2026 Bertone Runabout
Bertone n’est plus Bertone mais son spectre a été accaparé pour le réinventer comme un nouveau Bertone qui est une Intelligence Artificielle créatrice de Bertone’s… Le résultat est inégalement mièvre, pas assez de deux photo (ci-contre) pour donner l’apparence de protos roulants, les huit autres formant une dizaine au total qui en deviennent quelconques pour un résultat pas vraiment médiocre, mais pas au TOP capable d’enthousiasmer les malheureux, qui sont indiscernables des mâles heureux… Me retrouvant à la quatrième ligne de ce texte, PAF d’un coup c’est la fatigue qui me submerge… Dans d’autres cas semblables, j’efface avant publication… et vais dormir… Mais dans ce cas rien n’aurait du être publié d’autant plus que les couleurs des carrosseries me sont apparues mochardes à vomir… Je suis de surcroit de très mauvaise humeur d’avoir regardé ce mercredi 5 mars 2025 20 heures sur BDSMTV, notre Président Macron pérorer : “Nous sommes en guerre contre la Russie, nous devons haïr plus que détester Vladimir Poutine et nous sur-armer”...
Et y allant même contre Donald Trump et l’Amérique… Je me dois de préciser que la Russie n’est absolument pas en guerre contre la France, ni contre l’Otan, qui n’ont aucun Droit ni Pouvoir International en leur faveur. Et notre Président n’a aucun Droit de l’affirmer ni d’agir contre la Russie… Il nous trompe pour créer une atmosphère délétère et un climat haineux pour de basses raisons d’orgueil personnel… Vladimir Poutine Président Russe est par contre furieux que les accords de Minsk 1 et 2 ont été une tromperie et que le Gouvernement Ukrainien mis au pouvoir par un coup d’Etat orchestré par “l’Occident et la CIA Américaine” a ensuite massacré les Russophones du Donbass… Un génocide… Mais il y a du pire là-dessous avec une extrapolation des pratiques corruptives extrapolées des méthodes maffieuses liées aux vaccins Covid, des retours camouflés sur comptes indétectables en fonction des dons de charité à l’Ukraine… Ce système s’étant généralisé aux dons à l’Ukraine, devenant quasi hors de contrôle, seule une guerre destructive permettrait de détruire toutes preuves…
On y est depuis ce Jeudi 6 mars 23h30 via un discours nocturne du Président Macron… C’est la preuve qu’i y avait nécessité pour les bénéficiaires du système des retours financiers payés sur des comptes off-shores indétectables aux donneurs des dons de charité à l’Ukraine, d’entrer en guerre en faisant un maximum d’effets de style et en compilant les discours… Ce qui se déroule actuellement c’est un rideau de fumée pour les escrocs pouvoir se dégager de l’impasse consécutive à ce que Donald Trump a découvert via ses moyens d’informations quasi illimités… Parmi mes nombreuses pratiques, comme critiquer et tutoyer la part des anges, je collectionne les expressions françaises, de préférence surannées, d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. J’enfoncerais des portes ouvertes si je ne vous disais pas que je suis fier comme un ancien Bar-Tabac de mes années révolutionnaires culminant en mai’68 (j’avais 19 ans) de ce spicilège de près de trois mille expressions, au bas mot, parées de cet esprit gaulois qui nous est propre…
Tout cela est idiot puisque c’est de l’idiotisme, qui selon la rousse aux gros roberts, est une forme linguistique propre à une langue donnée, qui ne possède pas de correspondant syntaxique dans une autre langue. On dira en français, qu’il pleut des cordes ou des hallebardes alors qu’un grand breton dira qu’il pleut des chats et des chiens et je ne sais pas pour vous, mais je préfère prendre un chat sur la tête plutôt qu’une hallebarde. Je ne fais pas cela pour grossir le trait, être la mouche du coche et faire monter la mayonnaise… Que nenni, pas plus que jouer au chat et à la souris verte, cueillir la noisette, chercher la pierre philosophale, pédaler dans la choucroute, mettre des bâtons dans les trous, cracher dans la soupe, pisser dans un violon, trouver la quadrature du cercle, faire avancer le Schmilblick ou yoyoter de la cafetière. Non, je fais cela parce que j’aime ce qui est de guingois, tiré par les cheveux, alambiqué voire capillotracté. À table, la bonne chair et les bons mots se mêlent et s’en mêlent et je suis du genre à remettre le couvert.
Toutefois je ne suis pas du genre à m’embarquer sans biscuit, dès potron-minet, en voiture Simone, à la tienne Étienne, par ici la balayette. Si je suis dans mon assiette, je mets les petits plats dans les grands, je suis habile de mes mains comme un cochon de sa queue, je peux être soupe au lait, je peux chercher un foie-gras à perpète-lès-oies, couper des cheveux en quatre, prendre mes désirs pour une télé réalité, mettre la main au panier pour en tirer la substantifique moelle, m’endormir sur le rôti ni faire passer un chameau par le chas d’une aiguille, que non… Je n’envisage pas me battre contre des moulins à vent ou des Morgons et prendre mes jambes à mon cul pour aller à Tataouine. À un poil de cul près, je connais toutes les expressions en rapport avec la table et les vins. Quand le vin est tiré, il faut le boire pour le croire, je peux me faire verser un pot-de-vin comme la Cheffe de l’Union Européenne sans boire la tasse comme Zelenski et Macron, même si c’est du pipi de chat que mettre de l’eau dans son vin quand on a les yeux plus grands que le ventre.
Quand je suis entre deux vins, entre la poire et le fromage, j’ai la pêche ou la frite, je fais la tournée des grands-ducs, je bois comme une éponge, je me pique la ruche, je tombe sur la cerise, rond comme une queue de pelle et avec une gueule de bois à faire vomir un charpentier. Cela étant, après, je suis triste comme un bonnet de nuit, je me referme comme une huitre, je suis aimable comme une porte de prison, j’ai une langue de bois, je couche à la belle étoile et, gros-jean comme devant, j’attends que les alouettes me tombent toutes rôties dans le bec. Voilà ou j’en suisse concernant cette Bertone… Lorsqu’elle n’est pas occupée à maintenir le V-10 de Lamborghini en vie dans de nouvelles supercars sur mesure comme la récente GB110, le groupe de design Bertone est apparemment à pied d’œuvre pour créer d’autres modèles sur mesure à partir de ses rêves fiévreux. Maintenant, il y a ce Runabout à moteur central V-6, développant plus de 400 chevaux qui se décline en plusieurs saveurs charmantes.
Le plus important, peut-être, est le fait que Bertone essaie de ramener les phares escamotables au goût du jour. Voici ce que je sais jusqu’à présent de ce projet destiné à 2026. Étant donné la nature des règles et règlements sur les impacts de piétons qui étouffent les phares escamotables dans la plupart des marchés, je suis curieux de savoir comment Bertone prévoit de s’en tirer. D’une part, seuls 25 exemplaires du Runabout seront peut-être construits, ce qui pourrait l’aider à se qualifier pour une sorte d’échappatoire de sécurité à volume limité. L’autre probabilité est que ce Runabout ne sera tout simplement pas vendu sur la plupart des marchés, puisqu’il n’y en aura que 25, donc il ne faudra pas être choqué d’apprendre qu’il n’y a pas de livraisons prévue, mais rien n’est encore sûr. Deux configurations sont prévues : une Barchetta et une Targa ; la Targa est livrée avec un pare-brise plus grand et un toit rigide amovible. Trois profils de couleurs seront disponibles : Rame Antico (une couleur cuivrée), Azzurro Mediterraneo (un bleu) ou Bianco Perla (une teinte ivoire nacrée).
Le design du nouveau Bertone Runabout est tout simplement bof… Avec une barre DRL intégrée à l’avant du nez, un profil avec une forme en L et une ligne inférieure dramatique, c’est incertain… À l’arrière se trouvent deux feux arrière circulaires montés dans d’épais coins de la carrosserie, avec ce qui est probablement une ventilation pour le V6 monté au milieu sortant des trous arrière du panneau arrière. On dit que ce V-6 développera 460cv. Bertone qualifie le Runabout, vaguement des années 1970, de “chef-d’œuvre néo-rétro”… Ouaihhhh ! Il est censé ouvrir un nouveau chapitre pour le constructeur automobile sur mesure en ce sens qu’il sera le premier d’une série d’une nouvelle collection Bertone Classic. Les précommandes pour le Runabout sont ouvertes dès maintenant, et il devrait être livré à partir de la mi-2026 pour un prix de départ de 350.000 euros. À chaque jour suffit sa peine, à d’autres, dénicheur de merles ou de perles, les absents ont toujours tort, un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers, les beaux esprits se rencontrent…
Les battus paient l’amende, les bons comptes font les bons amis et quand la goutte d’eau met le feu aux poutres, la bible ne fait pas le moine, mouette qui pète, gare à la tempête, Nagasaki ne profite jamais et qui mange du chien chie wa wa ! Il est de bon aloi de dire que j’ai une araignée au plafond, appelez un chat un chat si tu l’as sur le bout de ta langue de vipère, ne t’occupe pas du chapeau de la gamine, arrive comme le Marquis de Couille-verte, je dirai même plus, ne va pas tuer un âne à coups de figues… Pas plus que faire un trou dans la nuit et même si on a pas frotté le lard ensemble, ni joué à touche-pipi… Bref, je le vois arriver comme un pet sur une toile cirée, tout ce pataquès pour des mots, pour du français… Alors, va te faire voir chez les grecs, j’aurai mon travail d’Hercule, mon supplice de Tantale, mon talon d’Achille, mon rocher de Sisyphe, ma victoire à la Phyrrus. J’irai me me perdre dans un dédale, ouvrir la boîte de Pandore, aller de Charlyne et Pricillia et, dans le tonneau des Danaïdes, tomber dans les bras de Morphée et dormir sur ses deux oreilles… Impérial…