Automobiles de collection : “Je vous vends l’histoire et je vous donne la voiture”…
Que ses Maîtres s’handicapent ou se tuent n’était que justice immanente, que cette bête magnifique “roi de la savane” en était réduit à ça…, est d’une tristesse infinie.., imaginez ne serait-ce que le bruit qu’il devait supporter plusieurs fois par jour…
J’ai choisi cette photo illustrant un pauvre Lion obligé de faire le pitre dans une nacelle fixée sur un mini-racer des années ’20 qui servait à tourner en rond dans une tour avec tous les dangers inutiles que cela représente, dans un seul but ; faire du fric…, parce qu’elle illustre au mieux ma chronique !
Elle est regardée par une multitude de canards colorés qui vous symbolisent, cher(e)s internautes, qui venez lire mes commentaires, je suis tel le lion rugissant qu’on a placé dans une nacelle pour le spectacle…
30 millions d’euros pour“la” Ferrari Bardinon…
A ce niveau de fausses valeurs surfaites et surréalistes, totalement indécentes pour la population de notre monde, 30 millions d’euros pour une Ferraillerie…, il n’est logiquement et intellectuellement nul besoin de fabriquer tant et tant de tapage merdiatique pour tenter de justifier, non pas une valeur “naturelle”, mais totalement artificielle…
Il n’existe en effet nulle part un tableau mathématique de projections de valeurs permettant d’établir que cette Ferrari là, vaudrait soudainement 30 millions d’euros…
S’il existait de vrais amateurs éclairés par la grâce, capables de jeter 30 millions pour avoir une “chose”, un “objet mécanique” qui n’a rien révolutionné de la condition humaine…, ils se seraient présentés depuis longtemps au château Bardinon pour déposer des offres…
Il n’en est rien et n’en a jamais rien été…
Tout le monde s’en f…
Si est créé un tel battage merdiatique alors que quelques appels téléphoniques suffiraient en suite de salutations entre gens du même monde à Pebble-beach, c’est parce que pour fonctionner, cette affaire a
besoin qu’un maximum de bruit en soit fait, de sorte que ce sera “tout naturellement” que le public (en ce compris toutes les autorités chargées de défendre la nation pour un bien-être démocratique, en ce cas la justice et le fisc)… en viennent à croire que ce prix est “naturel”, issu d’une alchimie “naturelle” qui fait qu’une bricole dont personne ne voulait plus dans les années ’60, qui se négociait à peine 5.000 dollars dans des échanges entre affairistes fauchés, puisse valoir sans discussion 30 millions d’euros en 2016…
Si tel était le cas, pourquoi une vente aux enchères dans un parterre de fauchés rêveurs si ce n’est d’avoir besoin de cette masse pour justifier ce qui n’est qu’une machination…
Quel est le fou qui oserait débarquer à Rétromobile, s’asseoir anonymement sur une chaise inconfortable et subir durant quelques heures : un assomoir de chiffres débités à l’infini de l’imagination (fertile, certes), d’un commissaire-priseur (donc assermenté, considéré légalement comme auxiliaire judiciaire et officier gouvernemental assermenté) que seule la gouaille façon titi-parisienne de haute volée de Maître Hervé Poulain transforme en théâtre de marionnettes…, pour pouvoir lever la main jusqu’à 30 millions et plus ?
Imaginez l’émeute des gagne-petits qui se réveilleraient en se rendant compte que ce chiffre équivaut à un paiement de 25.000 euros par mois pendant 100 ans, sans même compter les intérêts… en calcul bancaire cette affaire représenterait une “valeur” de 200.000 euros/mois durant 100 ans…, tout ça pour une Ferraillerie inutilisable ?
Ca équivaut à 100 châteaux payés cash (sans crédit)…
Même un multimilliardaire n’y trouverait aucun intérêt…
Tout ce barnum se situe dans un niveau de grandiose qui n’a d’autre utilité que la transformation de quasi-rien en une valeur “justifiable”…
Depuis que les monnaies ne sont plus “couvertes” par de l’or, mais par “la confiance”, les “planches à billets” tournent à plein débit et les monnaies ne valent normalement plus rien d’autre que ce qu’on nous oblige à croire…
Voilà que maintenant ce système s’étend aux “choses de collection”, un objet sans valeur spécifique autre que celle que certains lui donnent (sans raison réelle) se transforme en une valeur monétisable qui plus est pourrait servir de moyen pour à la fois créer de l’argent négociable, mais aussi pour permettre de faire venir dans le circuit officiel ce qui ne s’y trouvait pas… et ce au su et vu de tous…
Du grand art…
Cela a permis jusqu’à présent dans “le marché de l’art” de créer des valeurs en ce compris au niveau de l’Etat et ses gens via les musées ou autant de tableau en valeur nulle sont considérés comme ayant une valeur gigantesque, comme personne n’y connaît quoique ce soit, que le système est utilisé depuis longtemps, passez muscade…, c’est devenu une institution, ce qui aide au petit commerce puisque grâce à cela les pires bêtises peuvent miraculeusement valoir quelque chose…
Ce serait plus qu’amusant de constater que “la vente” se fera par téléphone… ou via un “intermédiaire”…
Trop c’est trop…
Et qu’en plus ce calcul entraine “le génie” de monter artificiellement les soi-disantes “valeurs” de multiples bricoles telle une Renault Dauphine “valant” soudain 40.000 euros en estimation (!!!), on atteint au délire le plus absolu…
Que certains “journaleux” qui crèvent la dalle en tentant de vendre des articles issus de communiqués de presse, à la pige, se retrouvent bienheureux d’être considérés en échange de jouer ce jeu, souligne la totale décadence de ce monde…
Ce système a encore fonctionné l’année passée, cool…, c’est maintenant une fois de trop…, tant mieux…, il ne reste plus qu’à laisser croire que ce “symbole” du grand capitalisme pourrait être la cible d’un attentat terroriste de Daesch voulant démontrer l’insanité de “nos” valeurs… et de voir ainsi le salon Rétromobile et cette Ferrari protégées comme Fort-Knoxx avec des blindés partout et un corps d’armée déployé dans les travées pour protéger l’indécence la plus totale sous couvert de la protection de “nos” valeurs… (Je signale que je ne mange pas de bananes surtout dans ma salle de bain)…
Dans mes mains, même via des compagnies de ventes aux enchères, soudainement elles valaient beaucoup moins…, les acquéreurs ne m’en proposaient que la moitié et certains Commissaire-Priseurs en ont vendu en dessous du prix de réserve sans m’en payer la totalité…
– “C’est abominablement laid, mais elle devient belle parce qu’elle est hors de prix, voilà le nouveau critère pour reconnaître une oeuvre d’art”… ai-je dit aux “têtes” des ventes aux enchères besognant en France…
– “Ce boom tient au fait qu’il y a de plus en plus de riches dans le monde, mais aussi au caractère plus prévisible du marché de la voiture ancienne comparé aux placements financiers ou au marché de l’art”…, m’a dit, très fier, Matthieu Lamoure, directeur général d’Artcurial Motorcars.
– “Acheter des automobiles d’époque est devenu une façon de diversifier son portefeuille, comme l’or ou les tableaux de maître, car les cours flambent”…, m’a d’emblée assuré Philip Kantor, qui dirige le département automobile de la célèbre maison de ventes aux enchères britannique : Bonhams
– “Que personne ne s’inquiète pour les héritiers Bardinon et autres, la fiscalité française est (encore) plutôt favorable à des plus-values réalisées sur un véhicule acheté depuis moins de douze ans, qui ne sont soumises qu’à un prélèvement de 5 %, unanimement considéré comme raisonnable. En outre, une voiture de collection n’est pas soumise à l’ISF”…, m’a dit un industriel de 66 ans préférant rester anonyme et dont le parking privé compte une trentaine d’automobiles, dont une dizaine de Ferrari, des Corvette de 1957 à 1967 et une Jaguar Type E…, “Ce fut d’abord une passion ; c’est aussi devenu un placement. Mes voitures, ce n’est pas de l’argent gaspillé”…
– “Confiantes, les maisons d’enchères écartent l’hypothèse d’un remake du scénario des années 1990 qui avait vu le marché flamber pendant plusieurs années avant de s’effondrer brutalement. Les principaux acheteurs sont européens ou américains ; les riches Chinois, par exemple, préfèrent encore acheter une Ferrari neuve mais bientôt ils s’intéresseront eux aussi aux modèles de collection et donneront une nouvelle impulsion au marché”…, a ajouté Matthieu Lamoure.
– “On peut pourtant se demander combien de temps les enchères continueront sur une telle lancée. Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ; les actions non plus…, ont coutume de dire les tradeurs, il n’y a pas de raison que les voitures anciennes y parviennent !”…, ai-je rétorqué.
– “Bon, juste un commentaire plus personnel, le fric, le fric, c’est bel et bien parce que les autos de collection montent à des prix élevés qu’elles sont enfin regardées et considérées comme des objets d’art majeurs. Si la couverture originale de Tintin en Amérique avait été vendue 50.000€, personne ne regarderait la BD en tant qu’œuvre d’art…, or, elle a fait 1.300.000€ !!! Et là, l’intelligencia artistique la regarde d’un autre œil”…, m’a répondu Matthieu Lamoure.
– “Je ne sais vous suivre dans votre raisonnement ou vous inversez tout…, vous considérez qu’un objet est une œuvre d’art parce qu’il atteint une valeur monétaire très importante. L’urinoir que Marcel Duchamp à présenté en 1917 est effectivement devenu une œuvre d’art sous l’appelation “Fontaine”, mais c’était justement une caricature… destinée à prendre à leur propre piège des artistes qui se voulaient libéraux et tolérants. D’en avoir possédé plusieurs, quoiqu’en fait c’est elles qui me possédaient…, je considère d’expériences vécues que les Ferrari sont comme l’urinoir de Marcel Duchamp… et qu’il faut être masochiste pour en vouloir lorsqu’on sait ce qu’elles réservent et coûtent en frais et réparations de pannes… L’art n’a rien à y voir, sinon l’art d’enrouler les gnous… Les Ferrari sont des objets spéculatifs qui se meuvent dans l’irrationnel… En 1917, à New York, Duchamp est membre du comité de direction de l’exposition organisée par la Society of Independant Artists, dont les règles, en ce point distinctes de celles des Salons officiels, affirment qu’il est ouvert à tous, sans prix ni jury. C’est pour tester cette ouverture d’esprit autoproclamée que Duchamp, sous le pseudonyme de Richard Mutt, présente son urinoir au comité d’accrochage. L’objet, évidemment, suscite polémiques et controverses, puis finit par être relégué hors des espaces d’exposition du Salon. Alfred Stieglitz l’expose alors dans sa galerie 291 où il le photographie. L’épisode de l’urinoir se doit d’être rapproché d’un autre rejet dont fut victime Duchamp, lors du Salon des Indépendants de 1912, à Paris : à la demande de ses “amis” cubistes, il avait dû lui-même décrocher son Nu descendant un escalier numéro 2, jugé hérétique par rapport à ce que ses pairs pensaient être la doxa cubiste. Qu’une censure puisse émaner d’artistes qui se disaient d’avant-garde avait ulcéré Duchamp. En 1917, il est maître du jeu. Il orchestre le scandale, assure la publicité à sa Fontaine, l’inscrit dans l’histoire de l’art, reproduit la photographie de Stieglitz dans le numéro 2 de sa revue The Blind Man (New York, mai 1917), y commente son aventure dans l’éditorial “The Richard Mutt Case”. Piégée par l’ironie duchampienne, l’histoire fait de Fontaine l’étendard de l’iconoclasme moderne”… ai-je affirlé en retour..
– “Oui, ah bon”… a soupiré Matthieu Lamoure
– “Ahhh, Matthieu, Matthieu…, je suis votre frère tresamé, votre Carissime Frater… Vous allez comprendre… Nous ne voyons pas “les choses” d’un même œil… Déjà à St-Luc ou j’étudiais l’architecture, je bataillais avec mes professeurs en histoire de l’art (et dérivés), car je posais toujours la même question relative aux valeurs : Pourquoi Van Gogh meurt-il dans la misère alors que ses œuvres parfois échangées contre un pain ou un bout de bidoche du temps ou il vivait encore et avait besoin d’argent pour survivre plus que de “reconnaissance”…, se revendent maintenant des centaines de millions… Manifestement cela ne rapporte qu’aux spéculateurs, donc ce n’est pas la valeur intrinsèque de l’œuvre qui vaut cela, mais la valeur spéculative… Or, les vendeurs jouent sur la valeur de l’oeuvre, ce qui est une tromperie…. En ce sens Artcurial porte bien son nom, mais cela échappe aux gnous fortunés qui se précipitent dans la fosse aux lions : “Le Curial” (c’est-à-dire “le courtisan”) est un texte de la littérature française du XVe siècle, un traité moral en forme de lettre faisant la satire de la vie de cour, existant à la fois en latin (De vita curiali detestanda tamquam miseriis plena) et en moyen français… Le texte se présente comme une lettre à un destinataire désigné au début par l’apostrophe “carissime frater” (mon frere tresamé), que l’auteur s’efforce de dissuader de venir le rejoindre à la cour, où la vie est présentée comme un véritable esclavage, incompatible avec la pratique de la vertu, exposant aux compromissions et aux aléas de la fortune… et n’offrant que des satisfactions illusoires et mensongères. Le thème des misères de la vie de courtisan est un lieu commun de la littérature du XVe siècle, qu’on retrouve entre autres dans la De curialium miseriis epistola d’Æneas Sylvius Piccolomini (1444) et dans le roman en moyen français intitulé “L’Abuzé en court” (milieu du siècle, longtemps attribué à René d’Anjou)”… lui ai-je répondu…
– “Ou voulez-vous en venir ?”… a tonné un Matthieu Lamoure un tantinet excédé…
– “Donc, mis à part que vous m’avez mis sur la touche en temps que votre Carissime Frater…, il vous faut noter qu’Artcurial signifie : le courtisan de l’art… qui se situe dans un monde (celui de vos clients fortunés)… Nous sommes donc les Carissimes Fraters d’autres qui le sont à leur tour… Le thème de la misère de la vie d’une courtisane de Cour… ou d’un courtisan de l’art tel que les éminents Commissaires-Priseurs d’Artcurial…, ne peut qu’être égratigné au second degré sous le principe dévoyé que toute misère mérite sa peine…, un double sens eut égard aux sommes récoltées, quoique tout le monde a ses petits frais… Notre grand philosophe qu’est Eric Cantona a dit : “Quand les mouettes suivent le chalutier, c’est qu’elles pensent qu’on va leur donner des sardines”…, je trouve cela en rapport avec les suiveurs qui s’extasient des résultats affichés et croient qu’il vont en bénéficier avec leurs voitures de loin moins prestigieuses”… ai-je conclu juste à temps avant que Matthieu Lamoure ne soit happé par un collectionneur en attente…
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Je sais pas pour vous qui me lisez, mais en ce qui me concerne, même si les automobiles dites “de collection” qui sont passées dans mes mains n’étaient pas des stars de telles valeurs, quoique…, elles ne valaient des fortunes que lorsqu’elles appartenaient à d’autres…
L’urinoir “Fontaine” de Marcel Duchamp, le point extrême de l’imbécillité convulsive !
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L’incroyable collection automobile de Roger Baillon vendue 25.151.580 €uros d’indécence…
Au delà du grand n’importe quoi !
Le terme de décadence me parait tout a fait approprié, les bandits de grand chemin ont pris d’autres habits et ne lèsent plus, comme d’antan, que les riches équipages…, la collectivité est mise à la dîme !
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Je vous vends l’histoire et je vous donne la voiture…
Ce credo d’un professionnel du secteur (Hervé Poulain d’Artcurial-Paris), en dit long sur les critères de détermination du prix d’un véhicule de collection… et j’en cause en double sens et sous entendu.
Si sa rareté et son esthétique importent, c’est avant tout l’âme de l’automobile qui en détermine sa valeur.
Une âme empreinte de rêve et de nostalgie que les entreprises n’hésitent pas à utiliser dans la construction de leur image de marque.
C’est beau, là, n’est-il pas ?
Arrêtez de vous pâmer, la réalité est toute autre !
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L’enfer des automobiles dites “de collection”…
C’est avec entrain que je viens de m’atteler à la rédaction d’un mémoire, d’un pensum, ayant pour sujet les automobiles dites “de collection” dans les ventes aux enchères…
Je crois avoir usé (et être usé de cela), quasi toutes les sociétés de ventes aux enchères de voitures de collection.
Pourtant, je me souviens avoir été enthousiaste de participer à ces grandes “affaires” !
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N’allons-nous vers un temps extrait de l’infini, le puits sans fond de la bêtise humaine ?
Sans pensées, sans sagesse, restant immobiles, retenant notre souffle, parce que ce sont deux attitudes importantes pour la survie quand cesse la lumière, mais en même temps la cause de nos maux… ?
Le monde est ce qui a lieu…, une évidence contre laquelle il est impossible de lutter.
Sauf par la créativité.
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Quel parangon esthétique élevant l’automobile au rang d’art majeur, quel tour-de-force technique échappant aux garde-fous de la production de masse, saurait enfin apaiser mes obsessions absolutistes ?
Si le cheminement importe plus que la destination, mes investigations me préservent encore de la lassitude.
Je puis seulement dire écrire : “beaucoup de bruit pour rien”.
Haro sur la décroissance et l’éloge des petits chiffres, je renoue avec les utopies positivistes !
Mes absolus roulants, raffinés de cœur et d’esprit, définitivement iconiques, m’ont à se point déformé l’esprit que j’en suis venu à m’en moquer !
Ma quête, est l’échec d’une chimère, la tragédie étant faiseuse de mythes.
Il n’est point d’évocation du sujet sans développements préfabriqués.
Il m’a suffit simplement de prendre le volant d’une Thunderbird Cabriolet 1964, croisement d’un matelas pneumatique et d’un pur-bourrin, pour saisir l’impasse d’une telle synthèse.
Le féru de chrono n’a que faire de son confort dodelinant quand le consommateur de berlines fuit les caprices de son V8 en fonte à l’épreuve des balles…
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Compte tenu de la volatilité des marchés boursiers, les investisseurs partent en quête d’autres objets d’investissement.
Les œuvres d’art et les ancêtres figurent dans la liste des élus.
Hasard ou non, dans le monde de l’art aussi, un nouveau record a été atteint chez Christie’s avec la peinture ‘Nu au plateau du sculpteur’ signée Picasso, adjugée 106,5 millions de dollars.
L’œuvre pulvérise ainsi le précédent record de 104,3 millions de dollars, atteint plus tôt dans l’année par la sculpture ‘L’homme qui marche’ d’Alberto Giacometti.
Quand vous voyez cette “œuvre”, mille questions vous brûlent le cerveau par rapport au prix de 104,3 millions de dollars qu’une personne a déboursé pour la posséder…
Sur et certain que beaucoup d’entrevous qui me lisez arrivent sans peine à faire tout aussi bien !
Et pour ce qui en est de la toile de Picasso, on a beau la regarder et se triturer les méninges durant une éternité, on se demande qu’est ce qu’il y a là de si exceptionnel qu’un anonyme a déboursé 106,5 millions de dollars pour l’enfermer quelque part…
L’art se trouve dès-lors bien d’avantage dans ces achats surréalistes que dans les œuvres qui, en dehors de tout battage médiatique, finiraient rapidement aux encombrants dans un container !
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