenait la repeinture de la voiture dans sa teinte originale “Raven Black” avec des bandes dorées, ainsi que la révision du V8 289 HiPo, le rafraîchissement de l’intérieur en vinyle noir, la reconstruction de la suspension et des freins, et plus encore… La voiture était d’origine équipée d’une transmission automatique à trois vitesses, des jantes chromées de style Magnum en 15 pouces, le siège arrière rabattable et une radio AM.
Terminée il y a six mois, cette GT350 H est maintenant proposée en vente avec l’authentification du numéro de série de la SAAC, des photos et des factures de la restauration, un album de 800 photos et le “Title” d’immatriculation dans l’Oregon. La carrosserie a été repeinte par William Estes Auto Body and Paint d’Estacada/Oregon dans la teinte originale “Raven Black” en utilisant la peinture DuPont Centari. Les bandes latérales dorées qui étaient standard sur les variantes Hertz de la GT350 ont été refaites. Un nouveau capot en fibre de verre à ossature d’acier a été installé pendant le projet, tout comme de nouvelles vitres arrière en plexiglas et un nouveau pare-brise.
Des roues chromées de style Magnum 15 de 7×500 ont été installées lors de la restauration et sont dotées de capuchons centraux Hertz. Les pneus BFGoodrich Radial T/A mesurent 225/60 à l’avant et 235/60 à l’arrière. Les freins à disque avant Kelsey-Hayes et les freins à tambour arrière élargis étaient de série sur les GT350. Les étriers avant et les cylindres des roues arrière de cette voiture ont été reconstruits lors de la restauration. L’intérieur a été retapissé par “Premier Auto Upholstery” à Gresham, Oregon, et comporte du vinyle “tricoté” noir sur les sièges baquets avant et le siège arrière rabattable. Un nouveau recouvrement du tableau de bord, une garniture de toit et une moquette “à boucles” ont également été installés pendant la restauration.
Des ceintures sous-abdominales pour les quatre occupants étaient une première à l’époque elles s’y trouvent ! La porte de la boîte à gants a été signée par Carroll Shelby. Un volant à monture de bois encadre un compteur de vitesse de 140 mph flanqué de compteurs qui surveillent le niveau de carburant, la pression d’huile, l’ampérage et la température du liquide de refroidissement. Un tachymètre Shelby 7k tr/min se trouve au sommet du tableau de bord au-dessus de la radio AM. Le registre de la SAAC note que cette radio avait bien été installée avant la livraison de la voiture à Hertz. L’odomètre à cinq chiffres indique un peu moins de 70.100 milles certifiés authentiques.
Une reconstruction du V289 HiPo 8ci pendant la restauration comprenait le rodage du bloc et le meulage du vilebrequin, ainsi que l’installation de nouveaux segments de piston, de tiges et de roulements principaux, d’une pompe à huile et d’une pompe à eau. Un nouvel arbre à cames et des roulements d’arbre à cames ont également été installés, ainsi que de nouveaux élévateurs, culbuteurs, sièges de soupapes, ressorts et guides. L’allumage électronique Pertronix a été ajouté et un alternateur reconstruit a été installé.. Valeur et montant espéré pour vente : 300.000$