Concernant les quadricycles DeVinci de Mr Jean-Philippe Dayraut, la question fondamentale qui se pose est celle-ci :
Sont-ils totalement conformes au RÈGLEMENT (UE) N° 168/2013 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 15 janvier 2013 relatif à la réception et à la surveillance du marché des véhicules à deux ou trois roues et des quadricycles ?
https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2013:060:0052:0128:FR:PDF
Dans la suite de l’enquête y relative, comprenant la collecte d’informations et témoignages de divers anciens employés œuvrant à la fabrication et à la commercialisation des Quadricyles lourds DeVinci, il s’est avéré que Mr Jean-Philippe Dayraut avait chargé un avocat d’obtenir leur condamnation en référé d’urgence, obtenant plusieurs dizaines de milliers d’euros de ces employés !!!
Le référé est une procédure unilatérale qui peut s’interpréter dans certains cas comme une atteinte aux libertés constitutionnelles :
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00337692/document?fbclid=IwAR1zlX2Cbslsr-aV5lYQ4qf1AypZlv_S2KTSR7f0xFT_WviStLa66Lg0RJQ
De plus dans le souci de museler un titre de presse et des vrais journalistes, le vendredi 18 octobre 2019, Mr Dayraut a chargé un avocat Toulousain de me faire le chantage suivant :
“Où bien vous effacez tout concernant mes DeVinci, sous 24h, où bien vous allez subir des poursuites judiciaires !”... prétextant que je lui aurait fait chantage à publication après celles-ci, ce qui est impossible sauf à pouvoir voyager dans le temps.
J’ai donc supprimé le texte… et je l’ai remplacé par l’introduction/information ci-dessus et celui ci-dessous…
DeVinci, Johnny, Albert et le reste du monde
ça va trop loin, ou pas assez ?
Toutes les limites sont souvent dépassées, dans tous les sens… et tout le monde s’en f…, s’en tape, s’en branle…, le monde peut bien crever du moment que les gens qui le compose, aient de quoi bouffer et puissent baiser tout le monde de ce même monde…, sans emmerdes…, du moins sans trop d’emmerdes…
Prenez le cas de Johnny, un parmi des milliers d’autres…, tant qu’il vivait en faisant la Java-Rock matin, midi et soir, les malveillants n’avaient que le tort de ne pas essayer de jouer à “je te baise, tu me baises en retour”…
Avant de lui faire les poches, y avait de quoi faire…, mais une fois qu’il est mort, ça change pas grand chose sinon que ça limite les participant(e)s à empocher une part du gâteux enterré qui n’en à strictement plus rien à f…
Tout ce que Chromes&Flammes en a eu, sont des licences et droits de publication de photos liées à une exposition dans le musée du Gendarme de St-Tropez, sans pour autant pouvoir vendre le mag’ aux visiteurs/visiteuses de crainte que ça rapporte trop au canard…
Il y a du politique en tout, faut douiller un max en haut-lieu local et partager l’hypothétique, c’est partouze pareil, avant que le fisc rapplique pour sucer ce qui resterait en finale…
En plus, faut rester poli et imiter les gueules de faux-culs en soirées mondaines pour pas faire jazzer la plouquesque…, ce qui demande du doigté partouze…, rien n’est simple dans ce schéma basique qui consiste tout simplement à prendre du flouze dans toutes les poches possibles, la seule limite c’est d’en crever…
Je vais rester dans l’édition et les bagnoles pour rester en vie, à trop en écrire, en faux-derches on pourrait m’inviter avec des tapes amicales “cher ami” a une croisière en Yacht vers la Corse durant laquelle je glisserai sur une peau de banane ou une flaque de sperme et de cyprine entre Saint-Tropez et Ajaccio…, coulé l’éditeur de Chromes&Flammes…, la grande gueule à 200m de fond bouffé par les crabes du célèbre panier…
A force de survivre et simultanément de devoir supporter tous les scandales du monde, surtout dans les affaires immobilières dans un jeu d’échecs ou il n’y a plus de règles, j’en viens à regretter de ne pas être resté architecte pour en tirer de très larges profit-eroles au chocolat…
C’est plus simple qu’éditer des magazines, passer des jours à chercher des sujets et à y enquêter… et des nuits à tapoter les textes s’y rapportant, préparer des maquettes chiadées “Top-mode” qui sortent des ordinaires mesquins et minables casses-croûtes où les journaleux-pigistes écrivent des papiers plus ou moins crétins…
Je pneu en dire que les mag’s qui disparaissent sont souvent torpillés par du social interne, les revendications et charges sociales tuent…, c’est vrai qu’être payé à-la-pige c’est dur, mais c’est tout aussi vrai que pour l’éditeur, n’avoir quasi pas de pubs par sortie avec des coûts gigantesques, crée un gouffre apocalyptique… et qu’il soit creusé encore plus par les clients annonceurs qui sont faux-culs en “autodéfinissant” les seules bonnes paroles admissibles et leur façon de penser, à un public dévot et ahuri devant les grandes marques, ne peut que donner envie d’envoyer tout le monde pêter et chier…, c’est d’ailleurs pour ça que C&F fonctionne totalement différemment…, comme le caricature France Gardin avec talent : “Faut sucer et accepter de se faire enculer pour subsister”…
Ahhhhhhhhhhh ! Je prend en exemple la campagne promotionnelle envisagée pour une étrangeté imaginée et fabriquée par un pas trop obscur du monde des courses automobiles qui s’est lancé dans la fabrication d’une “électrique”…, une sorte de réplique de la “Jamais Contente” de Camille Jenatzy qui a réalisé un record de vitesse en 1899 en dépassant les 100 km/h, mais, patatras, la claque… cette chose baptisée du nom d’un certain Léonard très connu pour sa Joconde, a le look amélioré d’un kit-car sur plate-forme VW-Cox qui serait la voiture-cinéma du Joker de Batman…, faut que l’info, la vraie passe… et pas les bobards habituels !
L’affaire est simple, voilà-t-y pas que le vendeur/loueur de Mini-Moke’s local-Saint-Tropez me demande en presque voisin du même bled, de lui trouver la même authentique Ferrari 250GTO parue dans le n°3 de Chromes&Flammes, à destination d’un de ses clients “potentiel”…, le style évanescent qui va et revient de très loin…
Je passe le saluer, lui donne les coordonnées d’un ami (“LE” plus grand expert Français, qui en connait 2 à vendre)…, en lui soulignant que dernièrement une des 37 GTO a été achetée 70 millions d’euros… et qu’avec ça, on ne joue plus dans la classe des P’tits’Bobos’locaux qui lui achètent des répliques de Mini-Moke, mais dans celle de leurs Popa milliardaires… et il me répond pile-poil à coté de ma précision, style AGAGA… qu’il devient “LE” seul concessionnaire de la zone PACA : dealer/vendeur/local de la DeVinci électrique !
Electrique égale illumination et au vu du catalogue et sans connaître quoi que ce soit de l’engin, je lui dis qu’on pourrait publier localement ce catalogue dans Chromes&Flammes… mais il en veut pluche, alors ça passe de pub locale à pub nationale, ce n’est plus 5.000…, j’estime à 30.000 un article d’une dizaine de pages en ce compris les prises de vue réalisées par un vrai photographe “PRO”, avec un matos d’enfer (spots, drone, etc.) et des jolies mannequins professionnelles hyper sexy…
Il me certifie alors pouvoir mettre 5.000 et que le reste serait pris en charge par l’usine DeVinci… et d’un coup tout devient faste, grandiose, le budget est quasi accepté pour cet article dithyrambique illustré de photos “upper-class-décalées” de mannequins “top class” !
J’ai alors eu une vision…, la DeVinci totalement anachronique m’est alors apparue non pas comme une voiturette de luxe (elle s’immatricule comme un quadricycle lourd idem que les sans-permis), mais comme une voiturette Steampunk, un mouvement qui vit sur l’anachronisme déviant…, ce qui méritait un article adéquat et une refonte de la stratégie informative, promotionnelle et publicitaire, les jolies mannequins devant être Steampunk, circulant dans l’engin, en accoutrement Steampunk, faisant leurs emplettes avec chapeau haut de forme, lunettes de soudeurs et redingotes des années ’20, chez Hermès, Dior et autres, sans oublier un déjeuner chez Sénéquier…, la totale, y compris la moue boudeuse de dédain typique “à-la-Lagerfeld” (qui est maintenant dans l’enfer éternel) et les poses devant les Yachts de look anciens exclusivement donc avec cheminées, censés être les leurs…
Du coup, nous voilà invité à rencontrer le grand Boss, Jean-Philippe Dayrault, lors d’une présentation “high-class” au Golf-club de Gassin/Saint-Tropez… qui doit se tenir un mois plus tard… et en attente, durant ce mois, le Rédac-chef de ChromesCollection téléphone tant qu’il peut à Mr Dayrault, le BigBoss, pour peaufiner la stratégie…, mais tout est remis au jour “J” de la présentation officielle de la DeVinci…
Que du beau linge, chic et cher, des petits fours, cocktails, champagne autour de trois des “bolides” électriques exposés, un spectacle “grandiose” ou sur la cinquantaine d’invité(e)s, je ne compte que 4 personnes en 5 heures à oser s’y asseoir…, un spectacle comique…, car entrer dans la chose sans porte est laborieux, surtout en tenue élégante…, mais en sortir frise l’impossible surtout pour les Dames-Cougars de plus de 70 ans… résultat, c’est la parfaite démonstration que l’axe promotionnel et publicitaire axant “la chose” sur les rails du grand-luxe avant-gardiste n’est qu’une voie sans issue, la clientèle visée n’existant pas, sauf quelques transsexuels déphasés : un flop…, d’ailleurs Bardot roule dans une vieille 4L et les bagnoles “Grand-luxe” sont d’office suspecte par les Gabelous, qui résolvent ainsi bien des “affaires”…
Qu’importe…, dans cette réunion mondaine, comme le concessionnaire m’a dit que j’allais rencontrer le Big-Boss, je cherche le contact avec lui pour en discuter…, il s’éclipse, disparait, revient au loin, se volatilise… jusqu’au moment ou j’harponne le concessionnaire local afin qu’il me présente lui-même “le grand patron”…
Une demi-heure d’attente de son bon-vouloir, à la sauvette, durant laquelle il continue de plus belle à s’éclipser, disparaitre, revenir au loin, se volatiliser…, mais je vais le piéger entre une jeune et jolie très sexy, sa voiture/création et une plante d’intérieur…, il ne peut et ne sait plus s’échapper, du coup on s’échange des amabilités vaseuses dans une discussion creuse ou est redéfini le budget d’une campagne de putes telle qu’évoquée ci-avant à vos yeux abasourdis…
Après avoir zieuté l’un et l’autre les généreux décolletés des diverses plantes vénéneuses en pot de chambre qui minaudent tout autour… tout en mâchant divers zakouskis hors de prix arrosés de champagne moussant et échangés diverses médiocrités aimables ou le budget de 30.000 euros subit un effet accordéon…, nous nous sommes enfuis l’un de l’autre…
Quelques jours plus tard, je relance le représentant/dealer/vendeur/concessionnaire local avec une offre “mirobolante” que je n’ai pas le temps d’entamer… ni aussi d’en savoir plus sur son client pour la Ferrari 250GTO…, il me raccroche au nez… et c’est pareil avec le Big-Boss qui finalement met son téléphone en dérangement…, la classe absolue…, que voulez-vous qu’un mag’auto tel que Chromes&Flammes puisse vous en écrire de plus ?
Rien…, mais comme j’aime aller au bout des choses, je me suis demandé ce qu’il en était vraiment…, de cette “chose” !
J’ai cherché, j’ai fait chercher, on s’est vachement documenté… une enquête quasi policière nous menant jusqu’au Palais Princier de Monaco…, en finale nous avions le fin mot : DeVinci est un assembleur, pas un constructeur : le châssis est fabriqué dans un atelier extérieur, la motorisation provient du fournisseur des répliques de Méhari électriques E-Story (19 kW, bridé à 15 kW pour répondre aux exigences de la réglementation européenne), la sellerie est faite par la société NOT & Fils à 31150 Lespinasse…, l’accastillage et divers éléments électriques proviennent de Chine via Aliexpress, filiale de Alibaba)…, le label “Made In France” affiché avec le drapeau tricolore est donc un sujet de discussions…
La voiture a été créée en 3D par un employé/associé : Romain X, sur ordinateur…, ce n’est pas un ingénieur…, en option, il est possible d’obtenir un bruitage moteur (gag !)…, la batterie de 13,3 kW offre une autonomie théorique de 150 kms (divisés par 2)…, la “Com” a été réalisée de manière “grandiose” avec diffusion d’une photo montrant le Boss de DeVinci avec le Prince Albert de Monaco laissant sous entendre que le Prince se la serait payée…, tout ça pour une voiture sans fond (double sens) comme une voiture d’enfant à pédales !
Enquête faite il ressort que le Prince Albert de Monaco n’a pas payé la DeVinci blanche (peinte aux couleurs de la Principauté) mais l’a reçue pour créer “de la Com”… et que le coût de fabrication selon des employés et un ex-directeur de cette société, avoisinerait 15.000 euros…, même pour la version haut de gamme à 200.000 euros…, donc, tout ce qui est affirmé, relayé par les médias, si c’est de la même Com’ que l’affaire du Prince Albert, il y a de quoi s’inquiéter !
Cet assemblage forme donc “la chose”, habillée d’une carrosserie mixant le polyester et l’aluminium façon “réplica Bugatti 35″…, anachronique…, si ça ne se remarque pas sur les photos-presse-usine et les catalogues, en réalité le résultat est grotesque, un non-sens total, le capot avant est vide (également de sens), la calandre de radiateur ne sert qu’à faire-zoli, l’aspect général prête à rire, c’est kitchissime…, pourtant les merdias et journaleux se pâment d’admiration quitte à paraître plus grotesque que ce qu’ils louangent !
La cible visée par la DeVinci, est le milieu des Bobos, surtout Tropéziens, qui curent leur ennui abyssal entre la villa de Papa dans “les Parcs de St-Tropez” (50.000.000€ pour les “minables”, 200.000.000€ pour les “fréquentables”) et la célèbre plage de Pampelonne… (mais les belles plantes vénéneuses, surtout les “cougars” sont également visées) !
Généralement ils y vont avec le Yacht de papa…, histoire de le faire bouger et de faire travailler le capitaine et l’équipage…, 50 mètres (au moins) à 1.000.000 le mètre linéaire (sic !)…, faut voir les va-et vient des canots pour embarquer des pisseuses qui bronzent sur la plage de Pampelonne, qui espèrent se caser via des parties de jambes-en-l’air, alors qu’on les rejette à la flotte après usage…,
Mais ils y vont aussi en Ferrari et Lamborgini, quitte à devoir les abandonner dans le parking des plages style paillottes de miséreux…, donc, ce sont eux les principales cibles d’une affaire proposée entre 60.000 et 200.000 euros selon les options…, plus taxes et emmerdes, comme d’hab’…
Une virée à son volant, c’est tenter de survivre au fantasque, à l’anachronisme mal compris et supporter quelques moqueries…, en forçant un peu le trait, on pourrait dire qu’elle est une comique malgré elle, du moins, on peut supposer que son créateur n’a pas cherché à faire de sa création, un truc marrant…
Il y est pourtant bel et bien arrivé sans humour…, un comble, car elle ne comporte aucun double sens, elle ne cherche pas à être drôle et elle est tout à fait drôle… elle est faite non pas pour le shopping de luxe mais pour transporter des vrais Steampunkers en quête d’une auto anachronique… ou deux Trans-illuminés qui auraient plongé leur tête dans une bassine de Vivelle Dop (le gel coiffant qui vous suit jusqu’au bout de la nuit)… dans les backrooms d’un club branché !
Tout cela est dû en grande partie aux éléments décoratifs en alu rivetés un peu partouze sur la carrosserie, ils sont totalement inutiles et font rire ceux qui s’y connaissent un peu en automobiles anciennes…, ce qui aurait pu être capté si la voiture s’affichait “SteamPunk” et non pas “Vintage”…
Ensuite ce style rétro faux de A à Z, avec une calandre qui ne refroidit que les pieds des intrépides et un capot moteur inutile et vide car le moteur électrique se trouve dans le fond du coffre…, crée un malaise avec un message subliminal qui enfièvre : “Une si belle technologie dévoyée pour du paraître ridicule” !
La présentation officielle du modèle à 200.000 euros, présentant “la chose” comme une œuvre d’art (sic !) avait été une affaire grandiose et dingue qui pourrait être comparée à la vente de la Tour-Eiffel par Victor Lustig…, une caricature des pires boniments : je cite le texte officiel qui n’est qu’une auto-promotion du Big-Boss… que les merdias et journaleux sont invités à copier/coller…
–“Ce modèle est tout simplement une œuvre d’art, ce que l’on peut faire de mieux chez DEVINCI. Il a été réalisé sans limite de coût et avec tout ce qui se fait de mieux en terme de finition. 200 heures supplémentaires sont nécessaires pour sa fabrication, 100 kg ont été gagnés, ce qui lui donne des performances, en freinage et en autonomie, exceptionnelles. Les suspensions ont été spécialement étudiées pour une tenue de route digne d’une Supercar moderne. Son mode Boost permet des performances supérieures aux modèles classiques. Le Design a été réalisé par Jean Philippe DAYRAUT lui-même, créateur de la marque DEVINCI”…
Un journaliste automobile “normal” (mais ça n’existe plus) devrait commenter ces duperies en termes crus et basiquement compréhensibles par les attardés mentaux en extase, mais comme il n’y a plus que des journaleux et des éditeurs affamés de pouvoir boucler des fins de mois impossibles, leur seule obligation morale est donc d’en causer sans critiques, d’autant que l’affairiste-constructeur expose luxueusement ses DeVinci dans les plus gros salons d’ancêtres… et semble posséder une machine qui fabrique des lingots d’or.
Voilà, en bon journaliste, je me suis dit que j’aurais trahi la confiance des lecteurs et lectrices en réalisant un article dithyrambique, la honte, j’ai donc publié le résultat d’une longue enquête méticuleuse… et 10 jours plus tard, Mr Dayrault/DeVinci par le biais de son avocat, m’a fait chantage de me trainer en justice et me faire condamner à des sommes abyssales si je publiais quoique ce soit sur DeVinci…
A suivre ce diktat, pour autant que tous les degrés des Cours de Justice définiraient qu’on ne peut plus rien analyser et critiquer dans la même veine qu’on obligerait à devoir penser (contourner les lois républicaines grâce à une jurisprudence orchestrée), on ne pourrait plus critiquer les cigarettes et autres produits cancérigènes, ni les pesticides, ni les grands constructeurs qui ont truqué les chiffres/résultats de leur pollution diesel, ni informer que des grandes marques font fabriquer leurs vêtements par des gosses en Chine, ni que certains politiques magouillent…, la justice défendant le consumérisme…, putain, un retour à des pratiques liberticides…, un boulevard juridique pour les pires horreurs…
Régulièrement la communauté scientifique est confrontée à des dilemmes, des doutes s’installent quand, lors de fouilles, des archéologues trouvent des objets qui ne pouvaient pas exister à l’époque correspondant au niveau des fouilles en cours, ce sont des objets anachroniques (décalés dans le temps), certains sont connus, comme le mécanisme d’Anticythère, ou les piles de Bagdad ou encore les cartes de Piri Reis, des objets qui ont failli remettre en cause la théorie même de l’humanité telle que nous l’ont décrite les livres d’histoire…, faute de pouvoir expliquer comment des objets manufacturés (faits par la main de l’homme) ont pu se trouver dans des strates archéologiques antérieures à l’existence même du premier hominidé, les scientifiques se contentent d’ignorer ces objets et de les classer comme “anomalies”…, la DeVinci étant une “anomalie”, il est donc scientifiquement recommandé de l’ignorer…, mais on peut malgré tout beaucoup en penser, mais sans rien en écrire et en dire…
2 commentaires
Courriel/Messenger reçu ce 18/10 2019 :
Très bel article sur les devinci enfin quelqu’un qui dit la vérité sur ces autos. Nous devions garder le secret d’entreprise en travaillant là-bas. Depuis 2 semaines j’ai été licencié pour une faute non commise mais cet “homme” est sans couilles puisqu’il m’esquive à chaque fois que je lui demande de le voir pour m’expliquer la “faute”, enfin c’est une entreprise qui n’ira pas bien loin. Encore bravo pour cet article.
Kevin Dones
Courriel/Messenger reçu ce 11/10/2019 :
Bonsoir Monsieur De Bruyne. Je suis un ancien de cette marque embauché au début de la commercialisation par Dayraut…, j’ai tenu que 3 mois…, sinon il prenait le bourre-pif du siècle ! Cette caisse est une merde dont 50% des pièces viennent de Chine et sont commandées via aliexpress qui est une filiale d’AliBaba. Il n’arrive pas à vendre ses merdes, tout n’est que mensonges et trucages, heureusement qu’il a un actionnaire bourré d’oseille (et très con) pour lui sauver la vie. J’en connais un rayon sur lui, ses petites affaires ses magouilles et son bizbiz….En tout cas, vous avez fait mon weekend, merci encore
Serge Abitbol
Commentaires désactivés.