Coney-Island’Rod…
Ouaissss ! mon Popu que j’aime parce que tu t’es abonné à www.GatsbyOnline.com et https://www.gatsbyonline.com/category/secrets-interdits/ en plus d’acheter Chromes&Flammes magazine chaque trimestre…, tu crois que scribouiller des texticules déjantés apporte la gloire ?
Tout dépend, va savoir… avec un mag’hors normes, politiquement incorrect comme Chromes&Flammes, c’est possible…, mais que nenni mon Popu pour les écrits balancés dans des mag’s stéréotypés de conneries et en pige pour des sites-web pourris de culs dilatés, de sexes turgescents et d’annonces de vieilles putes sadiques habituées de passes qui ne délient les bourses qu’en paiements liquides via des fellations à l’arrache dent…

Il y en a plein qui rêvent de royalties qu’ils ne toucheront jamais, parce que le marché parallèle a pris soin de sélectionner les intermédiaires-intérimaires à la petite semaine, trop usurpés, usuriers et compromis pour être honnêtes…, qui à la longue dépriment et se rendent tardivement compte qu’ils sont devenus des scribouillards merdeux.
Tant de temps et de gens perdus et inutiles discourant de riens et de moins que rien, rendent bancal, suant d’angoisses et perlant de chaude et froide gastro-entérique, les plus ahuris des miteux de sévices dont les corps d’un sursaut inné encore en vie, somatisent et hurlent que cette vie, là, précisément, ne vient de rien pour n’aller nulle part, une No-Way suicidaire.
Ces talents qui rapportent à peine un kilo de pâtes de survie hebdomadaire aux morts-vivant de l’écriture stéréotypée, sont égayés par des putes aux dents longues, perdues dans le monde étroit et blême d’un monde halluciné…, des plantes vénéneuses en pots qui font surface le temps de te polir le gland, vider tes bourses et remplir leurs coffres-forts.
Dans une noirceur effrayante, sur le web, glauque, j’ai érigé un autel de mes pensées, tapotant à l’infini des vécus sur le clavier de mon ordinateur, comme si le monde était gardien de mon temple…, mais un jour de fin de monde, l’heure de l’appel morbide a retentit, j’ai viré les putes…, et des charognards noirs et damnés ont pris leurs places…, je vis maintenant non plus vraiment au milieu de mes automobiles, mais souvent plus qu’il n’en faut devant mon ordinateur… et, en ces moments d’euphoriques extasies lubriques, me reviennent des histoires…