The Street Rod of the Past Future…
Tout internaute, femelle ou mâle, plongé dans la lecture de cet article est voué à subir une pression intellectuelle tendant à lui faire perdre la tête. Jamais il ne se remettra complètement des vérités (enfin) révélées (mes secrets interdits) qu’il va découvrir… Mes texticules dérangent de par trop de virtuosité d’écriture, à travers une maestria sans équivalent dans les agencements narratifs et dans la polyphonie éditoriale, je suis décrété coupable de créer dans les populations déjà hébétées, un choc philosophico-littéraire hallucinant, car les plongeant dans le bain corrosif d’un océan d’écritures décapantes et “décapitantes”, issues de mon cerveau… En effet, il a été défini par les autorités auto-proclamées que mon lectorat en ressortait de même. Pfffffffff!
Il se fait que face aux pouvoirs totalitaires de la Macronpolitisation qui s’auto-entretient avec l’art des carambouilles et faux semblants, tous destinés à ponctionner le peuple abêti par la presse politiquement-correcte aux ordres des tyrans qui prospèrent car attentifs à ce que l’asservissement général devienne la norme Européenne. En effet, chaque état membre doit être abreuvé de la production littéraire de despotes pré-déterminés, donc choisis par les Maîtres autoproclamés, avec le label “conformité Européenne”, tels les écrivains-démiurges dont le fumeux BHL, le dieu-despote en écrits-vains, qui se caractérise par une interpénétration des champs littéraires et politiques sous la surveillance constante et vigilante de la censure…
La mise au pas de la Kulture Européenne oblige en effet les Merdias à évoluer en équilibristes sur un fil de fer barbelé, devant diffuser la parole et les saintes écritures de l’État “Europe” et son appareil idéologique, ce qui ne manque pas de laisser des traces profondes dans la poétique des textes… Combien d’œuvres grises, obéissant à la commande de l’Impératrice Ursula-la-Hyène, sont-elles tapotées par des ronds-de-cuir de l’écriture, des Saliéris de la plume, des Akakis Akakievitchs de la fiction grotesque, aussi peu imaginatifs que l’homuncule gogolien ? Sur ce fond d’écrivains serviteurs du régime, la presse automobile se refait mécanique par une simpliste complexité déterminée basée sur les compromissions opportunistes, d’écrivaillons-caméléons (Je pense à BHL)…
Ils obligent le peuple à l’adhésion, à l’idéologie du pouvoir et exhortent à “tuer le Russe,” et autres, reflétant les évolutions du régime Européen dans sa trame… Le nazisme ressuscité en quelque sorte par une fille du nazisme… La presse engagée du “politiquement incorrect” tels que ChromesFlammes, SecretsInterdits et aussi GatsbyOnline, n’a pas la bonne presse (sic !) labélisée “Europe”… Aujourd’hui, en automobiles, tout concourt à ce que le Hot Rodding soit traité avec suspicion, tel ce “Street Rod of the Past Future” qui est trop Américain, ne concordant pas avec les prophéties de Bernard-Henry-Levy-Nostradamus toutes re-masterisées par les directives Européennes, obligeant les Gabelous a traquer les véhicules “hors-normes” existants ou en cours de fabrication.
Ils disposent de photos de chacun d’eux et doivent suivre le plan européen d’extermination de masse des Hot Rodder’s et Kustomiseurs, même s’ils combinent la technologie moderne avec un style traditionnel. Comme le suggérait Lacan dans un de ses commentaires du “Cogito-Cartésien”, cette forme radicalisée du doute radical, s’illustre de l’anecdote du songe du papillon de Tchouang Tseu, au réveil duquel le philosophe se demandait si c’était bien lui endormi qui avait rêvé du papillon, ou si ce n’était pas lui-même éveillé qui ne se trouvait exister que dans le rêve d’un papillon… Waouhhh ! Je suis certain que “patates” comme sont divers d’entre-vous, il en est qui vont ici décrocher, car ils ne peuvent voir qu’on est d’ores et déjà arrivé très loin du kantisme…
En effet, la liberté de ce qui ne serait que le personnage d’un rêve de papillon est aussi problématique que sa dignité plongée dans un doute abyssal… Bye bye si vous arrêtez ici… C’est dommage pour votre intellect, quoique ceci ne se trouve déjà plus dans la zone “lecture gratuit pour un euro le premier mois”... Vous avez passé ce cap, donc abreuvez-vous de la totalité du texte… Considérons ensemble, entre érudits d’au moins 160 de Qi… que c’est Lacan qui serait le créateur de ce “Street Rod of the Past Future”, il aurait commencé par rassembler des pièces pour reconstruire cette Chevrolet en tant que Street Rod du passé du futur… Grandiose et amusant, avec quelques pièces supplémentaires pour injecter un peu de personnalité façon “Gasser” dans cette œuvre d’art.
Avouez que cette façon d’amener, qui est mienne, est plus ludique que les cours-corvées de l’époque de l’école obligatoire… Vous vous souvenez ? Je ne vous suppose pas cancres, ceux-là sont déjà partis lorsque le panneau “abonnez-vous pour 1 €uro” est apparu et les a contrarié de ne même pas voir les photos… Arghhhhhhh ! Pour atteindre tous ces objectifs, concernant la fabrication de ce Street Rod, c’était plus qu’un euro… Comptez que le tout a nécessité pas loin de 100.000 dollars et d’attendre la fin de 6 mois de travaux… Rien pour rien… Il fallait un tout nouveau châssis personnalisé construit sur mesure chez “Ironworks” et suspendu par des combinés filetés “RideTech”. L’avant a été emprunté à une Corvette C6, modifiée avec une barre antiroulis “Speedway Eng.”…
Elle garantit que cette Chevrolet 1955 roule comme aucune version d’usine ne l’a jamais fait. L’arrière comprend un arceau Panhard à quatre bras, ainsi qu’un “GMR Ford” de 9 pouces avec un rapport de démultiplication de 3,73:1 et des essieux “Speedway Engineering” à glissement limité. Les combinés filetés “RideTech” à l’avant et à l’arrière contribuant à la position prête à l’emploi de la Chevrolet. À ce stade de la construction, Greg Heinrich de Las Vegas (la cité du vice) était au courant de ce qui se passait à Bakersfield comme étant le rouage d’un plan “Trumpiste” destiné à alimenter mes websites d’un article totalement “Politiquement-incorrect” lui-même destiné à braver les normes européennes CEE… Greg, est un inconditionnel du nœud papillon…
Ouiiiiiiiiii, malgré qu’il soit lui aussi “Politiquement incorrect”, il possède plusieurs Chevy Street-Rod’s, des Street-machine’s et Muscle-car’s. Il est également propriétaire de la concession “Fairway Chevrolet”. Ce n’est donc pas un fauché qui “fait dans l’occaze”…À l’époque des Muscle-car’s 100% d’origine, les concessionnaires politiquement-incorrects comme Greg, chargeaient les voitures d’usine d’accessoires “haute performance” et les vendaient en éditions limitées, telles les Yenko Camaro’s, à trois fois le prix de la Camaro d’origine… Le gars est manifestement “Trumpiste”... Un vrai Américain… Greg et son pote Rodger (qui est aussi pire pour fabriquer des avoirs en $) ont commencé à se demander ce que ce serait si un concessionnaire Chevy avait fait cela en 1955…
Waouhhhhh ! C’est pour la promo… Ils ont décidé de répondre à cette question avec cette Street-Machine qui devait braver toutes les normes Européennes et devait donc avoir un puissant groupe V8. Un tout nouveau moteur V8 Chevrolet Performance LSX 376-B15 a été transplanté directement dans le compartiment moteur. Ironworks est allé plus loin avec un collecteur d’admission à double quadruples tuyaux (ça fait huit) et un compresseur de la série Vortech V-20… Histoire de montrer aux européens abêtis par l’Europannéité obligée, qu’il devraient entrer en révolution… L’air européen saturé de conneries devant ici être aspiré à travers un purificateur personnalisé assisté d’un refroidisseur intermédiaire placé devant le radiateur “AutoRad”...
C’est ce qui le fait revenir “purifié” au corps de papillon “drive-by-wire”. L’ingénierie de haute technologie rencontre ainsi un style à l’ancienne au niveau des lignes. Les collecteurs “Ultimate” spécialement conçus pour les applications LS, les tuyaux d’échappement personnalisés et les silencieux “MagnaFlow” évacuent les gaz d’échappement du moteur. “RPM Transmission” à Indianapolis a assemblé la transmission 4L85E. La plupart des garnitures extérieures ont été retirées de la carrosserie pour une meilleure purification générale, mais comme nul ne peut avoir un Tri-Five sans un peu de chromes (et flammes), “Sherm’s Custom Plating” s’est assuré que ce qui reste brille comme neuf… L’accroupissement avant de la carrosserie a été rehaussé par une section en coin…
Celle-ci se rétrécit de 2 1/2 pouces au pare-feu à zéro pouce à l’arrière. La modification a nécessité que portes et ailes soient légèrement remodelées. Le changement abaisse l’avant de plusieurs centimètres, plaçant le pare-chocs avant d’origine à la hauteur des bas de caisse. C’est l’œuvre de Brian Hosty. Parmi les autres détails, citons les phares Hella H4, les lentilles de feux arrière à LED et un pare-chocs arrière provenant d’une familiale Nomad. La couleur rouge/orange est contrastée par les jantes personnalisées texturées et peintes par “Evod Industries”. Elles ont l’apparence des jantes en magnésium Halibrand qui sont devenues célèbres dans les années’60. Si cette Street-Machine avait été construite il y a 50 ans, elle en aurait porté d’époque.
C’est ce qui fait de ces Evod de 18 et 19 pouces le choix parfait… Les pneus sont des radiaux Michelin 265/40R18 et 315/40R19. Des freins Wilwood avec des rotors de 13 pouces ont été montés sur les quatre roues. Le look vintage des façon années’50 pour l’intérieur comporte toutefois des touches avant-gardistes numériques avec l’instrumentation Dakota ajoutée au tableau de bord d’origine, bien lisible derrière le volant gainé de cuir “Budnik Dragon” positionné sur une colonne de direction équipée “à l’ancienne” du levier de vitesses. Ironworks a également construit l’unité sous le tableau de bord pour le système de climatisation Vintage Air. Si les sièges d’origine n’ont pas l’air d’origine, c’est parce que Sid Chavers a retapissé le banc d’origine avec de la mousse.
Ouiiii, mais améliorée et recouverte d’un beau cuir noir. Les harnais à quatre points Simpson avec une barre de harnais à quatre points en acier, ajoutent une autre touche de saveur. Jimmy Chavez et Michael Pitney sont intervenus pour s’occuper de l’assemblage et du câblage de la voiture. Enfin, Rodger Lee et l’équipe de “Ironworks Speed and Kustom” ont transporté la Chevrolet de Greg à Las Vegas en novembre de l’année passée pour le SEMA Show, en la stationnant dans l’exposition des “Superchargeurs Vortech”. Avant la fin de la semaine, cette Street-Machine “Fairway” a été ovationnée par des dizaines de milliers de passionnés et a remporté le prix “GM Design Award” du “Top Hot-Rod Chevy”. Je suis ravi de voir l’avenir arriver sous la forme de cette Chevy”55.
Il est toutefois intéressant de comprendre ce que cette Street-Machine peut évoquer en rapport à notre propre conception occidentale/Européenne de la liberté, de la nécessité, du conditionnement et de la société du spectacle. J’en résumerai les enseignements principaux en divers points, qui portent tous sur la nature machinique pour rendre compte de l’inscription de l’individu dans la société et dans la nature. Ces points peuvent se résumer en retournements des rapports entre un “Deus est Machina” dont les tensions et les illusions structurent l’expérience humaine produisant au passage une problématisation remarquablement puissante de l’articulation entre liberté et nécessité de rêver.
Toutes les hallucinations que publient les merdias, de même que tous leurs récits déployés, n’ont été qu’un énorme spectacle, réglé dans ses plus petits détails par une mise en scène minutieusement exécutée. Si vous vous êtes retrouvés plongés dans un doute abyssal et aliénant, c’est sous l’effet d’un mélange subtil de jeux d’acteurs, de “breuvages merdiatiques narcotique” et les grandes lignes de cette problématisation ont déjà été mises en place façon docte du style “Tout est déjà écrit dans le jeu du hasard et de la nécessité” comprenant des conjonctions sexuelles bien réelles, les menaces Russes n’émanant que de “feints inquisiteurs” ermites des premiers jours, jouant être des dogmatiques possédés démoniaques. Un coup fumant de 500 milliards…
Et ils ont été volés des actifs européens… En plein centre de la Macron-structure narrative, les gnous croient entendre la voix d’un dieu qui appelle le peuple à tout donner à l’Ukraine alors que c’est un moyen pour nos pontifes de tout s’approprier, tandis que les Gnous, bernés, croient voir en Poutine le démon venir prendre leurs économies… Si les consciences, les émotions et les gestes humains peuvent être ainsi machinés (manipulés, programmés), que reste-t-il de l’aptitude à agir librement, c’est-à-dire à être autre chose que des riens du tout, aptitude dont Kant faisait à la fois la prémisse et l’horizon du mouvement d’émancipation auquel il identifiait les Lumières ? Il faut noter la méticulosité parfaitement répétitive qui fut de mise pour y arriver…
Ursula-la-Hyène et Macronpoléon et ses semblables Présidents Européens ont machinés les rituels scandant nos modes de vie et n’ont fait que pousser à l’extrême une forte tendance à se comporter comme des marionnettes ridicules et écervelées juste capable de s’émouvoir des salaires mirobolants des “Footeux”… Triste… Toutes les scènes merdiatiques ne sont que du Donquichottisme s’inscrivant dans une pensée du conditionnement de la machine humaine par la machine à spectacle, au terme duquel chacun de vous, en fonction de ses lectures, des paroles et des images auxquels il a été exposé, peut se trouver programmé à vouloir devenir un preux chevalier, un amoureux transis, un rêve de papillon, un fanatique de Hot Rod’s ou un martyr de la religion…
C’est pour qu’il soit avide de faire exploser sa ceinture de bombes, soit soucieux de recréer (ou d’accepter) le génocide des Palestiniens… Deus est machina… Le sentiment subjectif d’être pris dans une machine dont on ne constitue qu’un rouage aliéné est bien exprimé par une réflexion : “Quelle est donc, me dis-je en moi-même, quelle est cette puissante association qui paraît n’avoir d’autre but que de cacher je ne sais quel secret, ou de me fasciner les yeux par des prestiges dont je devine quelquefois une partie, tandis que d’autres circonstances ne tardent pas àme replonger dans le doute ? Il est clair que je fais moi-même partie de cette chaîne invisible ?”... Le surhumain (Deus), banni de l’univers désenchanté des Lumières, réapparaît sous cette forme particulière de Machina : le complotiste.
Le pouvoir dirigeant est un ensemble d’actions sur des actions possibles : il opère sur le champ des possibilités, où vient s’inscrire le comportement des sujets agissants : il incite, il induit, il détourne, il facilite ou rend plus difficile, il élargit ou il limite, il rend plus ou moins probable ; à la limite, il contraint ou empêche absolument ; mais il est bien toujours une manière d’agir sur un ou sur des sujets agissants, et ce en tant qu’ils agissent ou qu’ils sont susceptibles d’agir. Quels sont les scénarios qui contribuent (là-haut) à écrire les gestes par lesquels je m’inscris dans la réalité (ici-bas) ?… Le facteur décisif qui peut rendre tout plus compréhensible est à mes yeux à chercher avant tout dans l’expérience quotidienne que nous avons d’être immergés dans un bain de conditionnement.
Surtout qu’il est de nature “mégahertzien internétisé”. Lorsque Wim Wenders affirmait que “Hollywood a colonisé nos esprits”, lorsque Guy Debord annonçait “la société du spectacle”, lorsque Jean Baudrillard théorisait “la spectacularisation intégrale de notre réel” ou lorsque Patrick Le Lay définissait son travail de directeur de chaîne télévisée par “la vente de temps de cerveaux disponible” à des annonceurs publicitaires, ils ne faisaient tous ensemble que rendre compte de la banalité et de l’omniprésence des “Machinae” dont les scénarisations entrecroisées sculptent à chaque instant notre expérience du monde dans la vaste “Sierra Morena” qu’est devenue la planète terre sous son énorme bulle merdiatique…
Il ne s’agit pas de savoir si nous sommes libres ou conditionnés, mais d’identifier les couches superposées… La pratique même de l’interprétation nous convainc que le geste d’écriture demande sans cesse à être repris par un geste de réécriture, de commentaire, d’actualisation, de telle sorte que notre monde relève d’une réalité toujours en train de se faire, et notre vie d’un livre toujours en train de s’écrire… @ pluche mes Popu’s… Me reste à préparer le prochain article à publier en évitant les répétitions, ce qui n’est pas simple car elles me tourneboulent en tête, m’obligeant à ressasser et chercher encore et encore le sens de ce qui n’a pas de sens immédiat…