2014 McLaren P1
Si vous êtes hyper richos, chieur chiant, désabusé, et que vous vous emmerdez grâââve, il y a une honte de choix lorsqu’il s’agit de remplir vos journées en attente de vos nuits lubriques de queutard. Je passe outre les achats de yachts et jets et vos lubies de jongler entre les putes, les mannequins, les petites amies et vos expériences transgenres, pour aller droit au but : les courses entre crapules dénommées Gentlemen-Racers. Tout le monde s’y est mis, prétexte à tout avoir et conduire. Il y a quelques années alors que vous aviez quelques années de moins, et divers contrôles fiscaux sous la ceinture, bien profonds ou ça fait male (mâle aussi), vous avez essayé les Supercars les plus en vue…
Lamborghini et sa série monomarque Blancpain, puis la série monomarque Trofeo de Maserati, ainsi que tout ce que Ferrari attendait des acheteurs de FXX K avec leurs jouets de piste de plusieurs millions de dollars, sans série de course. McLaren est arrivé pour être de la partie et vous avez acheté sa dernière distraction pour l’ensemble playboy : la P1 GTR. Vous l’avez encore et vous ne savez plus quoi en faire. Pffffffff ! Inutilisable. Voilà le moment de la ressortir… La GTR était une P1 transformée en arme de piste, une distinction curieuse étant donné à quel point l’hypercar P1 était déjà folle. Peu importe : l’équipe McLaren de Woking semblait avoir trouvé un moyen d’extraire encore plus d’argent sous couvert de performance de la P1.
MacLaren a lâché le résultat dans une série de P1 GTR. Le buy-in unilatéral pour la GTR, qui n’était disponible que pour les propriétaires de P1, s’élevait à 3,06 millions de dollars, ce qui vous a permis d’acheter non seulement cette voiture, mais aussi les gens qui seuls pouvaient la préparer, l’entretenir et la réparer. Avant que vous ne criiez à la traite des êtres humains, on vous avait souligné chez McLaren que les humains jetés dans ce marché de dupes comprenaient une équipe de ravitaillement, de préparation et de réparation, ainsi qu’un programme de formation de chaque conducteur, et que “ces humains” étaient simplement destinés à leur disposition. Ils n’étaient pas vraiment les vôtres.
Même avec toute la formation vendue à prix d’or, il n’était pas difficile d’imaginer qu’un certain pourcentage des acheteurs de P1 GTR finiraient par s’écraser ou faire des excursions épiques hors piste. C’était le but réel du jeu, semblable à la roulette Russe, prendre un max d’argent aux imbéciles prétentieux en leur laissant croire qu’ils étaient des privilégiés uniques… Un système mis au point préalablement par Ferrari… L’astuce trompeuse complémentaire était que la P1 ordinaire était si ridiculement suffisamment performante qu’elle altérait la perception profondément enracinée de la vitesse lorsque chaque propriétaire la conduisait en s’imaginant réaliser le Cannonball… Pitrerie… Mais l’arnaque est belle, savoureuse, au niveau des pratiques des putes vénéneuses…
En MacLaren P1 GTR, avec la combinaison de moins de masse, de plus de puissance et d’aérodynamisme défiant l’air, chaque “pilote” avait probablement besoin de se croire Alonso ou Button pour profiter pleinement (pour ne pas dire en toute sécurité) des performances à couper le souffle. Souvenez-vous… Ouaiiiihhhh !… Commençons par le sujet du pouvoir. La GTR utilisait une version biturbo du 3,8 litres avec, en mix, le moteur électrique de la P8, bénéficiant ainsi d’un avantage de 83 chevaux par rapport à sa sœur homologuée pour la route. McLaren tirait 62 chevaux supplémentaires du V-8 et extrayait 20 chevaux supplémentaires du moteur électrique, atteignant un peu moins de 1.000 chevaux (986, pour être précis). Démoniaque…
Aucun multimillionnaire d’affaires louches où héritier de familles, n’avait la carrure “Pilote”, juste l’argent à flots pour s’imaginer l’être… MacLaren de son coté s’en f… Seul comptait que l’entourloupe amène des montagnes d’or… Pour ce qui est du moyen pour ce, c’était l’imagerie “course” qui damait le pion… Les slicks Pirelli tendus sur des jantes de 19 pouces à verrouillage central faisaient de leur mieux pour acheminer la puissance du groupe motopropulseur vers le bitume, aidés par un ensemble aérodynamique impressionnant, ce n’est que ça qui délivrait l’illusion… Pour faire passer, en plus de rendre le poisson-chat P1 en colère, mais de manière encore plus en colère, des embouts aérodynamiques contribuaient à l’illusion d’une amélioration de 10% d’appui aérodynamique.
C’est dans l’invérifiable bien présenté que tout se joue, pensez à une partie de Poker ou c’est l’aplomb des mensonges qui fait le jeu des cartes… Quel bel embrouillamini que la hauteur de l’aileron arrière de la GTR fixe qui se situait au-dessus de la plage arrière par rapport à la pièce réglable en hauteur de la P1 normale lorsqu’elle était complètement déployée, mais conservait sa fonctionnalité de système de réduction de la traînée, dans lequel pouvait varier le pas de 32 degrés à zéro en appuyant sur un bouton pour un boost à des vitesses plus élevées. Vous y croyez ? Non, en réalité vous n’y comprenez rien mais vous n’osez rien dire de peur de paraitre crétin… La réalité est que c’est crétin et vous aussi…
Mais ce n’est pas que sur ces balivernes… Il faut épicer… Colle la suspension était plus basse sur la GTR que celle d’origine de la P1 et la voie avant était plus large, McLaren avait également retiré du poids, principalement en jetant tout ce qui était lié à l’utilisation sur la voie publique, les coussins gonflables ainsi que des matériaux insonorisant et certaines garnitures intérieures. Vendre plus cher en enlevant ce qui était cher… C’est génial… Porsche est le créateur de cette formule magique… Comme l’attrape-nigauds a fonctionné, les autres constructeurs de bricoles ont repris la formule de vendre beaucoup plus cher une bagnole dépouillée… Moins de confort et de sécurité pour trois fois le prix… C’est génial…
Le panneau de toit en verre et le capot moteur de la P1 ont donc été remplacés par des pièces en fibre de carbone et les vitres latérales sont devenues une feuille de polycarbonate avec une petite vitre coulissante “racing” du côté conducteur. Existe-t-il une chose plus épique ? Plus gag ? Plus attrape-couillons ?Non… C’était le summum… Le pic de la stupidité… Et vous en aviez acheté une… Tssstssstss ! Tout ce discours nous ramène au blocage intellectuel initial des ultra-richos qui s’emmerdent… Et qui se font plumer… Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’une Corvette Z06 constitue un moyen plus convivial et certainement moins cher de passer son temps, quoique l’argent chez les Hyper Richos n’a pas les mêmes valeurs pour obtenir de supers passe-temps.
Même si la Corvette a besoin d’une chaussure experte pour extraire jusqu’à la dernière once de performance. Et pourtant, là où il y a un marché de dupes, le produit suit ! Apparemment, il y a assez d’hyper Richos crétins pour faire exploser les fonds fiduciaires, pour enseigner aux femmes d’apparence médiocre l’art sombre du bondage et des perversions sexuelles et pour chercher à se relancer dans les dingueries automobile inutiles. La production de la Ferrari FXX K a été un coup d’arnaque absolument génial au niveau de la vente de la Tour Eiffel à un Ferrailleur ou que le Ponzi de Madoff… Vers qui d’autre un playboy milliardaire peut-il se tourner ? Notez que même en Hot-Rod des Génies comme Boydd Coddington et Chip Fooze se sont éclatés dans le même style.
Il se fait que la McLaren est une belle et bonne pute qui coute une fortune mais fait jouir même les ceusses qui ne bandent plus… Par exemple, beaucoup d’entre vous auront conduit une voiture suffisamment puissante pour faire cirer ses pneus en première vitesse. Certains ont peut-être eu la chance de conduire une voiture qui peut produire un petit gazouillis lorsque vous faites un changement complet à la deuxième…, Mais la McLaren P1 va plus loin que cela, si la route est un peu grasse, elle fera cirer ses pneus sur tous les rapports. C’est’y pas également de l’arnaque… Pareil que la pute qui met une crème visqueuse sur le glandou du vieux en s’écriant : “Pépé, tu bandes mou mais tu éjacules encore comme un ado”... C’est direct 5.000 euros de bonheur…
Nous avons déjà vu des voitures rapides. Il y a eu des Koenigseggs et les Paganis, et la Ferrari F12 ne traîne pas vraiment. Puis, plus bas dans la chaîne alimentaire, il y a eu une sélection de fusées de poche légères comme l’Ariel Atom et la Caterham R500. Mais personne n’a jamais rien rencontré de tel il y a quelques années que la McLaren P1. Le pourquoi c’est que réellement personne n’a jamais pu rouler sur routes ouvertes façon 24h du Mans… C’est donc l’illusion ET le désir de ne pas montrer qu’on ne l’a jamais fait, qui a créé la légende et fait croire que l’illusion était du réel… Cela a porté la perception de la vitesse à un nouveau niveau. Pas la vitesse réelle… La perception… Donc là aussi, on vend du vent et on y croit parce que ca fait du bien d’y croire…
Donc, pour résumer l’histoire jusqu’à présent, la P1 est une voiture qui peut effrayer lorsqu’on s’aperçoit qu’elle est effrayante de par ses capacités d’arnaques… C’est donc une voiture qui peut également ruiner. Et pourtant… Putain, quelle bagnole de ouf… Pareil que lorsque vous tombez sur LA nananana bandante à mort… En réalité la P1 est une hybride qui fonctionne sur le même principe qu’une ancienne Toyota Prius. Cependant, contrairement à la Prius, vous pouvez aller plus d’un mètre en mode éco-poussée. Vous pouvez en fait parcourir 10 kms avant d’avoir besoin d’engager le générateur V8. Ensuite, vous avez une puissance combinée de presque 1.000 chevaux qui ne servent à rien d’autre qu’à le dire…
Vous vous moquez, n’est-ce pas ? Parce que bien sûr, la Bugatti Veyron SS en a 280 de plus que cela. C’est bien ça ? Connards de merde ! Mais la Bugatti a quatre roues motrices et pèse à peu près le même poids que la cathédrale Notre-Dame de Paris. La P1, quant à elle, est à propulsion, et le seul poids notable provient de l’air qui passe au-dessus de la carrosserie. L’air, tout comme le vide, est un facteur majeur avec la P1. L’équipe qui a fabriqué cette voiture affirme que l’ensemble de la carrosserie a été conçu pour gérer l’air, pour l’adoucir sur les flancs, pour l’utiliser pour refroidir les freins, pour alimenter le pot de cheminée sur le toit et aider à planter son cul sur la route à grande vitesse. Comme l’adage : “Elle ne manque pas d’air”...
Cet aileron arrière, par exemple, est si grand que lorsque vous dépassez 220km/h, il s’abaisse un peu car sinon l’appui aérodynamique serait si important qu’il casserait la suspension… Si si… Boum… Mais qui et ou va-t-on grimper à plus de 220km/h ? Nulle part… C’est encore une fois une arnaque… Il est donc étrange que si vous étudiez attentivement les détails, vous remarquez que le badge “Tick” de style McLaren “Nike” est utilisé partouze. Phares, écopes de capot, flancs. Qui aurait cru qu’il était si aérodynamique ? Je ledemande, avec un peu de sourcils levés. Pfffff ! Quoi qu’il en soit, après avoir fait le tour de manège pendant une journée, j’ai engagé les deux moteurs et je me suis dirigé vers l’autoroute, où la McLaren a continué à être deux choses en même temps…
Tout et rien… Tout d’abord, parce qu’elle utilise le même type de suspension que la 12C, où aucun des points n’est relié à quelque chose de vraiment solide. La conduite est donc quasi subliminale si vous respectez les limitations…. C’est alors un jeu d’enfant (hyper fortuné, certes) à conduire. Les vitesses changent en douceur. La direction est super légère. Si vous fermez les yeux, vous pourriez vous retrouver dans un “wingback” spongieux. De plus, la P1 n’a pas subi la dose d’arnaque de la version allégée pourbeaucoup plus cher, elle a toujours ses vitres électriques, sa climatisation et son système de navigation par satellite, ce qui, dans le style traditionnel de McLaren, ne fonctionne pas… Une vraie cochonnerie… Et bien sûr, les tapis sont une option.
Toutefois, à 130km/h, le gros moteur est épouvantablement bruyant. Mais vous pouvez résoudre ce problème en l’éteignant et en utilisant l’électricité pendant quelques minutes… On pourrait imaginer que, sur une route normale, une voiture en fibre de carbone non laquée pour gagner 400grammes sur le poids général, en aluminium de qualité militaire et en céramique de l’ère spatiale, serait à peu près aussi relaxante. Mais ce n’est pas le cas. Vous pouvez conduire cette voiture, si vous pouvez claquer un million, en plus vous devez juste vous rappeler d’oublier tout ce que vous pensez savoir lorsque vous appuyez sur l’accélérateur. Parce que ce qui se passe quand vous le faites n’est pas réel. C’est un monde de science-fiction, de monstres et de peur.
Plein gaz dans une P1, c’est comme Noël à Pâques. C’est quelque chose que vous ne pouvez utiliser qu’une fois par an. Et même dans ce cas, seulement brièvement, parce que ça fait vraiment mal. Quand cette voiture accélère, elle vous bat. Ça fait mal au visage. Cela provoque des disputes avec vos proches. Et c’est génial pour les flics qui vous attendent au péage… Oh, et quand vous roulez à fond, vous pouvez appuyer sur un bouton marqué DRS, qui abaisse l’aileron arrière, c’est joli… Ca amuse des gosses dans les bagnoles coincés dans les embouteillages Cela réduit surement la traînée à 20km/h et vous permet d’aller encore plus vite. Mais quand auriez-vous besoin de plus de vitesse dans une voiture de presque 1.000cv inutilisables ?
Il y a un bouton marqué Boost. Poussez-le et, bizarrement, vous perdez environ 150cv. Mais il ne sont allé nulle part. Tout reste dans un grand pot d’alimentation de rechange, et si vous appuyez sur un autre bouton sur le volant, tout revient. C’est gag… C’est aussi crétin et inutile… Pourquoi avoir inventé une telle absurdité ? Je ne vois pas d’occasion où cela serait utile. Sauf lorsque votre passagère se fait chier, vous pouvez lui dire : “Heu. Tu penses que c’est rapide ? Regarde ça” ! Et Vlammmmmm toute la sauce, comme une éjaculation en force… C’est étrange, n’est-ce pas ? McLaren a toujours été la plus anale des équipes de F1. Personne n’est jamais descendu dans son grand camping-car gris pour rire et bavarder, que pour baiser et se faire baiser….
Et pourtant, voici une voiture qui dispose de fonctions Boost et DRS adaptées pour l’amusement. Je n’ai jamais été fan des voitures de route de McLaren. J’ai toujours détesté la F1 et je n’ai pas vraiment cru à l’argument selon lequel son compartiment moteur était doublé d’or parce que c’est le meilleur matériau résistant à la chaleur. Il est intéressant de noter qu’ils ont essayé d’utiliser de l’or dans la P1, mais que cela a échoué au test de chaleur. Ensuite, il y avait la SLR, qui était une Mercedes SL avec des freins de merde et un prix ridicule. Et puis il y a eu la MP4-12C. Une très bonne voiture, mais un peu clinique. Et ce nom était stupide. Bien que ce ne soit pas aussi mauvais, si je suis honnête, que P1. C’est tellement crétin toutes ces appellations. Tellement connard.
Je déteste…Tout le reste de cette voiture, cependant, est soit très brillant, soit brillant. J’aime la façon dont McLaren a détourné la technologie hybride verte et l’a utilisée pour créer plus de vitesse. J’adore la façon dont tout cela a fonctionné. J’aime le sens de l’humour britannique sous-jacent et, avec cette aile arrière relevée, j’aime sa moche apparence. Cela semble assez charnu, aussi. Comme un docker qui s’éclaircit la gorge avant de manger. La vitesse ? Oui, je sais que j’ai écrit que la Ferrari F12 avait dépassé les limites du déraisonnable, mais c’est une voiture de route conçue pour être utilisée par les propriétaires d’entrepôts de tapis. La P1 est plus un événement. Un livre d’ingénierie. Un pouce au nez et quatre doigts agités dans la direction générale du vent…
Un vent généré par ceux qui pensaient que nous aurions pu atteindre l’extérieur de l’enveloppe de la performance. Les voitures de plus d’1 million de dollars ou d’euros chacune, même si vous pouviez vous en permettre une, vous ne pouviez pas les avoir maintenant. Seulement 499 Ferrari LaFerrari et 375 McLaren P1 ont été construites, et toutes ont été achetées par quelques richos qui ont collectivement dépensé plus de 1,3 milliard de dollars dans la poursuite du nirvana automobile. Mais cela ne nous empêche pas de nous poser la question évidente… Si l’on compare la McLaren P1 à l’hypercar LaFerrari, on se rend immédiatement compte à quel point les deux sont très différentes en termes de design et de taille…
La LaFerrari a l’air énorme et a son nez qui pend bien au-dessus de l’essieu avant. Ferrari est la seule équipe à avoir disputé toutes les courses de l’ère moderne des Grands Prix. L’équipe a fait ses débuts au Grand Prix de Monaco 1950 et a remporté 16 championnats du monde des constructeurs et 15 championnats du monde des pilotes. McLaren, qui a également fait ses débuts en F1 à Monaco, bien que 16 ans après Ferrari, compte huit championnats du monde des constructeurs et 12 championnats du monde des pilotes à son actif. La rivalité a éclaté au milieu des années 70 lorsque James Hunt et Niki Lauda se sont battus pour les titres des pilotes, puis à nouveau en 2008 lorsque Lewis Hamilton, protégé de McLaren, a battu le pilote Ferrari n°2 Felipe Massa.
C’était lors d’une finale de saison haletante au Grand Prix du Brésil. Les deux équipes ont également connu des périodes de domination totale : en 1988, McLaren a remporté 15 des 16 courses et Ferrari a remporté huit championnats des constructeurs de 1999 à 2008. Pendant des décennies, Enzo Ferrari a considéré l’industrie des voitures de route Ferrari comme un peu plus qu’une vache à lait pour garder ses coureurs écarlates bien-aimés sur la piste. Ron Dennis, l’ancien mécanicien de course intensément compétitif et obsessionnellement perfectionniste qui a pris les rênes de l’équipe McLaren en 1980, a également montré peu d’intérêt pour les voitures de route.
La McLaren F1, la voiture de route la plus rapide du monde lorsqu’elle a fait ses débuts en 1993, était un exercice intellectuel intéressant pour le gourou du design de voitures de course McLaren, Gordon Murray. Seulement 106 ont été construites, et le projet a perdu de l’argent. La Mercedes-Benz SLR Mclaren, construite de 2003 à 2010, a aidé McLaren à établir une capacité de fabrication à faible volume dans son centre technique de haute technologie de Woking, mais les ingénieurs de Mercedes et McLaren se sont fréquemment affrontés pendant le développement de la voiture, et les ventes n’ont pas répondu aux attentes et McLaren et Mercedes ont mis fin à leur collaboration avec les voitures de route.
A partir de 2015, les voitures de F1 de McLaren utiliseront la puissance Honda, et non Mercedes), Ron Dennis a vu l’opportunité de se battre avec Ferrari en dehors de la piste. La McLaren MP4-12C, lancée mi-2011, visait directement la 458 Italia de Ferrari.La McLaren P1 est un modèle révolutionnaire qui est né de la volonté de la société britannique de s’attaquer à la Porsche 918 et à la Ferrari LaFerrari avec une hypercar hybride pour la route. Pfffffff ! Je fatigue. Bien, on arrive à la fin de l’article… Coll… Tout a une fin… Comme pour la F1 classique qui l’a précédée dans les années 1990, McLaren a utilisé l’expertise accumulée au fil des années de compétition au niveau élite du sport automobile pour produire une machine qui présentait le summum de la performance.
Egalement du design et de la technologie automobiles. Aujourd’hui, son statut de l’une des voitures de route les plus emblématiques de sa génération est assuré. La clé de la stratégie de McLaren avec la P1 était le désir de maintenir le poids au strict minimum, ce qui a abouti à l’utilisation d’un châssis monocoque en carbone qui a fait pencher la balance à seulement 90 kilogrammes, ainsi que des panneaux de carrosserie en fibre de carbone. L’accent a également été mis sur l’efficacité aérodynamique exceptionnelle, via des ailerons avant et arrière réglables qui offrent jusqu’à 600 kilogrammes d’appui à des vitesses bien inférieures à la pointe de la P1. Mais c’est le groupe motopropulseur hybride qui a vraiment défini la voiture.
La P1 est propulsée par un V8 biturbo, couplé à un moteur électrique qui maintient la puissance de sortie lorsque les turbocompresseurs sont à l’arrêt ou en bobine. Cette configuration offre une puissance totale vraiment impressionnante de 903 chevaux, dont 727 chevaux pour le V-8 et 176 chevaux provenant du moteur électrique. Le résultat est une accélération dévastatrice, comme on pouvait s’y attendre, avec un 0 à 100 km/h expédié en seulement 2,8 secondes, 200 km/h en 6,8 secondes et 300 km/h en 16,5 secondes, soit cinq secondes de moins que la McLaren F1 précédente. Une vitesse de pointe remarquable de 350 km/h est réalisable. Voilà, voilou… Inutile de m’envoyer des lettres d’insultes, je ne lis que les lettres d’amour et le libellé des chèques.