COYS – Ventes aux enchères, escroqueries et blanchiment !
Quantités d’histoires affreuses circulent sur toutes ! Je les connais presque toutes ! Les Cy de ventes et les histoires, qui sont vraies ! J’ai même été en grââââves procès contre quasi toutes, toujours gagnés, sauf contre les protégées du système, particulièrement en France ! Sauf une fois victorieux contre Maître Poulain avant qu’il ne s’abrite sous Artcurial sous le giron de Dassault…
https://www.gatsbyonline.com/automobile/l-enfer-du-monde-des-automobiles-dites-de-collection-357151/
Et contre Coys qui jouait à la perfection les cartes truquées de l’Off-shore Britannique avec des avocats sans foi ni lois ! Coys c’est la pire… Vous souvenez-vous d’avoir entendu des histoires sur la maison de vente aux enchères britannique Coys ? Sur sa grande histoire ? A propos de sa disparition ? Comment le propriétaire de l’entreprise a-t-il été arrêté par la police allemande lors du salon Techno Classica d’Essen ? Et comment l’entreprise a laissé de nombreux propriétaires de voitures sans leur voiture ou sans leur argent ? Je suis l’un d’eux concernant une Chrysler Le Baron de 50.000 euros d’il y a 15 ans. Comme peu après une autre de mes voitures (une LéaFrancis) a été volée par complicité directe ou indirecte d’un certain Hans Stevens qui ne l’a pas gardiennée comme c’était son obligation en Responsabilité Civile (regardez la viméo ci-après)
Le procès est toujours en cours en cause des directives de copinages et manipulations d’un Haut Magistrat complice de l’Agent Général AXA pour la Belgique qui a réalisé et utilisé une fausse assurance antidatée créée à l’appui d’une plainte “bidon” pour créer une diversion. Tout est expliqué/commenté dans la Viméo ci-dessous. Toutes les preuves “matérielles” (la fausse assurance et ses annexes) sont visibles sur la page du site : https://www.gatsbyonline.com/automobile/1929-cord-1988-lea-francis-425712/
En France c’est la valse des chassis en doublettes refabriqués, la Flicaille est de bonne/mauvaise volonté à cause des relations en très très hauts-lieux, TRACFIN a refusé d’intervenir, c’est dire si c’est grave une Alfa Roméo Zagato unique au monde dont l’original est en France (maintenant en Angleterre malgré qu’elle a été déclarée au Patrimoine National Français) l’autre est en Allemagne. Même numéro de chassis !
https://www.gatsbyonline.com/automobile/alfa-romeo-8c-1932-figoni-chassis-2211079-379278/
Il y a aussi la Bugatti découverte au fond du Lac de Cuemo, son numéro de chassis est utilisé par une réplique à l’identique qui a été vendue par la même Cy de ventes aux enchères qui a vendu la découverte au Musée Mullin aux USA, que celle vendue l’année précédente “comme neuve” à un Japonais !
https://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-1-348639/
https://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-2-349809/
https://www.gatsbyonline.com/automobile/une-bugatti-sauvee-des-eaux-3-349948/
Il y a la Ferrari Enzo en perte totale, en épave dont le numéro de châssis récupéré/acheté par Jean Todt en personne a servi à construire à l’usine Ferrari une nouvelle Enzo identique, vendue par Sotheby à un Français de l’est de l’Hexagone…
https://www.gatsbyonline.com/automobile/ferrari-enzo-crash-342741/
La liste est interminable. C’est pire encore pour les tableaux dont 80% sont faux ! C’est le dernier bastion ouvert à toutes les fraudes imaginables dont les caches sont les zones off-shore inviolables… On ne passe plus depuis longtemps les oeuvres d’art en cachette des douanes, elles vont naturellement se blottir dans un container ou une chambre forte luxueuse comme un hôtel 6 étoiles dans les Port-Francs… C’est simplissime.
Revenons à Coys. L’entreprise qui a commencé en 1919 à une histoire riche et grandiose, cependant, ces dernières années, les histoires à leur sujet étaient – c’est le moins que l’on puisse écrire – beaucoup moins positives car étant des successions d’escroqueries. J’aime beaucoup enquêter sur ces magouilles, c’est d’ailleurs grâce à un cabinet Israélien que j’ai appris qu’un Procureur Belge très haut placé avait “fricoté sexuellement” avec une dame qui a ainsi été amenée à déposer une plainte fictive (inventée) contre moi, une affaire que j’ai gagnée, mais que le même Procureur Haut placé assoiffé de vengeance à manipulé l’affaire LéaFrancis pour protéger les voleurs et receleurs… C’est dingue à quel point les magouilles sont partouze ! En 1919, le nom Coys a été vu pour la première fois dans les rues de Londres, l’entreprise était à l’époque antiquaire et a été achetée par Charles Howard. C’était un vrai passionné de voitures, ainsi qu’un vrai commerçant. Il a gagné beaucoup d’argent dans l’achat et la vente de voitures classiques sous le nom de Coys. En 1981, Jeffrey Pattinson a repris l’entreprise et, avec Douglas Jamieson, Coys est devenu l’une des principales sociétés de vente aux enchères et la société a acquis une réputation de premier ordre. Beaucoup de garages de voitures classiques ont commencé leur carrière en travaillant avec et/ou pour Coys.
En février 2003, Coys a été racheté et est devenu Coys of Kensington Automobiles Ltd avec Chris Routledge et Douglas Jamieson agissant en tant qu’administrateurs. En mars 2004, 1,65 millions de livres sterling ont disparu, laissant 33 créanciers les mains vides. Par un coup tordu gigantesque les deux mêmes administrateurs ont racheté Coys of Kensington Automobiles Ltd avec une fraction de l’argent volé et ont créé une nouvelle société : Coys of Kensington Ltd, disposant des mêmes actifs et le même fonds de commerce et en utilisant le même nom, la même adresse et les mêmes activités ! Chris Routlegde et Douglas Jamieson étaient très fortiches ! Le comble de l’escroquerie est que les vendeurs et acheteurs lésés qui agissaient en justice pour récupérer ou leurs automobiles ou leur argent, se voyaient répondre après plusieurs années que les plaintes étaient sans valeur car cette société n’existait plus… Comme la nouvelle même société n’était pas officiellement impliquée, l’escroquerie était parfaite, consolidée par la complexité fiscale des sociétés Off-Shore !
C’est là que j’ai été floué de ma Chrysler LeBaron et perdu 50.000 euros de cette époque ! Fortune faite, Jamieson a quitté l’entreprise vers 2010 et a disparu aux Caraïbes ! En 2012, le vendeur d’une Chrysler LeBaron (si, si, c’est moi) a déposé plainte auprès de la “Advertising Standards Authority” (ASA), expliquant que Coys utilisait les termes “fondé en 1919” et “depuis 1919” dans leurs documents contractuels et leurs publicités ce qui démontrait que c’était toujours la même firme en continuation et que Coys m’avait induit en erreur, pareil pour les autres clients et trompait “la religion du Juge” (Escroquerie au Jugement). En réaction, l’ASA a déclaré que les mentions “fondée en 1919” et “depuis 1919” n’étaient pas exactes et, en tant que telles, étaient destinées à tromper les clients puis la Justice, c’était donc une escroquerie doublée d’une escroquerie au jugement ! Ci-dessous la Convention signée “entre parties” en “Entry-Form” qui stipule que ma Chrysler LeBaron 1931 a un prix de réserve de 50.000 euros.
Selon les nombreuses sources à qui nous avons parlé, Coys allait d’enchères en enchères, essayant de payer les vendeurs précédents avec l’argent espéré de la vente suivante. Inutile de dire que ce système de Ponzi n’allait pas durer éternellement ! Et puis le Covid-19 a aggravé les choses. Le 17 avril 2020, Coys of Kensington Ltd, avec les administrateurs Chris Routlegde et Ben Manch, est (une fois de plus) entré en administration judiciaire (pré-faillite), laissant de nombreuses personnes les mains vides soit un total de 95 créanciers, totalisant une somme totale de £ 5.856.897,30. dont mes 50.000 euros qui étaient devenus 100.000 avec les intérêts ! En examinant le rapport d’expertise judiciaire, d’évidence l’entreprise était dans une situation d’insolvabilité depuis très longtemps. L’entreprise connaissait de très graves difficultés depuis 2017 ! Selon le rapport, les actions en justice portaient sur un certain nombre de points : les titres de propriété falsifiés par Coys, les véhicules vendus sans les autorisations nécessaires et les véhicules vendus à une valeur inférieure à celle convenue via les “entry-Form” contractuels. Pour le dire clairement, la Justice Britannique a considéré cela comme des activités criminelles qui étaient aidées par des magistrats !!! Un montant stupéfiant de près de 6 millions de livres sterling s’est évaporé.
Chris Routledge a été emmené menotté par des policiers allemands lors du salon Techno Classica d’Essen et écroué immédiatement en prison en Allemagne ! Via l’un de nos contacts (un initié comme moi qui connait parfaitement tous les rouages des escroqueries et magouilles des Cy de Ventes aux enchères d’automobiles de collection), nous avons mis la main sur toute l’histoire. “Un collectionneur allemand a vendu sa Miura lors d’une vente aux enchères Coys à Monaco. Le nouvel acheteur a payé le prix de vente à Coys qui a refusé de payer directement le vendeur, invoquant un problème administratif ! Un an plus tard, le vendeur n’avait toujours pas reçu son argent. Il a envoyé “quelqu’un” au bureau de Coys à Londres, qui a constaté que l’entreprise Coys n’avait plus l’argent pour payer le vendeur ! Au lieu de cela, ils ont demandé si le vendeur accepterait une Porsche 959 en compensation de l’argent perdu. Le vendeur a accepté (car c’était mieux que rien). Chris Routledge a assuré au vendeur que Coys possédait la Porsche 959 et qu’un accord avait été conclu. La voiture s’est rendue au garage du vendeur en Allemagne, mais en moins d’une semaine, la voiture a été saisie par la police allemande. Il s’est avéré que la voiture n’appartenait pas du tout, ni n’avait jamais appartenu à Coys. Elle appartenait à un garage allemand. Le vendeur était de retour à la case départ. Il a commencé à désespérer (comme moi) de pouvoir un jour récupérer son argent (comme moi) et a décidé d’entamer des poursuites judiciaires en contournant le piège de “l’Off-Shore” (comme moi). Cela a conduit la police allemande à se présenter au début de la vente aux enchères Coys Techno Classica, marchant jusqu’à Routledge qui se tenait sur la tribune de la vente aux enchères, le menottant devant le public (médusé) et le conduisant au milieu des divers Palais de Essen avec une paire de bracelets traditionnellement portés avec les mains liées derrière le dos. L’argent de la Miura a été payé le lendemain !”…
Cette histoire est similaire à de nombreuses autres histoires dont la mienne. Fait frappant, l’une des histoires les plus répétées que nous ayons entendues concernait l’utilisation constante d’excuses. Coys a inventé excuses après excuses pour ne pas payer les vendeurs, du style : “le PDG doit signer le chèque et il n’est pas au bureau” ; “le comptable est en congé annuel”, et cetera. Une autre personne a bloqué la porte de Coys avec son camion, juste avant que Coys ne veuille transférer les voitures pour une vente aux enchères à venir. Inutile de dire qu’il a obtenu son argent rapidement. Cela ressemble presque à un vieux film de gangsters ! Comment est-il possible que ces transactions frauduleuses aient continué à se produire et que ces escrocs aient pu continuer à faire des affaires ? Ce n’était pas juste un client mécontent ; cela faisait partie d’un modèle utilisé un nombre incalculable de fois. Des acheteurs qui pensaient avoir de la chance et ont acheté une voiture à bas prix via une vente aux enchères de Coys, et qui ont ensuite reçu la visite de la police car il s’est avéré que le vendeur avait signalé la voiture comme volée puisque Coys n’avait pas payé le vendeur et a adjugé la voiture pour beaucoup moins que le prix de réserve convenu.
Il y a aussi les vendeurs qui n’ont pas pu assister eux-mêmes à la vente aux enchères et ont reçu l’argent “de la vente” qui selon Coys, était le prix de vente. Ce n’est que plus tard que l’on découvre qu’il s’agissait d’une fraction du prix de vente réel ! Ce ne sont pas seulement des rumeurs qui circulent, nous avons en fait parlé à plusieurs personnes qui sont sur la liste des créanciers. Ils ont reçu une preuve écrite de leurs réclamations légales, ainsi qu’une ordonnance de la Haute Cour ordonnant à Coys de les rembourser avant l’administration. Dans mon cas : Bernique ! … Ils m’ont volé ma Chrysler LaBaron qui vaudrait 100.000 euros actuellement !
L’un des créanciers voulait vendre sa Bugatti via Coys car ils lui avaient promis avoir un client potentiel pour la voiture. Le vendeur a fourni sa Bugatti à Coys, a reçu un mini-acompte et a attendu le paiement final. Il n’a reçu aucun argent après 12 ans de procédures (comme moi). Cependant, le vendeur a ensuite vu des photos de sa voiture participer aux Mille Miglia avec le soi-disant acheteur au volant. Coys avait falsifié la signature du propriétaire pour vendre la voiture. Pour égarer la Justice, Coys a déposé une plainte pénale contre le client pour “escroquerie” comme si le vendeur voulait percevoir deux fois la valeur de son auto… Plus ou moins le même procédé utilisé contre moi par Hans Stevens et son avocate Maître Delphine Mallien afin de noyer mon action civile visant la responsabilité de l’organisateur ! Cela ne pouvait fonctionner qu’avec la complicité d’un magistrat haut-placé !!! Avec cette Bugatti, c’est 100 millions qui ont été volés par Coys… Le même procédé utilisé par Hans Stevens et Maître Mallien leur a permis de me voler l’équivalent des 200.000 euros contractualisés par une convention, ma voiture vaudrait au moins un demi-million actuellement !
Le chapitre suivant ! En juin 2020, une nouvelle société appelée Coys of London Automobiles Ltd a été fondée. Le directeur de la société est Richard Calleri de GEOLOG, et son actionnaire est une société d’investissement basée au Luxembourg appelée Kamri Invest. La société utilise le même nom et la même salle d’exposition, mais il y a de nombreux changements. Une nouvelle société ne peut être tenue responsable des actions (fautives) de son prédécesseur. Elle a la possibilité de repartir à zéro et de fonctionner comme une toute nouvelle entreprise. Un nouveau départ avec un tout nouveau personnel. Tout nouveau cependant ? Dans le communiqué de presse de la semaine dernière, nous sommes tombés sur un nom familier : M. Nick Wells. Selon le communiqué de presse, Nick et son équipe dirigeront l’entreprise à partir de maintenant. Pour certains, il pourrait être surprenant que Nick Wells ait été nommé directeur de la maison de vente aux enchères. Bien qu’il ait beaucoup d’expérience dans le marketing et dans le secteur de l’automobile classique, il a également été impliqué dans les activités criminelles du premier Coys et beaucoup le tiennent responsable de la perte d’argent ou de voitures. La question demeure donc : Que faire de M. Wells ? Est-il lui-même un escroc ou a-t-il été victime des actes de son ancien employeur ? Certains de nos contacts ont attesté que c’est M. Wells qui leur a conseillé de vendre leurs voitures via Coys, et c’est lui qui trouvait des excuses pour la suite.
Le problème pour quiconque travaille pour la nouvelle itération de Coys est que ceux qui reniflent l’odeur de pourriture de ces Cy, doivent considérer que tout employé ou associé actuel fait partie de l’odeur de pourriture. Il est peu probable que les gens, lorsqu’il s’agit de grosses sommes d’argent, leur accordent le bénéfice du doute. Mon conseil est de mettre le plus rapidement possible de distance, car il est difficile de se débarrasser de l’odeur typique des pourris. Et bien sûr, l’efficacité implacable des moteurs de recherche sur Internet rend impossible de cacher des chapitres embarrassants.
La presse automobile est souvent complice des Cy de ventes aux enchères, la seule journaliste qui a osé révéler ces crapuleries était Sarah Jame Checkland de The Times. Elle a écrit un article sur une femme américaine qui avait acheté un fantôme d’avant-guerre, payé environ £ 635.k pour cela, puis cinq ans plus tard quand elle est venue le voir seulement pour découvrir qu’il s’agissait d’un bitsa composé à 20% d’un fantôme d’après-guerre et à 80% d’une reconstruction totale. L’affaire est venue à la Haute Cour de Londres et Coys a été reconnu coupable d’escroquerie, condamné à une amende de plus de £ 100.k plus condamné à payer une même somme à titre d’indemnisation. Le même type d’affaire s’est déroulé en France pour une réplique de Bugatti Atlantic prétendument réalisée sur un chassis authentique, alors que le catalogue indiquait clairement que le châssis était neuf ! Tous pourris ?
2 commentaires
Est-il encore bien utile de préciser que l’article est documenté, détaillé, et s’affranchit de toute langue de bois ?
Nous attendons avec impatience celui que sur Porsche 928 ex- Risky Business achetée 49 200 $ en 2011 et revenue presque 2 millions deux ans plus tard…
Les nombreuses escroqueries perpétrées par ces serpents venimeux est sidérant et je ne les connais pas toutes ! Je cause ici de ce que je connais bien ! Je crains qu’il n’y ait plus de suite, ni d’informations-presse, ni judiciaires, ni pénales en plus de ce que j’ai expliqué ! Pour se prémunir, mieux vaut ne pas participer à ces mascarades !
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