Citroën Oli 2024
Waouwwwwww ! Avec le concept Citroën Oli, SUV urbain tout électrique, j’ai retrouvé les vibrations engendrées d’il y a 41 ans (août 1982) avec le concours Citroën/Chromes&Flammes pour le lancement de la Visa. Mais actuellement rien n’est plus pareil, tout a changé. Des lois sont en gestation au niveau Union Européenne pour criminaliser (le terme est adéquat) les Hot-Rods et Kustom-Cars, les Van’s, les Répli-Cars et les Tuning-Cars, quoique ceux-ci ont disparus, happés par les gabelous via les Contrôles Techniques…
Après 45 ans de Hot-Rodding et de Kustomizing et une époque magique de 500.000 exemplaires de C&F dans le monde entier en 5 éditions/langues mensuelles, ce qui reste après la faillite en millions de Groupe Hommel qui voulait s’accaparer de tout, c’est ChromesFlammes/Gatsby numérique, auto-traductible dans les langues du monde entier et connecté partout… Le choix d’abandonner l’édition “papier” fut facilité par la volonté de quitter le monde de l’édition devenu pour une grande part aux mains de milliardaires propriétaires d’affaires consuméristes mondiales.
Conséquence, tout comme Médiapart et quelques autres, pour rester indépendant, plus de pages de pubs, faut vivre sur les abonnements et les réserves accumulées, ou accepter un genre de prostitution. Résultat, ça craint… Donc, même si enthousiaste de certaines créations, force est de ne rien dire si plus invité aux banquets qui ne sont plus donnés, l’époque des charters aériens loués pour une fournée de journalistes envoyés à Rio de Janeiro essayer la nouvelle d’alors Fiat UNO lors de la finale du championnat du monde de football, avec hôtel 5 étoiles, full repas, suites et putes à volonté, c’est terminé…
Tout un temps plus tard, ce sont les influenceurs et influenceuses du Web qui sont devenu(e)s les stars pour influencer les achats, les journalistes sont devenus journaleux, les médias sont devenus des merdias… Maintenantles journaleux sont devenus putes, question de survivance, les patrons de presse sont des macs de la désinfo et tout est régi par des logiciels-robots d’Intelligence Artificielle qui réalisent tout en quelques nanosecondes dans n’importe quelle langue… Pire, les lois ancestrales du commerce ont été transformées en une idée sous Nixon et ses sbires, plus besoin de conquètes, ni de commerce…
Depuis lors, il suffit de faire tourner les machines à billets, qui maintenant passent à l’argent numérique ou les cotations sont illimitées, un milliard de déficit se corrige en un clic, il suffit d’avoir un bouton connecté et d’appuyer. En faits, plus personne n’est utile, mais personne n’ose passer au stade final… A mon sens, l’IA finira par le réaliser sans que quiconque ne puisse rien y faire… Si vous y réfléchissez, plus besoin d’aller ni a coté, ni au bout du monde ni aux fin-fonds de l’univers puisque l’IA le fait sans soucis…
Et comme nous ne servons plus à rien, si un savant fou réalise une programmation, les humains de la planète entière disparaitront plus vite et facilement qu’avec un virus qu’on doit se faire injecter soi-disant pour contrer un autre virus et ainsi de suite… Bref, en attente, quoi tapoter sur mon clavier concernant cette Citroën Oli qui n’existera pas sous cette présentation sans qu’on puisse savoir pourquoi il va falloir supporter un dérivé forcément plus moche et simpliste… Cette Oli à mon sens et pourtant, envoie valdinguer le nouveau Tesla X, tout y est trop…
Trop compliqué, lourd, encombrant, cher, spatial, rébarbatif, austère, chiant)… Sur ce coup, c’est pas gagné… Faudrait-il que la Citroën Oli ose être commercialisée telle-quelle… Ce concept est tout à la la fois un VUS et une camionnette, une auto particulière d’usage et de loisirs, branchée, décalée, ultra-fonctionnelle, conçue pour une mobilité durable. Plus qu’une voiture, le concept Citroën Oli se veut un manifeste pour Citroën, la marque aux chevrons dépasse les codes traditionnels de l’automobile et répond aux nouveaux besoins de la mobilité. Tout cela en cultivant son capital sympathie !
Ouiiiiii ! Avec un design à contre-courant, qui intrigue et séduit, notamment avec son pare-brise vertical, le concept Oli (ou all-ë) se veut surtout un engin essentiel et fonctionnel. Sa carrosserie se compose de matériaux recyclés et recyclables, à la fois robustes et faits pour durer. Oli assure une autonomie de 400 km. Un chiffre rendu possible grâce à un poids plume (1.000 kg), une consommation moyenne réduite de 10 kWh/100 km et une vitesse limitée à 110 km/h. Compatible avec la charge rapide, Oli peut recharger sa batterie de 20 à 80 % en seulement 23 minutes…
Et lorsqu’à l’arrêt, l’engin reste utile grâce à la technologie V2X. Celle-ci redirige l’électricité stockée vers un bâtiment, un accessoire ou un réseau électrique… C’est le panard giga cool… Loin des formes faussement aérodynamiques qui minent et priment dans l’automobile selon les “Grands Carrossiers” asbeen tournés vers un passé qui ne reviendra pas, Oli joue sur des plans verticaux et horizontaux et est fabriqué en carton alvéolaire recyclé, avec les panneaux de capot, de toit et de plancher de coffre plats….
Les roues hybrides, en acier et aluminium, se chaussent de pneus durables et intelligents Eagle GO, développées en collaboration avec Goodyear. L’habitacle, conçu comme une boîte, reçoit des sièges à dossier en maille et un plancher lavable, ainsi que des matériaux légers et interchangeables. La planche de bord peut aussi afficher des informations sur toute sa largeur. Cette Citroën Oli concept s’adresse autant aux particuliers qu’aux professionnels, et se prête ainsi à différents modes de consommation : location, autopartage, mono-possession, etc.
À l’instar de la Citroën AMI, OLi a été pensé comme un objet de mobilité, capable de supporter plusieurs cycles de vie. Il peut ainsi être remis à neuf, amélioré et réparé facilement, avant d’être entièrement recyclé dans une logique d’économie circulaire. Cette approche, ainsi que certains éléments de design, devraient, selon Citroën, se retrouver sur de futurs modèles de série de la marque… Citroën s’en prend également aux autres constructeurs avec raison, visant Tesla et son monstre, déclarant : “Plutôt qu’être un ‘palais sur roues’ de 2.500 kg rempli d’écrans et de gadgets”…
Oli prouve que l’on peut faire beaucoup plus avec beaucoup moins. Compact (4,20 m de long), mais large (1,90 m) et “haut sur pattes” (1,65 m), Oli est un concept-car au style bien affirmé, qui mise sur un style assez peu conventionnel, à la croisée des chemins entre un petit SUV, un pick-up et un coupé. Avec sa proue massive, son pare-brise vertical et son arrière plongeant, ce crossover 100 % électrique, aux faux airs de mini-Hummer H1 mêlé au Tesla X, en jette un max. Il est perché sur de grandes jantes de 20′ (avec centre entôle et voile en aluminium, ce qui a permis de gagner 6 kg sur l’ensemble des jantes.
Celles_ci sont chaussées de nouveaux pneus plus durables (signés Goodyear et censés tenir 150 000 km). L’Oli ose un profil peu classique. Il joue à fond la carte du baroudeur robuste avec sa garde au sol surélevée et ses protections de carrosserie bien visibles (dont les arches de roue identiques et interchangeables aux quatre coins, afin de limiter les coûts). On retrouve même les fameux Airbump (coussinets de protection) si chers à Citroën, eux aussi réinterprétés en bas des portes avant (qui sont identiques à droite et à gauche).
Enfin, la poupe tronquée, qui se passe de hayon, propose une zone de chargement façon benne de pick-up, facilement modulable via un plancher réglable, composé de carton alvéolaire recyclé. Et comme la proue, l’arrière adopte un sabot de protection massif et arbore des feux inédits. Encore à la recherche d’un positionnement bien défini dans la galaxie Stellantis (née de la fusion entre PSA et Fiat), Citroën dit que d’ici 2030, la société arrêtera le développement du thermique. Oli est basée sur la nouvelle plate-forme maison STLA Small, celle qu’inaugurera la Jeep Avenger d’ici à la fin de l’année 2023.
Oli embarque un électromoteur de 100 kW (136 ch) alimenté par des accumulateurs de 40 kWh. Et grâce à un poids contenu (1.000 kg, cela reste raisonnable pour un véhicule électrique) et une vitesse maxi bridée à 110 km/h, l’Oli vise une consommation moyenne de 10 kWh/100 km et promet ainsi une autonomie de 400 km. Enfin, le Citroën annonce une capacité de recharge de 20 à 80 % en seulement 23 mn. Techniquement abouti et crédible, l’Oli vaut aussi pour son design qui, de l’aveu du constructeur, est un manifeste. Il donne donc de nombreuses pistes pour les futurs modèles.
Dans sa traque aux kilogrammes superflus, l’Oli fait notamment l’impasse sur les habillages de contre-porte. Pas question, toutefois, d’afficher des ouvrants “ bruts de fonderie ” : Citroën a prévu un petit accoudoir moelleux.
Pour des raisons de réduction de poids, de simplicité et de diminution des coûts, l’Oli abandonne les classiques vitres descendantes, préférant opter pour un système de fenêtre avant basculante. Un joli clin d’œil à la 2CV
L’habitacle, minimaliste et très… orange, se passe de grand écran central. A la place, une fine dalle horizontale peut afficher les informations d’un smartphone sur toute la largeur de la planche de bord. Aux extrémités, on trouve deux haut-parleurs, façon enceintes connectées.
Réalisés en impression 3D, les sièges offrent un confort insoupçonné. L’espace est mesuré, mais les vitres arrière, qui descendent assez bas, apportent une belle luminosité. Enfin, les dossiers arrière se replient pour former un plancher plat incluant le coffre, facilitant le chargement de longs objets.
Oli se passe de grande tablette tactile. A la place, on trouve une fine dalle horizontale, aussi large que la planche de bord, qui permet également d’afficher le contenu de son smartphone. Les rares boutons sont regroupés au centre et un énorme vide-poches occupe toute la partie droite du tableau de bord.
Le tableau de bord est fabriqué en polyuréthane recyclé imprimé en 3D et comporte des fentes à chaque extrémité pour un haut-parleur Bluetooth, car il n’y a pas de système audio traditionnel. Les sièges sont également imprimés en 3D et sont recouverts de polyuréthane recyclé
Oli dispose d’une cabine à quatre places et utilise des portes à ouvertures antagonistes : de longues portes avant à ouvertures classiques et des portes arrière dites suicides (Rolls Royce utilise ce même concept )… L’intérieur est simple et symétrique pour réduire le nombre de composants nécessaires.
Les sièges, constitués de huit éléments seulement (contre une quarantaine pour un fauteuil standard), se résument à une structure en métal, habillée d’une garniture réalisée en impression 3D. On salue la prouesse technique…
Le profil arrière est très plongeant et dépourvu de hayon. En effet, le plus inhabituel de sa conception est qu’au lieu d’un coffre conventionnel, il dispose d’un arrière façon pick-up disposant de nombreux points d’attache pour les accessoires ou la cargaison…
Il peut être laissé ouvert ou fermé sous un “cover à rouleaux”, qui s’étend dans l’habitacle si vous rabattez les sièges AR. La double zone de chargement propose, en bas, un vrai coffre fermé quand la ridelle est en place et, en haut, une mini-benne. Le plancher permet de multiplier les configurations.
Le pare-brise est totalement plat, mais cela permet de projeter facilement des informations sur celui-ci plutôt que d’utiliser des écrans. Enfin, le logo a été modifié pour mettre les chevrons typiques de Citroën à l’intérieur d’un grand ovale.