Hispano Suiza 2024
La “Compañía General Española de Coches Automóviles Emilio de la Cuadra, Sociedad en Comandita” est initialement une société espagnole de fabrication de véhicules automobiles fondée en 1898 à Barcelone par le capitaine d’artillerie espagnol et ingénieur industriel : Emilio de la Cuadra Albiol. Il embauche l’ingénieur suisse Marc Birkigt en août 1899. La capacité financière de l’entreprise est très limitée du fait du faible nombre des ventes de voitures.
Celle-ci ne trouvant pas de nouveaux financements, Emilio de la Cuadra est obligé de se déclarer en faillite à la fin d’année 1901. En novembre 1902, José María Castro Fernández, l’un des principaux créanciers de l’entreprise, reprend l’affaire et fonde avec Marc Birkigt une nouvelle société dénommée, “J. Castro, Sociedad en Comandita, Fábrica Hispano-Suiza de Automóviles”, pour poursuivre la fabrication des automobiles dotées d’un moteur à explosion.
Dès fin 1902, la société fabrique le moteur 10cv bicylindre 1.873 cm3 et le châssis à moteur 4 cylindres, 14cv, 2.535 cm3. Grâce à la réussite technique des nouvelles voitures, en démontrant sa créativité et son talent de concepteur de moteurs, Birkigt acquiert une grande renommée. En mars 1904, alors que Birkigt est en cours de conception d’un nouveau moteur, évolution du moteur 14cv, la production est à nouveau interrompue par manque de finance.
Une étude des raisons pour lesquelles les faillites se succèdent est réalisée, elle conclut au manque de ressources financières pour répondre au développement de prototypes et à l’achat d’un équipement approprié. Les hommes d’affaires espagnols Damià Mateu i Bisa et Francisco Seix Zaya, créanciers de l’entreprise “J. Castro”, s’associent alors le 14 juin 1904 dans une nouvelle société dénommée “Hispano-Suiza Fabrica de Automoviles SA”.
Ils reprennent le personnel technique et les salariés qualifiés de l’ancienne entreprise, Marc Birkigt reste le directeur technique et fait partie de la nouvelle société en tant que partenaire industriel, de sorte que le nom “Hispano-Suiza” est conservé. Mateu i Bisa est le président de Hispano-Suiza, et Seix Zaya le vice-président. Toutefois, Hispano-Suiza, spécialisée dans les voitures automobiles “haut de gamme”, a du mal à vendre sa production dans son pays d’origine.
C’est faute d’une clientèle assez riche, malgré le soutien du roi Alphonse XIII d’Espagne. En 1911, est créée en France la société Hispano-Suiza destinée à assembler et vendre en France les modèles de luxe conçus par la société espagnole. Parallèlement, Marc Birkigt, qui possède une société d’exploitation de brevets ayant siège en Suisse, dépose de 1911 à 1914 plus de cent brevets pour des moteurs d’aviation dans le monde entier.
En 1914, Hispano-Suiza construit à Bois-Colombes une usine pour assembler ses automobiles. Hispano-Suiza entre également dans le domaine aéronautique, avec l’étude et la fabrication du moteur d’avion à huit cylindres en V, fabriqué ensuite à plus de cinquante mille exemplaires. En décembre 1914, le ministère de la Guerre attribue par autorité à Gnome & Rhône l’usine de Bois-Colombes, contre un loyer très faible.
L’entreprise commence en 1915 à présenter des moteurs d’aviation et d’automobiles à fournir à l’État, grâce à des modèles extrapolés des brevets Mercedes-Benz, qui avaient été saisis par l’État français deux jours après la déclaration de guerre, en août 1914. L’arrivée de modèles dits en ligne construits par Hispano-Suiza, avec le modèle V-8 de 150cv, apporte une innovation majeure à laquelle se rallient Renault et Lorraine-Dietrich.
En 1916, les cinq sous-traitants d’Hispano (De Dion, Delaunay-Belleville, Ballot, Fives-Lille et Chenard & Walcker) produisent 1.000 des 1.500 exemplaires de l’Hispano 180CV commandés. Hispano-Suiza se hisse en 1918 au cinquième rang des motoristes par son chiffre d’affaires, derrière un autre automobiliste reconverti : la Société lorraine des anciens établissements De Dietrich.
De juillet 1915 à novembre 1918, 2.574 moteurs Hispano 150, 180, 220 ou 300cv ont été livrés aux armées, construits par quatorze entreprises, moins de 9 % étant produits directement par Hispano-Suiza. Ces moteurs sont indissociables du succès des biplans SPAD dont celui piloté par l’as de guerre Georges Guynemer durant le conflit 1914/1918 symbolisés par le bouchon de radiateur de l’Hispano-Suiza “H-6-B” qui représente la fameuse cigogne.
La période allant de 1919 à 1936 marque l’âge d’or des voitures de luxe pour Hispano-Suiza, et celle des grands raids des avions équipés de moteurs Hispano-Suiza. En 1930, la division automobile de la société, dont l’usine de Guadalajara, est vendue à Fiat pour y produire la Fiat 514 sous licence. C’est le 17 février 1931 que l’acte authentique est signé et le transfert de propriété devient effectif. La guerre civile espagnole n’est pas encore déclarée.
Le climat est peu propice aux investissements industriels depuis les tensions liées à la déclaration de la Seconde République Espagnole le 14 avril 1931. Deux usines sont converties au mode de production militaire pendant la guerre civile, entre 1936 et 1939 : elles sont bombardées par les forces franquistes. Le 14 avril 1931, la Seconde République espagnole est proclamée. De ce fait, la marque perd un de ses principaux dirigeants : Alphonse XIII, partit en exil.
Par décret du nouveau gouvernement, le drapeau tricolore républicain (rouge-jaune-violet) remplace le drapeau monarchiste (rouge-jaune-rouge) dans le logo des Hispano-Suiza produites à Barcelone. Le changement de régime affecte l’image d’Hispano-Suiza, associée depuis son origine à l’aristocratie. Les obstacles bureaucratiques à l’importation de matières premières conduisent à une forte réduction de la production et une baisse des ventes en Espagne.
Mais en France, la production de moteurs d’avions et de châssis automobiles de luxe augmentent et le prestige de la marque reste à son apogée. En 1932, la marque lance pour la première fois un modèle dont la conception n’est pas de Birkigt, la T60. Elle se caractérise par la présence d’un arbre à cames latéral et des soupapes en tête commandées par des poussoirs. Par ailleurs, ce sera la première Hispano-Suiza avec le volant à gauche.
En 1934 sort la RL T60 et en 1939, la T60 RLA basée sur le modèle précédent, mais avec le châssis plus long et le moteur placé plus en avant. L’usine de Guadalajara est vendue à Fiat SpA qui y produira la réplique de la Fiat 514 sous la marque Fiat Hispania, tandis que la division aviation d’Hispano-Suiza est préservée jusqu’à ce que l’usine déménage à Alicante. Le 7 décembre 1935, Damian Mateu, décède. Son fils Miguel Mateu lui succède.
Il reprend la société dans les circonstances défavorables de la guerre civile espagnole. Avec le soulèvement militaire contre le gouvernement de la Deuxième République espagnole, en juillet 1936, le syndicat anarchiste CNT saisit l’entreprise et Lluís Companys, le président de Catalogne, nationalise la marque à travers un décret signé par le président catalan de la part de la république espagnole, la légalisation de la gestion des comités de travailleurs.
Pendant la guerre de 1936, les usines espagnoles Hispano-Suiza sont ainsi “collectivisées”. Après la guerre et à cause de l’isolement international de l’Espagne et vu l’incapacité pratique d’obtenir des approvisionnements suffisants, il était extrêmement difficile de redémarrer les activités industrielles, ce qui a incité la société à se concentrer sur la fabrication de véhicules utilitaires, de camions et d’autocars pour satisfaire les besoins prioritaires du pays.
La société est alors divisée en trois sections : l’une dédiée à l’aviation, les canons et le matériel militaire; une autre dédié aux voitures et aux camions, une troisième baptisée “Fils de Miguel Mateu SA” pour la fabrication de machines-outils. En 1940, un décret du nouveau gouvernement autoritaire de Francisco Franco appelle l’industrie nationale à présenter un modèle de camion de 7 tonnes de charge utile. Le modèle retenu sera le seul à être fabriqué en Espagne.
C’est dans le but de rationaliser la production. Seuls les constructeurs Hispano-Suiza, les italiens Alfa Romeo et Fiat V.I. et le suisse Saurer présentent un prototype. En parallèle, Hispano-Suiza signe un accord de coopération industrielle avec Alfa-Romeo et crée le “CETA – Centro de Estudios Técnicos de Automocion”. En 1944 il est alors décidé d’abandonner le projet de collaboration avec Alfa Romeo dont Hispano-Suiza avait “hérité de la technologie…
Est alors créé une large gamme de véhicules traditionnels, 4×4, camionnettes, autobus, trolleybus. Les perspectives étaient encourageantes, mais la direction de l’INI, nouvellement créé (Instituto Nacional de Industria), a estimé que l’efficacité maximale ne devait comprendre qu’une seule grande entreprise nationale et nationalisée. En 1946, l’objectif fut atteint en nationalisant toutes les usines et les brevets “Hispano-Suiza”. Ce fut la fin d’un mythe…
C’est toutefois le début de PEGASO. Avec la création de INI (Instituto Nacional de Industria) l’État espagnol a décidé d’entrer dans le domaine de l’automobile en créant la société nationale ENASA à laquelle les usines Hispano-Suiza et toutes les activités industrielles ont été transférées, mais la société “Hispano-Suiza Fabrica automoviles S.A.” poursuivit son activité et garda la propriété de la marque et de son logo.
En 1947, lors de la présentation de la nouvelle marque Pegaso, la Z1 n’était rien d’autre que l’ancienne Hispano-Suiza 66G suivie par la Z101 qui était la copie de l’Hispano-Suiza 66D diesel. Tout disparait durant plus de 60 ans… Mais la marque automobile Hispano-Suiza va alors tenter de renaître au début des années 2000. Le nom est alors détenu par la société Mazel Engineering, qui annonce le retour de la marque avec des concept cars.
HS21 en 2000… K8 en 2001… HS21 GTS en 2002… Plus rien ensuite… Mais lors du salon international de l’automobile de Genève 2010, la marque présente, sous l’impulsion d’investisseurs privés catalans associés à Roland Mayer (ingénieur Audi) et Erwin Himmel (auteur du concept Audi Spyder de 1991), le modèle Granturismo. Il s’agit d’une supercar de près de 5 m de long et 2 m de large pour 1,25 m de haut, basée sur l’Audi R8 V10, avec un châssis aluminium.
Le moteur passe à 750cv à 8.200 tr/min (pour un couple de 700 N m, à 6 650 tr/min) grâce à l’adjonction de deux turbos. Une version hybride est aussi à l’étude, avec une puissance totale de 900cv (même moteur thermique de 750cv associé à un moteur électrique de 150cv). L’ensemble permettant un 0 à 100 km/h en 3,4 secondes et plus de 330 km/h en pointe. La boîte comporte 6 rapports et est manuelle ou robotisée, pour un prix de base estimé à 700.000 €.
Les premières livraisons sont envisagées pour la fin de 2010, mais la commercialisation n’a pas lieu. En 2010, les designers Erwin Himmel (ex-Volkswagen) et Olivier Boulay (ex-Daimler) rachètent les droits de la marque Hispano-Suiza auprès de Safran, et fondent la Hispano Suiza Automobile Manufaktur AG, une société de droit suisse. Dans le même temps Miguel Suqué Mateu, l’arrière-petit-fils du fondateur fonde la Hispano Suiza Cars basée à Barcelone.
Cette dernière présente une Supercar électrique l’Hispano-Suiza Carmen, tandis que la marque suisse présente la Maguari HS1 GTC au salon de l’automobile de Genève en 2019. En 2019, soixante-dix ans après avoir fermé son usine d’origine (en 1949), le constructeur automobile espagnol Hispano Suiza a reprend son essor avec un seul objectif : “Produire des véhicules qui n’existaient auparavant que dans l’imagination des passionnés d’automobile”...
Comme je peux désormais en témoigner pour www.GatsbyOnline.com, le constructeur automobile basé à Barcelone y est parvenu dès le départ grâce à Michael Fux qui est bien connu des amateurs d’automobiles pour avoir fait réaliser, par les plus grands constructeurs, des modèles personnalisés aux couleurs exclusives. Parmi ceux-ci figurent notamment les McLaren Senna Fux Green et McLaren 720S Fux Fuschia conçues en collaboration avec McLaren.
Michael Fux est connu pour ses automobiles aux couleurs vives qui peuplent sa vaste collection, comme une McLaren 720S rose et une Rolls-Royce Cullinan orange. Le PDG d’Hispano Suiza, Sergio Martinez Campos, a présenté à Fux une Carmen Boulogne 2022 lors de l’évènement mondain d’Amelia Island, où cette automobile faisait tourner les têtes en cause de ses 1.115cv. Qualifiant la voiture de “rêve devenu réalité”, Fuchs va craquer pour la nouvelle Hispano…
Fux n’avait jamais acheté de voiture électrique auparavant, mais il était intrigué par l’opportunité d’acheter la première des cinq modèles Hispano-Suiza Carmen Boulogne. Fux a donc demandé à Tony Kanaan (le champion des 500 milles d’Indianapolis 2013 est un de ses amis) de venir avec lui pour en acheter une… La couleur choisie est “Ocean Song Rose”, inspirée de sa fleur préférée envoyée au département de design d’Hispano Suiza afin d’être reproduite…
La fibre de carbone étant noire, l’Hispano Suiza Boulogne a nécessité une couche d’Alutex, un composite contenant de la résine époxy, pour réussir à créer la couleur demandée par Fux. Cela lui est exclusif ; vous ne le verrez sur rien d’autre construit par Hispano Suiza. La finition “Ocean Song Rose” est combinée avec des détails de design “Birkigt White”. La calandre de la voiture, avec le logo Hispano Suiza, est finie dans un noir brillant contrastant…
De plus, les écrous monoblocs des jantes en alliage d’aluminium poli (19 pouces à l’avant, 20 pouces à l’arrière) sont peints pour correspondre à la couleur de la carrosserie dont ‘intérieur est recouvert de cuir “Birkigt White” et le mot “Boulogne” est brodé sur les appuie-tête… Le chef de projet, Fabiano Ferreira, m’a affirmé que la voiture avait été entièrement conçue et construite à partir de zéro en tant que version plus rapide et plus puissante de la Carmen EV 2019.
Après une période de développement de 24 mois, Hispano Suiza prévoit de construire seulement 19 “Carmen” de 1.000 chevaux en plus de cinq modèles “Boulogne”. Le prix de base est de 1,7 million de dollars pour une Carmen et de 1,9 million de dollars pour une Boulogne… Les cellules de la batterie du modèle “Boulogne”, sont disposées en forme de T commençant derrière la cabine et passant entre les sièges, elles permettent d’accélèrer de 0 à 60 km/h en 2,8 sec.
Ferreira dit que la vitesse a dû être plafonnée à 190 mph. Les caractéristiques les plus “consuméristes” des Carmen et Boulogne sont les portes papillon à commande électrique qui s’élèvent puis s’abaissent lentement en appuyant sur un bouton. Les caractéristiques intérieures comprennent des instruments numériques et un écran tactile. Ferreira semble aussi enthousiaste à l’idée de travailler pour Hispano Suiza que Fux l’est de posséder la Boulogne n°1…
Michael Fux est un homme d’affaires et philanthrope cubano-américain qui à l’art de donner l’impression qu’il pèse plusieurs milliards de dollars, alors que sa valeur nette n’est que d’un demi milliard de dollars. Notez que ce n’est malgré-tout pas trop mal… Michael Fux a gagné sa fortune en tant que fondateur des sociétés de literie Sleep Innovation et Comfort Revolution. Comme ceux qui se mettent à gagner beaucoup, il est devenu un collectionneur compulsif…
Il amasse les Supercars, plus de 160 véhicules sont dans sa collection, réparties dans cinq garages. En 2019, Fux est devenu le premier client à se faire livrer une McLaren Senna. Il a reçu la voiture de teinte “vert émeraude” dans la cour de récréation de sa résidence du centre de Manhattan. Sa collection qui va et vient comprend une LaFerrari Aperta 2016 avec seulement 174 miles, l’une des 120 produites et qui se négocie généralement à 9 millions de dollars.
Outre un domaine en Floride, son préféré est celui de New Jersey, situé dans la ville de Milford, quoique son penthouse de 54 millions de dollars rivalise avec celui de Donald Trump. Michael Fux est né en 1943 à Cuba. À l’âge de 15 ans, il émigre avec sa mère et son frère aux États-Unis et s’installe à Newark, dans le New Jersey. Là-bas, la famille vivait dans un appartement d’une chambre meublée par l’Armée du Salut. Fux ne parlait pas un mot d’anglais à l’époque.
Fux a fréquenté les lycées Weequahic puis Central Evening High School. Il a eu son premier emploi (pmpiste) dans une gare de Newark pour 1 $ de l’heure. Peu de temps après, il a réalisé sa passion entrepreneuriale en vendant des pneus usagés dans un garage de Newark. À l’âge de 20 ans, Fux avait acheté et vendu plusieurs petites entreprises. Pour parfaire ses compétences en affaires, il a alors accepté un emploi de vendeur d’automobiles chez Sears.
Il en est finalement devenu gestionnaire. Fux a ensuite travaillé comme directeur dans un certain nombre d’autres grands magasins, dont Sanger-Harris et Bamberger’s. À l’âge de 30 ans, Fux était vice-président de la société Hecht à Washington, DC. Après avoir occupé le poste de directeur des ventes pour une entreprise japonaise de linge en gros, Fux s’est passionné pour l’industrie textile. Il a acheté des articles en tissu, et créé un programme de marketing…
Il a ensuite commencé à fabriquer des couvertures à fermeture éclair. Cependant, cette entreprise a duré trois ans avant de faire faillite. Fux est ensuite retourné dans le commerce de détail, travaillant comme acheteur de tapis à Los Angeles. Il a rapidement fondé MFA Marketing, par l’intermédiaire de laquelle il importait lui-même des tapis et d’autres produits. En 1985, Fux a été contacté par sa belle-sœur avec une proposition de travailler pour BioClinic.
C’était un producteur de matelas en mousse de polyuréthane pour les hôpitaux. Fux a aidé l’entreprise à se développer sur le marché de consommation, en proposant ses produits dans tous les grands magasins. Après une décennie chez BioClinic, il a utilisé ses connaissances de l’industrie de la literie pour fonder Sleep Innovations, qui produisait des matelas, des oreillers et des surmatelas en mousse viscoélastique.
Pour vendre les produits, Fux a conçu un emballage innovant composé d’une boîte à roulettes aux couleurs vives. En 2005, il a vendu Sleep Innovations avec un bénéfice important. Fux a réintégré l’industrie de la literie en 2011 en fondant Comfort Revolution, qui fabrique des matelas, des surmatelas et des oreillers en mousse à mémoire de forme et la technologie de gel exclusive Hydralux.
En 2012, Fux a vendu une participation minoritaire dans l’entreprise à Sealy et a ouvert une usine de fabrication et de distribution à Belmont, dans le Mississippi. Début 2006, Fux a créé la Fondation Michael Fux pour soutenir les enfants atteints de maladies graves en créant des programmes qui leur apportent, ainsi qu’à leurs familles, une assistance… Au fil des ans, Fux a même soutenu de nombreuses organisations caritatives dans le New Jersey.
Elles comprennent, sans s’y limiter : la Count Basie Theatre Foundation ; Secours à l’ouragan Sandy, dans le New Jersey ; la Fondation Make-a-Wish du centre du New Jersey ; la Fondation du Centre Médical de Monmouth ; Héros du New Jersey ; Océan d’Amour ; la Fondation de la Maison du Tigrou ; et le Fonds commémoratif des soldats. Hispano Suiza en fait partie… CQFD… Il se destine a en prendre le contrôle et la direction…
2 commentaires
Maître, Je respecte le parcours de self made man de M. Fux (la lecture assidue de votre site me pousse à penser que cet homme n’a pas dû faire que des choses bien dans sa vie), mais pourquoi ce nom Boulogne ?Boulogne, la commune de la Vendée, La Boulogne, rivière éponyme, Les Lucs-sur-Boulogne, Boulogne-sur-Mer, Saint-Martin-Boulogne, La Capelle-lès-Boulogne, Hesdigneul-lès-Boulogne, Conteville-lès-Boulogne, Pernes-lès-Boulogne, Boulogne-Billancourt, Boulogne-la-Grasse, Boulogne-sur-Gesse, Gensac-de-Boulogne, Boulogne-sur-Helpe, Saint-Étienne-de-Boulogne, Bois de Boulogne?
Qu’est-ce que le bien et le mal ? Ce bonhomme s’est créé des profits qu’il a dépensé en Supercars ! Ce n’est pas une collection puisqu’il vend les voitures en tentant d’y faire profit. Et pour les prénoms de L’Hispano Suiza, c’est effectivement grotesque… J’ai des difficultés à revenir sur site ayant été malade. C’est de me réveiller à 4H30 qui m’a fait rouvrir le site pas vraiment éteint.. Mes réponses devraient donc être plus brèves le temps que les médocs fassent effet…
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