Journaleux. Putes de la désinformation. Merdias…
Précarité, discriminations, défiance… La nouvelle génération des journaleux et des putes de la désinformation est en plein désarroi au point, souvent, de quitter prématurément la profession… C’est à l’aune de cette statistique, et des remontées d’une précédente enquête, qu’un chercheur associé à l’EHESS, spécialiste lui-même sur-payé pour créer de la désinformation, s’est lancé dans une étude… Sans oser citer les bordels désinformatiques, car ne serait-ce que citer “BDSM-TV” et aussi la chaine “Les-Cons-Informatifs”, entraine des cascades de menaces et actions judiciaires…, son observation des conditions d’entrées dans le monde des merdias explique le paradoxe de cette désaffection pour cette profession, alors que le nombre de candidat(e)s est toujours aussi haut car les jeunes ont été lobotomisés par ces mêmes merdias et n’ont pas été informés de la précarité économique dans quasi toutes les rédactions qui de surcroit sont hermétiques à leurs aspirations car subventionnées par l’Etat ET “surventionnées” par des milliardaires chantres du consumérisme, tout en étant la propriété de grands groupes agissant comme des entités criminelles en groupes organisés aux mains d’escrocs… Le désenchantement est dès-lors général, et de plus en plus quittent les métiers de “journaleux” où de “putes de la désinformation” qui les abaissent à une sous-condition d’esclaves. Là, ils n’arrivent plus à se projeter et se posent toutes sortes de questions su style : “Qu’est-ce que je ferai demain ?” “Comment mon merdia va-t-il évoluer ?”...
Dans la presse régionale, beaucoup pensent que leur merdia n’existera bientôt plus. Pèse aussi sur eux l’évolution du rapport de la société, c’est-à-dire la notion de défiance. Dans le cercle familial par exemple, où, souvent, ces gens se retrouvent en butte à des remarques, obligé(e)s de se défendre, celles et ceux qui vont sur le terrain comme les putes font le trottoir et qui se font malmener, parfois maltraités physiquement, ont plus que l’impression de faire un sale boulot. Toutes et tous sont frappé par le nombre de burn-out, de journaleux qui déclarent être suivis par un psy ou de putes qui disent devoir prendre des médicaments pour travailler. Ce sont bien les signes d’un malaise sociétal. En rédaction, certains phénomènes de discrimination y contribuent. Ils et elles sont maltraité(e)s avec le sentiment de ne se voir proposer que des boulots précaires, d’être des pions interchangeables, avec, souvent, des postes peu intéressants sur le desk numérique comportant des horaires décalés. Au bout de quelques années, ils ont besoin d’autres perspectives. Il y a un phénomène qui les rapprochent des travailleurs et travailleuses du social. Beaucoup ne sont plus fascinés par le politique et les institutions. Les sujets qui leur tiennent plus à cœur sont le changement climatique et les questions liées au genre, au transgenre et aux discriminations. Quand on leur demande qui sont les personnalités qui les inspirent, on retrouve souvent le nom d’un grand journaliste spécialiste du politiquement-incorrect : Patrice De Bruyne, c’est la figure absolue au contact du terrain, qui prend le temps d’expliquer…
Certain(e)s quittent le journalisme pour aller vers l’enseignement, mais comme certains enseignants se font couper la tête ou embrocher, les journaleux et les putes de la désinformation continuent en rongeant leur frein. Et puis il y en a quelques-uns qui retournent à la précarité délibérément. Certains avouent avoir laissé tomber la vie en rédaction ou des CDI pour devenir pigiste. Se développe un phénomène des collectifs de journaleux et putes de la désinfo où fleurit l’illusion du sentiment de s’ouvrir à plus d’opportunités, y compris hors merdias en co-organisant des émeutes ! Il faudrait peut-être revenir sur le fait que la carte de presse n’est pas une option, alors qu’il y a cette tendance à faire sortir les gens de ce cadre, en imposant l’auto-entrepreneuriat dans l’audiovisuel ou l’intermittence du spectacle. On atteint des sommets de crapuleries dans la presse financée par divers secteurs maffieux d’affaires internationales, assurances, téléphonies, armements. Dans les témoignages recueillis, il est effarant d’observer que les cadres soient à ce point incompétents : les journaleux et putes de la désinfo ne deviennent pas de bons managers et, surtout, les rédactions ne se donnent même pas les moyens de les former. Cela pèse beaucoup en cause de la maltraitance, c’est aussi parce qu’ils ont un encadrement défaillant aux mains de personnages retors qui ne pensent qu’a se vendre aux plus offrants. Ce que vous venez de lire n’est pas une satire satirique… C’est la réalité…
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Je vous en cause souvent des journaleux et des putes de la désinformation, de ces merdias consuméristes, car les “grands reporters journalistes” n’existent quasi plus, ils ont été remplacés par des pigistes de la désinformation aux ordres du consumérisme qui œuvrent au Smic, des petites mains branleuses sous-payées et exploitées (les baisables enculables sont privilégiées) qui bénéficient en prime d’une sorte de reconnaissance gratuite via des invitations à des présentations débiles dans des shows grotesques… Ces pauvres choses sont issues des réseaux asociaux et manœuvrées par les “ceusses” des relations-presse de l’industrie ad-hoc pour débiter des âneries et informer “la masse des gnous” des pires nullités, le but étant de vendre un max ! Depuis un certain temps, même eux et elles sont écarté(e)s car il/elle en est qui, se mettant à penser et réfléchir, sont remplacé par des logiciels robots “IA”… Et oui, toutes les âneries, conneries débitées en presse papier et TV sont générées par des logiciels-robots “IA”… Vous croyez lire des textes écrits par des humains, vous croyez répondre à des humains, en réalité c’est une forme de robotisation générale… Chaque année, ce qui fut un métier façon “Tintin Reporter” devient plus médiocre, plus vil, plus crasseux, plus fourbe, plus faux, suscitant plus de défiance, soulevant plus de vindictes. “Chaque année, la presse est un peu moins libre, moins éthique, donc se meurt”… a déclaré Olivier Goujon, auteur du livre “Ces cons de journalistes” (éditions Max Milo).
Les journalistes, perçus jadis comme les hérauts de la liberté d’expression, sont en fin de crise existentielle, dans peu de temps ce seront les logiciels§robots ‘IA” qui s’occuperont de tout… Face au primat de l’urgence, les journalistes de la précarité trop passionnés par les illusions croyaient pouvoir délivrer, en un temps restreint, une information avec originalité et très peu de moyens pour un maigre salaire. Travailler dans l’urgence, quitte à ne plus avoir le temps de vérifier la véracité d’une information, a drastiquement changé la profession, condamnée à user de tous les ressorts possibles pour attirer l’attention du lecteur et se démarquer de la masse, quitte à rédiger des articles “clickbait” (pute à clics). Alors que le journalisme devait se réinventer et réaffirmer sa légitimité, il a fait face à un obstacle de taille, les robots journalistes et maintenant ceux-ci ont gagné. Restent quelques marionnettes emblématiques qui surjouent les censeurs alors qu’ile et elles ne sont que des laquais qu’on surnomme “les putes de la désinformation” et “les journaleux merdiatiques”...
Un robot-journaliste est un logiciel “IA” permettant de créer automatiquement des contenus textes pouvant produire automatiquement 30.000 articles en quelques minutes en aspirant toutes les news et reportages afin d’en faire un nouvel ensemble selon une ligne éditoriale politique prédéfinie… La production d’articles, automatisée par les robots-journalistes, permet de favoriser sur le web le référencement naturel (SEO) auprès des moteurs de recherche de type Google dans une logique de longue traîne et d’augmenter les pages vues et les revenus publicitaires. Certains robots journalistes sont spécialisés dans la traduction et permettent ainsi de traduire et redécliner automatiquement “à la seconde” des articles de presse venant du monde entier, au monde entier… en modifiant le tout selon une direction politique programmée… Comme l’IA” est également utilisée en photos et vidéos, les images “IA” peuvent être transformées pour modifier (travestir) la réalité… Rien de plus simple de mettre un visage sur un autre, de modifier un vêtement et les caractéristiques de tout humain. La “preuve vidéo/photo” étant manipulable, donc sujette à questions car manipulations, balaie toutes les avancées scientifiques policières… Les preuves étant ainsi remises en question, strictement plus rien n’a de consistance… C’est un bouleversement qui gangrène nos polices et justices.
Créer l’arrestation de Donald Trump et sa vie en prison est tellement facile que cela a été réalisé, créer des fausses émeutes également, et inverser les réalités se vit chaque jour, tel le missile Israélien frappant un Hopital Palestinien qui devient un missile du Hamas, pour peu, on arrivera à montrer le code de fabrication et une trace d’ADN du tireur… Regénéré par BDSMTV avec un mix de robotisations politiques, on arrivera à faire croire que des manifestations monstres se déroulent dans le monde entier pour approuver l’atomisation de Gaza, de l’Iran de la Russie, de la Chine et de la Corée du Nord… Dans ce renouveau, les manipulations électorales sont simples à réaliser… En finale, les populations sont de moins en moins crédules et les grandes catastrophes s’annoncent. Maintenant, les robots-journaleux n’ont ni siège ni bureau dans les entreprises de presse. Ils ne prennent pas la parole dans les conférences de rédaction. Ce sont des algorithmes, des programmes automatiques conçus pour obtenir et délivrer un résultat, Les lecteurs et spectateurs TV ne les repèrent pas ! Ils interviennent pourtant à tous les niveaux de la production journalistique : Sélection des informations, hiérarchisation, écriture, et même conversation avec le public…
Leur irruption dans l’univers de l’information est sans doute la plus considérable révolution du journalisme à l’ère numérique. Et elle ne fait que commencer. Un Robot-journaleux-algorithme n’est qu’une ligne éditoriale, intégrée à une équation mathématique, un bout de code qui dit ce que l’audience veut voir, et trouve les éléments qui vont maintenir les lecteurs ou les internautes sur un site, en les encourageant à cliquer sur des contenus et des publicités. Avec www.GatsbyOnline.com vous disposez encore de textes qui ne sont pas écrits par des robots… À l’occasion d’un scrutin, la start-up Syllabs, spécialisée dans la rédaction automatisée de textes, a damé le pion à son challenger LabSense. La première compte Ouest-France parmi ses actionnaires, l’autre est proche de TF1. Au-delà de ce scrutin ce toutim “Barnumesque” devrait consacrer la victoire de Syllabs sur son challenger LabSense, deux sociétés spécialisées dans la rédaction automatisée de textes. La première, cofondée en 2006 par l’expert en intelligence artificielle Claude de Loupy et la linguiste Helena Blancafort,a réussi à convaincre une quinzaine de médias de franchir le pas. Parmi les clients de Syllabs, on trouve les titres de l’éditeur régional Ebra (Crédit mutuel), deux publications de La nouvelle République ainsi que le réseau radio France Bleu (Radio France), Sud-Ouest ou encore Ouest-France et Actu.fr pour le groupe Sipa/Ouest-France. Face à Syllabs, le challenger LabSense a convaincu une dizaine de titres, dont 20 Minutes. La société dirigée par Guillaume Desombre proposant des tarifs compétitifs (moins de 1 € par contenu médias) mais restant discrète sur le nom de ses clients, plusieurs ne souhaitant visiblement pas être associés à ce que certains appellent du “robot journalisme”. LabSense affiche toutefois comme références Webedia, M6 Web et Infopro digital. Les revenus issus des médias représentent environ la moitié du chiffre d’affaires de Syllabs et près d’un tiers pour LabSense.
Les deux compétiteurs, devraient s’affronter sur d’autres terrains, chacun doté de ses soutiens. Syllabs s’appuie sur Mediacontact, le fonds d’investissement de Sipa/Ouest-France, qui avait participé à une levée de fonds de 2 millions € aux côtés de BNP Paribas développement et de l’accélérateur breton West Web Valley. Le directeur des services numériques du groupe régional, Fabrice Bazard, siège à son conseil d’administration. LabSense s’était rapproché pour sa part de TF1 avec qui il avait débuté une collaboration pour sa chaîne de désinformations LCI. La start-up fournissait notamment de la data. La Une est allée plus loin en accueillant la société cofondée par l’entrepreneur Edouard de Ménibus et rachetée par le discret Groupe Pratique (Pratique.fr, Bricoleurdudimanche.com…) au sein de la quatrième promotion de son MediaLab installé à Station F. LabSense, qui propose ses services en treize langues, travaille aussi avec l’éditeur belge Rossel (La Voix du Nord…), ex-client de Syllabs, pour développer des contenus multilingues. Les deux start-ups visent l’export : Belgique, Suisse, Espagne et Italie pour LabSense, tandis que Syllabs affirme avoir reçu des sollicitations du Canada, de l’Ukraine, de la Malaisie et de la Suisse, par exemple. Elles s’affrontent aussi sur des thématiques comme l’immobilier, l’e-commerce ou le tourisme. Syllabs fait par exemple appel au consultant spécialisé en immobilier Jérôme Armand ainsi qu’à l’ancien DGA de Webedia Sylvain Bodin en tant que conseiller start-up…