Tesla CyberTruck 2024
Lorsque “les gens” me demandent pourquoi je suis devenu éditeur/journaliste/écrivain porté étrangement sur l’automobile, je leur donne invariablement l’une des deux réponses suivantes… La première, quand je veux qu’ils me laissent tranquille, c’est : “J’ai toujours aimé les voitures !”... Oui, bof, je sais… Pffffffff ! La deuxième réponse, la vraie réponse, c’est que j’ai étudié l’architecture, suis devenu architecte adepte du minimalisme épuré et éditeur de magazines d’architectures et décorations atypiques.
J’ai même créé des meubles loufoques en totale contradiction, tel mon bureau rouge… Mais j’ai acheté quelques automobiles, décalées elles aussi, en pire, dont des Hot-Rods… J’aurais du vouloir être critique culturel. Malheureusement, ce n’est pas un vrai travail. Les automobiles sont venues avec l’édition. La grande époque du “papier”... Du magazine Home, je suis passé au magazine Chromes auquel j’ai ajouté “Flammes” pour faire Dragster… C’était’y pas l’époque de MadMax1, d’American Graffiti et d’Easy Rider ?
Oui… Un demi siècle de tout cela… Dans notre société l’automobile est ce qui se rapproche le plus de la culture elle-même, et en conséquence, je me suis laissé aller, Donc j’ai choisi de me concentrer sur les bagnoles, alors que la plupart du temps, je me concentrais sur l’écriture. Quoiqu’en fait, pas vraiment, nul besoin de me concentrer, c’est comme… Comme quoi ? Je m’en moque… Il arrive parfois qu’un nouveau véhicule arrive et me donne un aperçu si tranchant que je dois tout laisser tomber et l’analyser.
C’est ce qui m’est arrivé du point de vue d’un critique culturel avec le Tesla Cybertruck qui est peut-être le véhicule le plus intéressant du XXIe siècle. Je justifierai cette affirmation plus tard, surtout si je dois avouer m’être trompé. Mais d’abord, je dois donner une brève histoire de l’Amérique, une nation qui est devenue le creuset, qu’écris-je… le chaudron des sorcières du monde, ou chauffe un brouet indigeste mortifère que l’on se doit d’avaler, tout comme les vaccins-poisons Covid et les Fake-News institutionalisées.
Si vous voulez me traiter de complotiste, faites-le, je n’en ai rien à foutre ! Aux États-Unis, l’automobile occupe une place particulière dans les consciences. La transformation de ce pays de Cow-Boys qui a éradiqué la civilisation amérindienne sous le principe des colonisations à outrance (s’accaparer, prendre, voler, éradiquer) est un pays, qui au départ d’un marigot isolationniste jusqu’à l’empire industriel qui a dominé le XXe siècle, est inextricablement liée à la culture automobile qui a été entremêlée au besoin de créer sans cesse des guerres, d’éradiquer les autres, tous les autres…
Pour tout leur prendre et ruiner tout ce qui n’est pas Américain… Non seulement l’automobile (par le biais du ‘Fédéral Highway Act’ de 1921) a permis aux Américains de se déplacer d’un océan à l’autre, mais les techniques de production de masse développées pour les construire à des vitesses inimaginables ont été cruciales pour être utilisées pour de même façon construire des armements jusqu’à la bombe atomique, afin de dominer toute la planète, après avoir accessoirement gagné la Seconde Guerre mondiale.
C’est ce qui a ainsi marqué le début de décennies interminables de guerres pour que la domination américaine soit planétaire et au delà… Sans limites… Aucunes limites… Parallèlement à l’automobile et à cause de l’automobile, l’Ouest américain est devenu densément peuplé (les massacres des populations contribuant à y installer les seules valeurs américaines résumée en creux par le fameux “America First”… Et les États-Unis se sont ainsi imposés comme la première superpuissance de l’Occident global.
L’Amérique que tout le monde connait et dans laquelle via romans, chansonnettes et films tout le monde a vécu par procuration, a été construite à l’arrière d’une voiture dans chaque garage… Après la Seconde Guerre mondiale, Eisenhower a déclaré que l’Amérique construirait le système d’autoroutes inter-États à des fins de sécurité nationale, s’inspirant des autobahns nazies… Par conséquent, les fonds fédéraux devaient soutenir, toujours et encore, une société centrée sur l’automobile.
C’est ce qui a cimenté/bétonné l’idée que : “La Kulture Américaine serait simplement la culture de l’automobile aussi longtemps que les États-Unis et l’automobile existeraient”… Le nombre de voitures possédées par les Américains a ainsi doublé au cours de la décennie qui a suivi la Seconde Guerre mondiale. À la fin des années 1950, un Américain sur six était employé (directement ou indirectement) par l’industrie automobile. Au fur et à mesure que ce changement s’est produit, le design de l’automobile est passé d’un design relativement utilitaire à trois boîtes accolées l’une derrière l’autre.
Compartiment moteur, compartiment passagers, compartiment bagages… Un reflet très stylisé de la non-Kulture qui l’entoure. Mais rien de tout cela n’est une nouvelle. Les amateurs de voitures savent intrinsèquement que l’optimisme d’après-guerre des années cinquante était pratiquement synonyme de la hauteur toujours croissante des ailerons de queue des barges terrestres… Les berlines des années soixante sont devenues de plus en plus sérieuses, alors que le pays était aux prises avec des vagues d’assassinats, de troubles sociaux et d’abominables guerres et massacres.
L’incertitude des années soixante-dix a apporté avec elle le style maladroit d’une industrie prise au dépourvu. La haine de l’Amérique est apparue suite aux exagérations… Des guerres encore et toujours… Des massacres et mensonges… Mais aussi à cause des mensonges… Pourquoi le Vietnam ? L’Amérique est-elle vraiment allée sur la Lune ? Il n’y avait pas d’armes de destructions massives en Irak ! Kadhafi ne persécutait pas son peuple ! D’Aesch et Al-Qaïda étaient des créations américaines…
Les années’80 ont mis en avant la face sombre de l’Amérique tournée en ridicule par des livres et films parallèlement à l’essor d’un futurisme japonais centré sur la technologie et son style compensé aérodynamique, ce qui a été illico récupéré pour envahir les routes américaines soudain dédiées à l’American Way of live… Les japonaiseries étaient surtout uniques dans leur précision culturelle. L’architecture évoluant à un rythme glacial (l’architecture Google a duré 25 ans et la mode est devenue démodable ultra rapidement pour faire du fric, encore et encore , une religion…
Le New Look de Dior, l’une des tendances les plus influentes de l’habillement féminin qui ait jamais existé, dans sa forme la plus pure n’a duré qu’environ quatre ans avant renouvellement nécessaire pour vendre du nouveau plus cher et de le démoder plus vite encore. Pour plus à en avoir les designs sont devenus différents pour les riches, les moyens. et les riens du tout. Les automobiles, elles aussi étaient remises à jour à chaque changement de saison, alors qu’avant le cycle était d’ environ tous les trois à sept ans selon les classes sociales…
Le consumérisme roi du système économique, l’obsolescence programmée et sont arrivées les choses et autos “Une différente pour chaque gamme, pour chaque tranche de classe, de prix… et tous les groupes démographiques imaginables ont été ciblés, car les publicitaires et industriels ont décrétés que c’était une nécessité économique, que tous les Américains et autres gens d’autres mondes en avaient besoin. Quand ça ne fonctionne plus, on jette, on remplace, on ne répare plus, tout doit tourner, se renouveler sans cesse… Les guerres pourvoyeuses d’emplois et de richesses…
Tuez-les tous, tous les autres, Dieu reconnaîtra les siens… Une nouvelle guerre chaque six mois… Les mensonges institutionalisés, et tout le monde fiché, surveillé, diagnostiqué,.. Des permis obligés, des impôts sur tout, plus même que les revenus si pas payés d’avance… A 115% ça s’est enrayé… La France qui suivait n’était alors nulle part d’autre qu’en France avec ses colonies d’une autre époque… Et l’Allemagne toujours nazie au fond de l’âme s’est vengée de la bataille d’Angleterre en rachetant Bentley et Rolls-Royce, les deux symboles, tandis que l’Inde se payait Jaguar… Pathétique…
Arghhhhhhhh ! De toutes ces époques, certains modèles, de l’exotique au quotidien, n’étaient que de parfaites fenêtres sur l’ego de la pitoyable Amérique, ils ne montraient que ce qu’ils valorisaient, et ce que tout le monde craignait, un nouveau crash est revenu, la libération par l’argent n’était qu’utopie tout comme le style des automobiles, avec leurs vastes étendues de chromes étincelant et les publicités pleines de Pin-Ups aux sourires blancs éblouissants et de visages blancs d’une beauté parfaitement traditionnellement vides…
Est venu le temps des raccourcis… pour tout et n’importe quoi… Un raccourci pour le rock n’roll des années cinquante, le Twist, le gagatisme, les sectes et la Delorean DMC-12 en acier inoxydable moyen d’une phénoménale arnaque sur le dos de l’Irlande du nord saccagée par milliards pour une utopie rêvée par un bellâtre se moquant de son manque de fiabilité sous son extérieur de science-fiction rutilant… On en était alors venu à représenter le futurisme creux, décadent et sans cesse en pannes de mécaniques et de sens…
Les années Reagan, qui, plus fou qu’imaginable, à décrété que la Clénet était l’automobile du “Centenial”… Plus pitre n’est plus possible… Ce n’est qu’une Lincoln déclassée dès sa sortie kitée d’une carrosserie de VW ou de MG Midget composée de ferrailles et de plastique… Notez que j’ai été possédé par plusieurs, car j’étais moi-même au coeur du mouvement avec Chromes&Flammes, Calandres, AutoChromes, TopWheels et autres magazines… Bref… Tout cela m’amène au Tesla Cybertruck et au présent, fort tendu…
Avec le recul du temps qui passe, puisqu’ en mai 2024 j’aurai 75 ans…, la plupart de mes observations sur les modèles révolus semblent relever du bon sens, tout en vous faisant pousser des hurlements en gargouillant que je suis traitre à moi-même… Pffffffff ! Mais il est bien sûr beaucoup plus difficile de décrire avec précision un moment historique tel que vous le vivez, vous, mes Popu’s internautes. Essayez d’en écrire, bien plus que 10 lignes, mais avec un vrai texte. Il serait normalement encore plus difficile de choisir quelque chose pour représenter ce moment, serait-ce une voiture en acier inoxydable ?
Heureusement pour nous, le Cybertruck et le PDG de Tesla, Elon Musk, ne sont pas subtils quant à leurs objectifs. La foire est toujours d’actualité. D’un point de vue stylistique, bien sûr, le Cybertruck ressemble à une parodie d’un futur dystopique des années 2019. Plus le Johnnycab de Total Recall que le Peugeot Spinner de Blade Runner, bien que cela n’ait pas empêché Elon Musk de faire des parallèles avec ce dernier film. Après tout, il a annoncé le Cybertruck le jour même où le film original Blade Runner se redéroulait pour compléter la nouvelle version avec le même acteur….
Lors de ce non-événement, décalé lui aussi, Elon Musk a insisté sur la nature robuste du pick-up de Tesla, lançant des billes d’acier sur les vitres résistantes aux chocs,…et en cassant une… pour alors mentionner que la peau en acier inoxydable du Cybertruck était littéralement à l’épreuve des balles d’une arme de poing de neuf millimètres compte-tenu des émeutes et guerres qui s’annonçaient déjà… C’était pitre, mais il faisait la pirouette, et les gens d’applaudir à tout rompre ce spectacle hallucinogène !
Au cours des quatre années qui se sont écoulées depuis l’annonce initiale du Cybertruck et sa sortie, Musk a doublé ses commentaires. Il a qualifié le Cybertruck de “Ce que Bladerunner aurait conduit”… et de “Le meilleur de la technologie de l’apocalypse”… Des vidéos de presse publiées par Tesla montraient alors simultanément des chargeurs MP5 entiers vidés dans les portes pour faire comprendre la nature pare-balles de la carrosserie… L’accent était en réalité mis volontairement par Musk sur le fait que le Cybertruck était un “véhicule blindé de transport de troupes du futur”…
Diantre et Morbleu, fi donc !… Tout ce barnum était probablement motivé par sa conviction que l’apocalypse pouvait arriver à tout moment. Bien que Musk soit, c’est le moins qu’on puisse dire, bien connu pour ses déclarations extravagantes, il semble croire sincèrement que la société est au bord du précipice. Au cours de la dernière décennie, au cours de son ascension vers la célébrité alimentée par Tesla, il a exprimé à plusieurs reprises ses inquiétudes quant au fait que les robots tueurs menaceront l’humanité dans un avenir proche et a qualifié l’intelligence artificielle de “notre plus grande menace existentielle”...
Son adhésion plus récente aux rhétoriques scabreuses semble n’avoir fait qu’approfondir cette croyance… Lors d’un récent voyage à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, il a déclaré que les immigrants sans papiers provoqueraient “Un effondrement des services sociaux”, et il croit maintenant que la baisse des taux de natalité, causée, selon lui, par le contrôle des naissances et l’avortement, est un risque beaucoup plus grand pour la civilisation que le réchauffement climatique. Pourquoi pas ? Quoiqu’en s’en f…
Que Musk croie vraiment que la société est sur le point de s’effondrer, n’a pas d’importance. Ce qui est vrai, c’est qu’une majorité de gens, à travers pratiquement tous les groupes démographiques et tous les âges, s’accordent à dire que la vie se détériore et que nous devons nous préparer à un avenir sombre qui nous attend. Les Américains sont en ce sens plus pessimistes qu’optimistes quant à l’avenir de leur pays. Près des trois quarts des Américains croient que l’Amérique est en train de s’effondrer…
Cela se reflète également en Europe, en cause de Macron et sa clique, copiant Biden et la sienne, les sondages montrent en effet que les populations craignent d’être attaquées et anéanties. Et les véhicules reflètent ces angoisses. Plus de la moitié des véhicules vendus aujourd’hui aux États-Unis sont des camions et des VUS… Cela a alimenté un nouveau record historique pour le poids moyen d’un véhicule de tourisme neuf en 2022, qui a atteint le chiffre stupéfiant de presque 2.800kgs.
Les acheteurs de SUV, plus souvent que les autres types de propriétaires de véhicules, disent qu’ils apprécient leurs lourds véhicules parce qu’ils sont puissants et robustes… La plupart des acheteurs de véhicules neufs considèrent la sécurité des véhicules comme une priorité absolue dans leurs achats, et les gros véhicules sont en effet plus sûrs pour les occupants que les petits (bien qu’ils aient des “externalités” beaucoup plus négatives, telles que les particules de pneus et les piétons morts).
Les constructeurs automobiles vendent ce que le public demande et le langage stylistique a changé en conséquence : la tendance générale de cette décennie (jusqu’à présent) est de rendre les véhicules américains plus larges, plus lourds, plus carrés et plus militaristes par nature, car les lignes arrondies ne projettent pas de puissance. En France, c’est l’inverse, les pubs automobiles préconisent de rouler en vélo et pas en automobiles, on voit un cycliste regarder sa voiture en partant travailler en vélo… Il y a un coté pathétiquement crétin là dedans…
J’en viens donc maintenant aux Hot-Rods et Kustom-Cars qui sont interdits en Europe pour des raisons consuméristes industrielles, afin de vendre l’invendable… Nos Gouvernement oublient qu’il est nécessaire de préserver rêves et utopies, qui, comme les religions aident les peuples à survivre, rire et jouir en attendant la mort inéluctable… Les Hot-Rods et Kustom’s y contribuaient avec les voitures improbables, les répliques, les conneries, les divagations mécaniques qui faisaient rire et pleurer, donc vivre…
En supprimant tout cela, nos Gouvernements jouent aux assassins des rêves et tissent eux-mêmes la corde qui les pendra dans une Nième révolution sans doute encore plus barbare que les autres, le genre effroyable car comme on aura tout pris aux peuples, ceuxci n’auront plus rien à perdre, la mort étant perçue comme une délivrance et un sacrifice pour d’autres… Ce devrait être effroyable… Et dans ce gigantesque fourbi, le Cybertruck, émerge, dont Musk a déclaré lors de son lancement qu’il gagnerait dans tout match avec d’autres véhicules…
Il suit simplement tous ces thèmes jusqu’à leurs extrémités logiques… Nous en sommes là… Un camion pare-balles en acier inoxydable de presque deux tonnes, équipé d’un mode de défense contre les armes biologiques et conçu pour percuter d’autres voitures… C’est ça le véhicule idéal pour une société où plus d’un tiers des gens ont peur de se promener la nuit ? Waouwwwww ! J’ai peur des Américains plus que des Russes… Mais dans le foutoir général le Cybertruck est le véhicule parfait pour les gens qui ont peur de tout….
C’est le véhicule idéal pour une Kulture où chacun a peur des autres…. Cette machine en forme de coin à l’épreuve des balles, est la manifestation physique de la peur de l’Amérique et du monde qui pastiche et copie l’Amérique. C’est le renouveau du misérabilisme généralisé… Pour ma part, vivant à Saint-tropez, je m’en tape… Je roule en Cybertruck alors que je préfère ma vieille Smart Brabus achetée neuve dans les premières semaines de sa commercialisation, du temps des tours Smart et des couleurs psychologiques… Recevoir une Tesla CyberTruck avec les logos de GatsbyOnline sur les flancs est un cadeau sympa…
2 commentaires
Maître, l’existentialisme nous pousse à remettre en question la nature de cette non-conformité. S’agit-il d’une authentique expression de la liberté individuelle ou plutôt d’une forme de rébellion superficielle influencée par les tendances du marché et du marketing ? D’un autre côté, alors que les Hot Rods sont profondément enracinés dans la contre-culture et la passion de la personnalisation, le lien direct du Tesla Cybertruck avec une sous-culture spécifique semble inexistant. Pourrait-il être le précurseur d’une ère nouvelle, émergeant de l’initiative d’un milliardaire à succès ? Est-ce que cette idée a gagné en crédibilité et en pertinence simplement parce qu’une personne aux multiples réussites la soutient ? Est-il véritablement aux commandes, ou bien est-il devenu la marionnette qu’il représente, répondant aux attentes qui lui sont attribuées ? Votre article stimule la réflexion de vos lecteurs et il est particulièrement inspirant !
Vous tournez habillement votre scalpel dans la plaie de mon cœur issue d’un dilemme “crève coeur” qui porte bien son appellation. En mon cas, il s’agit d’une Grande Apostasie Kustomesque, une croyance en la foi de la customisation, partagée par plusieurs mouvements restaurationnistes automobiles, selon laquelle le Customizing et le Hot-Rodding ont subi une apostasie généralisée suite à la guerre du Custom entre le Groupe Hommel et moi… Celle-ci consistait en la corruption des principes du Customizing et du Hot-Rodding comprenant des modifications non autorisées apportées par des Franchouillards. Cela a été surnommé “La Grande Franchouillerie” et il s’est produit plusieurs périodes d’apostasie générale. La période appelée la Grande apostasie a eu ses prémices du vivant des apôtres en la foi du Custom, et est devenue totale après les dénonciations fiscales dont j’ai été l’objet et qui a duré jusqu’au “Rétablissement” intervenu par mes avocats. La Grande apostasie est caractérisée par la corruption des principes, par des modifications non autorisées à l’organisation, par l’absence d’autorité, l’absence de direction à donner, l’établissement de nombreuses clubs rétrogrades, la corruption et la perte de certaines parties de mes saintes Écritures lors d’un changement de régime, et l’absence d’autorité pour conférer la continuation du génie créateur (moi-même). La Grande apostasie a duré jusqu’à ce que je migre dans le sud de la France et que commence le rétablissement de la plénitude de mes écrits… Tout ceci re-expliqué pour vous aider à comprendre qu’en faits et contrefaits, le Hot-Rodding plus que le Customizing ne se trouvent aucune jonction avec Tesla et le CyberTruck… Me voir ainsi vagabonder en cette machine dans Saint-Tropez a été un choc pour certains qui y ont vu la marque du diable… Pour ma part, il se fait que, en gros, sans aller plus loin que de raison, il faut noter qu’en faits et cause, il se fait que le soucis vient plutôt d’une incompréhension que même leurs auteurs ne comprennent pas…Pour ma part, quoique je puisse assurer le contraire, il n’est pas dit que l’inverse le soit… Je me positionne donc en abstraction positive sans vouloir émettre une opinion contradictoire…
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