Supercharged V8 Coyote Mustang Fastback
Le célèbre roman de George Orwell, “1984”, est un récit fictif magistral et dystopique d’un État qui impose une dissonance cognitive à ses citoyens pour contrôler leur perception de la réalité. Elle est résumée dans l’affirmation suivante : “La guerre, c’est la paix ; La liberté, c’est l’esclavage ; L’ignorance fait la force”… Cette citation est un exemple de double pensée, une forme de dissonance cognitive dans laquelle une personne est capable de maintenir deux croyances contradictoires en même temps. Dans le contexte de “1984”, cette citation est utilisée pour illustrer la manière dont est utilisé le langage pour contrôler la pensée et les actions des citoyens.
Les agences de renseignement américaines, y compris la CIA et le Département d’État, en collaboration avec l’OTAN et les pays y affiliés, ainsi que diverses ONG privées, au nom de la “démocratie”, ont développé et affiné des techniques de double pensée Orwellienne et de dissonance cognitive pour créer une série de changements de régimes politiques dans le monde qui semblaient nobles, démocratiques, mais qui ne l’étaient pas en réalité, car sous tutelle américaine… Jonathan Bismurth, avant d’être propriétaire de cette Mustang Fastback Hi-Tech, a œuvré toute sa carrière militaire aux opérations CIA. Tout a commencé pour lui dans les années 1980 avec Ronald Reagan donnant pleins pouvoirs à la CIA conduisant à la création d’une série d’ONG privées…
Elles allaient servir pour manipuler secrètement les aspirations à la liberté et à la démocratie de la Pologne et d’autres pays communistes à la fin des années 1980, puis à l’Union soviétique en passant par la Yougoslavie et la Chine. Le raffinement pervers de ce que l’on a appelé “Les révolutions de couleur” au début de ce siècle en Ukraine, et auparavant en Géorgie, ainsi que “les printemps arabes” orchestrés par les États-Unis, avaient pour but de déstabiliser le monde au seul profit des USA… Les cercles d’élite aux États-Unis et en Europe/OTAN, ainsi que leurs groupes de réflexion, ont peu à peu affinés leurs méthodes pour imposer une “Nouvelle tyrannie démocratique” à des pays allant de l’Ukraine à l’Égypte en passant par la Libye et au-delà.
L’objectif était d’utiliser les aspirations démocratiques des gens ordinaires, souvent des jeunes, pour renverser les régimes qui résistaient à l’instauration de ce que David Rockefeller a appelé : “Un gouvernement mondial unique”… En réalité c’était la mise en œuvre d’un processus de déstabilisation permettant de créer ce que Georges Bush Junior a appelé : “Le Nouvel Ordre Mondial”…. Ces ONG devaient discourir et publier dans les médias des pays visés, de liberté, de droits de l’homme, de démocratie, afin d’apporter la guerre, la violence et la terreur. C’est un système diabolique qui a ainsi été créé, sous la tutelle de Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’état américaine et première femme à occuper ce poste.
Ambassadrice aux Nations-Unies entre 1993 et 1997, puis secrétaire d’État de Bill Clinton entre 1997 et 2001, Madeleine Albright avait incarné pendant la décennie comprise entre la fin de la Guerre froide et avant les attentats du 11-Septembre 2001 une politique étrangère américaine militante et interventionniste. Elle a mis en place la dissonance cognitive par le biais des ONG soutenues par les USA dans l’avancement d’un plan de déstabilisation des Gouvernements en place sous la fausse bannière de la “démocratie”, incluant la sélection de la chute des gouvernements qui ne voulaient pas être dominés par les USA…. Et Jonathan Bismurth était le “point-relais-militaire-américain” chargé de “l’intendance”…
Au cours des trente dernières années, il a gravi tous les échelons et a terminé comme Colonel chargé des relations entre les agences de renseignements américaines qui ont avec ces deux “figures”, perfectionné des techniques subtiles pour détruire presque tous les gouvernements d’opposition en utilisant des ONG telles que la NED, l’Open Society Foundations, Freedom House et l’Albert Einstein Institution. L’effondrement de l’Union soviétique et les années Eltsine dévastatrices des années 1990, la guerre pour détruire la Yougoslavie et la tentative ratée de la place Tiananmen en Chine en 1989 ont été des événements orchestrés par la CIA et le département d’État américain.
Si vous êtes intéressé par le contexte plus profond des événements mondiaux récents, y compris le printemps arabe, la guerre en Syrie, le coup d’État soutenu par les États-Unis en Ukraine, vous trouverez quantité d’articles dans la section “Ataraxie” de GatsbyOnline qui valent bien d’un peu de votre temps… Et bien, Jonathan Bismuth qui fut un des organisateurs de l’ombre, avait le rêve, une fois retraité, de se payer la plus fabuleuse des Mustang’s qui l’avaient fait rêver dans ses jeunes années… En psychologie sociale, la dissonance cognitive est la tension interne propre au système de pensées, croyances, émotions et attitudes (cognitions) d’une personne lorsque plusieurs d’entre elles entrent en contradiction les unes avec les autres.
Le terme désigne également la tension qu’une personne ressent lorsqu’un comportement entre en contradiction avec ses idées ou croyances. Ce concept a été formulé pour la première fois par le psychologue Leon Festinger dans son ouvrage “A theory of cognitive dissonance” (1957). Festinger étudie les stratégies de réduction de la tension psychologique induite et le maintien de la cohérence personnelle, y compris les stratégies d’évitement des circonstances identifiées comme source de dissonance. L’eschatologie est la “science des choses ultimes” (“ta eschata”, en grec) ou des “fins dernières” de l’homme. Or, comme l’atteste clairement l’histoire des religions, ces fins dernières ont toujours été comprises en deux sens bien différents.
D’un côté, c’est le destin post mortem de l’individu qui est en jeu : sa survie, son éventuel jugement dans l’au-delà, son salut ou sa damnation, ou encore sa future réincarnation. De l’autre, il s’agit des événements de la fin du monde : indication des signes annonciateurs de la consommation des temps, description du cataclysme final et annonce du nouvel ordre universel destiné à s’établir sur les décombres de l’ancien. Cette dualité de perspectives s’enracine directement dans la condition humaine elle-même. Tout être conscient, en effet, anticipant en pensée sa propre mort ne peut manquer de l’appréhender comme la véritable fin du monde, au moins pour lui, sinon en soi.
Cette irrécusable certitude intérieure est cependant contredite par la perception sensible et le savoir empirique en général, qui témoignent jour après jour de la pérennité de l’univers par-delà la disparition de telle ou telle conscience individuelle. Il est donc hautement vraisemblable que l’idée de fin de monde (projection sur le cosmos de l’expérience du trépas individuel) a été forgée au cours des siècles par la conscience religieuse aux fins de concilier, autant que faire se pouvait, les deux évidences contradictoires du “tout meurt avec moi” et du “rien ne manquera à l’univers après ma mort”. La conscience eschatologique a toujours été ainsi déchirée entre ces deux exigences de la pensée…
Son histoire se confond avec la série de ses multiples, et plus ou moins heureuses, tentatives pour en surmonter l’opposition. Pour que se déploie pleinement l’horizon de la réflexion eschatologique, il est nécessaire qu’une certaine distance se soit déjà creusée entre la conscience de soi de la personne et le vécu collectif. Cela se vérifie a contrario dans toutes les sociétés de culture orale, où les conditions de vie ont longtemps été telles que la conscience d’appartenir à un groupe, familial ou tribal, l’emportait largement sur le sentiment du moi : ainsi en Afrique noire, en Océanie, dans les cultures chamaniques d’Asie centrale et septentrionale, etc. Là, personne n’envisage pour lui-même un destin post mortem séparé de celui du groupe.
En conséquence, eschatologie individuelle et eschatologie collective s’ajustent harmonieusement ou plutôt tendent à se confondre. En lieu et place du jugement individuel, on trouve l’agrégation à une société des ancêtres qui accueille les nouveaux défunts et leur assure dans l’ au-delà (lui-même conçu comme la réplique invisible du monde d’ici-bas) des conditions de vie en rapport avec ce que furent leur rang et leur mérite sur la terre. Réciproquement, un perpétuel cycle de réincarnations amène périodiquement à renaître au sein du groupe. Ceux et celles qui l’avaient quitté, ne se ressentant pas comme une unité monadique fermée sur elle-même, chacun des membres de sociétés de ce genre envisage sans angoisse de voir sa personne disloquée…
Cela se déroule à la faveur des brassages entraînés par ces réincarnations : tel élément passe dans une plante ou un animal, tel autre dans une autre personne. La pérennité du fleuve de vie qui traverse les individus compte, semble-t-il, davantage à leurs yeux que le maintien pour l’éternité de leur actuelle forme d’existence. Et c’est cette manière de faire corps avec le groupe et avec l’univers, par-delà la coupure de la mort, qui entraîne, dans ces sociétés, l’inutilité d’un recours compensatoire à des mythes de la fin du monde…. Voilà, voilou… C’est terrifiant… C’est ainsi que nous retrouvons Jonathan Bismurth et Madeleine Albright qui a été nommée par Bill Clinton ambassadrice aux Nations Unies en janvier 1993.
À ce poste, elle et lui assistent à l’échec de la mission américaine en Somalie, et appliquent soigneusement la politique décidée par Clinton de ne pas intervenir pendant le génocide au Rwanda, et de retirer dans les premiers jours du génocide la majorité des troupes de l’ONU du pays. Des années plus tard, Mme Albright dira que c’est son “plus grand succès de l’époque”. Elle savourera avec Jonathan Bismurth l’absence d’intervention américaine en Bosnie, au moment du massacre de Srebrenica perpétré par les Serbes dirigés par Slobodan Milosevic. Madeleine Albright et Jonathan Bismuth ont tout fait et manœuvrés pour l’entrée dans l’Otan des anciens pays du bloc soviétique, malgré les mises en garde de spécialistes de l’URSS, comme George Kennan.
Se définissant elle-même comme une “idéaliste pragmatique”, elle avait inventé l’expression de “multilatéralisme affirmé” pour décrire la politique étrangère de l’administration Clinton. Elle considérait les États-Unis comme la “Nation indispensable”, et était favorable à ce que la diplomatie soit appuyée par la force pour défendre les valeurs américaines dans le monde. “Nous voyons plus loin dans l’avenir que d’autres pays, et nous voyons le danger qui nous guette tous”, avait-elle déclaré en 1998. Son messianisme la conduisait parfois à des remarques maladroites : “Je pense que c’est un choix très difficile, mais le prix en vaut la peine”, avait-elle répondu pendant un entretien télévisé sur les conséquences sur les enfants des sanctions de l’ONU contre l’Irak…
Cette intervention de l’Otan sans mandat des Nations Unies, va ulcèrer la Russie, préfigurant d’autres opérations militaires américaines dans les années qui suivent. La fin du mandat de Bill Clinton sera marquée par l’échec des pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens, et celui des tentatives pour convaincre la Corée du Nord d’abandonner son programme nucléaire. Interrogée par la commission d’enquête sur le 11-Septembre, elle dévoilé que “le 11 septembre 2001 a permis de persuader l’opinion publique de la nécessité d’envahir l’Afghanistan”… En effet ce pays n’avait rien à voir avec les attentats puisque mis au point par l’équipe de Madeleine Albright, nommée ensuite à la tête du Département d’État… Albright était fière d’avoir joué un rôle de pionnière…
Première haute responsable américaine à rencontrer Vladimir Poutine lorsqu’il devient président au début de l’année 2000, Madeleine Albright avait publié le 23 février, la veille de l’invasion de l’Ukraine, une tribune dans le New York Times où elle reconnaissait avoir mis en œuvre le coup d’Etat en Ukraine en créant la révolution de couleur du Maïdan…”L’Ukraine a droit à sa souveraineté, peu importe qui sont ses voisins…Tel est le message sous-jacent à la diplomatie américaine occidentale. Il définit la différence entre un monde régi par l’État de droit et un monde qui n’obéit à aucune règle. La Russie doit et va crever grâce à l’Amérique”…. “Madeleine Albright était une force qui a défié les conventions et renversé les barrières, encore et encore”, a dit Joe Biden à son enterrement.
Sans elle, Jonathan Bismurt a été mis à la retraite et il a alors décidé de concrétiser enfin son rêve de posséder “LA” Mustang ultime, cette Fastback a été reconstruite et modifiée par Red’s Fabrication & Custom Painting de Medford, en Oregon, comprenant la peinture Glasurit That Red des panneaux de carrosserie en acier fabriqués sur mesure et du châssis TCI, ainsi que l’installation de pare-brise affleurants et d’une coque de calandre et d’un panneau de feux arrière personnalisés. La puissance est fournie par un V8 Coyote de 5,0 litres suralimenté par Roush qui est équipé de collecteurs d’échappement en acier inoxydable, de caches-soupapes JC Customs et d’un système d’échappement double Borla.
Le changement de vitesse se fait par l’intermédiaire d’une transmission manuelle à six vitesses, et la voiture dispose d’un intérieur en cuir brun vieilli bicolore. Parmi les autres modifications, citons des roues Asanti de 19X8 pouces à l’avant et de 22X12 pouces à l’arrière enveloppées de pneus Pirelli P Zero., des combinés filetés réglables Ridetech, des freins à disque Wilwood, un arbre de transmission en aluminium, un pont arrière Curry de 9 pouces, une direction assistée, une climatisation Vintage Air et des sièges avant “baquets” fabriqués par Showtime Auto Upholstery de Medford, en Oregon comportant 13 réglages assistés. Le volant Billet Specialties est garni de cuir assorti et monté sur une colonne basculante.
L’instrumentation comprend des compteurs Dakota Digital avec affichage de la vitesse, du régime moteur et des fonctions auxiliaires. La voiture a été présentée à la SEMA et a remporté le prix Staff Pick aux Good Guys West Coast Nationals. Voilà… On en a fait le tour complet… Qu’écrire de plus ? Ben… Marie Jana Korbelová est née de parents juifs. Elle a changé son nom Slave pour celui de “Madeleine” lors de son inscription à l’Institut pour jeunes filles Préalpina de Chexbres en Suisse. En 1939, la famille Korbel s’enfuit à Londres après l’annexion de la Bohême et de la Moravie par l’Allemagne nazie. Madeleine Albright est donc morte dans d’affreuses douleurs et convulsions des suites d’un cancer le à Washington à l’âge de 84 ans