Une De Tomaso Mangusta maquillée comme une pute transsexuelle décorée façon sapin de Noël avec boules et guirlandes, introduit en janvier 2021, bien profond, dans une enculade “à sec” innovante, une évolution mécanico-intemporelle du Covid19 dans le panier de crabe des automobiles “de collection” !
Attention, mes Loulous adorés qui me lisez avec une avidité malsaine, rejeter cela va être bientôt considéré comme du complotisme, pire que prétendre que le Covid19 est une manipulation virale, d’autant que c’est Mecum-Auction qui a été choisi pour servir de propagateur ! Le Covid19 “s’automute”, “s’autopère”, “s’autodiffuse” maintenant partouze ! Oser remettre en cause les explications (les élucubrations) nébuleuses de Mécum-Auction va positionner les réfractaires comme n’étant qu’une bande de complotistes !
Dans ce cirque, Gatsby va apparaitre comme le Professeur Raoult de l’automobile, ça va délirer grave, il va falloir retrouver le pangolin à l’origine de cette création/mutation qui n’est qu’une fabrication réalisée dans le laboratoire d’un garage d’affairistes façon Kustomeux… C’est le choc, personne n’a JAMAIS entendu le moindre murmure (même étouffé) de l’existence d’une DeTomaso Mangusta Shelby MKV (Ou sont les MKI, II, III IV ?) qui, soudain, venant de nulle-part en direction du néant, se positionne en janvier 2021 comme étant “LE” prototype ultime réalisé avant la production des 402 De Tomaso Mangusta entre 1967 et 1970 !
Cette révélation quasi “Sanofienne” est destinée à se propager par contamination virale des beaufs et cons-ahuris comme étant une véritable bizarrerie historique peu connue, certes, mais “presque” devenue celle qui allait devenir la “successoresse” (successeur est invariable et du genre masculin) de la Ford GT40… qui devait être vendue chez les concessionnaires Ford à travers les USA, le monde et l’univers…
Gatsby est donc complotiste (et moi aussi) en écrivant que cette histoire est aussi débilitante que l’apparition d’un virus auto-mutant issu de la fornication d’un Pangolin d’origine douteuse et d’une Chauve-souris chinoise dans un laboratoire Franco-Chinois de créations microbiennes et virologiques destinées à des usages militaro-industriels… L’antidote c’est GatsbyOnline, qui devrait donc devenir interdit car “politiquement-incorrect”, le reste va suivre, calqué sur la campagne anti-Docteur Rouault, ça va gicler du sang contaminé, il va falloir sortir les masques en forme de faux-culs. Voici donc, en avant-première planétaire la narration “différente” de cette affaire !
Pour mélanger le vrai et le faux, il faut modifier la hauteur du piédestal de la statue de Carroll Shelby et de celle d’Alejandro De Tomaso et les placer sur un même pied d’égalité en affirmant que ce sont deux des plus grandes personnalités du monde automobile des années 1960 et qu’ils étaient des “zamis-indéfectibles”, des frères… en ajoutant sournoisement une phrase fausse destinée à débuter la sodomisation générale : “… de sorte que le fait que ces deux hommes ont réussi à travailler ensemble à au moins deux reprises est quelque peu remarquable”… C’est faux mais ça passe comme dans du beurre, pareil que dans une sodomie, il faut y aller en douceur et bien lubrifier préalablement…
Une fois débutée, l’enculade doit devenir jouissive, donc “on” va ajouter du lubrifiant et des mots doucereux tels que : “De Tomaso et Shelby étaient tous deux d’anciens pilotes de course devenus amis indéfectibles quasi inséparables et constructeurs automobiles. Ils partageaient tous deux une philosophie similaire, celle d’utiliser des voitures européennes légères avec une excellente maniabilité et de les motoriser avec de puissants V8 américains”… C’est une phrase très puissante, à la fois bidon mais crédible, le genre qui empêche de se retourner pour voir combien de centimètres restent à entrer…
Patience mes loulous, on y va en douceur, relax, c’est le moment de dire que : “Les deux hommes ont d’abord travaillé ensemble sur le projet P70 mais il a échoué, alors la disparition précoce de ce projet a eu comme conséquence la fabrication de deux prototypes entièrement fonctionnels qui vont former les fondements de la Mangusta DeTomaso, la De Tomaso Sport 5000 et la De Tomaso P70”… Là mes loulous, vous commencez à transpirer parce que vous le sentez bien fort, ça fait aussi mal de supporter ça que d’imaginer la suite… Ça vient… Et c’est de pire en pire ! “Après l’échec du projet commun, les deux hommes ont pris leurs chemins séparés, Shelby sur la gestion du programme GT40 Le Mans de Ford et De Tomaso sur le développement de la voiture qui allait devenir la Mangusta”... Vous voyez, c’est comme un coït anal interrompu, une stupidité parce qu’en analité, sauf à avoir un cul dilaté et un pénis rongé par la merde, il n’y a pas d’enfant à naître…
C’est le pet sonore, le flop-flop, l’enculé reste sur sa faim mais est heureux que ça se termine… C’est le moment du baratin, des mots d’amour apaisants et de la crème anti-douleur, ça vient avec de belles paroles ! Ce qui suit c’est la “presque” vraie histoire, Carroll Shelby n’a jamais rien eu en commun, ni à voir, ni à revoir avec Alexandro DeTomaso : “Alejandro De Tomaso est un homme de passion né en Argentine et exilé en Italie ou il devient un pilote pas très talentueux au volant de voitures de course de sa propre conception. Ses premières créations sont motorisées par OSCA et cela le pousse à tenter d’exploiter le micro-marché en pleine explosion (sic !) des voitures de sport en construisant sa première sportive sur un concept cher à lotus : un châssis poutre, une carrosserie en fibre de verre et un 4 cylindre simple et fiable, c’est la Vallelunga. Plus tard, De Tomaso à l’idée d’une voiture à moteur central et carrosserie roadster réalisée chez Fantuzzi selon la copie-modifiée d’un croquis de Pete Brock. Ce prototype baptisé 70P (ou Sport 5000) s’apparente volontairement à la Cobra. Un V8 5L Ford en alliage léger est alors à l’étude chez DeTomaso et des plans sont prévus pour une entrée en compétition à Sebring en 1966. Shelby est approché pour collaborer et financer ce concept mais il décline car Carroll Shelby devient “consultant” chez Ford pour rendre la Ford GT40 gagnante. C’est alors que DeTomaso, furieux et ayant beaucoup investi dans ce projet, a l’idée de reconvertir le prototype en un show car pour le salon de Turin avant une éventuelle mise en production pour concrétiser une ambition née avec la Vallelunga. L’habillage de la base roulante est alors confié au carrossier Ghia sur un design non pas de Pete Brock mais de Giorgietto Giugiaro. La Mangusta (ou mangouste), du nom du pire ennemi du Cobra, prend alors forme en Italie en guise de revanche envers Carroll Shelby”...
Mais, cette “presque” vraie histoire ne fait pas les affaires du vendeur de cette Mangusta, ni celles de Mécum-Auction qui s’est engagé à la vendre ! La fausse histoire revient alors et s’accroche à la connerie comme le Covid19… Elle prétend que : “La conception originale de la Mangusta a été écrite par Pete Brook et Carroll Shelby, avec quelques modifications mineures de Giorgetto Giugiaro selon les obligations de la Carrozzeria Ghia, car elle était destinée à devenir la Ford GT40 MKV sous le nom d’Iso-Rivolta”… Faut oser raconter une telle connerie, mais c’est bien joué, le faux vrai se superpose au totalement faux, parce que les cons avalent tout, tant que ça parait crédible… A ce stade, mes Loulous, il faut en profiter pour ajouter une couche de crème, l’enculade va donc reprendre…
Mais quelques mots doucereux sont encore nécessaires pour faire passer : “Pour des raisons inconnues Renzo Rivolta a rejeté la conception et Alejandro DeTomaso n’a pas perdu de temps pour tout balayer et l’acheter pour son propre usage. Il a nommé la voiture « Mangusta », le mot italien pour « Mangouste », le seul animal qui chasse, tue et mange des cobras”… Cool, voilà un fouille-merde clair dans la gueule de Carroll Shelby et ses célèbres Shelby Cobras… Faites gaffe mes loulous, la suite arrive, toujours de pire en pire…
Le moment est venu pour Mecum-Auction de raconter n’importe quoi ! “La Mangusta a été dévoilée au Salon automobile de Turin en Novembre 1966, peu de temps après un exemple a été envoyé aux États-Unis pour évaluation par Ford, avec Carroll Shelby qui va jouer un rôle de soutien. La voiture a été peinte en rouge Shelby et “insignée” (sic !) avec des éléments convenablement choisis de Shelby et centrés en position, elle a été nommée Mark V car elle était destinée à être la suite de la célèbre Ford GT40 Mark IV. Le badge “Shelby MkV sur la calandre et le schéma de peinture inhabituel sont des indicateurs que ce n’est pas une Mangusta ordinaire”...
Vous ne l’avez pas vu arriver hein mes Loulous ? Tchac, d’un coup bien profond… Zavez maintenant la gueule ouverte pour laisser sortir un cri… et…ça rentre plus profond ! “Les dirigeants de Ford ont examiné la voiture et ont finalement décidé de ne pas aller de l’avant avec ce programme, mais ils ont dû voir quelque chose qu’ils aimaient, car peu de temps après, ils ont pris une participation majoritaire dans De Tomaso. Ford a ensuite payé pour le développement de la De Tomaso Pantera, une supercar à moteur central V8 Ford, qui sera vendue par l’intermédiaire de certains concessionnaires Ford”…
Paf, enculé avec l’obligation se sucer un autre braquemard, la totale ! Le mélange des genres, un Carroll Shelby qui décline l’offre, mais DeTomaso crée quand même la nouvelle GT-40 avant que la GT-40 de Ford n’existe ! Bizarre cette distorsion de temps… Et cette GT-40 future Iso-Rivolta refusée par ISO (personne ne cause de Giogio Bizzarrini dans cette histoire débile) est nommée “Mangusta”, l’anti-Cobra, avant même qu’elle ait été présentée à Ford et Shelby… Waouwwww ! Et on raconte encore quelques mots doux à l’oreille pour y aller “à donf”… “On croit qu’une seule De Tomaso Shelby MkV a été construite, la voiture que vous voyez ici, et en raison de l’intérêt croissant pour les voitures “de collection” De Tomaso et Shelby, cette voiture qui porte les deux noms doit être susceptible de s’avérer populaire quand elle sera présentée dans la vente aux enchères”…
Avalez mes Loulous… et même si le spermentation a un gout de merdasse, il vous est interdit de remettre la parole sacrée en doute faute de quoi vous allez être taxés d’être complotistes… Mais la dose de vaccin qu’on vous injecte en cette suite va vous faire halluciner ! “Vêtue de rouge avec des rayures blanches de course et portant le logo Shelby Mk V à l’avant et à l’arrière, cette voiture est un morceau unique de l’histoire de l’automobile que beaucoup ne connaissent pas. Compte tenu des prix très élevés des Ford GT40 originales et des Shelby Cobra, il est intéressant pour vous d’enchérir pour posséder une voiture historique dont l’estimation actuelle n’est qu’entre 300.000 $ et 350.000 $US. Initialement commandée par Carroll Shelby en personne comme devant succéder à la Ford GT40 (brochure promotionnelle originale incluse) la Mangusta-Shelby est équipé d’un moteur Boss302 préparé spécialement par Carroll Shelby en personne qui a lui-même positionné les badges Shelby MkV. Les portes du moteur gullwing et du compartiment à bagages ont été créés par Carroll Shelby, devançant ainsi la Mercedes 300SL et la DeLorean. Cette Mangusta Shelby est le seul exemple connu équipé d’un spoiler arrière intégré, de deux doubles échappements, de freins à disques à 4 roues, de roues en alliage à 8 rayons”.
Là, mes loulous, zêtes au bout du bout, plus profond ce n’est pas possible la sodomie, vous a (enfin) exténué, vous êtes deviendou une loque humaine prête à signer un chèque d’un demi-million de dollars, ce qui est le but. Mais quand on croit que c’est fini, ça recommence, toujours plus fort, plus raide, plus gros, large, profond… et en rafale ! “Entre le milieu et la fin des années 1960, Total Performance n’était pas seulement le slogan publicitaire de Ford, c’était le mantra de l’entreprise. Ford a été entièrement investi dans le “Win on Sunday, Sell on Monday”, une stratégie de vente efficace ! Et en plus de la course et la victoire dans les événements NASCAR et NHRA (qui a suscité des ventes mirobolantes de Fairlane et Galaxie), Ford a voulu encaisser cash sur le succès de la GT40 Le Mans série gagnante, une voiture phare GT de route qui pourrait rivaliser avec les meilleures GT d’Europe. Ford a commencé par rebodying la GT40 MkIII, mais le prix énorme et le temps de terminer la machine construite à la main n’avait absolument aucun sens financier. Ford avait besoin de quelque chose d’abordable, qui pourrait être vendu en quantité. C’est alors que Alejandro DeTomaso, qui avait travaillé en partenariat avec Carroll Shelby a eu le génie d’une version modifiée du châssis P70 équipé du moteur FordBoss302 et carrossé de manière spectaculaire pour l’Iso de Renzo Rivolta. De Tomaso l’a nommé “Mangusta”, le prédateur du Cobra. Après ses débuts au Salon automobile de Turin en Novembre 1966, DeTomaso a envoyé une Mangusta à Dearborn chargeant Ford de l’évaluer comme un ajout à la gamme des produits Ford. Avec Shelby jouant le rôle d’un distributeur potentiel. La, Henry Ford en personne avec l’assistance de Carroll Shelby a placé les badges Shelby-Cobra sur la Mangusta, qui a été officiellement décrétée comme étant la nouvelle GT40 MkIV. Ford a décidé de ne pas importer la voiture, ce qui a finalement été fait par Kjell Qvale de British Motor Car Distributors à San Francisco qui l’a rebaptisée Qvale Mangusta Shelby Cobra DeTomaso”…
Hello mes loulous ! Z’êtes abasourdis de lire tant de stupidités ? Accrochez-vous, ce n’est pas encore terminé. Mecum-Auction réécrit l’histoire ! “Cette DeTomaso Mangusta Shelby GT40 MKV 1969 est peinte en rouge vif Shelby avec les fameuses rayures de course blanches Shelby. Un aileron arrière spécial sur mesure et unique a été positionné selon des tests en soufflerie, des pelles latérales (des entrées d’air de Shelby 69 GT350 recopiées) assurent la ventilation du puissant moteur Shelby. Sous les écoutilles arrière, se trouve un moteur Boss302 ex-Parnelli Jones Ford, reconstruit spécialement par Carroll Shelby et il est spécialement équipé de couvercles de soupapes « DeTomaso » et d’un arbre à cric (?????) pour faire fonctionner l’alternateur et le compresseur de climatisation standard. À l’intérieur, la Mangusta-Shelby dispose d’un intérieur en cuir noir avec un shifter fermé pour les engrenages d’aviron (?????), des commandes pour les ascenseurs de fenêtre de puissance (?????) et la climatisation. Une maison pleine d’instruments Veglia face au conducteur (?????), avec un compteur de vitesse de 300 KPH et 8.000 RPM rev centralement monté, flanqué de la pression de l’huile, la température de l’huile, la température du moteur, un ammètre, une jauge de carburant et une horloge. Une stéréo de rechange et des harnais de course à quatre points complètent cette remarquable DeTomaso-Shelby”
Vous êtes au bout du bout de la sodomie, vous avez été labouré, même 5 tubes de crème ne suffiront pas à apaiser vos douleurs ! Vous venez d’assister à la présentation officielle de l’épave d’une DeTomaso Mangusta retapée par un Kustomeux illettré qui a mélangé tout et n’importe quoi pour la valoriser. Le pire n’étant pas d’avoir monté/créé cette fumisterie, mais que Mecum-Auction a accepté de présenter cette chose en publiant une histoire débilitante… Fin du gloubi-boulga textuel, retournez au calme, restez quelques jours sur le ventre, pas de balades en vélo, restez calmes… Oui, bordel, c’est vrai !
Vous devez regarder la vérité en face, le monde n’est plus aussi couillu qu’avant ! Les bagnoles sont moins larges et moins lourdes, les vieux mâles d’antan meurent de mort lente… Mais où sont les impers en cuir putain ? Où sont les manteaux de fourrures et les talons en ferrailles ? Où sont les Rita, les Josette et les Gina ? Où sont les Lino, les Gabin, les Marcel Cerdant ? Où sont les guerres “à la papa”, lorsqu’il n’y avait pas encore le nucléaire et qu’il fallait se bournifler et s’étriper à l’ancienne : les yeux dans les yeux ! Avant, c’était mieux !
La voiture française est à privilégier aux fumisteries italo-méricaines la voiture franchouille a toujours été à l’image de la France : robuste dans les années ’50, puissante dans les années ’60, en nette déliquescence depuis les années ’90. Carrément merdique depuis 2000…. et franchement pédé aujourd’hui surtout avec le Covid19 et les bagnoles électriques ! Rappelez-vous, les grands coups de volants de Lino dans “Cent mille dollars au soleil”… un mec de cent kilos qui conduisait un camion Berliet dans les années ’50 !
Putain, c’est autre chose qu’une Mangusta… Rien qu’à se souvenir de ça on sent qu’affluent des litres de sève dans les burnes. Les femmes, dans les années ’50 , respectaient encore les gros moteurs et les “colonnes de direction” épaisses et bien graissées. Elles respectaient le fait que la direction assistée soit considérée comme l’équivalent d’avaler un bouquet de chibres à la viande béchamel. Qu’il faille en plus du permis B, des avant-bras pour conduire, et non des tubes frêles destinés à fister des culs sans fesses de petits plumeaux !
Les Franchouillards ne rêvent que d’aller lécher les balloches des frimeurs à la première occase qui se présente et sans la moindre once de culpabilité à ne plus vouloir représenter le saint nectaire et les sapes coq sportif de mac à la française ! Putain que c’est triste ! Tout ce qui existe a été mâché et chié plus tard comme on démoule un cake un peu honteusement dans les chiottes publiques !
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