Santarsiero Atlantis Roadster 2020…
Chers gens-bons, chers tousses, chères putes, amis et amies, biens et mals-faiteurs, faisans et malfaisants, beaux et faux-culs (culs de jattes aussi j’en connasse), bonimenteurs et menteurs, emmerdeurs, fouteurs de merde, délateurs et trices, zélateurs et trices, lecteurs et trices, internautes mâles femelles et transgenres, escroqueurs et euses, fausses victimes, millionnaires fauchés (comme moi), milliardaires (je pense à mes voisins de Saint-Tropez) en ce compris l’entièreté des autres aussi pires si pas pluche… je vous annonce ne pas encore être mort, quoique crevé un pneu du fait de trop médire et écrire…
Allez vous faire foutre…, j’ai une indigestion de conneries qui me fait chier des merdes d’articles à-la-con alors que j’ai tant de bonheur à tapoter mes texticules couillus issus de mes voyages, expériences et vécus dans le panier de crabes situé sur un des bords du puits sans fond de la bêtise humaine, alors que des hordes de Harpies lubriques me poussent à faire le dernier pas…
Je ne sais pas ce qu’impliquerait réellement d’y sauter : je n’ai pas vraiment le don de publier des chroniques à l’infini (quoique je m’y applique), je n’ai aucun avis alternatif complémentaires à vous apporter en sus de ce que je vous ai proposé depuis un demi siècle, y compris les années du temps ou j’étais deviendou “numérique”!
Je suis fou, déjanté, politiquement incorrect, gonzomaniaque et sulfureux, j’ai souhaité vous le rappeler… ce qui vient d’être fait… je vis à Saint-Tropez entouré de rats, d’escrocs, de magouilleurs, de salopards, d’êtres inhumains et vils, en ce compris un des plus riches du monde, ainsi que de divers renégats d’affaires louches, blanchisseurs patentés, voleurs, recéleurs et Jet-setteurs crétins, de même qu’une myriades de putes et de riches mécènes exclusivement pour leurs sales oeuvres…
Cette riche expérience, m’a amené à ce que je n’ai plus ni l’envie ni le goût de vous en faire faire don de la lire… ce qui ne vous apporterait que des ennuis de “jalouseries” car c’est trop couillu, trop spermatif, parfois un pneu chiant… mais ce coté laxatif fait du bien après les indigestions des ceusses de la presse classieuse qui font pluche vomir qu’autre-chose… quoique je m’étais attendu à des signes de collaborations nazifiantes de la part de certains d’entre-eux… qu’ils les emportent dans leurs néants respectifs !
Généralement on termine un courrier par un “Bien à vous” voire un “Portez-vous bien”... et en ce cas que ce soit à gauche où à droite m’importe peu… quoique… dans le marasme dans lequel la Franchouille patauge, j’ai malgré-tout voulu publier une Nième chronique consacrée à un vésicule biliaire que nos lois en matières fécales d’immatriculations politiquement-correctes interdisent depuis plusieurs années afin de nous faire penser que l’avenir de l’humanité est de rouler en Citroen Ami(e) électrifiante après vous être fait auto-vacciner des nano-puces destinées à vous fliquer et vous auto-diriger dans le labyrinthe de l’Absurdie… sous couvert de vous immuniser du Coronavirus
Du même esprit et des mêmes mains qui ont développé la Predator Xtreme, la Callista Roadster et autres répliques qui valent à mon sens bien mieux que la rigolade de Laurent Tapie s’accaparant de l’image de Delage pour réaliser une ineptie, la Santarsiero Atlantis Roadster est l’exemple type de ce que nous ne verrons jamais commercialisé en Franchouille.
Cette voiture d’inspiration art-déco Français des années 1930 s’est inspirée des carrosseries flamboyantes des Bugatti, Delage, Delahaye, Voisin et autres, avec des motifs d’Auburn, Cord et Duesenberg… cette automobile est propulsée par un bon vieux et surrané moteur V8 Ford 351ci Cleveland soutenu par une transmission automatique… avec son toit rigide amovible et ses roues entièrement en caches, cette Atlantis à deux places ultra-large, ultra longue, ultra chère, est superbe… il s’agit toutefois d’un modèle d’hommage unique à l’adresse des figures emblématiques de l’inhumanité.
Il n’est pas rare dans la presse automobile que soit glissé un commentaire compliqué et vide de sens spermettant aux lecteurs et lectrices de bien comprendre les enjeux cachés derrière les engins qui sont présentés… deux phrases clés sont alors souvent injectées au fin-fond des cervelets des ceusses qui se sont fait piéger à lire les textes et regarder les images :
– Je ne comprends rien de ce qu’il a voulu dire en l’écrivant !
Et
– Pourquoi je m’inflige ça alors que je peux regarder du foot à la télé ?
La réponse à ces questions sont inscrites dans le cœur des lecteurs prêts à réserver une de leur soirée des mois en avance, à traverser leur bled sous la pluie pour aller dans le seul kiosque ayant encore un exemplaire de Gatsby Magazine à vendre… et/où à braver les déconnections internet qui tardent à être “fibrées à l’optique” avec l’espoir mêlé de crainte d’assister au pire, sachant qu’il ne déçoit jamais.
Cette chronique à la gloire de l’Atlantis, c’est de la pure alchimie herméneutique mêlé d’amoures contrariées entre le Ying et le Yang… c’est l’histoire relativement claire dans une confusion de complications, venant d’un ras-le-bol des voitures classieuses publiées dans les sempiternels magazines “à-la-papa”…
Mais en réalité les choses sont plus complexes, car dans les 3.600 chroniques composant le web-site GatsbyOnline, il se passe toujours quelque chose de surprenant à défaut de cohérent, c’est que, comme aurait pu le dire le Joker dans The Dark Knight dans une adaptation personnelle : “Les lecteurs et les internautes ont été trop vite frappés trop fort à la tête, les rendant moins sensibles aux autres coups bas et vaches”.
Je continue ma narration concernant l’Atlantis en citant Robert Frost qui est largement connu de quelques rares déjantés souvent alcooliques et cocaïnés pour son poème “The Road Not Taken”, dans lequel il raconte avec nostalgie qu’avoir à choisir entre deux itinéraires et se rendre compte au bout de son choix que celui-ci faisait toute la différence en rapport de l’autre choix qu’on ne connaîtra jamais, tout en étant conscient que la mort empêchera de corriger le mauvais choix sans pourtant savoir que l’autre était peut-être pire… c’est sans issue !
Cela pourrait être réécrit en épitaphe de la future pierre tombale de Top-Gun-Ron-Santarsiero, qui a toujours démontré une préférence pour les concepts-cars inhabituels et les voitures idiosyncrasiques… investisseur immobilier prospère par métier, mais constructeur automobile passionné par nature, il a toujours eu une fascination pour les exotiques et les néoclassiques et en a construit plusieurs au fil des ans.
Interview :
Patrice De Bruyne
– Pourquoi un tel choix aussi radical pour les répliques ?
Top Gun Ron Santarsiero
– Il faut être funambule. L’humour, la dérision sont des copains, c’est une façon de ne pas être aveugle à moi-même par principe et de rester une énigme à mes propres yeux. Je ne veux pas quitter ce monde pour faire le rêve de quelqu’un d’autre.
– Quelle a été l’inspiration de vos projets si particuliers ?
– Ma vie peut être ennuyeuse, la vie peut être terne. Tout le monde est toujours à la recherche de quelque chose de nouveau sous le soleil. Je n’ai pas fait exception. Mais tout ce que j’aimais était toujours financièrement hors de portée. Les automobiles Françaises des années 30, 40, 50 de Figoni et Falaschi, par exemple, avaient des formes extravagantes, et, actuellement chacune se vend en enchères de plusieurs millions de dollars. Frustré, je me suis rendu compte que si je n’avais pas les moyens d’en acheter une, j’avais la possibilité et la capacité d’en construire de semblables. Comme j’avais une formation dans les arts et la carrosserie, j’ai décidé de créer ma propre version d’une automobile ayant ces célèbres courbes Françaises, pour un prix que je pouvais me permettre. Pour garder mon approche pratique, j’ai commencé avec le châssis roulant d’une réplique de Mercedes 500K fabriquée en polyester par Heritage Motors… J’ai ensuite transformé la carrosserie du kit en totale dérive éthylique, en dérivant d’un concept-car d’une Delahaye 1936
– Vous avez également créé d’autres véhicules étranges !
– Le processus de conception et de construction du trike Atlantis Stargazer a été quelque peu différent. Tout a commencé lors d’un voyage au Mexique ou j’ai repéré un modèle à petite échelle d’un étrange véhicule à trois-roues . Je l’ai ramené chez moi et l’ai remodelé avec de l’argile. Une fois fait, j’ai montré ma conception à un ami, qui travaille pour les studios de cinéma en tant que fabricant de monstres en fibre de verre. Ensemble nous avons mis le Trike à l’échelle pleine grandeur… tout en terminant l’Atlantis.
Un des grands plaisirs que j’ai retiré de ce reportage fut de rouler dans ces engins pour tenter de les transcender via leur extravagance pour réaliser un article “autre” très ludique et intéressant… heureusement si l’Atlantis est à la fois très personnelle et très ratée… surtout ratée d’une manière très personnelle, abstraite, labyrinthique… la personnalité extravagante de Top-Gun-Ron-Santarsiero a été quasi transcendentale tandis que son épouse très libre avec son corps et se prétendant l’amie des poètes et hommes de presse m’a spermi de découvrir des éléments de sa vie personnelle intégrant des moments érotiques torrides et ésotériques incluant des moments saphiques avec sa sœur (ils étaient spontanés et totalement gratuits) !
Il faut être funambule humoriste pour oser réaliser un tel reportage, c’est toutefois une façon de ne pas être aveugle à soi-même par principe et de rester énigmatique à mes propres yeux. Comme dit un proverbe chinois déjà cité ci-avant : “On a besoin de têtes brûlées pas de moutons”...
Galerie Photos