Triumph TR25 BMW by Makkina
La Triumph Motor Company est née en 1885 mais n’a commencé à fabriquer des automobiles qu’en 1923, avant cela, elle produisait des vélos, puis des motos ce qui peut expliquer son amour pour les véhicules légers dont les Tr2 de 1953 à 1955 et les Tr3 de 1955 à 1961… Les différentes restructurations et fusions qui émaillèrent l’industrie automobile anglaise à la fin des années 1960, ainsi que les normes anti-pollution et sécuritaires instaurées aux États-Unis (principal marché d’exportation et première source de revenus de l’industrie automobile anglaise), causèrent le déclin de Triumph et de la British Leyland.
Le dernier modèle à porter le nom de Triumph fut une version de la Honda Ballade produite en Angleterre : l’Acclaim. Triumph a disparu en 1984. Les droits d’utilisation du nom Triumph appartiennent aujourd’hui, à BMW qui avait repris Rover en 1994. BMW a refusé de vendre le nom Triumph lors du rachat de MG Rover en 2000 par le groupe Phoenix Venture Holdings, ce qui laissait croire qu’un modèle sportif portant ce nom puisse à nouveau voir le jour dans le futur. Tout le reste compte pour du beurre. Makkina, un studio de design intégré à BMW, à alors proposé d’utiliser l’appellation TR2 !
C’était pour réactiver l’image/souvenir du Roadster de 1953, ce qui nous a conduit au concept BMW Makkina TR25 : “hommage consumériste souvenir à Triumph”… Mais le studio de design a préféré se concentrer sur une TR plus spécifique: la TR2 MVC575, alias TR2 Jabbeke. C’est le nom de l’autoroute belge avec une longue ligne droite qui permettait aux véhicules d’atteindre leur vitesse maximale à l’époque, alors Triumph y a emmené, en mai 1953, la TR2 pour battre un record de vitesse pour les voitures avec des moteurs de moins de 2 litres : 124,899 mph (201 km/h).
La TR25 conçue par Makkina est électrique et utilise le module d’entraînement BMW i3S, la partie de cette voiture urbaine qui est responsable de son déplacement. BMW a en effet divisé la structure i3 en module d’entraînement (motorisation) et module de vie (la carrosserie). Si vous portez une attention particulière aux phares, vous constatez que l’un affiche un “2”, l’autre un “5” par signature lumineuse. Cependant, le couvercle central juste derrière est numérique et présente les informations techniques, telles que l’autonomie et le niveau de charge de la batterie avec compteur de vitesse.
Triumph pourrait-elle revenir à la vie et répéter ce qu’elle a fait de 1953 à 1984 ? Il pourrait éventuellement avoir une chance s’il était également vendu à un constructeur automobile chinois aux poches profondes et à la volonté de vendre des voitures de sport. En même temps, il pourrait avoir le même sort que le MG Cyberster, un magnifique roadster qui a perdu son éthique lorsqu’il a reçu une batterie. Il suffit de vérifier ce qui est arrivé à Lotus. Geely en a fait une marque électrique de luxe, et l’idée de simplifier, puis ajouter de la légèreté, conçue par Colin Chapman est diluée : le prix à payer pour survivre.
BMW a probablement raison de laisser la marque britannique en sommeil, car en plus de ne pas trouver de moyen, pour Triumph, de gagner beaucoup d’argent, il serait assez triste de la voir se réveiller avec l’impression qu’elle vivait un lourd cauchemar. Triumph fut l’un des rares constructeurs automobiles britanniques à vraiment déchiffrer le code de consommation américain. Tout au long des années 1950 et 1960, ses modèles TR se sont battus avec MG, une rivale à deux places, pour toucher le cœur et le portefeuille des acheteurs américains. C’était l’âge d’or des voitures de sport britanniques.
Mais l’apogée allait s’arrêter avec le retrait de Triumph du marché américain en 1981. En 1984, la marque avait été complètement retirée. Le dernier hourra de Triumph était une berline Honda rebadgée. Pourtant, nous voici en 2023, témoins de la révélation d’un nouveau Roadster Triumph/BMW. Construite pour célébrer le 100e anniversaire de la marque, la TR25 électrique n’est toutefois qu’un concept-car du groupe BMW, propriétaire de Triumph, de Mini, Rolls-Royce etc… La TR25 a été créée par Makkina, une maison de design automobile basée à Londres. Vous ne reconnaissez pas le nom ?
Makkina travaille généralement dans les coulisses pour les constructeurs automobiles, son travail étant couvert par des accords de non-divulgation stricts. Il s’agit du premier projet public de l’entreprise et commémore également le 25e anniversaire de Makkina (comme en témoigne la nomenclature de la voiture). En substance, la TR25 est ce qui se passe lorsque les concepteurs de voitures sont libérés de la laisse (ou du harnais). Le design de la TR25 combine le classique et le futuriste. Ses phares aux yeux d’insecte et ses ailes arrondies sont des clins d’œil évidents à la TR2.
Ses jantes angulaires en alliage de 21 pouces, ses portes en ciseaux et ses feux arrière à DEL améliorant l’aérodynamisme sont des touches de concept-car. Le contrefort arrière en carbone contient une caméra de recul et le minuscule moustiquaire de la voiture est la seule concession à la protection contre les intempéries. Mieux vaut emporter ses lunettes de soleil. Dans le cockpit, le siège du conducteur est fixe, mais le volant et les pédales glissent tous deux pour être ajustés à l’intérieur du cockpit, doté d’une esthétique minimaliste définie par du cuir bleu et du métal non peint.
La Triumph réinventée semble se concentrer sur l’amplification de l’expérience de conduite. Le siège du conducteur est fixe, mais le volant et les pédales glissent tous les deux, ce qui permet aux grands gabarits qui mesurent plus d’1m90 de se sentir à l’aise. Le volant à rayons (avec un cadran auto-centré) fait également référence à la Triumph “Jabbeke” TR2 et dispose d’un petit joint numérique placé derrière lui. S’y trouve également trois interrupteurs à bascule, utilisés pour sélectionner les modes de conduite, montés sur la colonne vertébrale centrale de la voiture.
La batterie de 42,2 kWh et son moteur électrique monté à l’arrière sont viennent directement de la BMW i3s, et sa puissance de 181cv est le double de celle de la TR3 classique. Un zéro à 100km/h s’effectue 5,2 secondes. Pour le fondateur et directeur de Makkina, Michael Ani, la BMW i3 était la base idéale pour un roadster de retour aux sources. La TR25 est une vitrine pour les talents de design de Makkina et une vision pour une voiture de sport “durable” et relativement abordable. Il n’est pas clair si c’est tout ce qu’elle représente, bien que le nom Triumph résonne toujours des deux côtés de l’Atlantique…
L’épine dorsale de l’économie allemande aujourd’hui en péril en cause de la guerre en Ukraine et des sanctions édictées envers la Russie qui en réalité économique sont pires pour les pays européens (surtout l’Allemagne) que se tirer un chargeur de Kalachnikov dans les pieds… L’’industrie automobile va mal. Ce n’est pas seulement qu’elle représente environ 10% du PIB, mais aussi parce que des marques comme Porsche, Mercedes, BMW et Volkswagen sont reconnues dans le monde entier comme des symboles de l’ingéniosité et de l’excellence industrielle allemande.
Ces entreprises dépensent toujours des millions en image de marque et en publicité pour s’assurer qu’elles sont pensées de cette façon. Mais, la guerre en Ukraine qui ne serait selon les Russes qu’une promenade de santé permettant d’éradiquer les Nazis qui continuent de pulluler en Ukraine, amène les constructeurs allemands à dépenser moins d’argent et d’énergie pour éviter de discuter de leurs racines. Il n’y a pas que les milices nazies Ukrainiennes AZOV, toute l’industrie allemande a collaboré avec les nazis : Ferdinand Porsche, par exemple, a persuadé Hitler de mettre Volkswagen en production…
Son fils, Ferry Porsche, qui a construit l’entreprise, était un officier SS volontaire. Herbert Quandt, qui a fait de BMW ce qu’elle est aujourd’hui, a commis des crimes de guerre et ses usines tournaient à plein rendement pour fournir du matériel de guerre aux nazis… Tout comme Friedrich Flick, qui est venu contrôler Daimler-Benz. Mais, contrairement à M. Quandt, M. Flick a été condamné à Nuremberg. Ce n’est pas exactement un secret dans l’Allemagne moderne, mais ce passé nazi est sciemment ignoré alors que ces titans ont joué un rôle central dans la construction du miracle économique d’après-guerre.
Ils sont encore largement défendus et célébrés pour leur sens des affaires et pour leurs actes de guerre. Leurs noms ornent les bâtiments, les fondations commémoratives et sont sans cesse cités. Dans un pays si souvent loué pour sa culture du souvenir et de la contrition, une reconnaissance honnête et transparente des activités de guerre de certaines des familles les plus riches d’Allemagne reste, au mieux, une réflexion après coup. Mais jusqu’à ce que ces entreprises et l’Allemagne soient plus ouvertes sur l’histoire nazie de leurs patriarches, les comptes resteront incomplets.
Aujourd’hui, deux des héritiers de la famille Quandt, propriété de BMW, ont une valeur nette d’environ 38 milliards de dollars, ils contrôlent BMW, Mini et Rolls-Royce et détiennent des participations importantes dans les industries chimiques et technologiques. Les patriarches de la famille, Günther Quandt et son fils Herbert Quandt, étaient membres du parti nazi qui ont soumis jusqu’à 57.500 personnes au travail forcé ou à l’esclavage dans leurs usines, produisant des armes pour l’effort de guerre allemand. Günther Quandt a d’ailleurs acquit pour quasi rien des entreprises appartenant à des Juifs…
Souvent, il recevait gratuitement des mains d’Hitler, des biens et entreprises des pays limitrophes saisis après leur occupation par l’Allemagne nazie. Herbert Quandt a participé à ces acquisitions et affaires douteuses et il a également supervisé la planification, la construction et le démantèlement de camps de concentration en Pologne. Après la fin de la guerre, les Quandt ont été “dénazifiés” dans un processus juridique financier mis au point par les USA permettant à la plupart des criminels nazis de s’en tirer impunément. Werner Von Braun, inventeur des V2 en tête !
En 1960, cinq ans après avoir hérité d’une fortune de son père chef nazi, Herbert Quandt est devenu le principal actionnaire de l’entreprise BMW. Aujourd’hui, deux de ses enfants, Stefan Quandt et Susanne Klatten, sont la famille la plus riche d’Allemagne, avec un contrôle quasi majoritaire de BMW. Les frères et sœurs gèrent leur fortune dans une ville près de Francfort à partir de biens immobiliers familiaux. Les Quandt ne peuvent pas prétendre ignorer les actions de leur père et de leur grand-père. Leurs implications nazies sont même incluses en détails dans une étude de 2011…
Celle-ci a été commandée par la dynastie Quandt quatre ans après qu’un documentaire télévisé critique ait révélé l’implication de la famille dans le Grand Troisième Reich… Malgré la commande de l’étude, qui a été menée par un historien et une équipe de chercheurs, les héritiers BMW semblent préférer aller de l’avant comme si rien n’avait été appris… Aujourd’hui, une biographie élargie mentionne la responsabilité de Herbert Quandt dans la dotation en personnel des usines de batteries à Berlin… C’est là où les travailleurs forcés et esclaves du régime nazi étaient exploités dans les camps de concentration !
En 2016, la branche caritative de BMW a été consolidée sous le nom de Fondation BMW Herbert Quandt. C’est maintenant un organisme de bienfaisance mondial majeur, avec environ 150 millions de dollars d’actifs, soutenant les objectifs de durabilité et l’investissement d’impact. Stefan Quandt et Mme Klatten comptent parmi ses donateurs fondateurs. Si l’on en croit le site Web de la fondation, toute la biographie de Herbert Quandt consiste en un acte : “il a assuré l’indépendance de BMW”. La devise de l’organisme de bienfaisance est de promouvoir le “leadership responsable” et d’inspirer “les dirigeants”...
Ceux du monde entier, bien sur, pour qu’ils œuvrent pour un avenir plus pacifique, juste et durable… BMW et ses actionnaires majoritaires, M. Quandt et Mme Klatten, ne sont pas uniques dans leur révisionnisme. En 2019, la Fondation Ferry Porsche a annoncé qu’elle doterait la première chaire allemande d’histoire de l’entreprise à l’Université de Stuttgart. La société Porsche a créé la fondation en 2018, 70 ans après que Ferry Porsche ait conçu sa première voiture. “S’occuper de sa propre histoire est un engagement à temps plein”, a écrit le président de l’organisme de bienfaisance dans un communiqué.
Il a ajouté : “C’est précisément cette réflexion critique que la Fondation Ferry Porsche veut encourager, car pour savoir où vous allez, vous devez savoir d’où vous venez. Même si ce fut nazi”... La fondation porte le nom d’un homme qui s’est volontairement enrôlé dans la SS en 1938, a été admis comme officier en 1941 et a menti à ce sujet pour le reste de sa vie. Pendant la guerre, M. Porsche était occupé à diriger la société Porsche à Stuttgart, qui exploitait des milliers de travailleurs esclaves. En tant que directeur général de Porsche dans les décennies d’après-guerre, il s’est entouré d’anciens officiers SS de haut rang.
Dans son autobiographie de 1976, M. Porsche a donné un récit historique tordu, plein de déclarations antisémites, sur le cofondateur juif de Porsche, Adolf Rosenberger. Porsche a même accusé M. Rosenberger d’extorsion après avoir été forcé de fuir l’Allemagne nazie. La vérité était qu’en 1935, Ferry Porsche a reçu les actions de la société de M. Rosenberger après que son père, Ferdinand Porsche, et son beau-frère, Anton Piëch, aient racheté presque pour rien le cofondateur de la société, payant ses actions 90% en dessous de leur valeur marchande.
Aujourd’hui, Porsche ne se contente pas de sponsoriser des chaires professorales ou de fabriquer des voitures de sport… Avec leurs cousins les Piëch, les Porsche contrôlent le groupe Volkswagen, qui comprend Audi, Bentley, Lamborghini, Seat, Skoda et Volkswagen. La valeur nette combinée du clan Porsche-Piëch est estimée à environ 20 milliards de dollars. Ils se préparent maintenant à séparer Porsche du groupe Volkswagen et à inscrire la société de voitures de sport dans ce qui s’annonce comme l’une des plus grandes offres publiques.
Les Porsche n’ont jamais abordé publiquement les activités de leurs patriarches pendant le Troisième Reich. Et ce n’est pas seulement Ferry Porsche qui a été impliqué : Ferdinand Porsche, qui a conçu la Volkswagen, pendant la guerre a dirigé l’usine Volkswagen avec M. Piëch. Là, des dizaines de milliers de personnes ont été utilisées comme travailleurs forcés et esclaves pour produire des armes en masse. La Fondation Ferry Porsche a financièrement doté le poste de professeur à l’Université de Stuttgart parce que des membres de son département d’histoire ont publié une étude financée par l’entreprise.
Celle-ci concernait les origines de la société Porsche à l’époque nazie. Mais l’étude ressemble plus à un blanchiment partiel qu’à une comptabilité complète. Ensuite, il y a les Flicks… Friedrich Flick contrôlait l’un des plus grands conglomérats allemands d’acier, de charbon et d’armement pendant le Troisième Reich. En 1947, il est condamné à sept ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Lors de son procès à Nuremberg, il a été reconnu coupable d’avoir eu recours au travail forcé et à l’esclavage, d’avoir soutenu financièrement les SS et d’avoir pillé des usines sidérurgiques.
Après sa libération anticipée en 1950, il a reconstruit son conglomérat et est devenu l’actionnaire majoritaire de Daimler-Benz, alors le plus grand constructeur automobile allemand. En 1985, Deutsche Bank a acheté le conglomérat Flick, faisant de ses descendants des milliardaires. Aujourd’hui, une branche de la dynastie Flick d’une valeur d’environ 4 milliards de dollars maintient une fondation privée à Düsseldorf nommée d’après leur patriarche qui siège au conseil d’administration de l’une des universités les plus prestigieuses d’Allemagne et dirige l’argent vers des causes éducatives…
Cela principalement en Allemagne et en Autriche, porte toujours le nom d’un criminel de guerre nazi condamné dans les usines et les mines duquel des dizaines de milliers de personnes travaillaient dans le travail forcé ou l’esclavage, y compris des milliers de Juifs. Mais en regardant le site Web de la fondation, vous n’apprendriez jamais le passé entaché de la fortune Flick. Comment se fait-il que trois des familles d’affaires les plus puissantes d’Allemagne, leurs entreprises et leurs organisations caritatives soient si en décalage avec la culture du souvenir louée du pays ?
Lorsque qu’on a interrogé Jörg Appelhans, le porte-parole de longue date de Stefan Quandt et de Mme Klatten, sur leur utilisation du nom de leur grand-père et de leur père sur leur siège et leur prix des médias, il a envoyé un courriel disant : “Nous ne croyons pas que renommer des rues, des lieux ou des institutions soit une façon responsable de traiter les personnages historiques parce que cela empêche une exposition consciente à leur rôle dans l’histoire et favorise plutôt sa négligence”... C’est une contorsion particulièrement éhontée.
Ces familles ne montrent pas l’histoire sanglante derrière leur fortune, sauf, parfois, dans des études commandées écrites dans un allemand académique dense… Toutefois, elles omettent ensuite les conclusions lorsqu’elles décrivent leur histoire familiale en ligne. Ils ne traitent même pas avec eux de manière honnête. En fait, ils font le contraire : commémorer leurs patriarches sans mentionner leurs activités de l’époque nazie. Les représentants du milliardaire Flicks ont refusé de commenter pourquoi il n’y avait pas de biographie de Ferry Porsche sur le site Web de sa fondation éponyme.
Sebastian Rudolph, président de la fondation, a déclaré en réponse qu’il examinait dans quelle mesure cela devrait également être représenté sur le site Web de la fondation. L’industrie automobile allemande est restée fondamentalement nazie, non seulement pour l’économie du pays, mais aussi pour son identité. La répudiation de ces magnats serait pour l’opinion allemande, un désaveu de l’identité nationale ! Ces hommes restent des symboles puissants de la résurgence et de la puissance économique de l’Allemagne. Célébrer le succès des entreprises importe plus que reconnaître les crimes contre l’humanité.
D’ailleurs, c’est cet aspect qui a permis aux merdias de soutenir que l’ennemi actuel était la Russie qui a pourtant perdu des millions d’hommes, femmes et enfants dans le combat contre le nazisme… L’Allemagne considère qu’elle n’est redevable de sa survie que grâce aux milliardaires nazis et à leurs entreprises mondiales… C’est ainsi que la guerre n’a finalement pas été gagnée par ceux qu’on croit… L’industrie allemande possède maintenant toutes les industries qui la combattaient durant la période nazie… Un comble étant que toute l’Europe aide l’Ukraine nazie contre la Russie… Bien… Donc, quid de cette évocation ?