Citroën M35 : Cunnilingus rotatif franchouillard !
Oyez Oyez ! Gentes dames et messires ! Bons vivants ! Fanatiques du Cunnilingus, amateurs d’odeurs d’étals de poissonneries ! Amoureux de de la cochonaille, du vin, ou encore de la chasse. Dévots de Citroën, Pigot, Renault, Simca et autres franchouillardises roulantes et roulables ! Vous êtes les bienvenus sur www.GatsbyOnline.com et plus particulièrement sur cette page dédiée à la Citroën M35, une magnificence automobile qui reflète une manière d’exister et un art de vivre typiquement franchouillard. L’histoire de la franchouillardise est longue et complexe, le premier événement capital qui a apporté les prémisses de la franchouillardise est l’apparition non pas de la Citroën, mais du vin, il est vrai que nos ancêtres ont très vite compris comment se plonger dans l’ivresse et accessoirement se bourrer le pif de pinard… Le vin qui est apparu peu avant l’antiquité, pose donc ce qui est la base de vie pour tout franchouillard lambda.
Le deuxième fait marquant de l’histoire de la franchouillerie et non des moindres puisqu’il est considéré comme l’année zéro, ce n’est pas (non plus) la naissance de Monsieur André Citroën (attention de ne pas extrapoler les années nazies qui ont vu l’enfermement “Gaullien” de divers industriels, sujets à controverse donc “nationalisables”), c’est bien entendu la création du saucisson, nos ancêtres ayant mis du temps à comprendre qu’une bouteille de pif c’était meilleur quand il y avait de la charcuterie sur la table ! Ensuite, les vils anglais ont voulu nous ravir nos charcuteries et nos vins et de notre résistance aux rosbifs a découlé la longue et sanglante guerre de cent ans (1337-1453) durant laquelle l’apparition de la première femme Franchouillarde (arrière-arrière-Grand-Mère de la famille Lepen), la fameuse pucelle d’Orléans, défenseresse virginale du Vrai Saucisson Français : Jeanne D’Arc , fut décisive pour la défaite des anglais mangeurs de viande bouillie, malgré qu’elle a été “barbecusée” dans d’atroces souffrances.
Puis est arrivé André Citroën dont les créations marquantes ne sont pas la Traction Avant, ni la 2CV, mais son oeuvre ultime post-mortem, la cultissime et sublimissime Citroën M35 ! Un chef-d’oeuvre “absolutoire” quasi Constitutionnel qui pourrait être exposé pour l’éternité au Panthéon ! Amen ! Certes, les machines à pistons rotatifs existaient déjà au 16e siècle, le principe selon lequel les pièces mobiles ne se déplacent qu’autour d’un centre de gravité (une invention Française) était en effet déjà appliqué en nos temps immémoriaux, avant Pétain et De Gaule, avant même Napoléon, lors de la construction des premières pompes à eau. Mais il faudra quelques siècles pour que les premiers moteurs fonctionnent ! En 1932, Felix Wankel (1902-1988), un autodidacte et non-mathématicien qui n’a jamais eu la permission de piloter une voiture en raison de sa myopie extrême, avait une imagination spatiale géniale et, en 1933, après une discussion tenue secrète avec André Citroën, il a créé le piston rotatif. Le principe étant relativement simple et logique : Au lieu du mouvement de piston utilisé dans l’acte sexuel des mammifères (dont l’homme), il a copié la méthode masturbatoire clitoridienne (tourner autour du point central avec un mouvement oscillant giratoire et répétitif)…
L’agrégat ainsi extrapolé a donc beaucoup moins de pièces mobiles à mettre en oeuvre et il faut moins d’espace pour arriver au même résultat. En outre, aucune vanne n’est nécessaire pour créer l’explosion ultime (placer des vannes durant la jouissance d’une clitoridienne provoque une rupture des fluides). Des pièces comme l’arbre à came, le cul, et le pénis en tant que levier de basculement, sont supprimés avec le “rotatif” ! Autre avantage, un mouvement oscillant est parfaitement évasif, ce qui donne une course adoucie et le couple est plus uniforme, car la durée de la mesure est de 50% plus longue… La touche franchouille qu’est le Cunnilingus va ainsi devenir la marque du savoir-faire franchouillard. Restait à l’extrapoler ! Citroën va le réussir avec la M35 ! (Note de la rédaction : Le terme Cunnilingus provient du latin cunnilinctus (de cunnus “vulve” et lingere “lécher”). Alors que le mot cunnilingus désigne en latin la personne qui se livre à l’opération, dans les langues modernes il désigne l’opération elle-même. Cette pratique est aussi connue sous les noms suivants : “tarte au poil”, “faire minette”, “léchouille”, “broute-minou”, “brouter la pelouse”, “brouter le gazonnote”, “brouter la motte”, “brouter une moule”, “pratiquer une tyrolienne”, “descendre au barbu”, “descendre à la cave”, “gamahucher” ou encore “gougnotter”…
Les forces du mal qui gouvernent le monde extérieur à notre Franchouille ont malheureusement groupé leurs forces, comme à Waterloo pour vaincre notre Empereur Napoléon (Dans les lettres de Napoléon Bonaparte à sa femme, Joséphine de Beauharnais, des passages font allusion au cunnilingus : “Un baiser plus bas, plus bas que le sein. Tu sais bien que je n’oublie pas les petites visites ; tu sais bien, la petite forêt noire. Je lui donne mille baisers et j’attends avec impatience le moment d’y être”). Ce “plouf-plac-ploc-flouch-flouch-flouch impérial” va survenir via la société Comotor fondée au Luxembourg qui succédait à Comobile, qui opérait à Genève depuis 1964 dans le but de produire des moteurs rotatifs. Citroën selon un des grands principes franchouillard, n’a pas acheté de licence (contrairement à Alfa Romeo, Rolls-Royce, Porsche, General Motors, Ford, Toyota, etc.), mais a décidé de réaliser directement l’application automobile du Cunni-Franchouillard en utilisant l’entrée de la porte arrière de la société comoteur.
C’était une enculade directe à niveau industriel : “Moins cher c’est, meilleur c’est pour les bourses qui ne se vident pas !”... Citroën va toutefois être enculé (aculé) à la ruine dans les années ’70. Mais peu auparavant, dans la joie des prémices sexuels de 1969 (un ’69 est l’extrapolation imagée en hommage clitoridien au cunnilingus, qui va par ailleurs faire l’objet d’une chanson célèbre de Serge Gainsbourg), les plans étaient encore très cohérents dans leur utilisation. Comotor avait acheté un terrain de 850.000 mètres carrés pour construire une nouvelle usine et Citroën avait fait construire chez Heuliez à Cerizay, six véhicules basés sur l’Ami 6 mais équipés de la célèbre suspension hydropneumatique “flottante”. Flaminio Bertoni (un Franchouillard transalpin), le légendaire designer en chef de Citroën (qui avait auto-qualifié son Ami 6 de chef-d’œuvre intemporel), est décédé d’une intoxication des glandes salivaires (sous réserve et sans reconnaissance préjudiciable) à quelques années avant l’enculade finale, le 7 février 1964, à l’âge de seulement 61 ans ! Il aurait peut-être aimé le nouveau design “précursif” de la M35 qui ressemble un peu à un Custom Mexicanos-Américain, surtout quand la M35 s’accroupit profondément dans ses plumes par pression sur le bouton “clit”…
Mais, ce qui est le plus excitant en cunni, c’est ce qui se passe sous le capot. Comme la NSU Wankel Spider, la Citroën, baptisée M35 (le pourquoi, n’est plus connu), a reçu un moteur “à la cale”, ce n’était plus le “state of the art”… Mazda travaillait déjà avec deux rotors, Mercedes en C111 en était à trois ! Notre joyau planétaire lui, réussissait à puiser 49 chevaux à 5500/min avec 2 rotors de 497,5 cm3 ! Avec un poids de 815 kg, cela suffisait pour une vitesse maximale de 144,272914 km/h. Mais beaucoup de malfaisants ont douté de ce chiffre ! Un faux rapport de conduite contemporain a alors été publié par les journaleux d’un groupe de presse heureusement mis en faillite fin de l’année 2020, rapportant que le petit Wankel-Citroën réalisait sans peine 175 km/h, mais, précisant avec la mauvaise foi qui les caractérisait, que les techniciens-essayeurs de Citroën étaient connus dans le monde entier pour avoir toujours fait preuve d’une certaine nonchalance en lisant le compteur de vitesse !
Aucune production en série n’a toutefois été enregistrée pour éviter que nos éternels ennemis d’outre-Manche puissent copier notre génie Franchouillard, mais chaque voiture a été fabriquée “à la main” selon des techniques ancestrales. Le plan était d’envoyer quelques exemplaires dans la nature et dans la rue (Tesla l’a fait quelques années plus tard en envoyant un Roadster dans l’espace pour démontrer son savoir-faire aux extra-terrestres) et de les mettre entre les mains de bons clients franchouillards moyens (et surtout, fidèles) pour acquérir à prix d’or le droit de vivre une première expérience de cunnilingus automobile. Les 500 clients sélectionnés devaient impérativement, pour “piloter” leur M35 être habillés en franchouillards types, avec béret basque, litron de pinard et baguette jambon-beurre… mais ils n’ont pas sucé comme il fallait, car seulement 267 exemplaires estampillés au feutre noir “M35” ont été construites.
Le prix de 14’000 francs français de l’époque, soit presque le même montant qu’une ID19 et plus du double d’une 2CV (un phénomène assez curieux qui concerne les valeurs envers les gnous qui doivent tout avaler de force), a probablement réduit au minimum l’intérêt pour un véhicule qui était très loin d’être mûr (les jeunes préfèrent les “pistonnades”, seules les vieilles aiment le Cunni qu’elles pratiquent avec d’autres vieilles étant dans l’impossibilité de s’auto-pratiquer en solitaire ! Pourtant, en cinq ans, plus d’un million de kilomètres d’essai ont été réunis. En 1972, VW, qui avait repris les restes de NSU, s’était retiré de la comoteur sans avoir joui et Citroën très Franchouille a fait une nouvelle tentative avec la fumisterie ultime du genre, le KKM 624, un développement du KKM 612, extrapolé de la NSU Ro 80 et monté en 1973 dans la GS dénommé “Birotor” pour cette occasion unique de vouloir venger Waterloo ! 105 chevaux annoncés, allait-elle faire trembler les Lamborghini et Ferrari et autres, dans une partie géniale (génitale ?) extrêmement délicate, très vulnérable ? Que nenni !
Après 837 exemplaires, le projet a été définitivement sabordé comme notre flotte à Mers-el Kébir en 1940 ! L’usine Citroën a rappelé toutes les M35 et GS Birotor des clients à des conditions très avantageuses pour les mettre à la casse. Pareil que fera la Général-Motors avec l’EV1 électrique ! Les personnes désirant conserver leur véhicule devaient signer un contrat exemptant Citroën de toutes les garanties et du droit au stockage des pièces de rechange. Quelques GS Birotor et M35 ont survécu à l’opération de retrait pénien cherchant ainsi à éviter des suites fâcheuses entrainant le paiement “à vie” de pensions alimentaires de survie sexuelle… et sont aujourd’hui des objets de collection convoités et coûteux. Nous avons eu le plaisir masturbatoire de circuler avec une Citroën M35, construite en 1970, laquée dans ce gris typiquement sale façon pré-usagé, presque toutes les M35 étaient peintes de la sorte (il y avait aussi une version noire et une autre jaune très pâle, destinées à la promotion de la M35 respectivement en Afrique et en Chine + Japon).
L’intérieur y est d’une simplicité, simplement tout à fait simple, l’équipement en cuir de mauvaise qualité ne fournit pas nécessairement ce que l’on attend dans une Ami 6 transformée en Coupé-Sport avant-gardiste. Mais le plus frappant est une bande de colle rouge, sur laquelle on doit comprendre que le niveau d’huile doit être renouvelé tous les 250 km. Ce qui résume toute la difficulté d’un cunni concernant la lubrification qui vire malheureusement à l’exploration d’un étal de poissonnerie ! L’un des plus grands problèmes de la M35 étant en effet la lubrification “propre” ! Comme l’est tout Franchouillard véritable, dès le départ la Citroën M35 est volubilante et démarre sans problème. Le ralenti est soyeux, comme on est habitué à le faire avec un bon pistonnage ! C’est toutefois inhabituellement silencieux et ça ne change pas beaucoup quand “la chose” se met en mouvement : il y a beaucoup plus de gémissements que de bruit d’explosions – ça ressemble un peu à une machine à coudre cassée !
Mais le creusement Franchouille-type est incroyable, le couple reste très linéaire et “insébranlable”, il y a vraiment de la joie. L’inclinaison de la courbe de jouissance est terrifiante, on est heureux de pouvoir s’accrocher au volant. Les pneus grincent pourtant pitoyablement, mais on s’amuse. Si ce n’était pas ce méchant truc qu’est l’endurance et le cout de l’extase lubrique ! Personne ne peut donner de chiffres précis sur la consommation, mais elle est aussi conséquente que celle d’un gros et lourd Berliet ! La radinerie typique des Franchouillards est officiellement la raison pour laquelle les Français n’ont plus continué à besogner de la sorte.
La première crise pétrolière de 1973 a mis fin à tout espoir. En 1976, l’entreprise a été rachetée par Peugeot… et cela signifiait une Bérezina pour l’avant-garde automobile que Citroën avait incarné parfaitement depuis si longtemps ! Car la quantité est un qualificatif qu’applique tout Franchouillard qui se respecte de même qu’il est plus intéressé par le nombre de plats et de bouteilles qui sont présent sur la table plutôt que du goût de leur contenant !
Attention cela ne veut pas que le Franchouillard-type bouffe de la rillette au rabais tout comme il ne boit que de la villageoise ! Certes c’est plus propice, mais tout de même assez rare, un Franchouillard sait se respecter un minimum !
Le Franchouillard de quantité est généralement un vieux gaillard, doté d’une bonne panse, et qui aime l’avoir totalement remplie, c’est pour cela que celui-ci va préférer avoir de trop mais être certain d’être plein à la fin du repas plutôt que de trouver les perles rares, les petits vins de derrière les fagots ou la dernière trouvaille de chez le charcutier. Je rappelle que la charcuterie et le domaine de la viande coûtent cher en général de même que le vin buvable, c’est pour cela que souvent le Franchouillard de quantité va délaisser quelque peu la qualité du produit, suivant ses finances et ne pas y mêler les odeurs de poissonnerie.
Après, si notre franchouillard de quantité touche un bon pécule rien ne l’empêche de cumuler quantité et qualité et ainsi profiter de l’expérience totale de la franchouillardise, pouvoir revenir à ses origines c’est-à-dire se foutre de la gueule de tout le monde et empiffrer de plein de bonnes choses partouze…