BARUM RALLY 2011 Star Rally IRC
Une aventure extraordinaire, fabuleuse et authentique de Bonardi Raffaele & Labagnara Antonio, en exclusivité pour GatsbyOnline
Départ pour Zlin, en république Tchèque, pour la deuxième fois je participe avec mon ami Antonio, au Star Rally qui est réservé aux voitures historiques ainsi qu’aux modernes de l’Intercontinental Rally Challenge.
16 heures de voyage… et en finale on trouve notre place dans le parc d’assistance.
Crevés, nous nous endormons en rêvant à toutes les belles jeunes femmes presques nues que nous pourrons voir (et toucher, plus si affinités) le lendemain…
Peu après, alors que je nage en plein bonheur (une bonne érection est la preuve de ma bonne santé physique et psychique), imaginant que 5 jeunes femmes me violent…, mon sexe redevient mou suite au coup de klaxon des camions qui arrivent, transportant les voitures des plus grands noms des rallyes internationaux…
Antonio est déjà debout, hirsute…, il râle, sans doute les mêmes 5 jeunes femmes…
J’ouvre la porte du fourgon, de l’air, de l’air… Ma brave Mercedes est toujours sur la remorque…, on ne sait jamais !
D’autres voitures arrivent sur plateau, comme cette Lancia… La course va être rude !
Voici quelques photos de notre périple, Antonio et moi !
Bucolique, là…, non ?
Elles couchent ensemble, sous la tente… Ma Mercedes à dragué une Datsun, deux gouines qui fricotent…, ça promet !
La belle qui est tombée en amour de ma Mercedes est la Datsun 240Z de l’équipage BARINI-RICHNER. C’est avec cette voiture que Aaltonen et Todt sont arrivés en troisième place au Rallye de Monte-Carlo 1972 !
Un couple incestueux de jolies Lancia, surprises sur le vif du sujet… Quoique bien de même origine, elles sont habillées de couleurs différentes…
La foule arrive… Ca fait parfois bien plus peur que le vide d’un ravin…
Antonio, mon co-équipier (en rouge) et moi (en bleu), entourés d’une escouade de jolies hotesses…
Nous n’avons plus qu’une seule idée en tête…
Vous devinez que c’est sexuel ?
La concurrence, pfffffffffffffffff !
Les grands teams…, pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff !
Une bonne pipe au coin du feu…, c’est à ça que pense Antonio !
Peugeot 207 super 2000. La numéro 1 ! Une toute autre technologie 25 ans après la naissance de ma Mercedes !
Je ne sais pas vous…, mais moi je bande devant un pareil intérieur… Et si je peux la conduire, je jouis !
Une seconde pignole…, après je coupe…, besoin urgent !
Voilà quelques photos de l’intérieur de ma Mercedes ainsi que du moteur qui délivre entre 290 et 310 chevaux, selon l’essence, c’est à dire qu’avec de l’essence 98 octane à la pompe on rêgle l’allumage avec l’ordinateur à 280/290 chevaux, tandis qu’avec de l’essence course (108 octane) on grimpe à 310 chevaux à 9000/min, mais cette essence coute 8 euros par litre… et en course ma voiture consomme 60 litres pour faire 100 km !
Pour gagner il faut connaitre ses adversaires, parfois très intimement, au plus profond de leur être…, donc j’envoie Antonio, en éclaireur, visiter tous les teams concurrents pour voler leurs secrets intimes. Une mission pas toujours facile ! Selon les résultats obtenus, je passe derrière (en double sens) pour parachever son oeuvre (vitale)…
Antonio est un co-équipier infatigable, mais vous remarquerez (photo ci-dessous) qu’il lui arrive d’être marqué par l’effort…
Contrairement à ce que vous pouvez penser, les médailles qu’Antonio a autour du cou, ne sont pas des récompenses liées à ses mérites de mâle, mais en rapport (très profonds) avec la compétition sexuelle automobile…
Antonio semble fatigué, mais ce n’est qu’une apparence trompeuse…
Pour arriver à ses fins (c’est sexuel, exclusivement), Antonio donne aux femmes l’impression qu’elles vont le changer, qu’il ne vivra que pour elles : “La femme veut la reconnaissance et veut être unique et toujours meilleure que ses copines” m’a dit Antonio !
Remarquez son regard flou…
Et c’est reparti…, Antonio aime donner quelques conseils : “Si vous voulez aborder une jolie femme, prenez là de face… et faites comme si de rien n’était (une discussion de circonstance), mais si elle est de dos…, n’hésitez pas, c’est très bon aussi”…
Toujours les conseils d’Antonio : “Si un doigté ou une pénétration directe n’est pas possible dans un des nombreux Mobiles-Homes, la première phrase d’introduction…, doit être neutre et se mêler dans le sujet de conversation afin que la rencontre ait l’air naturelle. Engagez une discussion simple : au bout de 30 secondes les femmes parleront plus que vous. Là, l’abordage est réussi. Si vous posez 3 fois de suite des questions directes sur une proposition sexuelle, et qu’elle répond par non, c’est qu’elle n’est pas intéressée”.
En fait le grand truc d’Antonio, c’est de trouver le sujet de discussion qui plait aux femmes : “Toutes les femmes en ont un. Si on réussi à le trouver : BINGO ! C’est la base, car si elle aime ce sujet il n’y a pas de raison pour ne pas partir vers le septième ciel. Aussi, il ne faut pas parler du match de football d’hier ou du dernier jeu sorti sur X-box…, c’est gamin…, il faut parler des trucs que les filles aiment, jouir, par exemple, un multi-orgasme durant 20 minutes va les interesser. Dire qu’on est un mâle lesbien a plus de chance d’obtenir un résultat rapide, que de dire qu’on est un mâle nécessaire à son bien-être”…
Il faut toujours être d’accord avec une femme affirme Antonio : “Elle se dira que vous êtes compréhensif, et que vous réussirez à vous entendre. Dans le cas ou elle vous pose une question qui ne la concerne pas, répondez par le contraire elle va croire que vous avez une forte personnalité, que vous êtes sincère et intelligent. Ne parlez pas trop afin de vous détourner des questions embarassantes, mais ne refusez pas de répondre… Vous attirerez sa curiosité et voudra vous découvrir en entier”…
Il faut toujours dire quelque chose de sympathique et simple aux femmes, par exemple Antonio dit souvent : “j’aime la nature”, les femmes le croient sensible, la façon qu’il a de dire les choses est presque plus importante que ce qu’il dit. Antonio n’hésite pas à murmurer à une femme, dans ses dragues, qu’elle peut se confier à lui et compter sur lui ! Elle croit alors directement qu’il est sympa et va commencer à dépendre sexuellement d’elle. Pour relancer une conversation il se sert du dernier mot de ce qu’elle a dit. Et il est toujours souriant, expressif, vivant quoi ! Il me dit souvent : “Tu sais, Raf, une fille ne tombe pas amoureuse d’un zombie”… Je ne sais pas comment je dois interpréter cette phrase !
Directement papoter de sodomie avec une femme, c’est un peu l’inverse de discutailler de la position archi-classique du Missionnaire…, on n’aborde pas les femmes comme ça, même quand on en a furieusement envie…, il est très rare qu’une femme se laisse faire comme ça dès la rencontre. Antonio sait qu’il va falloir lui payer des verres de lubrifiant, la rassurer sur ses intentions, être doux et courtois. Il commence d’abord par ses copines moins sauvages, plus faciles, par qui tout le monde est passé mais, qui savent parfois se révéler surprenantes. Ensuite il enchaîne en les flattant au moment de l’acte, Antonio affirme qu’elles adorent qu’on leur dise : “t’as de beaux seins”… tout en leur carressant les fesses !
Une fois toutes les copines obtenues, enfin, pénétrées, elles sont parfois un peu bizarres, Antonio pense alors à moi et propose un plan à plusieurs, histoire de tâter l’entente directe.
Les hommes ne se doutent pas de tout ce que l’on peut mettre dans l’anus d’une femme, faites un stage aux urgences et découvrez le monde merveilleux des bouteilles de Perrier, des haltères, des tomates et courgettes, des télécommandes, des pièces de lego, coincés dans le cul.
Il faut éviter la charcut’ pas chère sous vide, quitte à se faire plaisir, choisir des mets locaux, délicieux, bien que très odorants. Le beurre doux doit être tartiné délicatement à l’aide d’un couteau à bout rond, on ne voudrait pas blesser. Une fois le tout huilé, il suffit de poser délicatement la coppa, le saucisson de sanglier, le figatelli… Ne pas être trop gourmand, il faut laisser de la place, pas question d’interrompre le repas par une consultation d’urgence des pompiers, pour avoir coincé la panzetta roulé dans l’anus. Ce genre de repas se sert en petit comité.
La boulette que toutes les femmes normalement constituées ont crainte d’avoir (celles qui ont un anus, un vagin et une bouche), c’est l’accident fatal. Ce n’est pas si rare, puisque (sans citer de nom) je connais une fille qui a vomi pendant, une fille qui s’est oubliée (je ne répéterais jamais assez qu’il faut se muscler le périnée)… et une qui a recraché mon sperme sur son chien…
L’accident le plus terrifiant que j’ai vécu fut provoqué par une sodomie (genre 9 sur l’échelle de la honte ultime) et quand j’ai commencé cet article sur les joies du Rallye, j’ai eu peur de contrarier les desseins de beaucoup de couples. Sans mauvais jeu de mot, avec ce genre d’accident, on est dans la merde. Antonio m’a appris comment passer le cap de cet incident sans dégâts.
Je ne vais pas jouer le coup du “Non ce n’est pas sale”, parceque SI c’est vraiment CRADE, c’est une vraie épreuve.
Généralement la femme a qui ça arrive court se cacher dans la salle de bain en hurlant que plus jamais elle ne pourra regarder un homme en face, et je dois avouer qu’une crise de fou rire ne l’aide pas ! Non ce genre d’histoire n’est pas drôle pour les victimes, c’est juste marrant devant une machine à café un jour de charette… ou à se raconter entre pilotes entre deux épreuves de rallye, aux étapes, le soir au coin du feu en rêvant d’une bonne pipe !
Il faut immédiatement aérer la pièce et ne pas dramatiser, après tout ça arrive. Ensuite il faut nettoyer le joli cadeau.
Ensuite, préparer une tisane (SURTOUT PAS DE CAFE) et la câliner. C’est le moment de la rassurer, de lui assurer que ça ne change rien… Même si l’on sait tous que cette histoire on la racontera encore la larme de rire à l’œil dans 20 ans. Un peu comme je viens de faire !
Bien, après m’être laissé aller (en double-sens), j’en reviens au rallye…, en vous précisant qu’à cause de toutes ces histoires plus ou moins inhabituelles, il faut aussi se faire des amies dans la police locale. Bravo Antonio !
Après un tel périple, il n’y a plus de secrets interdits qui peuvent nous préoccuper…, c’est là que j’entre en scène en tant que Raff (avec deux “F” en Rallyes et un “F” dans GatsbyOnline) !
Pas facile de ne plus vous parler de nos frasques sexuelles à Antonio et moi, courant nus dans les couloirs de l’hôtel vers minuit…
Le terme “rallye” peut désigner :
– Rallye (compétition), une compétition dans laquelle les concurrents doivent atteindre un objectif en passant par un certain nombre d’étapes, à l’aide d’indications pour chacune ;
– Rallye automobile, un sport automobile qui consiste en la pratique du rallye sous forme de course en voiture pour rallier un point donné ;
– Rallye (soirée), une soirée mondaine organisée par des particuliers, à l’origine en conclusion d’un rallye ;
– Rallye dansant, une organisation permettant à des jeunes de se retrouver régulièrement dans des soirées dansantes ou autres activités sociales ;
– Rallye (société), une entreprise française de grande distribution ;
Le Morane-Saulnier Rallye, un avion de tourisme.
La septième manche du championnat IRC 2011 se dispute en République Tchèque avec le Barum Rally du 26 au 28 Août 2011. Sur des routes très compliquées avec une adhérence très changeante, Jan Kopecky sera l’immense favori de ce rallye mais Bryan Bouffier pourrait bien briller également, lui qui affectionne ce genre de routes.
L’épreuve fête cette année sa 41 ièmeédition et compte à la fois pour le Championnat d’Europe des Rallyes et l’Intercontinental Rally Challenge. Pas étonnant donc que 29 voitures S2000 soient engagées dont la moitié de Skoda Fabia ! La marque Skoda joue à domicile et avait raflé le podium 2010 avec Loix-Hanninen-Valousek. Parmi les 14 Fabia S2000 attendues ce week-end, deux sont alignées par le team officiel pour Juho Hanninen et Jan Kopecky. Freddy Loix sera là sur sa Skoda BFO, Andrea Mikkelsen représentera Skoda UK, Matthias Kahle et Mark Wallenwein Skoda Germany…
Bryan Bouffier, qui aurait pu s’imposer en 2010, Thierry Neuville, Guy Wilks et Pavel Valousek, emmèneront la délégation des Peugeot 207 S2000. A noter le retour des Proton Satria Neo officielles de PG Andersson et Gigi Basso, sans oublier Craig Breen, vainqueur de la WRC Academy en Allemagne, qui débutera en S2000 sur une Ford M-Sport.
Les spéciales asphalte du Barum Rally Zlin sont rapides et vallonnées, certaines portions peuvent être très bosselées, d’autres relativement cassantes.
Trojak (28,29 km) est une spéciale mythique de ce rallye et cette année, les organisateurs ont intégré l’ES de Majak, un monument qui n’était plus au programme depuis 20 ans. Le parcours a été renouvelé à 70%. Départ vendredi 26 août pour une Superspéciale nocturne dans les rues de Zlin et arrivée dimanche en milieu d’après-midi.
Voilà mes pneus neufs, des Yokohama mélange soft (il y a aussi des mélanges hard, médium, soft et supersoft).
Après, vous pouvez voir la photo des mes pneus arrière après 80 Km d’épreuves de vitesse. J’ai employé 2 pneus avant et 4 pneus arrière pour faire les 140 Km de l’épreuve de vitesse (Total du rallye : 280 km).
Selon une étude américaine, se bouffer le nez avec ses collègues, confrères et coéquipiers serait très bon pour la santé. Eh bien, on va s’y mettre ! Entre nous, Antonio, mon coéquipier est un vrai salopard. Trois fois, il m’avait promis d’écrire cet articulet à ma place, pour me laisser le temps d’aller doigter quelques jeunes femmes. D’ailleurs, il me devait bien ça, le lourdaud, pas plus tard que la veille, je lui avais arrangé le coup avec les deux blondes du Team Peugeot et refilé trois tickets resto, soi-disant qu’il me les rendrait le lendemain, tu parles?!
Même pas la reconnaissance du ventre, l’animal ! Parce que je peux vous garantir que c’est pas lui qui écrit les commentaires. Promesses, promesses… Remarquez, je le lui ai pas envoyé dire, à ce boulet. Que même les murs ont demandé grâce, et ma voisine avec. Sans blague… 
Je suis sûr que vous me plaignez. Tant d’agressivité contre mon coéquipier, et pour des broutilles encore, il doit être vraiment très mal payé pour en arriver là, le malheureux, et quel gâchis pour sa santé… Eh bien, excusez-moi de vous le dire, mais vous n’avez rien compris. Si, plutôt que de vous affaler en lisant GatsbyOnline sur votre ordinateur, vous vous plongiez un peu plus souvent dans le “Journal of Epidemiology and Community Health”, une publication sérieuse celle-là, vous auriez appris la bonne nouvelle comme moi : se ficher sur la figure au turbin permet d’éviter les crises cardiaques.
Eh oui. Il a fallu pas moins de huit ans d’enquête auprès de 2.700 personnes à toute une équipe de médecins, pour en arriver à cette conclusion réjouissante. Selon ces docteurs, fouetter le sang de son coéquipier, ses collègues et amis…, éloignerait en outre le mal au ventre, protégerait des céphalées et apaiserait au passage le stress, car, quand on a braillé toute la journée contre les crétins, on décuple tellement de punch qu’on devient un roi de la baise. C’est ça, le bonheur. Depuis que nous avons appris ça, la vie de mon Team a bien changé. Du matin au soir, les stands résonnent de hurlements barbares, les filles règlent leurs comptes au double décimètre (pour savoir a la plus longue) et Antonio organise régulièrement des stages de formation à l’insulte. Et vous savez quoi ! On y prend goût.
Après vous avoir donné confidentiellement quelques secrets de mon Team, j’en reviens au rallye… Les organisateurs nous ont donné un transpondeur à fixer dans l’habitacle, c’est un appareil qui indique à l’organisateur : la vitesse, si on coupe la route, si on tombe en panne, si on a un accident ou si on tombe dans une rivière ou un ravin, ils partent tout de suite pour nous secourir etc. Par contre, si on bande mou, l’appareil ne signale rien…
Après la technique, nous devons nous présenter à la vérification avant la course, munis de notre licence de pilote (nous avons la licence internationale… et prioritaire SVP !), le contrôle technique de la voiture, et l’homologation de la cage de protection, de l’extincteur, du réservoir de sécurité, des casques, ceintures, etc.
Antonio a fait la photo de la jeune femme qui nous a controlé, maintenant je comprend pourquoi !
Je vous laisse regarder le charmant décolleté… ainsi que l’air béat et heureux d’un autre pilote, ravis du spectacle…
La céremonie du départ, ne se déroule pas au départ du rallye, mais à la présentation des équipages au public. Normalement celà se déroule dans le centre ville.
Jean Todt était de la partie, en famille…
Voilà la cérémonie de départ qui est en réalité la présentation des pilotes au public. Antonio et moi, en avons profité pour aller palper quelques jeunes femmes…
Un Américain vient de mettre au point un nouveau joujou sexuel qui pense. Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle, car en dehors de leur totale disponibilité, le principal avantage des poupées gonflables par rapport aux femmes de chair est qu’elles ne parlent pas. Bien que, pour des raisons pratiques, leur bouche soit en général grande ouverte, elles ne peuvent donc se lamenter sur le prix des jupons, et l’on peut les coucher sans bla-bla même quand la vaisselle est sale. Sans doute leur épiderme plastifié ne vaut-il pas tripette en comparaison des peaux de satin garanties 100% naturelles, mais d’un autre coté, on a la paix pour baiser sans qu’elle vous raconte sa vie en même temps…
Mais, nom d’une pipe, passer de temps à autre une soirée dans le calme, cela vaut bien un petit sacrifice, non ? Qui pourrait chercher aujourd’hui à remettre en question ce fragile équilibre ? Antonio… Oui, ce névrosé s’est en effet mis en tête d’acheter une poupée gonflable qui pense. Et il a réussi, l’insensé ! Baptisée Roxxxy (avec trois x, s’il vous plaît), sa baudruche pleine de puces (nulle n’est parfaite) est capable de sentir quand on la touche, de dormir quand on la fatigue, de crier quand on l’énerve, et de soutenir une conversation sur des sujets aussi palpitants que les bagnoles de rallye, le foot, le fric et, bien entendu, le sexe.
Quatre versions lui ont été proposées : aventurière, réservée, matriarcale et dominatrice. Et, pour les amateurs de philosophie, une stoïcienne, une intello acnéique à lunettes intégrées est proposée en option. Entre deux passes caoutchoutées, Antonio et son emmerdeuse a été capable de l’entreprendre analement tout en l’entretenant sur la phénoménologie de l’esprit ! C’est grace à lui que j’ai découvert au Barum Rally 2011, la libération de la femme en plastique. J’en frémis encore d’horreur. En définitive, le seul intérêt de cette chose, vendue de 4.800 euros, c’est qu’elle a boosté la croissance du pénis d’Antonio. Mais, revers anal merdique de la chose, si sa gonflée est capable de penser, elle ne tardera pas à lui réclamer des sous. Et en ce cas, je pense qu’il vaut mieux se servir avec des jeunes femmes plus… naturelles !
Pour ma part, question “femmes naturelles”, je choisis de préférence un canon. Dans cette catégorie de métier féminin que sont les hôtesses, il y a assez de choix pour éviter de se taper un boudin. L’hôtesse, elle, vous pouvez au moins l’afficher fièrement sur votre tableau de chasse, par exemple dans le forum de GatsbyOnline. Ensuite, je la sélectionne nunuche, cela est plus aisé puisque c’est la norme dans le milieu automobile. Les nunuches sont généralement désireuses de percer dans le métier. Attention donc à ne pas draguer une thésarde finançant ses études. C’est fatiguant et en plus, cela ne colle pas avec mes fantasmes. Je me concentre donc sur les hôtesses d’âge mûr, celles qui ont fait de ce métier une vraie vocation. Avec ce genre de femme, même après trois verres d’alcool, elles restent en mesure de comprendre quelle position sexuelle est la plus jouissive… et donc c’est plus rapide de la persuader de finir par une bonne pipe. Autre avantage : les hôtesses cruches et expérimentées savent rester discrètes. L’accueil c’est toute leur vie. Elles sont carriéristes. Pour rien au monde elles ne grilleraient leur carrière professionnelle comme Nafissatou Diallo. En plus, se faire sauter par un pilote de rallye chevronné comme moi, c’est pour elles, se prendre pour une escort-girl payée en note de frais. Un métier pas trop loin du leur, une promotion.
Il n’est pas facile de pénétrer directement une hôtesse. Elles sont en effet de nature méfiante. Heureusement d’ailleurs car entre l’alcoolique de service qui tient des propos graveleux et le technicien qui lustre trois heures la carrosserie de l’auto de son big-boss, la langue pendante, mieux vaut qu’elle préserve son entre-jambe. Rassurez-vous, le premier ne s’intéresse qu’à sa bouteille, le second est souvent homo quant au troisième, les hôtesses en ont tellement eu dans leur lit qu’une nouvelle target, un peu d’exotisme, moi en somme, peut les intéresser. Juste un soir tout du moins. Ça tombe bien, c’est la même chose pour moi. Ma technique d’approche : être particulièrement souriant, courtois et attentif.
On ne baise pas une hôtesse pour son physique. On fait l’amour avec une hôtesse parce que :
– C’est une femme fragile qui a connu un drame dans sa vie,
– C’est une femme intelligente victime de sa plastique hors norme,
– C’est une femme drôle qui mérite d’être respectée et reconnue.
Une hôtesse adore lire, mais la littérature c’est pas vraiment son truc, ses auteurs préférés sont Gala, Holà, Closer, Métro et 20minutes. Les sciences ? Elle a arrêté très jeune mais la numérologie (comprendre les mathématiques) et l’astrologie (comprendre l’histoire) la passionnent. Les hôtesses apprécient les gens au discours simple. Ne placez jamais un mot trop compliqué (plus de 3 syllabes) au risque de la vexer.
Bien…, fin (provisoire de la récréation sexuelle), retour au rallye… Vous pouvez nous voir, Antonio et moi dans ma Mercedes (photo ci-dessus). Notre team a également pensé de vous présenter des top-modèles masculins, pour le plaisir du public féminin… (photo ci-dessous) ! Je sais par avance que tout cela vous bouleverse, nous sommes un team qui regroupe plusieurs beaux hommes, élégants, virils, courtois… et tous habités par d’incessantes obsessions sexuelles. Incapables de nous passer d’érection et de jouissance. Bande de Don Juan tragiques nous rêvons sans cesse à de furtives et parfois brutales conquêtes. Avec nous, il faut jouir. Et puis partir. Alors, tout est bon pour y arriver : les pornos sur internet, la masturbation sous la douche, et la chasse aux hôtesses inconnues.
Le Dream Team (presque complet
)… Nous sommes des virtuoses de la drague élégante et du sexe consommé avec des étrangères, seul Antonio est pourtant un handicapé du sentiment et du lien affectif. Dès qu’une femme fait mine de s’attacher à lui, c’est la panique : alors il fuit, la jette sans ménagement… ou débande aussitôt ! Il y a une femme, pourtant, qui tente de s’attacher à lui depuis plusieurs années, et avec une tout autre détermination, à ce cœur froid. Cette femme, paumée, sans domicile, et recherchant désespérément le soutien (et l’hébergement), estime que c’est après tout son devoir. Mais Antonio n’a pour religion que sa propre indépendance, farouche, radicale. Peu à peu, il flirte avec les limites sexuelles, les pousse toujours plus loin.
Avec ce sujet pas évident, qui aurait rapidement pu verser dans le voyeurisme ou l’opportunisme, Antonio et moi, Raf, sommes fiers de vous livrer un article sobre, avec lequel vous êtes surement entré en profonde empathie. Et voilà bien la magie de GatsbyOnline, quand vous êtes touchés par la grâce. Foin de jugement moral : ici, vous entrez même intimement dans le noyau dur de notre drame existentiel, d’une élégance rare, au style magistral, tendu, sobre et pourtant toujours sur un fil fragile, rythmé par des partitions textuelles et porté par une équipe fantastique ! On y reviendra…
Les choses se font de plus en plus sérieuses. Le soir, il y a encore quelques jeunes femmes qui voudraient bien monter avec nous dans nos chambres, mais il y a le show, la course, nous allons avoir besoin de tous nos moyens pour vaincre… ou tout du moins pour tenter de gagner… Une épreuve hors classement est programmée dans la ville de Zlin, et une démonstration en même temps qu’une exposition est prévue dans l’aéroport le jour d’après ! 32.000 personnes (environ) vont y assister ! Les voitures historiques sont inscrites sous trois classifications : Scratch IRC (ou le plus rapide gagne), Show (le public vote par SMS la plus spectaculaire des voitures), Guest (la voiture la plus représentative du Barum Rally 2011est sélectionnée par un jury special).
Beaucoup de Tsim-boum-tralala-boum-gaga…, mais c’est ainsi…, l’organisation doit rentabiliser toute l’affaire et offrir ou vendre du spectacle !
L’ambiance est joyeuse, les bourses, très sollicitées ces derniers jours (et nuits) se remplissent peu à peu !
Comme vous le remarquez, cette pléthore de manifestations Dzin-boum-tralala-boum destinées au public, n’attire personne… Vous me voyez donc ci-dessus sur la photo, non pas avec un air préoccupé…, mais avec l’air vague qui signifie : “J’étais quand même bien mieux à me faire astiquer le manche avec les hôtesses bimbo”…
Voilà, le grand moment approche, nous avons revétu nos tenues sado-masochistes de pilotes de rallye…
Veuillez excusez le flou (artistique) de l’image… Hipssss !
Quelques photographes immortalisent l’évènement, vu le nombre de photos qu’ils prenent, j’espère qu’ils sont payés au nombre de clichés qu’il vont rapporter à leurs rédactions respectives…
Puis la bataille commence!
Etant l’auteur du reportage, je place ma Mercedes en premier plan…
Notre plus direct adversaire ! (c’est par courtoisie)
Comme on dit : Ca vole bas…
Très difficile de rouler sur une seule roue…
Ca c’est le “shot” à 500 euros, pour autant que le photographe parvienne à le vendre avant ceux des autres… L’endroit est connu pour le “tremplin”…, il y a des photographes, mais pas de poste de secours !
Notre position dans le rallye est aussi floue que la photo…
Le classement show du public avec vote SMS est allé à l’Audi de Beres (SVK)…, le jury a élu la Lancia Delta Martini de l’italien Miotto comme étant la voiture la plus représentative du Barum Rally 2011…
Mais un rallye, ce ne sont pas ces fariboles, c’est la vitesse, l’andrenaline.
La guerre est déclarée entre l’Audi de Beres et notre Mercedes, pour le classement de vitesse general absolue.
Dans notre habitacle il y a de la tension… Antonio est méconnaissable !
Départ de l’avant-dernière spéciale…, nous sommes devant l’Audi (Photo ci-dessous), puis notre assistance doit changer de pneus pour la dernière liaison chronométrée !
On arrive limite avec les pneus. De ce fait, on a fait une petite touchette sans gravité… Je me remets de mes émotions en m’aspergeant la tête avec une bouteille d’eau presque gelée…, puis, je change moi-même les pneus arrière !
Je râle,c’est toujours “chiant”, un accident… Antonio m’aide en me regardant faire, style : “Oui, c’est bon, presque, oui, voilà, waouww, en plein dans le trou, voilà, comme ça”…
L’ouvreur va fermer la route (c’est gag qu’un “ouvreur” ferme une route, je n’ai toujours pas compris pourquoi on ne peut le nommer “le fermeur”… ? On est encore devant l’Audi. Dans 5 minutes on va s’élancer dans la dernière speciale !
Nous sommes devant le podium ! L’Audi ou la Mercedes ? Qui montera le premier ?
Nous attendons notre temps pour pointer, tandis que le public commence à arriver, après nous il y aura les IRC avec les idoles locales.
Arrive le classement réalisé par les commisaires de la FIA…
Tambours, trompettes, oh! joie… oh! félicité…, nous sommes premiers !
Le Bocabo Racing team…, pilote Bonardi Raffaele (moi)…, le co-pilote Labagnara Antonio, sur Mercedes 190E…
Roulement de tambours…, les trompettes sonnent… et un essaim de superbes filles nues sautent sur nous !
Bonheur, bonheur…
On monte sur le podium ! Nous sommes les vainqueurs au général devant l’idole locale Beres sur Audi.
En IRC grand gagnant, les Tchèques : Kopecky Jan/Stary Petr, sur Skoda Fabia S-2000.
La fête du podium (ci-dessus)… et la fête entre nous (ci-dessous)…
En soirée, ce fut beaucoup plus intime…
La coupe de la victoire est à nous !
Les jolies femmes aussi…, un dernier effort, quelques coups de reins… et hop, hop, hop, hop, hop…
Fin de cette aventure…
La prochaine, sera le Rally historico du Portugal, en octobre 2011, mais cette fois sur une Opel Ascona 1978, 2000cc, 148chevaux, du solide pour faire 1.600 km au total, dont 580 km de “spéciales”….
Il y aura également plein de nanananas…, waouwwwwwwwwwwwww !
Ambiance & interview…
Attention, cette retranscription comporte des propos sexuels, si vous n’êtes pas majeurs, fermez vos yeux !
Raf – Chaque fois que nous sommes entré en scène, que ce soit sexuellement ou plus sérieusement dans le cadre de notre passion pour le rallye, de graves bouleversements se sont opérés en nous. Antonio et moi, nous avons vécu nos fantasmes, après les avoir accumulés de façon à ce qu’ils nous libèrent, nous aspirant hors du monde.
Antonio – Nous nous nourrissons toutes et tous de fantasmes, vous comprenez donc pourquoi, nous nous sommes laissés aller à diverses fringales.
Raf – Se laisser aller dans nos fantasmes et passions donne la force magnétique indispensable à l’expulsion de cette gangue dans laquelle nous sommes prisonniers depuis la nuit de notre propre temps universel ! Pour nous, cela a duré plus d’une semaine de folies si on considère notre barème temporel…
Antonio – Nous avons pu relater tout cela sans censure et nous félicitons et remercions Patrice, le Quelqu’un de GatsbyOnline qui a peaufiné tous les chapitres de notre histoire.
Raf – Que serions-nous devenus sans lui et son ordinateur aux multiples possibilités ? De simples mortels réduits à véhiculer leur esprit dans une enveloppe charnelle, aimant la vie et les femmes, c’est l’un des mystères du Grand Livre d’Histoire de l’Univers. Ce n’est pas prétentieux de notre part, car très bientôt sans doute, ce sera votre tour, et votre esprit grandira, grandira, grandira… Allez, Amis Terriens, soyez à l’écoute ! Nous vous contacterons à nouveau via GatsbyOnline. Nous vous enverrons un signal, car tout est désormais en place pour le grand bouleversement tant attendu…
Quelqu’un – C’est une histoire de fous !
Raf – Non, une histoire follement interprétée, mais c’est l’interprétation d’un fantasme décuplé. Une distorsion de la réalité…,un rêve physique.
Quelqu’un – Chers amis, Antonio et Raf, vous détenez là un talent certain pour narrer des événements totalement destroy. Vous écrivez comme vous parlez. On dirait que vous agissez sous hypnose, tant votre discours est précis, structuré. Je plaisante, mais vous m’impressionnez vraiment. Vous avez raté votre vocation : vous n’êtes pas pilotes et mécaniciens, vous êtes écrivains, journalistes ! Ou mieux, tiens, vous tout à la fois. Je vous taquine !
Antonio – Merci de tant de compliments, mais je me demande si les dons sont réellement de notre fait.
Raf – En effet, c’est un mystère… universel.
Quelqu’un – Que s’est-il donc passé ensuite ? Cela devient terriblement passionnant. Plus rien de véritablement surnaturel ne peut plus arriver après ça ! Si ? Alors… après ?
Antonio – Miranda, l’une des nananas a invité Cyrille, une autre des nananas, chez elle et nous a demandé d’aller fêter notre première place dans une partouze, une orgie sexuelle débridée. C’était inespéré. Miranda possédait un chien qui s’appelait Fidelio, comme l’unique opéra de Beethoven, mais ce n’est pas cette œuvre que nous avons écouté, mais la Walkyrie, je crois… de Richard Wagner. Nous avons toutes et tous ressenti un désir urgent de faire l’amour. Attendre encore serait devenu impensable, insupportable, inhumain.
Raf – Toutefois, lorsque Miranda s’est déshabillée, Antonio était bien trop maladroit pour agir lui-même, j’ai remarqué deux tatouages sur sa peau. L’un, juste au-dessus du sein gauche, représentait un coq, l’autre, sur la fesse droite, un bonhomme de neige… Ou bien l’inverse, je ne m’en souviens plus très bien !
Antonio – Là, j’ai craqué. Je l’ai sodomisée, mais direct, paf… Une éjaculation directe et importante m’a vidé les couilles… Elle a bien essayé d’en garder quelques gouttes en manoeuvrant manuellement mon engin comme un changement de vitesse…, mais plus une goutte. Comme possédé, je suis parti vers le frigo, puis…
Quelqu’un – Vous permettez ? Je ne l’ai pas débranché…
Raf – Quoi donc ?
Quelqu’un – Mon vibrateur portable à aspiration…, j’ai le pénis en feu !
Antonio – Quoi ? Mais… Oh non ! Pas ça ! Pas maintenant ! Vous allez en mettre partout !
Quelqu’un – Désolé, c’est trop érotique votre histoire… Mais bon… Continuez ! Que s’est-il passé ? Sans indiscrétion…
Raf – Cyrille s’est échappée, elle a dérobé et emporté avec elle nos combinaisons de pilote. On est resté totalement nus Antonio et moi… A poil en terre inconnue… Je suis persuadé qu’elle n’a pas supporté l’arrêt du traitement anal qu’infligeait Antonio à Miranda. Elle se masturbait en regardant… et comme ça s’est terminé plus vite que prévu, elle n’a pas eu son orgasme…
Quelqu’un – Elle souffrait surement d’un manque sexuel !
Raf – Je ne vois pas d’autres explications. Elle va certainement chercher à nous contacter pour nous rendre nos combinaisons en échange d’un nouveau corps à corps, je ne crois pas qu’elle saura se sodomiser toute seule…
Quelqu’un – Et…, comment êtes-vous revenu à votre hôtel sans vos combinaisons ?
Raf – A poil, mais on avait nos casques et la coupe…
Quelqu’un – Je vous ai composé un poème, pour votre gloire et votre postérité :
Planant délire mécanique,
Troubles émotionnels déroutants,
Sous l’emprise d’un pilotage artistique,
Le monde semble plus aguichant…
Des distorsions sensitives,
A cette épopée Barumiènne,
Votre alchimie créative,
A une beauté aérienne…
D’antiques susurrements,
Dans vos dérapages flippants,
Sont source d’implacables sentiments,
Sans cesse bourdonnants…
Aussi imprévisible qu’instable,
Aussi douloureuse que délectable,
Toute votre enivrante frénésie,
Torture, désarticule, asphyxie…
Dans l’envol et la folie naissante,
Frôlant l’Ailleurs, de manière déroutante,
Raf, Antonio, se lamentent,
Puis, gagnent… et se transcendent…
Antonio – On a lu pire, c’est pas mal…
Raf – Ca nous fera à la fois une belle jambe à chacun et un souvenir ému…
Garage Bonauto Via Casate CH-6883 Novazzano Telefono: 0041 91 647 28 65 Telefax: 0041 91 647 28 65
eMail: swissbonauto@hotmail.com Web-site: http://www.bonauto.com/ & http://www.bonauto.com/omologazione.asp
Raf & Antonio
