Chevy Camaro…
Sur certaines photos on peut le voir, sur d’autre pas… Quoi donc ? Que cette Voiture a été, en 1976, une Chevy Camaro “ordinaire-normale-usine”, c’est-à dire, l’américaine un peu bouffie qui faisait la nique aux Mustang ! Mais elle a été relookée par un carrossier italien : Pietro Frua, qui y a greffé des éléments “maison” destinés à lui donner un tout autre look sans pour autant modifier la structure basique “usine”… C’est une re-création alternative typique des années ’60 ’70, ’80 que l’usine General-Motors demandait à cette époque à des carrosseries-design extérieures, telles Pininfarina, Bertone et/ou Italdesign, afin d’avoir une interprétation “nouvelle” à bon compte destinée à la réalisation d’une nouveauté qui ne nécessiterait pas de modifier intégralement l’outil industriel de fabrication. En règle générale, General-Motors fournissait gratuitement une voiture, si l’idée était acceptée un arrangement était négocié. Souvent cela donnait naissance à des horreurs réalisées par des stagiaires ayant bu trop de Chianti vinaigré… Dans le cas de cette Camaro de deuxième génération, Frua a exécuté un mix entre une Jensen Interceptor (avant) et une Lamborghini Espada (arrière) sans se poser de questions existentielles sur le pourquoi du monde et la correspondance graphique entre trois styles… Le résultat n’est pas trop mal, mais pas trop bien non plus, il y a du bon et du mauvais, c’est une Camaro bizarre qui a été baptisée Camaro (le modèle original GM) Europo (<version européenne) Hurst (qui aurait pu devenir le financier d’une petite série parce que l’engin aurait été équipé d’une boite du même nom) Frua (le nom du carrossier designer de la modification). Et c’est avec cette bizarrerie que je débute l’histoire des Camaro “du bon temps d’avant”…
L’extrémité avant de cette Camaro Frua est carrée/cubiforme et ne ressemble à rien dans les deux sens du terme, ça ne s’accorde pas avec le reste de la carrosserie, même en faisant un effort… même après avoir bu 5 pack en carton de faux Chianti vinaigré Bulgare ! Les phares doubles à capuchon (gag !) et la calandre plus large fait “Break pour famille nombreuse conventionnelle américaine” le genre guindé bon chic flanelle de chiffonier chiffonnée.. qui salue le drapeau Stars and stripes au lever du soleil au garde-à-vous en disant : “Dieu est avec nous”… et va prier à l’église, chaque dimanche, avec toute la marmaille et madame en bigoudis… sauf que cette Camaro “deluxe” reste n’être qu’une Camaro pour “sauvages” et qu’elle reste politiquement incorrecte… donc qu’elle n’avait aucune cible à atteindre et n’a donc atteint personne…
L’arrière sent le souffre car il est inspiré d’une Lamborghini Espada, voire d’une Maserati Indy… des autos démoniaques qui n’ont aidé personne (le même inconnu que déjà cité) à accéder au paradis… ce style “au carré” est antagoniste des rondeurs boulimiques de la Camaro qui ne sort pas embellie ni améliorée de cette charcuterie… Quoique ! Certe-non, quoique oui… car si elle fait partie de la série II équipée de pare-chocs intégrés au look de pare-pierres de locomotive western empilés l’un sur l’autre à l’avant et l’arrière… les modifications apportées par Frua font qu’ils ont été supprimés et remplacés par des horreurs massives en béton (gag !) recouvert de plastique mou. Le becquet (en plastique noir) du coffre qui continue sur les extrémités arrières, laisse des vides, n’est donc pas adapté et le cul n’est qu’un accordéon de 3 parties de faces arrières juxtaposées…
L’insigne “Chevy Bow Tie” familier se trouve toujours à l’avant et au centre, ce qui est rassurant… mais les mots “Camaro restyling by P. Frua” sont encapsulés à l’intérieur de la bordure polie (quoique malhonnête). Le profil est également trop long et droit en 3 vagues soulignées par 3 baguettes noires dont celle du panneau arrière semble en triple épaisseur, les lignes “de force” ne sont pas nettes et mal ininterrompues de la proue à la poupe de ce cuirassé léger. L’arrière, qu’on ne peut oublier, est plat et carré, avec les feux arrière originaux montés en surélévation et les deux sorties d’échappement avec des embouts polis. mais également malhonnêtes, qui pendouillent finissent la caricature.
Sous le capot, on retrouve le small-bloc moteur V8 familier, basique et chevrotant, rien d’exceptionnel, de même que l’entièreté de l’habitacle resté mochement d’origine.. Payeriez-vous beaucoup d’argent pour posséder cette Camaro Europo Hurst Frua ? Non ! Moi non plus…
Cette petite bêtise va être proposée sans réserve, par RM Sotheby lors de la vente aux enchères de la Collection Mitosinka, le nom du créateur d’un jeu d’affaires étranges… et compte tenu de la la pandémie du Coronavirus et des confinements obligés, cette vente va se dérouler exclusivement en ligne entre le 23 et le 25 Septembre 2020.
Quelle est selon vous la valeur qu’atteindra ce véhicule ? Diffusez vos estimations dans les commentaires Facebook ci-après… Le bruit court qu’elle pourrait atteindre 200.000 US$… Qui peut oser payer tant pour un tel machin ? Et : question vitale : Pourquoi Frua a t’il réalisé une Camaro aussi moche de forme et de couleur qui n’a été acquise en finale à très vil prix (à-la-casse) que pour entrer dans la collection Mitosinka ?… Tout marchand “PRO” respectueux des règles basiques en matières de gangsterisme et d’automobiles d’occasions ou déclassées, mais rares, car alors nommées “de collection” pour attirer les gogos… se doit toutefois de respecter quelques règles élémentaires pour au minimum pouvoir tripler son “investissement” ce qui est la norme… 1° Il faut inventer une histoire nébuleuse ayant l’air authentiquement réelle dans laquelle une personnalité apparait (Alain Delon a été très demandé chez Artcurial, Steve Mc Queen chez Sotheby fait à chaque fois un malheur, Bonhams est réputé pour découvrir des trésors cachés ayant des doublettes dans différents pays… Coys est déconsidéré car il ne paye pas toujours les voitures vendues)… 2° Directement positionner “la chose” dans le créneau des modèles d’exceptions-exceptionnels et rarissimes à un prix plus stupéfiant encore que 100 Kg de cocaïne pure, histoire d’avoir une certaine marge de négociation… 3° Être patient et déterminé à tout, en ce compris à incendier son garage pour toucher l’assurance avec l’appui d’un courtier peu recommandable, vérolé et sans scrupule… 4° Avoir un culot monstre, un bagout de vendeur de nougats à la foire du Trône et des amis-armoires-à-glace possesseurs de Dobermans enragés destinés à amadouer les clients osant venir réclamer…
Pour certains fans de Chevy, la Camaro de première génération, en particulier le modèle 1969, sera toujours la plus fameuse Muscle-Car à jamais porter le badge “nœud papillon”… mais soyez honnêtes avec vous-mêmes en reconnaissant que le look de la Camaro résultait d’un travail précipité…. Ouiiiii, elle a été introduite au forceps façon sodomie automobile dans le cul des dingues de Muscle-Cars… elle a d’ailleurs un look de concombre là ou la Mustang semble une oeuvre d’art réalisée par un brave péquenot qui peignait le dimanche alors que d’autres allaient à la pêche aux vieilles godasses…
D’ailleurs elle n’a pas duré longtemps sous sa première forme, la Camaro 1er génération a vécu vite et est morte jeune, quasi pucelle perverse… elle n’a été là que pour trois années et elle n’a jamais eu la chance d’être gonflée, ou édulcorée, ou déboulonnée. Cet honneur, malheureusement, est tombé sur la Camaro de deuxième génération… et malgré quelques faits saillants aussi incroyables qu’invraisemblables la Camaro est largement connue pour ses nombreux bas cotés, ce qui n’est pas uniquement du à sa tenue de route aléatoire !
Qu’on le veuille ou non, l’histoire de la Camaro commence le 17 avril 1964, lorsque Ford fait ses débuts avec la Mustang à l’Exposition universelle de New York… Chrysler avait sa Plymouth Barracuda pour aller se battre contre elle, et Chevy avait… Rien… sauf la Corvair Monza qui avait un peu aidé à démarrer le marché des compactes-sportives abordables quelques années auparavant… mais elle ne pouvait pas rivaliser avec le capot “viril” (longue érection) de la Mustang et son pont court (destiné aux démarrages en fusée), une longue liste d’options… et surtout les performances disponibles avec la version V8.
Donc, à partir de la Chevy Camaro II, Chevrolet a développé une meilleure plate-forme que pour la Chevy Camaro I… afin d’être mieux armé pour chasser sur les terres de la Mustang… et, en Septembre 1966, moins de deux ans et demi après la première Mustang Pony-Car de Ford, la Camaro a fait ses débuts, c’était un temps étonnamment rapide pour développer une vraie voiture à partir de zéro – mais la Camaro n’était en fait rien d’autre qu’une Camaro.
1967 Chevrolet Camaro SS
La Camaro (et sa partenaire de plate-forme, la Pontiac Firebird) a été accueillie avec des critiques (favorables) à sa sortie, mais la Mustang a encore sur-vendu pire.. quatre Mustang vendues pour une Firebird et une Camaro !
1970 Chevrolet Camaro RS
La Camaro avait la réputation d’être plus sportive que la Mustang (selon les critères américains, elle partait moins vite en toupie dans les virages), mais Chevy voulait creuser l’écart encore plus loin. Sur ordre direct du GM style en chef Bill Mitchell, la Chevy (et dans une moindre mesure sa sœur jumelle Pontiac Firebird) ont été repensées dans les studios de conception des Corvette C3… la plus “toupie” des Corvette, cela ne devait donc pas améliorer la Camaro, mais le boss a ordonné que la Camaro devienne la Berlinetta Ferrari de GM ! La Camaro restait un coupé sportif basique et abordable, basiquement bof… mais la qualité visuelle de construction devait être meilleure que les Mustang pour les battre. Malgré cela , la Mustang vieillissante (avec des ventes toujours en hausse, et aucun remplacement en vue), a su gérer une quantité obscène de puissance avec des Big-Bloc 7 litres ainsi que l’image de Shelby….
1970 Chevrolet Camaro Z-28 coupé
Le nouveau “sheetmetal” était exotique pour Detroit… si exotique, en fait, que les usines Fisher Body de GM avaient eu beaucoup de difficultés à concevoir des outils fiables pour fabriquer les panneaux de carrosserie. Cela, plus les conflits de travail entre GM et l’U.A.W. ont mis Chevy dans la position délicate de pousser le lancement de son modèle 1970 bien trop tot dans l’année (février).
1970 Chevrolet Camaro
En 1970, il n’y avait rien qui sortait des usines de Detroit tout à fait comme la nouvelle Camaro. Alors que Ford et Chrysler proposaient de longues conceptions lisses, presque tubulaires pour leurs Muscle-Cars, la nouvelle Chevy était “Curvaceous-Line”, “musculaire et complexe”. Avec des pare-chocs tarabiscotés et une large calandre à l’avant, elle n’était pas du tout d’inspiration italienne sauf pour les amateurs de pizza… Le moteur de base était un 155 chevaux 250ci inline-six… mais à partir de çà, la Camaro pouvait être motorisée par un V8 396ci de 350 chevaux couplé à une boite manuelle quatre vitesses, ou à une boite automatique TH400 trois vitesses, la puissance pouvait être un peu pluche pire avec un 360 ci LT-1. Ne restait qu’à payer les options pour équiper les bestiaux avec des freins fantastiquement chers et un châssis plus rigidement couteux, afin d’aller droit en enfer…. mais le prix à payer représentait la valeur de deux Camaro “normales”...
1970 Chevrolet Camaro Z/28
Les premier tests de la Z/28 de 1970 dans la presse résumaient à quel point la voiture était infernale (dans les deux sens) : “Le monde des voitures GT puissantes dispose de quelques spécimens rare. Presque invariablement, ils sont européens, souvent italiens en descente, peu en nombre et de prix élevés comme si elles étaient des pierres précieuses. Il n’y a rien de précieux à propos de la Camaro Z/28, Chevrolet a créé une automobile basique qui a du punch mais aucune classe, mais elle a le mérite d’exister pour donner de l’illusion aux cols-bleus (les ouvriers) qui croient qu’en parcourant les banlieues ils possèdent une automobile qui pourrait battre des Ferrari dans les rues étroites et sinueuses de Monte Carlo ou en faisant le tour d’un parterre de fleurs dans la cour d’une villa donnant sur la Méditerranée”…
1971 Chevrolet Camaro SS 396
Chevy avait livré comme promis sa voiture de deuxième génération. Malheureusement, les bons moments ne dureraient pas. L’année d’introduction (anale) de la nouvelle Camaro, le Congrès a adopté la Loi sur la qualité de l’air de 1970 interdisant l’essence progressivement au plomb à l’échéance de 1975. Cela signifiait de devoir réduire considérablement les rapports (sic !) de compression des moteurs… et de ne plus produire de blocs V8 à hautes performances comme le LT-1. En fait, GM a du annoncer qu’ils commenceraient la transition de tous leurs moteurs pour les rendre compatibles avec l’essence sans plomb jusqu’à l’année modèle 1971, en Janvier 1970, c’est à dire un mois avant que la nouvelle Camaro débute.
En 1971, la puissance de la Z/28 était déjà en baisse d’un inquiétant 40 chevaux, et cela ne ferait qu’empirer. La puissance allait continuer de diminuer… et en 1974, la Camaro avait besoin de se conformer aux nouvelles lois des 5 miles par heure concernant les pare-chocs, qui devenaient énormes, laids et encombrant les extrémités avant et arrière avec un total mauvais goût, d’autant plus qu’ils étaient en plastique mou craquelant… recouvrant une énorme poutre en acier lourd…. Chevy a toutefois essayé de “faire de son mieux” pour camoufler les nouveaux appendices, mais cacher ces horreurs ne faisait qu’augmenter le poids, de plus en plus de poids à une voiture devenue “de fausses performances” qui curieusement s’est retrouvée en tête des voitures volées devant servir à emboutir la devanture des petits commerces dans des hold-up sanglants… Après ces ajouts désastreux mandatés par le gouvernement fédéral, GM a pensé à abandonner complètement la Camaro.
1976 Chevrolet Camaro Sport Coupe
Mais une chose drôle s’est produite : les ventes ont commencé à décoller à cause de la nouvelle Mustang qui n’était plus que l’ombre d’elle-même. En 1975, la Mustang II compacte était basée sur la Ford Pinto… AMC avait abandonné la Javelin… Chrysler avait abandonné la Dodge Challenger…et la Plymouth Barracuda et la Dodge Charger étaient devenues des coupés de luxe lourdauds et impersonnels. Les Muscle-Cars étaient effectivement morts, sauf que la Camaro et la Firebird étaient les seules qui restaient dans le jeu. De plus, leur réglage “détendu et lourdaud” a rendu les voitures plus agréables à utiliser pour un public plus large que jamais auparavant…
1979 Chevrolet Camaro Z28
À toutes fins utiles, le modèle 1975 sachez-le, est le nadir de la Chevy Camaro… il y a eu des versions encore plus lentes (la Iron Duke in-line-quatre des années 1980), mais pour ’75, les voitures V8 les plus chaudes n’avaient plus que 155 chevaux ! Pourtant, près de 150.000 exemplaires ont été vendus cette année-là ! La Camaro de deuxième génération a ainsi atteint son terme à l’âge mûr de 11 ans d’existence en 1981. Les voitures finales étaient lourdes, bouffies, c’étaient des croiseurs de boulevards monotones encore alourdis alourdis avec des graphismes criards et des kits de carrosserie débiles, ainsi qu’un intérieur en velours et les fameux T-tops. Les versions sport disposaient d’un Turbo qui prenait feu facilement mais n’affichait aucune performance sauf celle de consommer le double… Pour aider à vendre, des films crétins avec Burt Reynolds en star, recevaient des Camaro et Firebird pour faire saliver les jeunes qui n’y connaissaient rien… avec ce type d’acteur stupide en sus d’une version noire avec décoration Gold incluant un oiseau de feu sur le capot… le succès a été immédiat En dépit d’être l’ombre de son ancienne auto-performance, la voiture était beaucoup plus populaire que quand elle était au sommet de son vrai jeu de ses débuts. Chevy a vendu un peu plus de 120000 Camaros en 1970. En 1979 Chevy a vendu près de 283000. Au cours de sa dernière année, 126000 d’entre-elles ont trouvé un foyer.
Mais pour les fans de Muscle-cars, pratiquement tout ce qui a mal tourné avec la Camaro, a mal tourné entre 1970 et 1981. Ils lui pardonnent tout pourvu qu’ils bandent et spermatent à flots… Elle a grossi. Elle est devenue lente et molle. Et elle est passé d’être belle à être carrément grotesque. Dans son état d’origine, la Camaro de deuxième génération avait au début, un potentiel incroyable, de même celles qui sont venues jusqu’en 1973. Aujourd’hui, ces premières voitures de deuxième génération sont prisées comme certaines des plus grandes voitures de l’ère des Muscle-Cars (gag !). Mais elles n’ont pas le cachet qu’ont les “vraies” Camaro de 67 à 69. Peu importe comment elles étaient bonnes, elles ont toujours le spectre de l’essence sans plomb, des pare-chocs “5 miles à l’heure”, les T-tops, un lecteur 8 pistes… et un intérieur en velours . C’est un euphémisme d’écrire que je suis heureux que la Camaro puisse encore être collectionnée aujourd’hui, à l’heure du Coronavirus et des confinements ainsi que du masque à gaz obligatoire (sic !). L’histoire de la Camaro eut été beaucoup plus belle si elle n’avait jamais traversé une telle adolescence maladroite !
L’humain vit dans une culture ou nous sommes tous candidat à recevoir des éloges. Nous avons hâte d’être loué, et si nous sommes critiqués, nous devenons malheureux. Il existe un terme en psychologie pour ce phénomène qui est appelé “Biais de confirmation”. Ce phénomène signifie essentiellement la tendance à rechercher et favoriser les informations qui confirment nos propres croyances, tout en donnant moins de considération aux possibilités alternatives.
Ainsi, il est important de penser à ce point pour être sur que nous ne tirons pas la réalité à nous.?
Par exemple une personne qui n’aimerait pas ma critique du véhicule de cet article pourrait par réparte critiquer mes magazines Chromes&Flammes ainsi que Gatsbys, c’est son droit, tout comme j’ai aussi le droit de critiquer… La limite sont les injures, l’appartenance à une ethnie, la couleur de peau, l’handicap, la religion… Le fait de ne pas aimer Chromes&Flammes et de ne pas aimer la voiture de cet article ne sont donc pas criticables… comme quoi, critiquer les critiques et critiqueurs/critiqueuses est un jeu subtil… Je conseille donc à ceux et celles qui veulent jouer… d’enlever leurs sabots et de tenter une critique avec des chaussures de danse adaptées… Je déconseille également les bottes de cavalerie, les santiags avec éperons et les pantoufles…?