VERITAS SCORPIONS LEAFRANCIS ESCROQUERIES ET CORRUPTION
La vendeuse qui me contacte n’y va pas dans la dentelle pour tenter de me la vendre : “Elle est née comme vous le 16 mai de l’année 1949… Achetez-là, c’est un signe du destin. Pour seulement 850.000 $ elle sera vôtre et remplacera la LéaFrancis qui vous a été volée au nom d’AXA”... Waouhhhh la salope ! Cette méthode de vendeur/vendeuse d’antiquités automobiles est basée sur la synchronicité qui a été définie par le psychiatre Carl Gustav Jung comme étant une occurrence simultanée de deux ou plusieurs évènements qui n’ont pas de relation causale entre eux, mais qui ont un sens pour la personne qui les vit, en l’occurrence moi-même, en personne, personnellement ! Selon la psychologie “Jungienne”, s’y associe la notion d’inconscient collectif, bagage commun imaginaire (dont sont pourvus les êtres humains) constitué de différents archétypes, des “formes pensées” comparables aux champs morphiques du Professeur Rupert Sheldrake qui en a développé une théorie alternative fondée sur la notion du champ morphogénétique des perceptions extrasensorielles épistémologiques…
“Ca se corse” aurait dit la mère de Napoléon Bonaparte ! Il était 12h 12min et 12 sec, mon Cocker Blacky s’est mis à hurler… Ma mère pourtant décédée depuis quelques années à crié depuis la cuisine que le café était prêt… L’ordinateur s’est éteint… Le téléphone s’est mis à sonner… J’ai eu une érection violente devant laquelle Sofia ma femme de chambre a dit qu’elle n’attendait que ça… Jésus (le jardinier) tondait la pelouse et j’ai été aveuglé par une forte lumière… En un instant je savais tout de la voiture née en même temps que moi (ou l’inverse)… Je vous explique… Au milieu des années 1930, la puissante machine de propagande allemande s’est attaquée au monde de la course automobile, jetant des ressources incalculables vers la domination totale du sport automobile. Les équipes de Grand Prix soutenues par le gouvernement de Mercedes-Benz et Auto Union fonctionnaient avec des budgets pratiquement illimités et les voitures qu’elles produisaient étaient des merveilles de sophistication technique (pour l’époque), écrasant la concurrence.
Dans les courses de voitures de sport de production, BMW avait brièvement atteint un statut similaire, en particulier dans les catégories de 2 litres, où leur 328 légère et agile était la seule voiture à posséder pour qui voulait avoir une chance de gagner une coupe en fer-blanc ou une couronne de fleurs mortuaire. BMW a même battu les Italiens sur leur terrain sacré, remportant les Mille Miglia 1940 dans une 328 construite spécialement pour l’événement. Mais après la guerre, le sport automobile allemand était devenu une scène complètement différente. Les voitures qui dominaient les événements d’avant-guerre ont été enfermées, détruites ou brisées pour leurs pièces. Le légendaire circuit de course Nordschleife du Nürburgring a été envahi par la végétation et la surface déchirée par des chenilles de chars. Mais les coureurs automobiles n’étant rien d’autre que persévérants, les clubs se sont rapidement regroupés, ont nettoyé les circuits et ont commencé à échanger de la nourriture et des cigarettes contre des bougies d’allumage, des pièces de rechange et du carburant.
Pour l’industrie automobile allemande, les voitures de sport étaient la dernière chose à laquelle ils pensaient pour relancer un nouveau Reich…Les pénuries de matériaux et le rationnement signifiaient que c’était tout ce qu’ils pouvaient faire pour reconstruire les usines et remettre les citoyens allemands sur roues. Malgré la dévastation et l’austérité, les pilotes de courses automobiles voulaient toujours des voitures, et trois amis allemands ont conçu un plan pour répondre à leur demande. “Veritas-Arbeitsgemeinschaft für Sport und Rennwagenbau” a été créé en mars 1946 dans le village d’Hausen am Andelsbach, près d’Hockenheim, à une trentaine de kilomètres de Baden-Baden, en Forêt Noire, par trois officiers SS qui s’étaient rencontrés à Paris durant la guerre nazie : Ernst Loof (1907-1956), Georg Schorsch-Meier (1910-1999) et Lorenz Dietrich (1906-1957)… Leur but commun était de donner une succession à la mythique voiture de sport d’avant-guerre, la BMW 328… Les trois hommes avaient des liens avec BMW via la course automobile, la course de moto et les ventes, il était donc naturel qu’ils aient choisi de baser leur nouvelle entreprise – nommée Veritas – sur des composants BMW éprouvés.
Les forces d’occupation américaines stipulaient que les nouveaux véhicules allemands ne pouvaient pas dépasser un litre de capacité/moteur. Les trois nazis se sont installés dans trois baraquements en bois et allaient devoir faire face à de nombreuses difficultés pour mener à bien leur projet, celui de créer une nouvelle marque automobile : Veritas : “la vérité” en latin, mais comme les matières premières étaient difficiles à trouver et comme les alliés qui occupaient l’Allemagne interdisaient la production de tout moteur excédant 1000 cm3, la recherche d’une solution s’imposait pour contourner cet obstacle… Ce furent trois années de galère jusqu’en 1949 ou les 3 associés eurent l’idée de fabriquer des automobiles alternatives à la Porsche 356 baptisées respectivement : Comet, Scorpion et Saturn, un “mix” pioché de solutions techniques empiriques basées sur la légèreté et l’efficience et motorisées par un 6 cylindres en ligne de BMW 328, car en empruntant le moteur d’une auto déjà existante, il était possible de contourner les diktats américo-franco-britannique. Les clients ex-nazis eux-aussi devaient fournir leurs transmissions, ainsi que de l’argent et de l’or Juif… Et en quelques semaines ils obtenaient leur nouvelle BMW-Veritas.
Le premier client de Veritas a été le légendaire pilote de course Karl Kling, qui a rapidement remporté son premier événement en 1947, remportant le championnat des voitures de sport la même année. Bientôt, les grilles ont été remplies de Veritas, et les acheteurs ont afflués pour acheter des versions routières. Dietrich était heureux d’obtempérer et, en 1949, il a produit une série de voitures de route de production avec des trains roulants BMW, un châssis tubulaire léger, et des carrosseries pour coupé, cabriolet et roadster-sport réalisées par la célèbre firme Hermann Spohn Karosseriebau. Les carrosseries Spohn standard étaient attrayantes et les voitures offraient de superbes performances. Le moteur de la 328 était très réputé, il s’agissait d’un 6 cylindres à soupapes en tête disposant d’une culasse hémisphérique en aluminium si robuste qu’un certain nombre de constructeurs européens tentèrent de se l’approprier après la Seconde Guerre mondiale (ce fut notamment le cas de Bristol), toutefois les problèmes de fiabilité du nouveau moteur furent à l’origine d’importantes déconvenues en compétition…
Veritas ne disposait pas des ressources nécessaires pour corriger les défauts de jeunesse de sa voiture pour financer un développement plus poussé. Les Veritas atteignaient 165 km/h, il s’agissait alors en Allemagne du seul constructeur susceptible de livrer des voitures de course complètes au cours de ces premières années d’après-guerre, elles concouraient en “amateurs” dans la catégorie des “sport-wagen” sur différents circuits dans leur pays d’origine ou elles se constituaient un palmarès enviable. Fut alors proposée la version Rennsport RS destinée exclusivement à la compétition, dotée d’une carrosserie découverte et d’un moteur dont la puissance était portée à 125 chevaux, les Veritas RS pouvaient ainsi dépasser 215 km/h, grâce à un poids qui n’excédait que rarement les 600 kg. Les Veritas furent importées en France dès 1949 par André Chardonnet, il en fit acheter à plusieurs pilotes, dont Roger Loyer et Raymond Sommer et assura leur présentation au Salon de Paris cette année-là, c’était le premier salon de sa longue carrière d’importateur à l’enseigne de METEOR (MEcanique et Technique, Etude, Organisation, Réalisation), société française ayant son siège à Paris, près de la Bourse, créée pour l’occasion….
Mais ce fut un échec… Construites de manière artisanale, les Veritas coûtaient une petite fortune, l’équivalent du prix de trois Mercedes 300, aucune voiture ne fut vendue en France. Chardonnet était devenu un spécialiste BMW en rachetant après guerre aux Domaines toutes les BMW qu’il pouvait y trouver, sa voiture préférée était la fameuse 328 dont il connaissait tous les secrets. Chardonnet, qui s’était lié d’amitié avec les gens de chez Veritas, était fasciné par leurs solutions d’avant-garde, son cœur battait en particulier pour la barquette Veritas, il y apporta toute son aide possible, c’est lui qui fournit notamment les premiers carburateurs modernes dont le petit constructeur avait besoin, il devint pilote essayeur de la marque et courra même trois fois au volant des voitures. Plusieurs fanatiques qui avaient entendu parler des victoires des Veritas en Allemagne engagèrent des voitures dans quelques épreuves disputées à l’étranger, à défaut de combattre sur le plan mécanique avec une concurrence mieux armée, le châssis tubulaire des Veritas permettait à ces pilotes de se faire une place sur les podiums…Porsche ne dominait pas encore la compétition !
Constamment améliorées, jusqu’à perdre toute ressemblance avec la base BMW d’origine, les Veritas étaient devenues de petits bijoux d’efficacité, inspirés par la technologie et les matériaux employés en aéronautique, à l’époque, la concurrence s’en tenait encore aux châssis en échelle plus simples mais moins performants. Le palmarès des Veritas ne cessait de grandir, les commandes affluaient, mais la production était constamment ralentie par des problèmes d’approvisionnement, eux-mêmes liés à des difficultés de trésorerie, plus inquiétant encore, la fourniture en anciens moteurs BMW 328 devenait au fil du temps problématique, en raison de leur raréfaction. Pour acquérir son indépendance, Ernst Loof fit concevoir par Eric Zipprich et produire par l’avionneur Heinkel un nouveau six cylindres de deux litres, sa puissance variait de 100 chevaux pour la 100 PS de série à 150 chevaux pour la RS de compétition, avec Karl Hurth, spécialiste des transmissions, Loof développa une boîte de vitesses moderne à cinq rapports, innovation rare pour l’époque. La 100 PS était une Veritas et non plus une BMW Veritas. Mais elle adoptait différentes désignations suivant le type de carrosserie.
Il y avait le coupé Saturn, la décapotable Scorpion, la voiture de sport Comet, c’était comme un grand constructeur, Veritas proposait désormais une véritable gamme, ses voitures étaient capables de vitesses supérieures à 165 km/h… et c’est Baur qui assurait la production des carrosseries… De plus, quelques exemplaires d’une monoplace de Formule 2 furent fabriqués avec le même moteur sous l’appellation Meteor, l’arrivée de ce modèle coïncidait avec l’autorisation du retour des firmes allemandes dans les compétitions internationales, mais la Meteor n’allait connaître que des succès locaux dans sa catégorie. La spirale qui allait conduire à la perte du petit constructeur était toutefois enclenchée depuis longtemps en cause de l’incessant manque de trésorerie et du défaut de moyens pour remédier à ces problèmes. En 1950, Veritas, qui avait jusque-là produit 78 voitures sous son nom, était condamné à la faillite, André Chardonnet n’était pas impliqué financièrement dans l’aventure, il n’y a donc jamais perdu d’argent, mais a au contraire beaucoup appris, c’est grâce à Veritas qu’il a rencontré au Salon de Paris les responsables du constructeur britannique Bristol, dont il sera l’importateur peu de temps après.
Une nouvelle entreprise fut constituée en 1951 en louant des locaux à Auto Union près du circuit du Nürburgring, tout récemment reconstruit, Ernest Loof était à la manœuvre, la société ne portait non plus le nom de Veritas, mais d’Automobilwerke Ernst Loof Gmbh, même si la désignation commerciale Veritas était encore utilisée. Aidé alors par BMW, la nouvelle société présentait une nouvelle automobile à mécanique six cylindres de deux litres, nommée Veritas Nürburgring, mais celle-ci n’était pas plus profitable que les modèles précédents… et BMW finit par racheter la marque et les brevets en 1953. Selon diverses sources, entre six et vingt voitures auraient été assemblées, certaines équipées de mécaniques Ford et Opel… Ernst Loof fut ensuite officiellement engagé par BMW. De sa collaboration avec le constructeur de Munich, il a laissé l’étude d’un projet pour un cabriolet sportif, mais c’est l’œuvre d’un autre designer, Albrecht Goertz qui fut retenue, la BMW 507 était née, alors qu’Ernst Loof mourrait d’un cancer en 1956. Lorenz Dietrich ne fut pas plus heureux, il eut le temps de produire à Baden-Baden 176 Dyna Veritas équipées du flat-win Panhard de 744 cm3 avant de faire faillite à son tour !
En 2009, la marque Veritas fut relancée par une petite entreprise connue sous le nom de Vermot AG, elle présentait une Supercar animée par un V10 BMW de 5 litres et 507 chevaux, son constructeur annonçait une vitesse de 347 km/h en pointe. La Vermot RS3 ne dépassait pas 97 centimètres de hauteur, pour une longueur de 468 cm et une largeur de 202 cm, prévue pour être produite à 30 unités et commercialisée à partir de janvier 2010, son prix était annoncé à 340.000 euros, une quinzaine de personnes s’affairaient à sa production, réparties sur trois postes : le châssis, la carrosserie et l’habitacle, il s’agissait d’une 2 places en tandem avec un siège passager couvert… Huit semaines étaient nécessaires à son assemblage, avec trois voitures montées en parallèle. Cette affaire a fait Plouf mais a été détournée par Bernard Tapie pour en faie la nouvelle Delage….Voilou, voilà… Pour en revenir à cet extrêmement rare Cabriolet Veritas Scorpion qui est l’un des plus rares exemples connus dans le monde, sachez qu’outre une rare teinte gris métallisé foncé sur un rare intérieur en cuir gris, il s’agit d’un rare affichage unique et élégant et discret des prouesses de Spohn Karosserie, une entreprise associée à la flamboyance exagérée.
Cette rarissime automobile m’était donc offerte dans le sens “proposée à mon bon vouloir de l’acquérir”. L’incorporer dans ma collection privée d’automobiles prestigieuses à Saint-Tropez m’était dès-lors présenté comme une rare opportunité de dépenser 850.000$ plus frais, taxes et emmerdes divers… L’histoire connue de cette voiture remontait donc au même jour de ma naissance, date, heure, minute le 16 mai 1949, puis c’est parti en couilles début des années 1960 lorsque cette Véritas a été importée aux États-Unis selon commande de M. James Shipman de Seattle, Washington, ouvertement pro-Allemand. Quelques années plus tard, M. Fred Kuney, également de Seattle, a acquis cette Veritas, qui a ensuite rejoint la collection de Burt Laborette à Lake Sammamish, Washington. En 1974, cette Véritas a été vendue à un certain Mister X qui l’a stockée jusqu’en 1989, date à laquelle une restauration complète a finalement commencé, grâce aux mains habiles de Greg Soter de “Phantom Restorations” à Seattle. Un important album photo documente le processus méticuleux, qui comprenait la séparation minutieuse de la carrosserie du châssis tubulaire, la reconstruction des cloisons avant et arrière et la réparation des panneaux de plancher. Le moteur, la boîte de vitesses, l’essieu arrière et les freins de la BMW 328 ayant tous été reconstruits.
La carrosserie a été finie en gris gunmetal, le cuir gris foncé et les tapis complétant le thème qui était resté subtilement frappant dans le style ciblé, inspiré de la course. D’autres détails incluaient des jantes à disque à verrouillage central de la couleur de la carrosserie, des pneus Michelin Superconfort d’époque et des instruments de marque Veritas magnifiquement restaurés. Une fois terminée, la Veritas Scorpion a été invitée au concours d’élégance de Pebble Beach en 1992, où elle a remporté la troisième place dans la classe K qui concerne les carrosseries européennes d’après-guerre. Après le concours, le propriétaire a pu alors apprécier la voiture en savourant ses superbes performances et sa maniabilité. Depuis 2015, cette Scorpion-Véritas-BMW est enfermée dans une collection privée. Quelques imperfections mineures de la peinture ont toutefois été notées. Cependant, elle m’a été décrite comme étant restée dans un état général “merveilleux”. L’intérieur, en particulier, avec des garnitures en cuir tendues et souples, d’excellents tapis et des commandes finement détaillées. Ce cabriolet est de plus recouvert d’une toile ce capote allemande Sonnendeck entièrement doublée de tissu.
Sous le capot, le six cylindres en ligne BMW OHV compact et puissant est authentiquement détaillé, surmonté d’un trio de carburateurs Solex. Cette pièce fascinante de l’histoire automobile allemande serait donc selon le baratin de la vendeuse téléphonique, un spectacle bienvenu dans ma collection pour remplacer la LéaFrancis qui m’a été volée (il y a 14 ans d’ici) en cause de la non surveillance de l’organisateur belge (Hans Stevens) d’un show belge (FunCar) qui avait pourtant sollicité l’obtenir selon une Convention entre parties établissant sa valeur à 200.000 euros, pour valoriser son exposition… Il a été démontré que pour protéger l’Agent Général AXA la SA Jean Verheyen qui avait organisé le vol en soudoyant l’organisateur au profit d’un de ses clients Juif désireux de s’installer définitivement en Israël, alors que sa famille (Frucht) y fabrique du matériel militaire et que le Groupe AXA finance les colonies Juives en Palestine illégalement occupée… qu’il fallait corrompre l’Etat Belge et sa Justice, en l’occurrence le Procureur du Roi, pour créer une histoire alternative destinée à ce que ma LéaFrancis reste en terre d’Israël… alors que ma défense en Justice AXA/LAR m’avait demandé d’assigner l’organisateur sur sa RC…
Pour contrecarrer la saisie conservatoire demandée par LAR/AXA le Procureur du Roi des Belges, corrompu, a été jusqu’à voler la totalité du dossier d’instruction papier ET numérique et détruit des pièces vitales. Il a également menacé mes avocats de briser leur carrière s’ils me défendaient et fait pression sur divers magistrats utilisant même un autre procureur frère d’un ami des tueurs du Brabant Wallon pour entretenir la crainte de représailles…Je ne me suis pas privé d’écrire et démontrer que le CEO d’AXA Belgique tout comme le collège des Procureurs généraux étaient complices donc membres actifs d’une association criminelle organisée en bande de malfaiteurs, et porter l’affaire à la connaissance du Roi de Belgique, rien n’y fait… Pire que la tentaculaire mafia Sicilienne qui protège leur poule aux œufs d’or qui finance les colonies Juives en Palestine. Etant Français vivant en France, les lois Françaises concernant l’escroquerie au jugement attendent de pieds fermes la bande d’escrocs !
L’Escroquerie (en ce compris la tentative) au jugement consiste à tromper la religion du où des juge(s) dans le but d’obtenir un titre avec lequel le demandeur pourra porter atteinte à la fortune de la personne condamnée, de vouloir obtenir en fraude des droits d’autrui une décision de Justice. Ce délit est sanctionné sur le fondement du délit pénal de l’escroquerie qui est défini par l’article 313-1 du code pénal. Il est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (par personne s’y étant impliquée). En l’occurrence, les escrocs (Hans Stevens et sa société) et leurs avocats complices (Maître Delphine Mallien et Maître Yann Cuypers), ont créé deux plaintes irrationnelles avec Constitutions de Parties Civiles auxquelles était jointe un faux contrat d’assurance (entre-autre daté après le vol et non signé) pour cacher l’authentique contrat basé sur la convention de 200.000 euros via une histoire alternative créée par le Procureur du Roi des Belges afin de protéger le Groupe AXA des méfaits de son Agent Général spécialiste en exfiltration d’œuvres d’art et qui assure les musées et oeuvres d’art du Gouvernement Belge…
Il est vrai que sa rareté et son importance permettraient sans aucun doute d’entrer dans les événements les plus exclusifs du monde pour les automobiles de plus d’un million d’Euros/dollars (la valeur actuelle de ma LéaFrancis, qui n’existait au moment du vol qu’en 3 exemplaires). Elle ferait également une entrée très performante dans les rallyes et les tournées de premier plan dans le monde entier, de même façon que la BMW Véritas qui m’est proposée… J’ai répondu que si c’était en remplacement payé par AXA en dédommagement du vol de ma LéaFrancis et de l’escroquerie envers moi, ce serait tout plaisir… Ma devise préférée est : “Ni dieu, ni maitre” (même nageur)… Nietzsche pensait que la croyance était révélatrice de quelque chose d’autre, que celui qui croit et veut croire en la croyance d’origine, et non pas dans un fable à croire. Le Parquet Belge aussi corrompu que les sbires de Zeelinski d’Ukraine estime sans doute qu’il est préférable de croire à n’importe quel mensonge plutôt que s’afficher complice d’escroquerie. Il expliquait qu’au premier stade de sa vie, de son évolution, l’homme a un esprit de chameau (il pensait à un esprit de Procureur)…
Il est docile, il supporte les fardeaux, il s’agenouille, il obéit au maître qu’il vénère, car il est payé en dessous de table pour cela, puis au second stade il devient lion, rugit, vitupère contre les valeurs morales qui lui ont été transmises… Et il agit… Il est libre, mais dans un cimetière, finale du troisième stade, auquel il n’a pas encore accédé (sic !). L’homme dispose d’un esprit d’enfant, il est son propre chef, il invente le monde et ses propres valeurs, il cesse d’obéir et de se révolter pour construire son avenir… L’enfant devient surhomme, seigneur, pas esclave… L’esprit-chameau est prédisposé à la croyance, l’esprit-lion au fanatisme, un mélange des deux est particulièrement nocif à notre intégrité, vivement qu’on redevienne enfant. Waouwwwww, quelle semaine de père peinard, je n’ai pas arrêté une seconde… Je me disais, ayant vécu vivant tout cela, surtout par rapport à la musique d’ambiance, que les Etats-Unis d’Amérique étaient passés directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation… Comment passer de George Gershwin, de Charlie Parker, d’Ornette Coleman, de Miles Davies, de Chet Backer, de Jimmy Hendrix à Taylor Swif, comment passer du génie aux plus nocifs de la décennie ?
Le temps s’étire indéfiniment dans ces moments-là ! Mêmes coupes de cheveux, mêmes fringues colorées, mêmes danses de canards tecktonisés, mêmes gueules, mi drôles, mi bonnasses, mi actrices, mi chanteuses, avec beaucoup trop de ‘mi’ pour une baguette traditionnelle dans mon genre, le tout, chronométré, haché, taillé, ciselé, on retire tous les petits poils qui dépassent pour que ce soit bien propre et plait au plus grand nombre… On est très loin de Courbet, c’est l’Origine du Monde revisitée par une shampouineuse qui mâchouille son chewing-gum, en disant : “Ah ben non, on peut pas laisser tout ça, c’est dégoutant !”… En sus de ces musiques et des pintades épileptiques, qui se ressemblent à peu près toutes, subir leurs déhanchement post-ados de danseuses qui bougent comme des têtardes (les femelles de têtards, non ?) électrifiées, est affligeant.. Je me suis ’dit STOP, pas question de tremper là-dedans… J’ai fait péter un vieux Dylan en boucle en appelant au sens civique, car il existe des dangers bien plus grands que celui d’être manipulé… Il est temps, grand temps, de se réfugier au sec, à sec, fuir ce bordel général, les fous, les demeurés et les lobotomisés-heureux qui aiment répéter les conneries télévisées et les discours politiques… Enfiler quelques verres en attendant une hypothétique éclaircie n’est plus de mise, parler librement peut nuire à votre santé pire qu’une cigarette, on est sur le point de ne plus pouvoir manger ce qu’on veut… et des amendes (salées) tombent si on refuse d’obéir…
2 commentaires
מאסטר, מאמר מעולה, בדיוק חסכת הרבה כסף (בהשוואה להכנסה של צרפתי ממוצע) על ידי התרחקות מרכישת מכונית DIY זו ועל ידי ניתוח הקפיצים הפסיכולוגיים שהיו יכולים לגרום לך להחליף. “לה פונטיין” לא שקל את גניבת המכונית הנדירה שלך. אם זה היה המצב, הוא היה מייצג אותך כפומה: חוכמה, תבונה וסבלנות, סמכויותיו של הצ’יף?
C’est réellement captivant de vous voir résoudre ce qui parait insoluble aux Popu’s… Il est vrai queles tehniques informatiques relèguent les échanges épistolaires classiques à un âge révolu ou on trempait da plume dans un encrier ce qui laissait plus de temps pour peaufiner le sens des mots, car l’auto-correction n’existant pas encore il fallait re-écrire la lettre jusqu’à ce qu’elle paraisse impeccable… Dans peu de temps des robots IA répondront directement à d’autres robot IA qui pourront également payer les factures, répondre aux courriels du lectorat qui seront eux-mêmes générés par d’autres robots IA… Et tout ela dans toutes les langues imaginables.
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