Bailey Blade XTR…
Vous le savez, si, si… (et si vous ne le saviez pas je vous en informe), chers lecteurs attentifs et très chères lectrices dévotes du site…, GatsbyOnline.com n’était, à sa création (le 14 novembre 2006), pas trop du genre (quoique…) à tirer sur les ambulances en flammes voulant exfiltrer les pires abominables peuplant le panier de crabe qu’est le monde (pourri) de l’automobile…
Quoi qu’en aient dit les mauvaises langues au fil des mois passants, votre site, sûrement préféré, au fur et à mesure de mes multiples (et très mauvaises) expériences, additionnées à celles vécues personnellement depuis mes 18 ans (ça fait un demi siècle en cette année 2017, profitez-en pour calculer l’âge du capitaine né en mai 1949)…, n’a pu qu’évoluer vers de plus en plus d’objectivités satiriques…, seule parade empêchant de sombrer dans la neurasthénie, la désespérance et l’auto-suicide spirituel…, ce qui est un double sens digne d’un drame satirico-lyrique !
En vérité je vous le dis, biens chers frères (et sœurs), non, mille fois non, GatsbyOnline.com n’utilise pas les sévices de journalistes psychopathes pervers, passant leur temps (non payé) et mon budget (inexistant), dans de multiples reportages complexes, à l’affût, la bave aux lèvres…, du moindre défaut d’autos, motos, bateaux et avions (et femmes diverses), lors d’essais, d’analyses, de réflexions et autres… susceptibles de rentrer dans divers critères nihilistes destinés à saper totalement tout espoir et toute foi en l’humanoïdotomobile (je viens d’inventer ce terme dont je revendique le copyright exclusif)…
C’est que la chaude-chaleur (pléonasme) du sentiment de dévoiler les pires turpitudes (arrivant via vos yeux ébahis jusqu’à vos oreilles impures), titille notre (ma) curiosité légendaire… et nous (me) pousse à commettre ce qui parait culturellement inconcevable aux journaleux de service œuvrant dans les merdias aux ordres, suspendus au besoin d’engranger des à-valoir publicitaires.
J’ai adoré l’Amérique jusqu’à ce que le 11 septembre 2001 m’ouvre les yeux sur ce pays fantasmé devenu une dictatucratie planétaire… et j’ai aimé les Muscle-cars américains jusqu’à ce que j’en possède tellement d’exemplaires que je me rende compte que ce que je pensais être des défauts occasionnels ne se révèlent structurels… et que cette situation ne finisse par m’angoisser de me retrouver dans une impasse du fait des soucis mécaniques et coûts en découlant, en sus des frais méga-gigantesques en rapport à leur usage…, mais surtout en cause de l’univers des folkloriques personnages qui en squattent jusqu’à l’essence (double sens) avec chapeaux de cow-boys, vestes à franges, santiags et postures grotesques à la James Dean (qui pourtant ne jurait que par les Porsche)…
Après en avoir fait quelques livres et une section dans ce site-web (ce qui m’a valu des attaques en règle, y compris en justice, affaires que j’ai gagné), je réduis donc la voilure en fonction de l’évolution du monde en crise qui rend de plus en plus aléatoire la revente de ces engins sur-consommateurs d’énergie pétrolière… et, mon dégoût est de plus en plus profond, accentué par l’attitude du marché constitué des maisons de ventes aux enchères, de certains marchands d’occazes et des constructeurs et leurs concessionnaires…
C’est dans cet état d’esprit, avec mon expérience, que j’ai découvert la Bailey Blade XTR by BXR Motors, un mix pompé entre la Dodge Viper et la Morgan Aéro, avec l’allure et la mauvaise finition “plastoque” d’une ancienne Corvette C3 (la pire)…, qui prétendait carburer “Grâââve” avec un moteur bi-turbo V8 Coyote-Mustang TI-VCT (gag !) de 5L0 propulsant en rêve l’engin de 0 à 100km/h en 3 secondes (sic !) grâce à 500 chevaux imaginaires…
Pas de prix officiel, mais une indication de 500.000 US$ si commande immédiate (réfléchir faisait doubler ce montant fantasque)…, pas de date officielle de disponibilité annoncée.., mais un engin semi-fini existait, ainsi que des éléments disparates de carrosserie présentés épars pour meubler l’espace…, de même qu’un catalogue cartonné et un site-web très pro (disparu quelques temps plus tard), ou les photos hyper retouchées réalisées AVANT la finalisation approximative du prototype démontrait qu’elle n’était qu’une virtualité éphémère…
L’engin, c’est à dire le prototype (qui n’était qu’une maquette “roulable” 1/1 capable de réaliser des burnout promotionnels), présenté au SEMA Show 2013, se voulait réel, quoique le stand de cette “nouvelle marque automobile”, étant situé dans le fin fond d’une salle où les exposants ne proposaient que des solutions pour personnaliser des camionnettes et des pick-up’s…, démontrait que la société BXR Motors n’avait pas trop de moyens financiers pour se payer un emplacement de grand luxe dans l’espace réservé aux vraies automobiles de rêve…
La Bailey Blade XTR ressortait toutefois passablement du lot…, les plus connaisseurs en bétises roulantes se souvenant qu’elle avait déjà été présentée en 2010 dans des conditions similaires…, mais reconnaissant que sa finition était en évolution…, le quelconque de certains panneaux de carrosserie laissant toutefois les visiteurs dubitatifs, certains affirmant ouvertement qu’une Dodge Viper bien plus sécurisante à tous égards (technologie éprouvée, mécanique V10, construction usine, châssis aluminium, finition correcte et fiabilité via un réseau)… se négociait 20 fois moins cher en occasion de première main…
Le rêve de Neal Bailey se présentait assez mal alors qu’il plastronnait sur son stand, indiquant sans cesse aux visiteurs éberlués qu’il avait travaillé d’arrache-pied afin que ce projet arrive à terme et que l’aventure était au point où il attendait de passer les tests nécessaires pour l’homologation finale du véhicule… et que comme tout irait bien, la production allait débuter rapidement…, donc qu’il fallait verser un acompte…, mais d’entrée de jeu on sentait que c’était truqué…
Ce qui vous semble une critique de ma part (certains idiots oseront sans doute me traiter de frustré qui crache dans la soupe et casse les rêves) n’était qu’une analyse attentive de ce que Neil Bailey présentait dans le but de vendre très très cher (un demi million de dollars, je vous le rappelle)…, une chose en plastique nommée Bailey Blade XTR, sans aucun passé (et sans avenir), si ce n’est celui des voitures accidentées ayant fait don (sans aucun consentement) de leurs organes et pièces…, ce saccage donnant une sorte de Frankenstein auto-mobile, un prototype mal fini, en plastiques de récup’, reprenant des parties de carrosseries (obtenues dans diverses casses automobiles) de Dodge Viper ET de Morgan Aéro Coupé ET (surtout) de Corvette C3 (la pire)… avec une finition de Kit-Car des années ’70…
Et c’est là qu’il vous appartient de faire la différence entre ce que vous lisez actuellement, qui n’est motivé par aucun esprit mercantile… et les commentaires dithyrambiques de journaleux se moquant totalement de leurs lecteurs qui pourraient y perdre leurs économies de crédibilité, uniquement pour gagner une centaine de dollars (ou d’euros) pour un article payé à la ligne par des merdias qui cherchent de quoi meubler divers espaces vides…
En sus d’utiliser quantité de morceaux de carrosseries récupérées, BXR Motors s’était inspiré d’autres constructeurs pour “meubler” entre tout ce bric-à-brac pour obtenir “un design”…, merci Marcos GT…, TVR…, Berkeley et quantités de kit-cars ésotériques (heureusement disparus corps et biens)… en finale, la Bailey Blade XTR ressemblait à tout et rien, mais c’était spectaculaire…, en cas d’accident il aurait suffi de chercher d’autres pièces…, ce qui était une bonne chose quant à une forme de longévité, ce qui est le problème N°1 des Kit-Cars !
À première vue… et même avec une seconde vue…, ce coupé au très long capot adoptait un design sculpté par un amateur qui risquait d’emblée de ne pas plaire à tous…, si le museau de manquait pas de gueule (sic !) avec sa double ouverture et ses phares amincis, c’est la portion arrière qui risquait de soulever des débats…, l’aileron en deux parties d’inspiration McLaren était très discutable, tandis que la vitre de custode en pointe séparée en plein centre par un pilier inspiré des Corvette C2 Split-Windows et de la Morgan Aéro, n’était certainement pas banale à défaut d’être pratique, esthétique et utile…, heureusement, les feux circulaires (de remorque) n’étaient pas désagréables à regarder…, tandis que l’échappement central était lui aussi un signe d’exotisme…, de plus, de profil, il faut dire que la voiture était plutôt étrange…
Pour valoriser au maximum, côté freinage, BXR Motors avait utilisé du matos de chez Brembo pour stopper la bête…, des énormes disques enveloppés par des étriers à six ou quatre pistons…, la direction était soi-disant électrique, pouvant être ajustée en fonction de l’humeur du conducteur (en réalité c’était le don en récupération d’une Dodge Viper écrabouillée de l’arrière par un Mack (un camion, pas un souteneur)…, quant à la fermeté de la suspension, selon les dires de son géniteur, elle devait s’ajuster constamment via un système électronique afin de trouver le meilleur compromis entre confort et tenue de route, toutes choses affirmées et qu’il convenait de croire comme en Jésus où en la version officielle des “attentats” du 11 septembre (c’est l’Amérique)… même si en réalité c’était également une récupération de la Viper…
Malheureusement, comme il m’a été possible de m’asseoir derrière le volant de cette machine, je n’ai pu que constater l’invraisemblable position de conduite, simiesque pire encore que dans une Lamborghini Miura (jambes largement écartées, pieds décalés, torse en position semi horizontale à 45° avec la tête inclinée latéralement sous le même angle, bras tendus et coude gauche écrasé contre la porte)…, le design de l’habitacle demeurait assez simpliste d’inspiration Bricklin…, toutefois, les amoureux de grands écrans vidéos devaient être heureux d’apprendre que la console centrale était munie d’un écran tactile de 13 pouces de hauteur !
La Bailey Blade XTR n’était qu’un leurre à gogos sous forme d’un prototype qui ne roulait pas vraiment, quoiqu’elle pouvait “faire” des burnout et enfumer davantage les ahuris/inconscients fortunés se laissant aller à verser un acompte conséquent, ce rêve éveillé sur roues ne pouvant que se retrouver non pas sur les routes de l’Amérique du Nord et s’y avérer n’être qu’un abominable cauchemar…, mais dans les faits-divers financiers…, en l’occurrence, j’ai pu vérifier par moi-même (en personne) l’étendue d’un massacre artistique annoncé (et pour tout dire franchement prévisible), quoi qu’en pensent les journaleux espérant engranger divers revenus publicitaires assortis de dessous de table, avec un esprit de meute qui leur ferait presque honneur s’il n’était autant biaisé par le maintien désespéré de leur propre pré carré…, les échos de leurs infamies se répandant jusque dans la presse nano-technologique.
Avant de plonger plus avant dans ce gouffre sans fond, ayons le sens des réalités…, l’homme derrière la voiture était Neil Bailey…, en 2008, cet inventeur se prétendant “visionnaire d’origine texane” a quitté son travail de développeur Web, ce qui expliquait la qualité du site-web de BXR Motors, sa conception consumériste très professionnelle et la sur-retouche des dessins-photos illustrant la Bailey XTR.., il prétendait avoir investi toutes ses économies personnelles dans ce projet (sic !)… pour qu’après quatre ans de préparation (sans aucune autre rentrée d’argent), la XTR voit finalement le jour (en tant que prototype) au salon de la SEMA 2010, puis en tant que “pré-production-car” au SEMA 2013…
Neal se présentait comme étant un amateur d’automobiles hors-normes (c’était auto-proclamé et ça ne coutait rien d’en rajouter) avec une passion pour les complications simplistes…, dès son plus jeune âge, il prétendait avoir montré un intérêt pour les voitures (sic !)… et n’avait eu cesse de comprendre exactement “comment les choses fonctionnaient“, selon ses propres mots…, il m’a même dit, alors que je papotais de tout et rien avec lui, se souvenir encore comment, pendant son enfance, il tentait de créer de nouveaux produits électroniques après avoir démonté les appareils ménagers de la maison familiale (un nouveau Muntz)…
Sa première voiture a été un cabriolet Mustang 1972 qui a été l’étincelle mettant le feu à la passion automobile de Neal… et au garage familial (ce gag lui à financé quelques voitures !)…, quelques décennies et des dizaines de voitures plus tard, il a fait un bond grââââve vers la foi en Dieu… qui lui aurait (sic !) demandé personnellement de se lancer dans un projet de changement de vie en rapport avec l’automobile…
En 2008, Neal, écoutant Dieu (re-sic !) a quitté son emploi confortable et stable en tant que développeur web… et a investi toutes ses économies personnelles dans la conception et la construction de la Bailey XTR…, il voulait (selon-lui) combiner les meilleures caractéristiques conceptuelles de certaines voitures (parmis les moins fiables)…, prétendant pouvoir corriger toutes leurs erreurs de conception et défauts d’usage par l’amour de Dieu…, tout en réalisant un mariage parfait de la performance et de l’apparence.
Sa source d’inspiration pour la Bailey XTR serait donc venue de la lecture assidue de la Bible classique et nouvelle (c’est à désespérer !)…, dans les deux versions desquelles il aurait découvert l’essence divine des Muscle-cars américains classiques (j’en pleure !)…, il voulait de la sorte revitaliser et recréer l’image de ce que devrait être une “supercar américaine”.
BXR Motors est alors de la sorte, devenu réel, vivant et respirant l’American Dream sous le regard bienveillant de Dieu…, Neal Bailey devenant une nouvelle preuve (vivante) que l’homme moyen peut réaliser des choses étonnantes, même sans fonds (il y a là plusieurs sens), dans la ligne (sainte) d’escrocs tels Tucker, Bricklin et DeLorean : passion, ambition, foi et entraînement sportif étant le carburant sans qui les éléments essentiels de tout ce projet, auraient été impossible.
BXR Motors a alors été défini “officiellement” comme étant une entreprise déterminée à briser l’extérieur des limites de l’industrie automobile dans son ensemble en apportant des idées nouvelles, innovantes et uniques sur le marché via la conception, le développement et les prestations d’une supercar américaine, quasi divine…, par le biais de grands rêves alimentés par la prière, la passion, l’excellence et la détermination…
Tandis que cette intrigue se mettait pneu à pneu en place (rassurez vous, Tucker, Bricklin et DeLorean ne seront pas égalés)…, une tenace impression (qui demandait à être vérifiée) me taraudait, celle que cet objet n’avait pas obtenu, au sortir d’un premier montage, l’aval de Dieu (et de son entourage)…, un engin qui n’aurait pas été jugé assez sanctifié en l’état… et qu’il faudrait reprendre de fond en comble lors de sa production éventuelle (après une faillite par exemple)…
En étant un peu attentif… et même en l’étant très vaguement pour tout dire…, les défauts technologiques et design (ils étaient monstrueux)…, de cette chose, sautaient à la gorge pour un résultat comique qu’on qualifiait de mitigé, toujours pour rester poli… et dans ce même ordre d’idées, l’adjonction foireuse de gimmicks, soulignant avec une crasse redondance divers gags visuels attrape-nigauds, finit par horripiler franchement au pire, et au mieux susciter des interrogations théoriques, histoire de passer le temps…
Mais bon, pour être honnête (sic !), ces questions s’effacaient bien vite devant la consternante réalité, car ce sens comique, ce manque de tempo littéralement stupéfiant débordait en permanence sur le fond, pour phagocyter sa forme… et à cet égard, l’exemple le plus criard de ce sentiment lourdement prégnant d’approximation dans l’élaboration, résidait dans le visuel général de tous les points particuliers, Neil Bailey y appliquant avec obstination un putride cahier des charges !
Objectivement, la Bailey n’était qu’une reproduction sans âme et sans aucun recul artistique de quelques automobiles déjà citées plus-avant dans cet article…, parasitée par quelques gags stylistiques répétés jusqu’à les vider totalement de leur substance…, en l’occurrence ici, une idée adorablement absurde (le divin) créant la désagréable impression de faire du remplissage…, une impression corroborée par le tour de force à venir, le combat du héros contre une multiplicité de concurents illusoires, traduisant quant à lui la mauvaise réinterprétation stylistique et la volonté de se réapproprier l’image des Muscle-cars.
En somme, il était facile pour ne pas dire salutaire de considérer la Bailey Blade XTR comme un ratage absolu…, on pouvait aussi, si on était très naïf, la voir comme un projet en phase terminale, constamment bouffé par l’ambition ‘auteuriste’ de son auteur, sa volonté de décrypter la puissance d’évocation en fonctionnant par références emblématiques et anecdotiques, ainsi que son désir hystérique de plaire au plus grand nombre en recourant systématiquement au plus petit dénominateur humoristique commun !
Tout ce Barnum, se déroulait “à l’américaine”, dans un festival de clins d’œil permanents, de coups de coude dans les côtes assénés avec la délicatesse du phacochère blessé et luttant pour ses ultimes sursauts de vie, tiraillé entre son goût et ses aspirations populaires et populistes (le problème de Neil Bailey étant sa confusion endémique entre les deux termes), dont le but ultime était de toucher le plus grand nombre avec son image de loser transcendé à destination des spectateurs trop neuneux pour comprendre ce produit consumériste parmi les plus hallucinants vus récemment…
Neil avait même annoncé (déjà) son prochain projet : un délire fantastique qui le projetterait au beau milieu d’œuvres emblématiques (sic !)…, tout semblait donc aller pour lui dans le meilleur des mondes, mais, il était sur le point d’entrer en crise personnelle et risquait de lui-même de faire tourner court cette aventure…, avec la classe d’un boxeur halluciné, s’en allant faire le tour des shows automobiles pour débiner son ex-future vedette et, probablement, rassurer du même coup ses potentiels investisseurs.
Après plus de quatre années de travail (et de prières) dans son garage (un box attenant à sa maison), Neal a reçu un coup de pouce divin sous la forme d’un investisseur (crédule ?) et d’une équipe de désœuvrés au bord du naufrage économique que Neal a connu dans le bar-à-filles situé à une centaine de mètres de son box…, Neal a compris là, le vrai sens de la religion… et est réellement passé à la vitesse supérieure en réunissant et exploitant ces “experts”…, sans jamais les engager…, en effet, ils figuraient là (ci-après) en photos, affublés de titres ronflants, en tant que faire-valoir plus ou moins conscients de leur utilisation dans une tromperie organisée, pour rassurer les investisseurs et clients éventuels…
Neil Bailey, avec son équipe “d’experts” (sic !), se sont alors mis à prétendre explorer constamment (re-sic !), de nouvelles technologies pour rendre la XTR plus innovante sur le marché (re-re-sic !)…, c’était la mission divine qui avait échu à ce saint homme de Neil Bailey : concevoir une voiture de sport d’élite qui incarnait toutes les meilleures caractéristiques des voitures de sport américaines à travers l’univers… et au delà…
Extrait du catalogue, les personnages ici repris en suite de Neal Bailey, ne s’appellaient pas des noms indiqués, ce n’étaient que les amis de beuveries diverses de Neal au bar-à-filles local…
Toutes les indications étaient fausses, c’était quasiment calqué sur les présentations des sites-web de rencontres, je subodore que les photos avaient été pompées sur le web, un pneu partouze…
Neal Bailey était le visionnaire, inventeur et concepteur de la Bailey XTR, il se présentait comme étant un passionné d’automobiles, avec une ferveur particulière pour le divin. Sa vision de la XTR aurait commencé sur le coin d’une serviette dans un restaurant après la messe du dimanche matin. Finalement, sa vision de Dieu lui ordonant de créer la XTR, se serait transformée en réalité grâce à la prière et se serait enfin réalisée avec l’aide d’une équipe d’experts envoyée par Dieu au bar-à-fille près de chez lui… Cela, additionné à ses années d’expériences en technologie de l’informatique, du développement web et de la conception, le design et le marketing de sites-web, Neal aurait réussi à créer une base “solide” pour lancer BXR Motor. Neal résidait dans le nord du Texas, il était marié et son couple avait engrangé deux jeunes enfants “d’âge primal”….
Lyn Trickel : Chef de la direction (en attente)…, avait soi-disant plus de 30 ans d’expérience dans la direction de trois entreprises de fabrication spécialisées en kit-cars qui avaient fait faillite les unes après les autres. Lyn y avait occupé de nombreux postes lors des divers conseils d’administration dans un vaste éventail de domaines, y compris la coordination des projets et les conseils consultatifs auprès des administrations fiscales. Dans ses décennies d’expérience, Lyn aurait accumulé une vaste gamme de compétences essentielles qui faisaient de lui un chef inné à l’esprit aiguisé et efficace capable de déjouer les possibles futures tentatives de l’administration fiscale envers BRX Motors. Lyn qui avait passé quelques années “à l’ombre”, était marié et père de deux enfants “d’âge collégial“… et résidait dans le nord du Texas.
Brian Alexander : Avec plus de 15 années d’expériences diverses dans la production de kit-cars, Brian avait grandi à l’ombre de Lone Star Classics grâce à sa création d’un petit kit-car qui avait permis à cette société de passer de la réalisation de cinq kit-cars par an à une entreprise prospère qui fabriquait plus de 10 kit-cars par an durant un an… Brian était chargé (dans un avenir incertain) de s’occuper de la publicité de BRX Motors, un poste capital associé à la technologie des ventes “maison” et à la psychologie des acheteurs potentiels… Il avouait un amour de la vie assez particulier pour les véhicules personnalisés qui reflètaient la personnalité de leurs propriétaires. Les connexions larges (!?!?) faisaient de lui un sérieux atout pour BXR Motors…
Jeff Cabral : CFO…, Vice-président des ventes et du marketing (en attente)…, était un entrepreneur d’affaires spécialisé dans la finance et les opérations diverses (!) ainsi que la gestion d’entreprise. Jeff prétendait avoir obtenu un baccalauréat en gestion des affaires (sic !) et une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Phoenix ainsi qu’une certification en matière de technologie en mécanique moto (ce qui s’est avéré plus tard des faux documents). Jeff avait en réalité passé cinq ans en service actif dans l’armée avec deux missions en Irak à l’appui de l’opération Iraqi Freedom. “Expert” financier en diligence éthique (sic !) était la qualification reflétant ses éléments essentiels pour sa fonction de futur directeur des opérations commerciales de BXR Motors. Sa passion pour les motos rendait Jeff encore plus parfait pour BXR Motors.
Troy Thompson : Chargé (temporairement) de la production et de l’administration du développement…, “Troy”, avait plus de 20 ans de fibre de carbone dans la tête et les mains en sus d’une expérience mécanique non pas dans les secteurs de l’aviation et des jets privés, mais dans une entreprise de taxis. Mécanicien faussement certifié pour jets, Troy prétendait avoir été employé dans une unité de production chez Northrop Grumman et s’y être maintenu 4 ans avant de se retrouver sans domicile fixe… Troy se voyait bombardé comme ayant des compétences spécialisées en matière de prototypage rapide 3D et de production à faible volume de plastiques, fibres de carbone et de pièces métalliques pour pièces automobiles et l’aviation. Troy n’avait été passionné que par des voitures miniatures et s’il était désireux de partager son inexpérience avec BXR Motors, cela lui a été offert temporairement pour le catalogue.
Eric Schoepfer : Chargé (temporairement) en tant que prétendu Design Engineer, de la création du châssis… Eric prétendait avoir plus de 15 ans d’expérience dans la “BIM Modélisation” et les dessins CAO pour la production de modélisation… En réalité, avec 10 ans de galères diverses, il avait un penchant pour la résolution des problèmes juridiques et le développement de conceptions pratiques qui permettent aux idées novatrices concernant des braquages, de devenir réalité (sic !). Eric avait travaillé sur la personnalisation de modèles réduits de voitures depuis des décennies. Il m’avait dit au bar-à-fille ou il m’avait payé deux bières : “J’ai une passion extrême pour les voitures. Si j’avais un garage assez grand, je voudrais en avoir des milliers !”… Avec ses compétences spécialisées (sic !), Eric aurait du être un élément clé pour assurer (temporairement) le département châssis (la récupération des chassis). Eric résidait dans l’Oregon avec sa petite amie et ses quatre enfants (les enfants de sa petite amie).
Blake Moss : DBO conseiller de réassurance N°1…, Blake Moss est devenu un entrepreneur à l’âge de 22 ans avec Blake Moss Coatings, une société de revêtement et peintures en poudre qui est devenue positive financièrement au cours des six premiers mois d’exploitation avant de sombrer… Plus récemment, Blake a créé Veriot Capital, la société mère de BXR Motors avec la promesse d’un capital de 5.000 US$. En plus de ses entreprises, Blake était un passionné de femmes et d’amours illicites. Au sein de BXR Motors il devait servir a rassurer les investisseurs et clients potentiels grâce à son bagout…
Gary Fatheree : DBO conseiller de réassurance N°2…, Gary Fatheree avait réellement plus de 20 ans d’expérience comme entrepreneur, en 2009, Gary avait créé Fatheree Consulting Inc. qui conseillait divers investisseurs potentiels à lui confier leurs économies pour des placements dans divers champs pétroliers au Texas, en Oklahoma et au Nouveau Mexique, tous inexistants…. Après des études collégiales (sic !), Gary a été formé à la Marine des Etats-Unis en tant que matelot sur le USS Baldog. De ses expériences comme spectateur de diverses courses de dragsters, Gary affichait une forte passion pour les voitures rapides et le sport automobile. Gary était marié et père de cinq enfants et résidait dans le nord du Texas. Au sein de BXR Motors il devait servir a rassurer les investisseurs et clients potentiels (sic !)…
Joe Grisel : DBO conseiller de réassurance N°3…, Joe Grisel était spécialisé dans les besoins en capitaux et l’analyse des flux de trésorerie. Il a aidé plus de 50 entreprises dans l’analyse des flux de trésorerie et de consultation en capital qu’il a précipité dans la faillite, ensuite il a personnellement signé individuellement la structuration de capitalisations diverses pour plus de 100 millions de dollars US d’un capital inexistant…, ce qui l’a amené à partager quelques mois la cellule de Bernard Madoff, qui lui aurait appris divers “trucs”… Joe rêvait d’avoir une licence de pilote de ligne et a accumulé plus de 7 heures de vol… Joe s’est prétendu ensuite expert en fibre de carbone et de la production en petite série d’ustensiles ménagers. En outre, ses nombreux contacts et ses connaissances sur les modèles financiers et les flux de production devaient être particulièrement utiles dans le développement de BXR Motors. Au sein de BXR Motors il devait servir a rassurer les investisseurs et clients potentiels mais il avait avancé des fonds à Neil Bailey en contrepartie d’une prise de participation (c’est lui qui a payé les tournées de bière dans le bar-à-filles voisin)…
Quelques années plus tard, j’ai profité d’un p’tit séjour aux USA pour retrouver le Héros de cette fumisterie…, c’est dans un bar à putes que Neil Bailey a tenté une nouvelle fois de m’arnaquer…, j’ai tout enregistré…
-“Les deux dernières années ont été marquées par des hauts et des bas dans le développement non seulement de ma voiture, mais également de la société… et mon travail acharné s’est porté sur la Blade Supercar et sur BXR Motors afin de parvenir à pas grand chose, je vous l’avoue, ce fut une course palpitante comme vous pouvez l’imaginer. J’avais commencé la construction de ma voiture dans mon garage en 2008 et j’avais alors la folle idée que je pourrais peut-être devenir l’égal de John Z. DeLorean. En 2013 et 2014, j’ai constitué une grande équipe avec des investisseurs et beaucoup d’argent pour passer à la production. D’habitude c’est une bonne chose, mais, en raison du manque d’expérience des abrutis que j’avais engagé, ça n’a pas duré ni ne s’est orienté dans la direction que je souhaitais. La Bailey Blade n’a donc pas été construite exactement comme je l’avais rêvé et imaginé. Les choses ont été écourtées en raison de délais très serrés afin de pouvoir l’exposer à la SEMA et à quelques autres salons, de sorte que certaines choses ont dû être omises dans la conception et le développement pour pouvoir être réexaminées à une date ultérieure. Après la SEMA et la première partie de 2014, le financement a connu un ralentissement, car nous avons eu quelques problèmes internes liés au leadership et à la direction de l’entreprise, l’argent des investisseurs a également disparu en même temps qu’a disparu la personne chargée des finances. Gardez à l’esprit que c’est très typique d’une nouvelle startup et que l’apprentissage de la manière de réaliser cela était difficile, même Dieu m’a comme abandonné… De plus il n’y a pas de livres à lire sur la façon de démarrer une entreprise automobile ou de construire une supercar, de sorte que la courbe d’apprentissage a été accablante pour la plupart des membres de l’équipe. En substance, la compagnie s’est dissoute et chacun a suivi son chemin…
Mais, je n’étais pas du genre à abandonner après 7 années que à œuvrer sur mon bébé travaille dans mon propre garage et avec mon argent. J’ai beaucoup prié Dieu, qui m’a dit que je devais reprendre le contrôle pour sauver ce pour quoi j’avais tant travaillé. J’ai appelé ce projet Phoenix et relancé BXR avec une nouvelle vision enflammée et une nouvelle équipe constituée de Dieu et de moi-même, il était temps de me concentrer sur ce que je voulais faire !
Dieu et moi sommes sur le point de relancer la production de la voiture, mais je suis personnellement à court de fonds et je ne peux plus poursuivre sans aide financière. D’ailleurs, si vous pouviez me confier 10.000 dollars, sachez que Dieu vous les rendra.
Cependant, je pense qu’avec le soutien d’un maximum de clients du bar que je fréquente, avec chacun 10 dollars, nous pourrions Dieu et moi, faire ensemble quelque chose d’emblématique et tout simplement génial : finir de donner vie à cette voiture et de la mettre à la portée de tous, via des émissions TV comme TopGear, et aussi Jay Leno ! Tout le monde peut faire partie de ce rêve et en faire une réalité !
Ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez pas participer, je comprends, mais partagez simplement ceci sur tout ce qui est social : Facebook, Instagram, Twitter, écrivez-le sur le dos de votre main, cela aide…, continuez simplement à parler de ce que nous faisons Dieu et moi… et passez le mot : Pour 10 $ vous pouvez obtenir un impressionnant bracelet BXR et une bouteille de BXR Drink”… (photo ci-dessous).
BXR Motors, n’existe plus, cette adresse non plus : LLC. 6080 S. Hulen St., STE n°198360, Fort Worth, TX 76132 Tél : 1.940.393.6900