DeLorean : Fumistes et fumisteries…
DeLorean frappe encore sous la ceinture pour vous prendre vos illusions, vos rêves et vos économies ! La nouvelle société “DeLorean Motor Company” créée après le règne et les sévices de John DeLorean, mort en escroc au champ du déshonneur, n’avait aucune légalité car montée de toutes pièces sur le cadavre de John Z.DeLorean, sans aucun lien ni autorisation avec ses ayants-droits, dont Sally DeLorean, la veuve de John Z_DeLorean …
Cette société Texane qui utilisait le nom, le logo et l’ensemble des créations DeLorean s’est retrouvée au plus mal d’un conflit juridique qui dure depuis de nombreuses années, sans rien dévoiler à quiconque ! La presse et les gogos croyaient en une renaissance, en une résurrection de l’œuvre du génial escroc ! C’était une fumisterie ! Une de plus après celles (innombrables) de John Z !!!
Un arrangement bancal en millions de US$ a plus ou moins réglé “à l’amiable” une épique bataille juridique en faveur de la veuve de John DeLorean qui affirmait et démontrait que la société texane “DeLorean Motor Company” utilisait illégalement le nom de feu son époux John Zaccharie DeLorean dans une vaste escroquerie.
Cet accord “bancal” n’a pas autorisé la continuation de la re-fabrication de ce qui n’était réellement qu’une fumisterie, car la réplique de la DeLorean DMC12 était réalisée par la “DeLorean Motor Company” (société illégale) grâce à une interprétation de la loi américaine surnommée “Low Volume Motor Vehicle Manufacturers Act”, qui, selon son directeur favorisait les escroqueries : “Cette loi était mal ficelée, elle créait la possibilité d’une interprétation permettant aux petites entreprises de produire un nombre, heureusement, limité de répliques de véhicules automobiles qui ressemblaient et avaient l’apparence de voitures produites il y a 25 ans ou plus. Toutefois comme les escrocs ont de l’imagination, ils parvenaient à contourner la loi en inventant des séries limitées, des variantes, des faux hommages, des interprétations et autres, chacune étant limitée à 300 exemplaires. Le total des répliques de Cobra par exemple est dix mille fois plus important en copies fabriquées qu’il n’a été fabriqué d’exemplaires qui sont réellement sortis des ateliers de Carroll Shelby. Cette mascarade devait être stoppée ! Lorsque la nouvelle et illégale société DeLorean a annoncé qu’elle allait sortir une nouvelle DeLorean alors que c’était une utilisation frauduleuse d’un concept européen pour Maserati rachetant les droits DeTomaso, ce fut la goutte de cyanure en trop dans le marécage. Evidement ils vont gagner du temps avec des bataillons d’avocats car ce sont des affaires qui leur rapportent des centaines de millions de dollars”...
Donc, en réalité concernant plus spécifiquement la DeLorean DMC12, tout avait été conçu pour faire croire à une “continuation”… et la voiture produite n’était pas non plus “une interprétation”, c’était simplement une copie (une réplique) 100% illégale. De plus la société (illégale) avait été constituée avec le vol de tout le stock abandonné dans l’usine située en Irlande du Nord, en ce compris l’outillage et les machines qui, exportées, ont servi à fabriquer des pièces (elles aussi 100% illégales) soit destinée à fabriquer des DMC12 neuves, soit pour des pièces de rechange s’adaptant aux “vraies” DMC12 produites en Irlande du nord à l’usine DeLorean.
Les faussaires avaient manigancé une affaire aussi fumiste que celle orchestrée par John Z.DeLorean, comprenant la refabrication de pièces de rechange (servant à la construction des répliques) dans des pays lointains (Inde, Pakistan, Chine) en laissant croire qu’elles étaient réalisées avec l’outillage et les presses utilisées pour construire les abominables “vraies” DeLorean… Ajouter de l’infamie à une voiture infâme, c’est comme monter une escroquerie sur une autre escroquerie…
A leur grand cirque s’est malheureusement pour ces gens, ajouté l’affaire du Covid19 , mais aussi les nouvelles obligations légales concernant les moteurs qui doivent être conformes à des lois drastiques en matière de pollution !
Dans une déclaration sur son site Web, cachant ses déboires avec l’héritière de John Z.DeLorean concernant sa non-propriété légale de la marque, de l’outillage, des machines, des pièces et du design… le directeur de DMC, James Espey a déclaré : “Il existe effectivement un certain nombre d’obstacles avant que la production d’une nouvelle DeLorean puisse commencer et nous sommes encore au début de ce processus pour déterminer la faisabilité d’aller de l’avant ! Les nouvelles voitures devaient être équipées d’un moteur moderne qui passe sans encombre les tests d’émissions rigoureux. Il en coûterait tout simplement trop cher pour un fabricant de concevoir et de construire leurs propres moteurs alors qu’il ne peut pas construire plus de 300 voitures par an”… Et tout cela sans avouer qu’il avait perdu le procès intenté par l’héritière de John Z.DeLorean.
A cette nouvelle fumisterie s’est ajouté l’arnaque de la sortie en 2021 d’une nouvelle fausse DeLorean utilisant les clichés rebadgés d’un projet destiné à Maserati/DeTomaso… diffusés sur les réseaux sociaux de l’Internet… les journaleux des merdias sociaux suggérant qu’il existait au sein de DeLorean Motor Company des concepts élaborés pour produire un tout nouveau modèle de DeLorean… et ce alors que la société venait d’être déclarée illégale, qu’elle n’avait pas de plans, qu’elle utilisait des projets d’une Maserati/DeTomaso… et qu’elle ne disposait pas d’une trésorerie honnête (sic !) suffisante pour lancer un nouveau modèle qui devrait porter un autre nom, sauf à payer d’importantes royalties…
James Espey, vice-président de la “New DeLorean Motor Company” (illégale) s’accrochant désespérément à ce qui devient un cirque, a toutefois persévèré à confirmer que des plans étaient en cours pour préparer la production limitée d’une nouvelle version très améliorée du classique coupé gullwing en plastique recouvert de feuilles en acier inoxydable !
La “National Highway Traffic Safety Administration” chargée aux USA de mettre en œuvre les nouvelles lois fédérales en matière de sécurité routière et des normes légales à respecter pour les constructeurs automobiles, soulignant la dangerosité des kit-cars et réplicas vendus sans certifications crash-test ni validations de construction, a alors décidé de bloquer les plans de James Espey et ceux d’autres fabricants de répliques illégales. Toutefois, ceux-ci ont joué la tangente en tentant d’expliquer aux ahuris crédules via des journaleux de merdias incompétents que la NHTSA n’avait pas eu d’administrateur permanent depuis la précédente élection présidentielle et que l’administrateur par intérim refusait de signer avec eux des accommodements “amicaux” aux divers règlements !!!… Le comble fut atteint lorsque le Gouvernement Trump a signalé que les répliques de vieilles voitures ainsi que les fumisteries habituelles de créations de stupidités roulantes étaient devenues une très faible priorité pour l’agence gouvernementale qui s’occupait du véritable essor de la technologie automobile américaine !
En effet Espey avait prétendu tout et n’importe quoi pour tenter de réaliser une nouvelle fumisterie affirmant : “Les nouvelles DeLorean devraient valoir la peine d’attendre. Construites à partir d’un mélange de nouveaux stocks (NOS) et de pièces flambant neuves, les voitures pourraient obtenir un moteur de 350 chevaux et seraient proposées à seulement 150.000 US$. Toutefois, DMC ne prend pas encore de commandes et la production dépendra en fin de compte de plusieurs facteurs. Il n’y aura pas de voitures produites en vertu de cette loi. Le Bureau de la gestion et du budget (CAMO) bloque également le tout ! Il y a encore des points d’interrogation, outre DeLorean, les sociétés à faible volume qui réalisent des copies et répliques, y compris Superformance, Revology, Icon et des centaines d’autres sont vouées à plus rien. On ne va pas regretter Trump !“.
DMC, basée à Humble, au Texas, a été fondée par Miss Wynne en 1995 pour officiellement restaurer des DeLoreans. Née à Liverpool, en Angleterre et mécanicienne de métier, Miss Wynne a finalement détourné sans les payer, la marque DeLorean et les vastes stocks de pièces laissées à l’usine abandonnée et aux concessionnaires. Miss Wayne a d’autorité repris ces pièces, matériaux et matériels qui ne lui appartenaient pas et a expédié le tout en catimini aux USA !
Avec un culot monstre croyant en une totale impunité Miss Wayne a utilisé ces pièces et l’outillage, a lancé des reconstructions illégales et a fait reconstruire des fausses DeLoréan prétendument d’anciennes DMC remises à neuf. Le succès a été tel, que Miss Wayne a créé quatre points de vente DeLorean un au Texas, un en Floride, un en Californie et un dernier en Illinois.
La société avait environ 3,5 millions de pièces en stock et une enquête fédérale sur les stocks a montré que DeLorean avait 96,7 % de ce qui est nécessaire pour construire 3.000 voitures complètes qui ne coutaient que la main-d’œuvre d’assemblage plus quelques frais d’entreposages et locaux (estimation “haute” de 15.000 US$ par voiture). A un prix de vente de 150.000 dollars, le profit était de 4 milliards 500 millions de US$ NET ! Miss Wayne et James Espey anticipaient une forte demande pour les DeLorean nouvellement construites et plus puissantes, soit plus ou moins le même chiffre que les 9.000 voitures fabriquées en Irlande pour compte de John Z.DeLorean ce qui aurait amené les profits dans des sommets vertigineux.
Le mot de la fin revient à James Espey qui a dit comme un aveu : “L’énorme popularité de la franchise des films “Retour vers le futur” a transformé ce qui aurait autrement été une autre voiture culte en une icône de la culture pop à la place. La DeLorean fait appel à des enfants de huit à 80 ans, grâce à ces films. Quelque part dans le monde quelqu’un voit un film et va ensuite sur Internet et cherche “DeLorean”… Il voit que c’est une vraie voiture qu’il peut acheter et pas un accessoire de film. Et il achète pour assouvir son rêve” !