Citroën V8 22cv 1934
La “22” Super-Traction Citroën à moteur V8, reste une énigme 90 ans plus tard… C’est donc un potentiel opportuniste à oser saisir à pleines-mains pour devenir riche sur le dos des vaniteux-égomaniaques avant la réintroduction de la soupe populaire, des tickets de rationnement, du badge Sanitaire clignotant obligatoire “Je suis Vax !” et autres dingueries issues du nouvel Ordre Eugénique mondial ! Sous prétexte du médical, tout passe et trépasse !
Le panard intégral, le scoop franchouille capable de faire passer la vaccination anti Covid en dernier plan des infos de BFM, A2 et TF1, c’est pour vous, d’apparaitre rapidement (mais pas trop quand même), sans s’arrêter, au volant d’une 22 Citroën cabriolet, dans un lieu ou s’agglutinent les photographes de presse pour un scoop mettant en scène une super-star merdiatique… Ne surtout pas aller trop lentement, ni même stopper afin que personne ne remarque que votre “22” est fausse… Et pas trop vite pour que les photos soient légèrement floues… Garanti que vous éclipserez Macron, Zemour et Lepen durant les journaux TV et en couverture des magazines survivants… En effet, la “22” Citroën, c’est le Graal de l’automobile franchouille, pis qu’une Ferrari 250GTO et une Bugatti Atlantic ! Vous deviendrez ensuite multimillionnaire en osant dire que c’était vous et en vendant votre Kit-22 à prix d’or après m’avoir acheté mon idée dont la date de diffusion/publication fera foi en Justice !
Pendant des décennies, les ambitions mécaniques de Citroën ont été totalement en contradiction avec son budget. Et il serait juste de dire que les berlines haut de gamme de la marque n’ont jamais reçu le moteur qu’elles méritaient. Cette malédiction est la conséquence de la non-commercialisation par Citroën dans les années ’30 de “LA” voiture qui serait devenue emblématique dans le monde entier, une version prestigieuse à moteur V8 de l’innovante Traction Avant, appelée 22CV. Le véhicule n’a jamais vu la lumière finale qui l’attendait en fin d’une chaîne de production. Près de 90 ans plus tard, la 22-Super-Traction reste la seule Citroën jamais équipée d’un moteur V8, ainsi que l’un des modèles les plus mystérieux de l’histoire de l’automobile Française.
Sortie en avril 1934, la Traction Avant a été célébrée comme un modèle d’innovation. Son moteur à quatre cylindres était monté à l’envers des habitudes “classiques”, entre les roues avant et la cloison pare-feu, tandis que sa transmission était située à l’avant de la voiture. La Traction Avant était une construction monocoque et faisait tourner les têtes avec des lignes relativement aérodynamiques. C’est sur ces bases solides que Citroën a tenté de construire ce qui aurait pu devenir sa première vraie voiture de luxe.
Les ingénieurs ont envisagé la 22CV comme un modèle phare, permettant à l’usine Citroën d’être un drapeau de conquète au-dessus des segments traditionnels dans lesquels elle fonctionnait normalement. Cette V-8 Traction Avant n’était pas destinée à renvoyer Bugatti à ses moteurs borgnes techniquement dépassés et la obliger Pépère Bugatti à travailler jours et nuits pour réaliser une vraie conquête industrielle… Imaginer Bugatti debout la nuit, travaillant, c’est comme rêver que la Terre est plate ! Le nom 22CV désignait la puissance nominale imposable, une pratique courante en France à l’époque. La puissance provenait d’un V8 à soupapes en tête de 3.820cc conçu en interne et censé développer au moins 100 chevaux. Ce moteur n’était en aucun cas lié au V8 à tête plate de 3.650cc lancé en Amérique en 1932.
Les premiers tests ont conclu que le V-8 donnait à la 22CV une vitesse maximale d’environ 87 mph (environ 140 km/h), un chiffre respectable à une époque où la vitesse était encore un luxe, en particulier en Europe. Les phares intégrés dans les ailes avant et un emblème en forme de chiffre “8” fièrement affiché sur la calandre, figuraient parmi les éléments de conception qui distinguaient la 22CV des variantes à quatre et, à partir de 1938, six… cylindres, mais les modifications intérieures se limitaient en grande partie à un compteur de vitesse spécifique au modèle et à des mises à jour mineures liées à la garniture. Citroën avait l’intention de dévoiler sa 22CV au salon de l’auto de Paris en 1934.
Créer pour ce, rapidement un V-8 à partir de zéro avec un budget restreint, avec la technologie des années 1930, était une tâche ardue. La plupart des historiens s’accordent à dire que les premiers prototypes de 22CV lâchés sur les routes publiques étaient propulsés par le V8 à tête plate de Ford, ce qui pourrait être la source de la rumeur selon laquelle le design a été copié à Dearborn et collé à Paris. Cette stratégie a permis à une équipe d’ingénieurs de vérifier les renforts structurels ainsi que les modifications de suspension apportées à la Traction Avant, en enregistrant des kilomètres réels pendant que d’autres essayeurs peaufinaient le moteur sur un banc en préparation du lancement prévu en 1934.
À première vue, Citroën a tenu sa promesse de dévoiler la 22CV à Paris en 1934 en présentant trois voitures au salon de Paris, dont un roadster et le moteur V-8, sur un stand pour les spectateurs. Certains clients de haut niveau se sont même vu proposer d’essayer une quatrième voiture “22” pour un tour rapide à travers Paris. Mission accomplie, n’est-ce pas ? Pas exactement.
Près de neuf décennies plus tard, les historiens ne sont toujours pas d’accord sur la question de savoir si les voitures exposées sur le salon étaient équipées d’un moteur, sans parler du V-8 susmentionné. Un show car (le modèle à empattement long) était exposé avec ses deux capots ouverts, il ne fait donc aucun doute qu’un V8 Citroën se trouvait dans ce compartiment moteur, mais les autres étaient fermés et verrouillés. Mais qu’est-ce que les quelques chanceux ont fait exactement dans la 22CV pendant le trajet du salon de l’auto? Était-ce un moteur Ford ou Citroën ? Strictement personne ne le sais.
Un point qui ne doit pas être sous-estimé: la 22CV n’était pas simplement un gadget de type expo-sciences bricolé avec toutes les pièces disponibles à l’époque. Il a été développé, construit et testé avec la production de masse à l’esprit. Citroën avait même commencé à imprimer du matériel marketing, comme des brochures de vente pour ses concessionnaires. Citroën a même pris une poignée de commandes. La littérature d’époque (aimablement envoyée à Gatsby par le département des archives du constructeur automobile) esquissait les contours d’une voiture créée pour l’élite. Elle était disponible en berline à six ou neuf places et en cabriolet, entre autres styles de carrosserie.
La préparation de la 22CV pour la production a été plus difficile que prévu, et le temps n’était pas du côté de Citroën. Les ingénieurs ont rencontré des problèmes avec la transmission manuelle à trois vitesses, dont les engrenages n’étaient pas bien adapté au V-8, et ils ont simultanément essayé de résoudre les problèmes tout en expérimentant avec des unités automatiques et manuelles à quatre vitesses. Certains prototypes surchauffaient, d’autres prenaient feu et les rapports faisant état de problèmes structurels effrayants n’étaient pas rares. La 22CV commençait à ressembler plus à une auto fantôme qu’à un vaisseau amiral prestigieux, et les ressources financières de Citroën étaient dangereusement faibles. L’entreprise avait ressenti tout le choc du krach boursier de 1929, mais le fondateur de l’entreprise, André Citroën (1878-1935), a malgré-tout dépensé une petite fortune dans le programme Traction Avant dans la première moitié des années 1930. Il a également rénové l’usine de Quai de Javel à Paris. Sa prédiction selon laquelle le succès de la voiture standard à quatre cylindres justifierait ces investissements s’est avérée être loin de la réalité !
Les premières voitures précipitées à la production étaient en proie à des problèmes (y compris des arbres de transmission qui claquaient) qui donnaient à la voiture une réputation ignoble. Face à des dettes croissantes, Citroën va déposer son bilan en décembre 1934. Michelin va intervenir pour sauver l’entreprise, l’empêchant d’être nationalisée, et va ostensiblement évincer André Citroën. En effet, un coup d’œil au bilan de Citroën a déclenché une panique de cinq alarmes simultanées dans la salle du conseil d’administration. Des mesures strictes d’économie ont été annoncées, notamment la réduction du budget publicitaire du constructeur automobile, la fermeture d’usines et la vente de sous-marques non essentielles. Ce qui s’est passé ensuite dépend en grande partie du puits d’information dans lequel vous déposez votre seau. L’une des nombreuses suppositions est que Michelin a mis en conserve le projet 22CV et a ordonné à Citroën de détruire tout ce qui s’y rapportait, comme les pièces, les documents et les machines. Une autre est que Michelin a clivé le budget alloué au projet mais l’a laissé se poursuivre après la reprise. Et, certains soupçonnent que les leçons apprises de la 22CV ont été canalisées dans la 15-Six qui a été lancée en 1938 avec un moteur 6 cylindres. Quoi qu’il en soit, la prise d’alimentation a été retirée dans les années 1930.
Ne cherchez pas une 22CV dans la collection Citroën ou dans un salon automobile chic, il n’en reste pas. L’une des affirmations les plus crédibles et les moins controversées qui gravitent autour de la voiture est que les quelque 20 prototypes construits ont été rassemblés et ramenés à l’usine, où ils ont été convertis en “11” Normales et, conformément à la stratégie des profits d’abord, vendus à des acheteurs sans méfiance. Cependant, une autre hypothèse est que certains des prototypes n’ont pas été pris dans la passoire et ont continué à vivre une vie raisonnablement normale. C’est un peu tiré par les cheveux et il n’y a pas suffisamment de preuves pour étayer cette histoire, mais gardez à l’esprit que Citroën a détruit les M35, les GS Birotor, et le lot complet des préséries de la 2CV !
Si une 22CV a miraculeusement survécu, elle n’a pas été découverte et aucune des observations de 22CV signalées n’a été vérifiée. L’un des ouï-dire les plus intrigants est venu d’un concessionnaire Citroën à Chartres, qui traitait les demandes de pièces des colonies et des territoires d’outre-mer. En 1948, il aurait reçu un télégramme du Vietnam demandant les pièces nécessaires à la reconstruction d’une pompe à eau 22CV. Le magasin a répondu que les pièces n’étaient pas disponibles. C’était ça. La pompe à eau a-t-elle été reconstruite à l’aide de pièces que le mécanicien avait posées, ou la 22CV était-elle garée dans une cour vietnamienne et oubliée ? L’histoire est-elle même vraie ? Seule une longue expédition au Vietnam pouvait apporter des réponses. Mais, si un prototype de 22CV a vraiment été envoyé au Vietnam, quelles sont les chances qu’il ait survécu à des années brutales de guerre ? Probablement pas bon.
En attendant, le dernier vestige de l’infortunée 22CV est une lunette de phare patinée découverte dans un atelier de réparation à Lyon en 1966. Encadré il a été vendu aux enchères pour 5.580 euros en 2019.
15 commentaires
Très sincèrement ? L’article me rappelle de bons moments à lire le livre qui s’apparente à une enquête, c’est le mystère qui est intéressant. L’objet automobile, les spéculations autour de morceaux de ferraille, et les gens qui se déguisent en André Citroën pour faire des photos m’intriguent. Doit-on les envier ? En rire ? En pleurer ? S’agit-il de déviances que la richesse et l’érudition permettent ? Je ne les envie pas, mais qui suis-je pour juger ?
La notion de condition humaine a fini par revêtir un sens philosophique pour souligner une situation dans le monde, une manière d’y être présent, d’y vivre et d’y agir. Pourquoi cette expression utilisée par Montaigne (l’humaine condition) a-t-elle trouvé au xxe siècle une sorte de consécration ? Pour ma part, je m’en moque, mais Sartre a propose une explication très “Sartirienne” (forcément) :
“Ce n’est pas par hasard que les penseurs d’aujourd’hui parlent plus volontiers de la condition de l’homme que de sa nature. Par condition ils entendent avec plus ou moins de clarté l’ensemble des limites a priori qui esquissent sa situation fondamentale dans l’univers”… Le genre limpide qui provoque le mal de tête ou la nausée comme qui regarde le vieux navet cinématographique “Le Genou de Claire” en attente d’une érection masochiste !
Trois constats donc pour Sartre : 1° Le succès de la notion de condition humaine vient de ce qu’elle concurrence celle de nature ; 2° C’est en termes de “limitesa priori” qu’on peut la caractériser ; 3° Il faut admettre le caractère lâche de la définition…
J’explicite ces trois considérations :
1. Il est bien connu que la notion même de nature humaine a subi, lors des derniers siècles, des ébranlements liés à la suspicion essentialiste qu’elle véhiculait. Lorsque Montaigne affirme : « Chaque homme porte la forme de l’humaine condition », il ne cherche nullement à définir un concept d’humanité offrant à l’humain sa norme, sa mesure. En clair, il n’existe pas de représentation universelle de l’homme, mais seulement des êtres humains concrets. Plus de nature humaine, mais une condition humaine.
Tout cela ne fait que compliquer…
Est-ce que cela décrit l’homme tel qu’il est naturellement, indépendamment de tout contexte, l’Homme universel ? Ou bien est-ce un état instable qui change en fonction de l’histoire, de l’expérience ou même de l’époque ? Comment réfléchir sur sa propre condition si ce n’est en la comparant à celle de d’autre que l’homme ?
Prenez un Dafalgan et masturbez vous avant de continuer…
OK, c’était cool…
Bien…
Votre remarque et vos questions posées en déclinaisons sont difficiles à résoudre donc à y répondre car elles posent la question de l’essence de l’homme : que sommes-nou s? Y-a-t-il une essence propre à l’homme ou n’est-elle qu’une illusion ? Et même s’il en existe une, l’homme peut-il trouver sa propre essence comme une Citroën 22 ? N’y-a-t-il pas un problème éthique à vouloir enfermer l’homme dans une certaine définition ? Cela ne met-il pas en péril sa liberté ? (ce qu’il en reste !)
Ce qui semble évident, c’est le fait que la condition de l’homme dépend de son existence. À priori, il paraît donc absurde de chercher la condition humaine dans une essence spirituelle et fugitive car non seulement elle est inaccessible et donc invérifiable mais en plus, elle met en péril la liberté de l’homme. S’il est impossible de trouver en chaque homme une essence universelle qui serait la nature humaine, il existe pourtant une universalité humaine de condition. Ce n’est pas par hasard que les personnes d’aujourd’hui parlent plus volontiers de la condition d’homme…
L’expérience de l’existence humaine, nous fait prendre conscience d’un certain nombre de tensions profondes, que les grands philosophes (dont moi himself en personne) scrutent lorsqu’on leur pose des questions telles que les votres, bien qu’elles sont en réalité des remarques questionnantes destinées à me casser les pieds !
-Vie/Mort
-Individu/Société
-Liberté/Destin
-Finitude/Perfectibilité
Ces quatre “couples” de mots constituent sans doute les paramètres de la condition humaine !
Parce que l’homme est un organisme vivant, il naît, croît et meurt, comme tout ce qui vit. Il n’a qu’une vie, mais elle est essentiellement vouée à la mort. Cependant, au fond de lui-même, quelque chose lui fait désirer échapper au temps, à l’espace.
Parce que l’homme est un organisme vivant, il est seul à pouvoir exercer les activités nécessaires au maintien de sa vie : manger, boire, digérer, apprendre, connaître, se situer dans son milieu et dans l’univers, donner à sa propre existence un sens. Personne ne peut penser à sa place. Par contre, il a besoin sur le plan physique des éléments contenus dans la nature qui assurent sa vie comme organisme ; il a aussi besoin des autres sans qui il ne peut se réaliser ; il est un être fondamentalement culturel et solidaire. C’est là que je diverge car je me suis ingénié à ne plus avoir besoin des autres qui m’empèchent de me réaliser ! Je suis deviendou politiquement incorrect, anti-culturel de salon et anti-solidaire des abrutis, crétins, imbéciles, débiles, pro-vaccins politiquement-correct et lecteurs d’autres magazines que mes miens… En fait ces critères m’on amené qu’à n’aimer que mon chien et moi-même, une simplification qui m’aide à ne pas sombrer dans la dépression générale, parce que je suis un être capable de choix, parce que je suis libre. Toutefois je ne suis pas convaincu d’être maître de ma destinée dans la mesure où un acte humain autre que mes miens peut être essentiellement un acte hostile. Par contre, je suis conscient que beaucoup d’éléments dans la vie ne dépendent pas de moi, je doits subir la connerie générale. L’homme ne choisit pas de naître, ne choisit pas ses gènes, ne choisit pas son temps ni son espace. Beaucoup de contraintes à la fois physiques et culturelles lui sont imposées par le fait qu’il est un être physique, vivant, intelligent et responsable. Il est dépendant sur bien des plans… Et cela me tue… D’où que je meurs à petit feu, quelque part heureux que cette grande comédie se termine à un moment donné… Je vous en ai déjà causé, je suis déjà mort plusieurs fois, et mourir c’est comme s’endormir fatigué des conneries qu’on doit subir !
Parce que je suis un organisme vivant, je reste limité de temps dans l’espace tant physique que culturel. Quand on réfléchit un tant soit peu aux différents aspects de la condition humaine, on peut mieux mesurer l’ampleur des défis que l’homme doit relever pour simplement se réaliser, donner un sens à sa vie, et faire son bonheur à travers ces contradictions… et c’est franchement fatiguant voire épouvantablement chiant…
J’ai été malin pour le livre, je l’ai lu en été, numérisé à l’automne et le papier me chauffera cet hiver ! Votre article est très bien, synthétique, et ne tombe pas dans le pièce de l’hyperspécialisation stérile.
Constitue-t-il en vous une synthèse synthétique cérébrale ? Ou produit-il en vous une synthèse chimique ?
Quel serait le montage à envisager pour celui qui souhaiterait se lancer dans la fabrication d’une réplique ayant le droit de rouler en Franchouille ? L’auto ayant été homologuée aux Mines, une carte grise FFVE est possible mais son authenticité semblera difficile à prouver, sauf à corrompre des incorruptibles ! Peut-être une immatriculation à l’étranger ?
Suicidez vous avant, vous souffrirez moins !
Article sur la Traction Hi-Boy que je relisais pas plus tard qu’il y a 5 jours, mais sans possibilité de laisser un commentaire !
Oui… Ahhhhh ! Ohhhhh ! Waouhhh ! Qu’en dire ? Elle fut mal reçue des customizeurs franchouilles primates qui en étaient aux casquettes et feux de gabarits de camion installés sur le toit… C’était la guerre du Kustom… La lutte entre Hommel et moi, puis sa délation fiscale pour me couler (117 millions et ça va durer 8 ans pour m’en sortir)… Le Hi-Boy était à mes yeux, la fin de mes illusions ! Le fait qu’on me l’a volé à ajouter du piment à ette affaire et j’ai tourné la page, écoeuré… Depuis lors je déteste les gens (en général)…
Vous en saurez plus sur la 22 mon cher Gatsby, avec l’envie d’écrire un article Gonzo où vous rejoindrez l’auteur en Thaïlande pour partir enquêter sur la 22 ! J’ai toujours interprété la chute d’André Citroën non pas comme une somme d’échecs techniques, mais comme une catastrophe annoncée lorsqu’on confie une entreprise à quelqu’un souffrant de troubles bipolaires. Cette analyse n’engage que moi.
Je viens d’écrire un article, je n’ai pas envie d’en rajouter ni de contribuer à l’édification d’un mythe dont je ne retirerai rien financièrement ! Mais j’apprécie votre envoi; je lirai, l’hiver approche !
Merci pour le wetransfert de ce livre qui, brièvement parcouru en diagonale, me semble bien écrit.
Je vais en savoir plus, ou moins sur la 22 ?
Dans le genre, j’avais publié quelques articles humoristiques sur ma Citroën Traction Hot-rod Hi-Boy qui m’avait été volée en cause d’un garage du sud de la France dont le boss s’est suicidé ! Cela remonte à très longtemps (années’80)…
https://www.gatsbyonline.com/automobile/a-la-recherche-du-hot-rod-hi-boy-citroen-traction-avant-le-st-graal-est-detruit-349617/
A la recherche du Hot-Rod Hi-Boy Citroën Traction Avant, le St-Graal est détruit… – Gatsby Online
Chaque année, en mai, lorsque je descendais à Monaco pour les ventes aux enchères Coys et Bonhams, je visitais mes amis locaux et je leur reposais toujours la même question : “Souvenez-vous bien !Qu’est devenu mon Hot-Rod Citroën Traction Avant jaune…
http://www.gatsbyonline.com
J’en ai un autre du même style
https://www.gatsbyonline.com/automobile/burnout-final-341348/
Article sur la 22 que je relisais pas plus tard qu’il y a 5 jours, mais sans possibilité de laisser un commentaire !
Il me faut faire régler, ou régler moi-même les paramètres du site, mais avant vous personne (ou presque) n’écrivait…
Le plus beau sentiment qu’on puisse éprouver, c’est le sens du mystère. C’est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n’a pas connu cette émotion, qui ne possède pas le don d’émerveillement ni de ravissement, autant vaudrait qu’il fut mort : ses yeux sont fermés.
Albert Einstein.
Tout naît, tout passe, tout arrive au terme ignoré de son sort : à l’océan l’onde plaintive, aux vent la feuille fugitive, l’aurore au soir, l’homme à la mort.
Alphonse de Lamartine
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