VW-Bugatti /2.088.000.000€ de fausse perte fiscale ?
Mon apostasie Bugattiste fait frissonner d’horreur les Bugattistes et, plus que tout, les dégoûte une fois révélées les horreurs et abominations commises. Bugatti a en effet un passé abominable… Giovanni Battista Bugatti né en 1779, décédé lui-même dans d’atroces souffrances en 1869 fut le bourreau des États pontificaux, hyper-actif de 1796 à 1865. Surnommé Maestro Titta, et Maestro di Giustizia (Maître de justice), il a été mis à la retraite par le pape Pie IX à 85 ans avec une pension mensuelle de 30 Scudi pour sévices rendus, après avoir exercé sa fonction de bourreau Papal…
Bugatti… Rendez-vous compte… Bugatti bourreau aux sévices du Pape… Découvrant de telles origines dans la famille au nom emblématique, modestement, et ne me revendiquant de personne, ni de quiconque quidam, même enchanteur qui sournoisement captive les jeunesses et à jamais ne comprend comment les populations peuvent accepter d’être lobotomisées par la descendance d’un tel personnage, me bouleverse… C’est un mystère d’iniquité. Je me devais d’écrire les causes d’une telle rupture, d’une si violente stupidologie, qui sournoisement sans rien oser avouer, gangrène les masses…
Mais aussi toutes les élites auto-installées dans le confort d’un relativisme facile et dont profite un consumérisme avide qui résolument tourne le dos aux vérités, au sacré de l’histoire pour s’énamourer d’artifices. Mais cela ne suffit pas à expliquer une telle désolation dans les esprits, les cœurs, ni un tel effondrement moral et même spirituel qui incitent les autres, tous les autres, les maîtres du fric et des fausses historiettes, à se précipiter sur les proies fragilisées ainsi que sur les industriels d’automobiles, vainqueurs, qui remplacent pneus à pneus la foi en de vraies valeurs,…
Celles-ci sont vaincues parce qu’abandonnées, vilipendées par toutes les autorités. C’est le déni Bugattiste, un apologétique qui me vaut un florilège d’encouragements. L’apologétique est un champ d’études littéraires consistant à défendre de façon cohérente une position. Un auteur s’engageant dans cette démarche est appelé “apologiste” ou “apologète” ce dernier terme ayant une connotation plus religieuse, à la considérer comme telle. Cela vient du mot grec ancien “apologia” (ἀπολογία), qui signifie “justification”, donc défense contre des attaques les fausses histoires et la crédulité.
Et celles-ci, sont viles car sont portées aux faites, aux nues, non point de l’histoire de cette famille au départ du bourreau Papal, mais par la transcendance de cette même histoire purgée des délits originaux via la refonte “historicale” de ce qui fut, en une sorte de comptine, rien de moins que l’avènement d’un nouvel inquisiteur auto-canonisé, expert en histoires automobiles, qui, avec son fils, ont créé le mouvement Belluriste, parvenant à se faire publier avec fastes honneurs, relationnés principalement en Francité…
Parmi les premières utilisations du mot, on peut citer l’Apologie de Socrate, un dialogue dans lequel Platon prend fait et cause pour Socrate lors de son procès. C’est aussi le titre de diverses œuvres d’auteurs chrétiens, grecs et latins, de l’époque impériale, comme les deux Apologies de Justin le Martyr, adressées à l’empereur Antonin le Pieux, celle d’Athénagoras d’Athènes, et l’Apologeticum de Tertullien, un des principaux apologètes du christianisme primitif dont je me régale le cœur le plus souvent qu’il m’est donné d’encore survivre dans un monde d’illétrisme…
Pour contrer les démons sans subir plus qu’il n’en faut, cette influence muette, mais importune et terrible, qui depuis des siècles moule les destinées., je dispose de livres qui depuis des années constituent une grande partie de mon existence spirituelle :le Vert-Vert et la Chartreuse, de Gresset… le Belphégor, de Machiavel… les Merveilles du Ciel et de l’enfer, de Swedenborg… le Voyage souterrain de Nicholas Klimm, par Holberg… la Chiromancie de Robert Flud, de Jean d’Indaginé et de De La Chambre… le Voyage dans le Bleu, de Tieck… et la Cité du Soleil, de Campanella.
Un de mes volumes favoris étant une petite édition in-octavo du Directorium inquisitorium, par le dominicain Eymeric De Gironne comportant des passages de Pomponius Méla, à propos des anciens Satyres africains et des Ægipans, sur lesquels je rêvasse pendant des heures, préférant néanmoins la lecture d’un in-quarto gothique excessivement rare et curieux, le manuel d’une église oubliée, les Vigiliae Mortuorum secundum Chorum Ecclesiae Maguntinae… Je me revendique donc aussi de Chateaubriand, de son ami Joubert et jusqu’à Baudelaire, Saint-Exupéry, Bernanos et Maurras.
Car ce n’est pas faute, pour la France, d’avoir eu des esprits perspicaces qui ont annoncé et dénoncé ce déni mortifère qu’est le Bellurisme. Leurs adversaires dont le me revendique, ont eu beau mettre en garde, voire hurler, la société nouvelle refuse d’écouter. Il est à craindre que la fin prochaine d’un monde en dérive soit la même. Le Bellurisme s’est attaqué aux plus vulnérables, à ceux que les lois humaines ordinaires sont censées protéger : les adorateurs d’automobiles, hommes, femmes, enfants, vieillards aussi, en leur triste cas qui est d’être des glaiseux rachitiques…
Le Bellurisme a insuflé le faux vrai dans le vrai faux, ce qui a déstabilisé ceux que leurs adeptes avaient pris pour cibles, les autres, les spectateurs impuissants. Ces pauvres hères, les Belluristes les ont jetés dans un état psychodramatique empreint d’horreurs et de foudroiements asociaux, dans un mélange de sidération et de terreur. Tel est le but de guerre des Belluristes : anéantir la volonté de résistance, noyer dans les lignes d’écrits vains la dignité humaine, réduire la personne humaine à l’état d’animal terrifié et soumis.
Les Belluristes cherchent ainsi à obtenir par leurs écritures d’une violence extrême, que les masses deviennent soumises. Monstrueuse parenté du mépris et du dévoiement forcené de l’intelligence au service d’un “Grand Œuvre Consumériste” issu du satanisme émanant du parent ancestral, chef inquisitorial et bourreau Papal. Mais nous savons aussi que ce déchaînement pervers n’atteint pas toujours ses objectifs : Saint-Just et Robespierre ne se sont maintenus que quelques mois. Ce qui amène à se poser une question essentielle…
Est-ce du terrorisme intellectuel en soi ? À première vue, non, mais ce mode d’action surgit dès que l’on passe au “que faire” et au “comment faire”. Le Bellurisme a ainsi “anxigéné” les cerveaux en une “praxis” prétendument incontournable, car “politiquement correcte” à l’échelle mondiale française, émanant d’une dynamique conquérante, mais se développant à la mesure de la décadence des civilisations locales formant la Franchouille profonde de laquelle surgissent des malthusiens, hédonistes, lâches et très vulgairement matérialistes. Des proies alléchantes pour les fauves.
Pas de quoi s’étonner que les Belluristes livrent aux simples d’esprit des sortes de catéchismes que leurs esclaves égrènent. Leur science ne s’arrête toutefois pas à leurs seuls textes qui sont comme des moments liturgiques. Les méditations Belluristes sont donc éclairées par des considérations doctrinales, des notes renvoient en effet aux textes du Belluriste originel, décédé, autant qu’à divers précédents textes patiemment réinventés en une version plus accessible, en français contemporain.
C’est une version merveilleusement parsemée de vieux mots et toute empreinte de vieilles tournures. Il faut être tellement savant en tellement de sciences pour tout en décrypter, de la physique quantique à l’exégèse, que je ne me crois pas capable d’apporter un avis autre que critique sur leur œuvre dantesque qui se veut renouveler ce que l’on appelait autrefois la théodicée et qui pourrait équivaloir à une intuition, sinon à une certitude, de l’existence d’une entité extra-terrestre dans l’automobile et particulièrement les Bugatti, au-delà de toutes les prétendues évidences dites rationnelles.
Ce qui ouvre la voie à l’indétermination et à l’inconnaissable. Le scientisme est toutefois de nos jours programmé pour une mort certaine. L’univers révèle des équations dans les infinis, grands ou petits, hors de nos sens, qui n’ont plus l’absolue évidence des principes d’Euclide. La rationalité grecque et aristotélicienne est malheureusement mise en échec par les Belluristes, cat l’allégorie et la symbolique se trouvent en consonance avec l’indéterminisme qui est maintenant décalé au fin fond des substrats de l’univers.
Une ouverture béante est ouverte par les Belluristes qui apparait comme la porte d’un mystère nommé “Symptome Béllurien” et qui, tout en étant inconnaissable en tant que tel, s’impose comme un secret qui régit l’univers automobile et qui prétend ne pas se réduire à des connaissances humaines dont la prétention serait d’appréhender l’absolu qui peut se nommer “Peut-être”… Ainsi leurs lecteurs sont menés jusqu’au bout du nez d’un paradoxe existentiel… La VW Bugatti a en effet été présentée comme ayant l’ADN Bugatti… Un mensonge sacrilège…
Mais le grognement du moteur, bien timide quoique V16, a laissé tout le monde pantois et désorienté, certains restant sur leur faim… La nouvelle secte Bugatti voulait avant tout “meubler”, parler de design et de son avenir en suite des bêtes de foire succédant à la Bugatti Veyron, le groupe VW français a ainsi dévoilé diverses supercars toujours en clin d’œil aux “exploits” de la marque (du temps passé d’Ettore), notamment pour les fameuses 24 Heures du Mans 1937 (sic !) et des éternels multiples mêmes shows consuméristes pour “épater la galerie”…
Dans ces histoires toujours montées de toutes pièces, débitées par le même sempiternel pitre disposant de pantalons ultra moulants et de chaussures/bateaux aussi grandes que des barquettes de sauvetage, les journaleux ont été à chaque fois lobotomisés par du vide remplis d’inventions, jusque dans les communiqués de presse ! C’est lors de l’un d’eux, en début d’année 2015, que les merdias furent informés que le groupe VW avait enfin écoulé sa dernière Veyron, le fameux coupé apocalyptique…
Celui qui avait signé non pas sa renaissance en 2005, lorsqu’une opération financière camouflée par de l’évènementiel à coups de milliards (servant ainsi plutôt que payer des impôts), mise en œuvre par VW visait à se glorifier du rachat du nom et du vieux château Bugatti (en ruine) afin de créer une histoire alternative et un faux passé… Cette décadence et la fin de la Veyron n’ont toutefois inquiété personne, car tout le monde s’en moquait du moment qu’étaient payés les voyages, hôtels, putasseries et autres délires…
L’ engin a finalement sans doute été par ailleurs un moyen de déclarer quelques milliards d’euros de fausses pertes au fisc en prétextant que c’était une ruine en coût de fabrication, que les pertes dépassaient le budget de la NASA (il y aurait eu la dessous une parfaite ingénierie fiscale) ! Une estimation de Berstein Research a alors montré que le groupe Volkswagen avait perdu 6,27 millions de dollars, soit 4,64 millions d’euros, par Veyron vendue depuis 2005, un record dans le domaine de l’automobile, le total repris au paragraphe suivant donne la nausée ! Il faut y ajouter les pertes abyssales dues au Dieselgate…
2.088.000.000 €… 4,64 millions d’€uros X 450 voitures = Deux milliards quatre-vingt huit millions d’euros DE PERTE ! Certes, pas de quoi entrer en guerre à nouveau, ce n’est qu’un vingtième des dons généreux faits à l’Ukraine car suivis d’un “return” de 50% aux donateurs et à la donatrice. Les puristes Bugatti du temps d’Ettore, quant à eux vomissent les VW-Bugatti qui n’ont rien en commun ni en suite, avec les Bugatti d’Ettore et Jean… Seuls divers merdias et journaleux ont suivis, sans trop en dévoiler les rebondissements de cette histoire d’évasion fiscale.
Ils espéraient avoir de la matière à publier pour que perdurent les ventes des magazines “papier” en grandes difficultés (les temps changent)… Mais en vain, pas un euro ne leur a été donné… Les 450 Bugatti fabriquées au rythme d’une par mois et personnalisées sur-mesure dans l’usine de Molsheim de manière de plus en plus grotesque, avec des thèmes farfelus rendant ridicules et pathétiques les maisons prestigieuses piégées… Ce barnum a donc été le prétexte généré pour déclarer des pertes abyssales permettant à VW des manœuvres comptables… la palme de la crapulerie financière.
Cela a confirmé que ces nouvelles VW-Bugatti et leur W16 de 1200 chevaux (qui chauffe tellement qu’aucune custode arrière n’a pu être envisagée), représentaient la voie du machialélisme sociétal… La fausse vraie question à tiroirs est cependant toujours restée ouverte et sans réponse : Comme il existait alors des millions de gens croyant aux sornettes mais n’ayant que les moyens de se faire payer un jeu vidéo (ou de le voler, ou de le cracker), le concept Vision Gran Turismo avait donc été créé chez Bugatti de manière consumériste en plus de tout ce qui est évoqué… La honte !
L’utilisation une bête virtuelle apocalyptique bis qui reprenait un avant de Veyron, avec un nez en forme de groin de cochon inspirée de la bande dessinée “Spirou et Fantasio”, avec en sus, un arrière surchargé d’ailerons et de diffuseurs, comme sur un prototype des 24 Heures du Mans (course à laquelle aucune Bugatti Veyron n’a jamais participé et ou la Bugatti Vision n’évoluait que virtuellement) était une manière de faire un doigt d’honneur… Finalement l’affaire a été fourguée à un électricien automobile des pays de l’Est afin de briser les pistes fiscales… Fin de l’aventure…
3 commentaires
Maître, une fois de plus, un article captivant sur un sujet a priori ennuyeux. Vous laissez la simple reproduction de communiqués de presse aux journalistes précaires et pigistes contraints de recourir à cette pratique pour bénéficier d’avantages matériels, Je ne peux lire le nom de Bugatti sans penser à votre bel article sur l’évasion discrète de la collection Schlumpf…
Spermettez-moi de vous apprendre que l’un des voleurs de cette collection est mon voisin et que Valérie est amie avec son épouse… En effet ces deux femmes ont réalisé un livre nommé “Les Chiens de Saint-Tropez”, qui ne fait pas l’éloge de chiens humains qui escroquent les vieilles en leir volant leur Bugatti, non, mais les gentils Toutos Saint-Tropéziens et leur Mapitres et Maîtresses, le but étant que ces gens achètent le livre pour l’offrir à leurs entourages resopectifs… Accessoirement les Saint-Tropéziens et Tropézienne l’achètent aussi ce qui génère du chiffre ayant amené à ce qu’une chienne (une salope humaine) s’empare de l’idée pour créer “les chiens de Monaco”…Cela a donc généré une dispute de chiens et chiennes enragé(e)s… Concernant les Bugatti’s VW’s c’est évidement une arnaque fiscale destinée à crer des fausse pertes qui ainsi diminuent la marge fiscale de VW… A la limite du scandale pouvant détruire l’empire (nazi) Oiesch a réussi a détourner l’attention en vendant Bugatti à des gens d’un pays de l’ex période Soviétique… Les connards Bugattistes n’ont rien compris à cette arnaque…
Je visais avant tout le “Bellurisme” qui est un terme issu du nom d’un chroniqueur automobile qui a anesthésié 90% des amateurs d’automobiles anciennes… C’était presque un génocide mais seul le code pénal Lunaire pourrait spermettre des poursuites pour crime contre l’humanité…
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