Volkswagen Kübelwagen Typ82 1944
Vendue aux enchères pour 99.000 $ plus frais et autres le 24/05/24, cette VW Kubelwagen représente une partie de tout ce est lié au nazisme et est “Verboten/Interdit”, du moins d’en faire l’apologie… Mais comme VW et Porsche quoiqu’issus du Nazisme ont été imposés comme étant des produits “politiquement-corrects” pour des motivations consuméristes, cette absurdité gérée par le propagandisme des USA, fait que ces symboles de la puissance industrielle nazie, sont maintenant célébrés, alors que présenter des véhicules militaires Russes des mêmes années 39/45 qui ont pourtant contribué à vaincre les Nazis (qui sont devenus Ukrainiens et vouent un culte morbide à Stepann Bandera) sont poursuivis…
A défaut de collectionner des chars Tiger et Panzer conçus avant le début du conflit par Ferdinand Porsche membre éminent du parti Nazi, tout comme les industriels Opel et Mercedes de cette époque, la VW Kübelwagen est présentée comme étant une alternative “acceptable” et plus simple que de posséder “du lourd”… C’est un tout-terrain léger à deux roues motrices (AR) avec une carrosserie ouverte simpliste mais relativement compliquée, montée sur le châssis et dotée des même éléments mécaniques de la voiture civile appelée alors “KdF-Wagen”, devenue plus tard la fameuse et emblématique VW Cox/Käfer, récupéré comme étant la voiture de l’amour et des fleurs par les Hippies…
Ne comptez pas sur moi en croyant que mes 75 ans me “sénilisent” et me décredibilisent, car mon “Papa-Antoine” a été blessé par les Nazis dans le cadre du travail obligatoire, en son cas à la construction de l’usine VW… A mon incompréhension qu’il ait acheté une VW Split en 1949, il m’a rétorqué qu’il n’y avait rien d’autre de disponible à ma naissance… Traumatisme ingérable… Bref… Pour ce qui est de la Kübelwagen, afin d’améliorer le bricolage initial de Ferdinand Porsche (membre du parti nazi), ses capacités tout-terrain ont été réalisées via sa garde au sol augmentée par des ponts-portiques (des essieux surélevés avec un système d’engrenages disposés sur les moyeux de chaque roue) avec réducteurs au niveau des jantes.
Ceux-ci augmentaient le couple de traction. Dans le même but, la voiture avait également été équipée d’un différentiel de la société ZF (Zahnrad Fabrik) située à Friedrichshafen, c’était un autobloquant à galets qui augmentait les capacités de franchissement en terrain “complexe” donc “glissant”.. . Par sa légèreté et son différentiel autobloquant, la VW Typ82 en 4×2 (quatre roues dont deux motrices) s’est souvent montrée meilleure en franchissement que les fameuses Jeep » MB ou GPW 4 × 4, beaucoup plus lourdes et sans différentiels verrouillables qui les ramenaient aux performances d’une 4 × 2 lorsque deux roues patinaient d’un même côté.
Conçu comme petit véhicule de transport de troupes, la KdF Kübelwagen était agile, fiable et plus facile à produire que les Jeep américaines. L’armée allemande en utilisa 55 000 exemplaires durant la Seconde Guerre mondiale. Il n’y a pas grand chose d’autres à en écrire susceptible de vous scotcher devant votre ordi ou Smartphone si ce n’est qu’en 1968, Volkswagen lança la type 181, assez semblable à la Kübelwagen visuellement par ses lignes extérieures, mais sans aucune pièce commune avec le véhicule militaire de 1940. Avec la mode de l’écologie et le mouvement hippie, étaient apparus aux États-Unis divers véhicules récréatifs, comme le Meyers Dune Buggy (kit artisanal sur un châssis raccourci de Coccinelle).
Il existait donc une demande pour des voitures “de plage” décapotables et ayant certaines capacités en tout-terrain pour une deux roues motrices.
Cela devait conduire Citroën à produire la Méhari (sur base de 2 CV), Renault à lancer la Rodéo et Austin/Leyland la Mini Moke… Tous ces véhicules n’étaient pas des quatre roues motrices (hors versions spéciales comme la Rodéo SINPAR ou la Méhari 4 x4), mais avaient certaines capacités de franchissement sur mauvais chemins. La VW type 181 baptisée “The thing” (la chose) aux États-Unis, “Safari” au Mexique et “Trekker” en Grande-Bretagne avait des ponts-portiques comme la Kübelwagen originale.
Motorisation : Kdf Volkswagen 4 cylindres à plat, refroidis par air 985 cm3, 23,5cv (17 kW) à 3200 tr/min / 1.131 cm3, 24,5cv (18 kW).
Poids à vide : 725 kg… Poids total en charge : 1 025 kg… Garde au sol : 29 cm… Empattement : 2,4 m.
Longueur : 3,74 m… Largeur : 1,6 m… Hauteur totale : 1,6 m… Hauteur (capote et pare-brise baissés) : 1,12 m.
Voie avant : 1,35 m… Voie arrière : 1,36 m.
Pneumatiques : 5.25×16… Jantes : tôle emboutie en acier, 5 trous, entraxe 205, 16×4,5
Cette Kdf Type 82 de 1944 est donc l’une des quelques 50.000 Kübelwagen construites à la Stadt des KdF-Wagens entre 1940 et 1945 pour être utilisés par l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a été acquise et utilisée en Alaska par le propriétaire, ancien nazi qui s’était volontairement fondu dans les neiges… C’est une variante standard à quatre places finie en beige avec camouflage marron et vert, et la puissance provient du quatre cylindres à plat de 1,1 litre refroidi par air associé à une boîte-pont manuelle à quatre vitesses et à un différentiel à glissement limité. Les caractéristiques supplémentaires comprennent plein de choses que je vais énumérer pour remplir l’espace…
La chose est équipée de moyeux de réduction des vitesse à l’arrière, d’une suspension sautillante très indépendante aux quatre roues, d’une capote en toile qui n’est pas étanche, d’une sellerie en vinyle noir, des feux avant et arrière Notek et d’une pelle montée sur un des flancs. Cette Kübelwagen dispose d’une trousse à outils d’époque et est immatriculée légalement en Alaska. Le développement de cette Type 82 a commencé après que papa Adolf a contacté son ami Ferdinand Porsche pour créer un véhicule de transport léger capable d’être utilisé sur route et hors route, pour la gloire de l’Allemagne nazie. La production a commencé en 1940 et s’est poursuivie pendant toute la guerre.
Cet exemplaire est peinte en beige avec un motif camouflage brun et vert imitation d’époque. Les caractéristiques supplémentaires comprennent une capote en toile, des phares montés sur les ailes, deux rétroviseurs latéraux et une pelle latérale. Un feu Notek avant réfléchit la lumière vers le bas pour éviter la détection par les avions, tandis qu’un feu Notek arrière comporte un point lumineux conçu pour aider les convois à estimer la distance de suivi. Les jantes en acier de 16 pouces sont peintes en beige avec des marquages de camouflage et montées avec des pneus Fulda Transport M 6.00-16. La puissance de freinage est fournie par des freins à tambour à câble.
La suspension indépendante à barre de torsion utilise des amortisseurs tubulaires à simple effet à l’avant et des amortisseurs à bras de levier à double effet à l’arrière. Les sièges avant individuels et la banquette arrière sont équipés de coussins garnis de vinyle noir. Les caractéristiques comprennent un plancher en caillebotis et des essuie-glaces… Une sacoche en toile est suspendue au rail de support du tableau de bord et un compartiment de rangement derrière le siège arrière abrite trois jerrycans. Le volant à trois branches se trouve devant un compteur de vitesse à 100 km/h, un contacteur d’allumage et des voyants d’avertissement. Le compteur kilométrique à six chiffres indique 31k kilomètres. Le kilométrage total est inconnu.
Le quatre cylindres à plat de 1,1 L refroidi par air est équipé d’un seul carburateur à aspiration descendante et d’un bouchon de remplissage d’huile. Une pompe à pneu et une manivelle de cric sont fixées à l’intérieur du capot moteur. La boîte-pont manuelle à quatre vitesses avec différentiel à glissement limité transmet la puissance aux roues arrière par l’intermédiaire de moyeux réducteurs. Une boîte à outils en bois abritant un assortiment d’outils accompagne le véhicule ainsi que trois jerrycans d’époque… Je ne trouve plus dans ma tête de quoi réaliser une saga plus longue, contentez-vous de mon possible qui vous est offert…