2007 Maserati MC12 Versione Corsa
Je n’ai jamais écrit pour quelconque et aucun magazine “politiquement-correct”, aucun ne l’est si ce ne sont mes miens à moi… Je n’ai donc jamais scribouillé et/où tapoté de textes merveilleux pour d’extraordinaires magazines “merdiatiques” propriétés d’escrocs d’affaires milliardaires qui payent des clopinettes de perlimpinpin avec des mois de retard et des menaces judiciaires. Je ne sais donc pas écrire correctement façon “langue de pute” pour de merveilleux magazines de Fakes-News authentiques qui ne fonctionnent que pour la pub… Langue de pute se dit d’une personne qui écrit le contraire des réalités, toujours dans le dos d’autrui mais paraît amicale au premier abord. Pute est le mot argotique pour péripatéticienne. En effet, celles-ci font bonne figure bon cul durant l’acte sexuel, mais ne font ça que pour soutirer un maximum de flouze de façon sournoise… Ce type de travail “à la chaine” nommé “abattage” aussi bien pour les péripatéticiennes du sexe que pour leurs homologues de la presse, qui stresse de plus en plus les candides, tend actuellement à disparaitre…
Mais c’est pour être remplacé par des logiciels-Robots d’Intelligence Artificielle. Que ce soit sexuel ou intellectuel, c’est “masturbatoire”… Les éditeurs et/ou souteneurs ne payant presque jamais les droits d’auteurs, se régalent avec un logiciel “IA” qui collecte des milliers de textes et en font une synthèse en moins d’une minute, rien n’est vraiment copié mais en faits (et gestes), tout a été dupliqué.. Tout ça fonctionne en scans de textes “papier” prévus dans des forfaits d’agences spécialisées en “IA” basées dans des paradis fiscaux “mouvants” comme les sables… Les textes du web pour lesquels les éditeurs demandent un paiement pour venir les lire (ici c’est 1 euro le premier mois et 5 euros les mois suivants) sont fermés aux non-payeurs radins mais ouverts aux robots “IA” afin d’avoir “de l’audience via le fameux référencement Google et autres”, sans lequel les sites-web crèvent… Mais ces robots “IA” sont pourvus de la technologie leur permettant d’aspirer absolument tout et partouze en microsecondes et de stocker l’ensemble des centaines de milliers d’articles formant “un contenu”.
C’est celui de tous les sites d’infos et autres que des robots-frères lisent et sortent dans l’heure de ces photos et textes stockés. C’est ce que que cherchent les éditeurs, en quantités illimitées, avec des gradations d’intelligence adaptée aux lecteurs ciblés… C’est donc hyper crétin grade 80 à 95/100 dans les sports, 65 à 80/100 en politique étrangère et nationale et 45 à 60/100 dans les produits consuméristes dont l’automobile et les loisirs… La publicité qui peut être instantanée aux “évènements” est adaptée aux variations… C’est comme le saisonnier, les périodes sont différentes pour les chocolats et les melons… Google thésaurise des milliards d’euros/dollars dans l’instantané des recherchent enregistrées et les réseaux asociaux en gagnent des dizaines de milliards en léger décalage en pouvant analyser les commentaires et les réinjecter… C’est soit des redirections de recherches soit des proposition de produits à acheter… De là, ce n’est donc pas des suppositions mais des affirmations que tout est finalement truqué et perverti notamment en politique.
C’est pire pour les élections, mais aussi dans les articles et commentaires de la vie courante, particulièrement via des influenceurs/influenceuses qui ne s’en cachent pas plus que les sociétés de lobbying qui inventent des histoires alternatives et adaptatives pour réguler et manœuvrer les populations avec toutefois des variables qui doivent tenir comptes des réciprocités… C’est pourquoi j’ai été invité tout comme d’autres éditeurs à plusieurs reprises par le Gouvernement qui ne s’inquiète pas que les journaleux crèvent de faim ni que les éditeurs déjà milliardaires s’enrichissent d’autant plus vite qu’ils payent des montants ridicules pour avoir des contenus ciblés qui génèrent des pubs… Mais ils s’inquiètent que le public se détourne des merdias qui perdent toute crédibilité… D’où mes saillies ou je traite la presse de merdiatique et les journalistes de journaleux, spécifiant que ce sont maintenant ces putes de l’info qui vont perdre leurs salaires de misère car la robotique ‘IA’ prend le pouvoir des textes et images… Comme c’est aussi le cas pour les votes informatisés…
Tout cela, “avant”, ne se remarquait pas, car c’était indétectable. Et si une enquête devenait trop gênante, tout s’effaçait dans une prétendue panne générale informatique alors qu’à la reprise les “désinfos/FakeNews” rétablissaient les fausses vérités… Le chef d’œuvre de ce système “dictatucratique” est que ceux qui soulignent les faussetés sont traités de complotistes… Comme ça, sans preuve, relayé partout avec l’effet amplificateur des mêmes merdias et putes de l’info… Tout cela est directement de votre faute chers internautes qui avez sauté sur “Fesses de Boucs” et autres systèmes comme des cochons sur de la merde… A cause de vous qui croyez les putes de BDSMTivi et celles des diverses chaînes (un cran de crapulerie en dessous). C’est allé trop loin, mais comme pour tout, les réactions vont finalement débouler. Ayant bientôt 75 ans, je n’assisterais pas au carnage, quoique j’ai réellement poussé un cri de bonheur à chaque fois qu’un des mag’s de crapules qui s’ingéniaient à tenter de couler C&F faisait faillite… Je suis dans mon domaine, un survivant…
Un jour d’il y a quelques années, le cœur lourd, j’ai pris une décision. J’ai décroché mon téléphone, j’ai appelé le fisc et quelques abrutis et je leur ai dit qu’à l’avenir, je devrais me concentrer pleinement sur mon web-site, car je n’avais plus assez de temps à vivre pour leurs histoires de magazines “papier”... J’ai entendu le diable me dire : “Mais Patrice, je t’ai déjà programmé pour une autre histoire”... Cool… C’était le vol de ma LéaFrancis “Au nom d’AXA” par une bande criminelle organisée… C’était il y a presque 15 ans… Je me suis alors installé entre Brigitte et Bernard… Tant qu’à faire… Paris est devenu invivable, les USA ont trompé le monde entier, au bout de la Russie il y a la Sibérie et la Chine, et l’Afrique est un trou noir… Mon reste d’histoire – j’ai fini par céder – se déroule donc à Saint-Tropez. Entre les hôtels les plus chers de la Côte d’Azur, sous la lumière argentée du soleil, au milieu des Ferrari, Bugatti, Rolls et Bentley, et face au plus grand parcage de Yachts au monde… Il y a pire, j’en conviens…. Je suis courtisé par les vendeurs de consumérisme et je m’en f…
Lorsque l’on prend conscience de soi, on revient au monde, c’est-à-dire autre chose que soi. Mais qu’est-ce que le moi ? Blaise Pascal, considéré par la majorité aujourd’hui comme l’un des plus grands philosophes, donnait la description du moi comme une entité spirituelle et physique se posant face à l’altérité, c’est-à-dire à l’autre. En effet, depuis des millénaires l’Homme tente de se définir de par ses facultés et ses caractéristiques. Qu’est-ce au juste que la conscience ? La conscience de son étymologie, “cum scire” (avec savoir), indique la réflexivité de l’Homme par rapport à ses connaissances, à ce qu’il est, et est au monde. Mais, dans une dimension abstraite. Est-ce que, dès lors que l’on “prend” conscience de soi, on “devient” comme étranger à soi-même ? Le soi peut être défini comme la symbiose entre “res-extensa” (la chose étendue) et “res-cogitans” (la chose pensante). Il est certain, le soi est défini comme une entité physique et spirituelle. Une sorte d’entité métaphysique.
Depuis son apparition sur Terre, l’Homme se définit bien souvent par ce qui lui ressemble et ce qui lui est étranger. Par ailleurs, l’Homme pose autrui comme étranger par rapport au référentiel de la société, entre autres : tout ce qui ne lui ressemble pas du point de vue de ses croyances… Aristote, grand philosophe, penseur et homme politique de la Grèce antique disait dans “Les Politiques” : “Zoon politikon logon”. Il considérait l’homme comme un animal politique ; selon lui l’Homme n’est rien dès lors qu’il sort de la cité. Le terme “prendre”, lui, représente l’action de s’approprier, et de sortir de notre condition d’Homme par une élévation et le terme “devenir” peut induire une volonté de changement volontaire ou involontaire sur une échelle de temps définie par celui-ci. Cependant, on peut s’interroger : De par notre histoire, l’homme possède-t-il une conscience subjectivement objective ? S’il existe dès lors qu’il prend conscience qui est-il ? Sommes-nous ce que nous voulons être ? Encore une fois, qu’est-ce que le moi ? “Prendre conscience de soi, est-ce devenir étranger à soi ?”…
Or, de par ce raisonnement sceptique de remise en cause et de problématisation du sujet, une question bien précise en découle : “Faut-il s’approprier notre corps et esprit, afin de se considérer comme différent de notre propre personne ?… Pffffffffffffffffffffffffffffffff ! Je sens que vous décrochez… C’est dur d’être attentif… Je vais en venir à la Maserati MC12 version Corsa… Pour me faire l’article… et moi l’écrire… Alors que c’est décembre 2023, l’homme Maserati était vêtu d’un costume-cravate et avait de si belles manières qu’il aurait facilement pu être chef de rang dans un Grand Restaurant Chic et Cher. Il m’a expliqué l’ABC de “SA” Maserati et dit que je pouvais tourner sur son circuit sans limite de kilométrage… C’est exactement ce que j’ai fait. J’ai roulé. Mais comme la bête chauffe comme une cocotte-minute, j’avais peur de subir un coup de chaleur qui me ferait perdre connaissance… J’ai tenté alors, en vain, de créer un appel d’air froid. J’ai fait plusieurs arrêts pour prendre des photos sous tous les angles possibles.
C’est une voiture difficile à battre en termes d’absurdités. Elle épuise complètement. J’étais d’ailleurs épuisé lorsque j’ai commencé à taper sur les touches de mon ordi portable à trois heures du matin… Ce n’est pas une excuse. Je n’aurais jamais dû m’occuper de cette histoire. J’ai pensé alors à une introduction qui à elle seule serait une insulte. Lisez par vous-même : “Cette Maserati est comme une Gorgone qui m’est apparue dans un cauchemar. Mais elle n’était ni jeune ni jolie, oh non, elle était vieille et laide !”… Je me suis réveillé en sursaut, trempé de sueur. J’ai recommencé à écrire quelques jours plus tard. J’avais l’impression d’être perdu dans l’espace ! Je voulais revenir sur Terre. Mais je n’arrivais pas à comprendre comment éteindre la folie de la lumière renvoyée par les étoiles qui afflige notre monde entier. Cependant, le firmament au-dessus de moi a soudainement pris tout son sens ! Parce que dans une Maserati MC12, vous ne conduisez pas, non, vous flottez littéralement. L’une des raisons de cette sensation écrasante ne réside pas dans la suspension adaptative. Non…
Celle-ci détecte même les plus petites bosses, pour maintenir une conduite en douceur, et envoie une commande aux amortisseurs : “Veuillez corrigez, route inégale !”... Non… La Maserati flotte naturellement. Pas le moindre kilo d’isolation acoustique font oublier que sous le capot se cache un herculéen moteur V12 qui mène la danse comme si on était scotché sur un baffle dans un concert des Rolling-Stones…. La désindustrialisation et l’austérité en matière de protection sociale ont fait des ravages même chez Maserati, le personnel bricole…. La marque n’a aucun rôle économique significatif. Mais cela ne me paraissait pas important durant l’essai, il me suffisait de rester là, rêveur et d’imaginer l’inconcevable : qu’une telle mocheté mal assemblée et sans aucune finition, sans charme et fade, inconfortable, bruyante, mal assemblée, puisse être considéré par divers journaleux comme un incubateur d’émotions… Lesquelles ? C’est le point de départ d’une hystérie presque sans limites.
Les journaleux automobiles Chinois qui outre ne savent pas conduire (je le sais de source fiable) ne sont plus invités aux présentations presse internationales qu’à la toute fin. Parce que lorsque les Chinois conduisent des hypers sportives ils sont complètement perdus. Il faut les sortir des fossés, parfois même des ravins, et espérer qu’il y ait encore un signe de vie au volant. Sans blague… Une chose ne cessait de me harceler, tout le temps, cette question était là, hantant mon esprit : qu’est-ce que c’est que ces pneus à profil extrêmement bas. Pourquoi sur cette voiture ? De telles jantes et pneus constituent sûrement le bon choix pour un style de conduite sportif et agressif. Ils ne se déforment pratiquement pas sous charge, ce qui améliore considérablement la réponse de la direction. Les forces d’accélération et de freinage peuvent être transmises plus directement à la route. Seuls ceux qui n’en ont aucune idée disent : “La hauteur des pneus diminue à peu près aussi vite que la stupidité augmente”... Plus tard, soudain, ça m’a frappé : ils avaient mis ces pneus là juste pour moi…
Ils savaient à qui ils donnaient cette voiture à l’essai ! Il était clair pour moi que cela n’allait pas être une chose facile d’écrire un article cohérent sur cette Maserati. J’étais las. J’ai fait dix tours dans ma tête pour m’échauffer. Chaque fois que je bouclais un tour, j’augmentais régulièrement la vitesse. Les forces centrifuges ont commencé à me pousser violemment vers bâbord, et les derniers vestiges de ma raison se sont infiltrés quelque part à l’extérieur gauche de mon crâne. Néanmoins, je possédais encore suffisamment de raisonnement cognitif pour reconnaître le plus grand danger de l’expérience à venir : que je ne sente plus mes limites. Ainsi, la force totale de mon raisonnement pourrait me faire perdre l’équilibre de la raison… Mais ce n’est qu’un risque professionnel. Ce contrôle de stabilité pour les mauviettes devait tout simplement disparaître. Claquer ! Et c’était parti. J’ai pris la ferme résolution : je ne m’arrêterai pas de tapoter avant d’avoir réussi à expliquer l’inexplicable, pas de compromis tièdes, même si je passe le reste de ma foutue vie à Saint-Tropez.
Les vrais coupables sont les italiens ayant construit cette Maserati ! Si seulement ils avaient mis des pneus normaux sur la voiture ! Au début, rien ne s’est passé. La Maserati restait obstinément sur la bonne voie. Plus de gaz. Toujours rien. J’ai continué à le faire monter en puissance. Combien plus rapide ? Après d’innombrables tours, la voiture a commencé à glisser légèrement au-delà des quatre roues, ce qui n’avait cependant rien à voir avec une dérive. J’ai dû mettre de l’huile sur le feu et ajouter un peu de direction saccadée. Enfin une révolte à l’arrière, mais seulement de courte durée et assez chétive. Je n’ai pas réussi à mettre l’arrière dans la position souhaitée. Au moins maintenant, je savais que c’était possible. Plusieurs tours supplémentaires se sont écoulés. Je me sentais déjà légèrement étourdi, alors j’ai fixé mon regard sur l’horizon. Ce n’était cependant pas une solution, car lorsque je faisais cela, je ne voyais pas suffisamment la route. Mon état s’est aggravé par une sensation de serrement d’estomac. Mais il n’était pas question d’abandonner. Je me suis ressaisi…
J’ai eu recours à une mesure drastique. Je me suis dit : “Si je ne dérive pas, que vais-je écrire ?” …Ce genre de motivation m’a déjà aidé à plusieurs reprises : “Si je n’y arrive pas du premier coup, il y aura un”…. Un quoi ? Un couac ! J’y suis parvenu. Et j’ai aussi géré la dérive. Il a fallu attendre environ le 190e tour, mais ensuite ce fut une action latérale fluide sur tout le cercle ! Tout tournait dans ma tête. Lorsque je suis rentré à l’hôtel, la pétasse m’a dit : “Je m’inquiétais pour vous…. Vous êtes tout pâle…. Vous ne vous sentez pas bien?”… J’ai répondu : “Je vais bien”, d’une voix faible, ajoutant “Croyez-moi, je vais vraiment très bien”… C’était la vérité, même si cela ne se voyait pas vraiment sur mon visage. Je me suis précipité dans l’ascenseur, puis dans ma chambre et me suis penché sur le lavabo. Tout cela allait faire une bonne histoire… A son bord, la route (c’est une généralité), marquée par le passage de divers pneus chaussant d’improbables autos inconnues, se perdait à l’infini telle une piste au tracé improbable dans la pénombre environnante, qui paraissait si longue que je me fatiguais déjà…
Il faisait nuit et la lueur des phares déchirait à peine l’épaisse obscurité qui m’entourait… Un vent frais soufflait, mais je ne ressentais pas son oxygène, l’air n’était plus de mon domaine. C’était l’heure où nuitamment tout semblait mort, formant un ensemble d’heures qui s’éternisait d’autant plus intensément que chaque lendemain semblait de plus en plus improbable, tel que le matin du jour qui avait vu naître cette nuit. C’était l’heure où l’univers, comme un manteau trop grand, comme un sac sur la tête du condamné, se repliait et emprisonnait l’être dans les méandres de sa folie. Le temps était aboli, seule la douleur demeurait. Aucun insecte ne perturbait le faisceau des phares qu’une brume diffuse semblait cristalliser en une intangible paroi quelques mètres devant la voiture de cet article (écrit de manière caustique et désabusée avec la plus mauvaise foi possible) : une Maserati MC12. Toutes les Ferrari et Maserati que j’ai possédé m’ont coûté des fortunes abyssales en cause de leurs pannes incessantes, souvent elles semblaient rendre l’âme d’ans d’atroces gargouillements…
Parfois seuls les fusibles sautaient… Et pas que ceux des accessoires inutiles, il arrivait que les moteurs se coupent… Généralement à la nuit tombante où tombée… Loin de toute civilisation humaine… Dans le cas de cette Maserati MC12, j’étais étonné que pour une raison inconnue, les sinistres projecteurs éclairaient encore le théâtre de ce qui allait sans nul doute être sa dernière aventure terrestre… Oui mais, il y a eu ce choc qui… Un choc suivi d’une entrée dans le néant qui… Et moi qui… Charogne encore trop vive dans cette carcasse déjà trop morte, je souffrais et survivais bruyamment. Pourquoi tant souffrir ? Ou étais-je ? Ou errais-je donc ? Qu’avais-je donc encore fait ? Mon dieu quel supplice ! Vous seriez étonnés qu’une Maserati MC12 puisse faire tant de bruit en mourant… Mes oreilles n’entendaient que cela… il y avait d’abord son souffle, ou ce qui n’était qu’un sifflement ténu qui s’échappait en sens unique, comme les molécules d’air quittant un navire à l’abandon : des bruits apocalyptiques que suscitaient chacun des soubresauts du moteur.
Des bruits qui jaillissaient par d’impossibles brèches… Elle naufrageait… Je sombrais… Mais il me fallait me souvenir du pourquoi et du comment… Cela faisait bien longtemps que je me traînais dans cette Maserati MC12 comme un déchet dont j’aurais aimé me débarrasser avec un article conséquent… Regardez comme elle est moche… Kitschissime avec sa peinture jaune comme un Kit-car-tuné, façon Jacky-Touch… En plus, croyez-moi elle est quasi inutilisable à cause de son trop important porte-à-faux avant, inutile appendice, le moindre casse vitesse casse le moral en même temps que le nez de cette stupidité… Et la position de conduite, recroquevillé en position fœtale, jambes écartées, cassé en 5, crampé de partout… Et le bruit, omniprésent, envahissant, tout qui craque, qui gémit, tout qui vibre… En plus ça pue l’huile chaude, il y fait bouillant pire qu’un sauna, et je ne vois strictement rien, sauf devant… Et une finition déplorable, minable tape-à-l’œil, dantesque médiocrité, arnaque roulante sans réelle innovation… Une horreur !
Mais, après tout, cette abomination, j’avais choisi de rouler dedans, comme je vivrais ma mort, presque heureux d’années de mépris total du monde qui m’entoure, comprenant en quelques secondes ce que j’avais volontairement ignoré tout ce temps. Vous, qui me lisez, qui rentrez six soirées/semaines du même travail abrutissant vers un endroit que vous appelez “chez moi” parce que le Fisc le considère ainsi, vous empruntez tous les soirs, tous les matins, la même route, les mêmes droites mornes qui barrent un paysage sans intérêt… Vous attendez de finaliser des affaires, toujours les mêmes, avec des mêmes, semblables, les mêmes discussions stupides, les mêmes enculades d’affaires, les mêmes remarques… Vous allez sur Facebook écrire des conneries, déposer des Gifts grotesques et des vidéos virales dont tout le monde se f… Tout ça pour décompresser le temps qui passe et pouvoir en rire… alors que moi, misérable fumiste, j’essaye les pires merderie du monde, des Maserati, des Ferrari, des Porsche, insipides choses qui me minent la tête…
Pourquoi tant de conneries pour des cons ? Pour qu’ils déconnent ? Vivre ainsi des années dans l’attente… Et dans l’attente de quoi ? Qu’espérais-je de vous tout ce temps ? Une subite révélation, je crois… J’attendais de comprendre que je n’ai pas accumulé toute cette durée, vécu sans raison, sans qu’il n’y ait rien au bout… Il n’a suffit que de ce soir, là, ici, de cet instant précis où au volant de cette Maserati, j’ai compris que si je voulais avoir vécu pour une raison, il fallait que je me transcende pour fuir celle-ci… J’ai donc jubilé quand, j’ai identifié un modèle qui tentait de me dépasser : une Ferraillerie rouge… (je hais cette marque depuis que j’en ai eu plusieurs et que je me suis fait arnaquer par l’importateur, le garage Francorchamps, Belgique, je le souligne en gras tout en crachant, qui me facturait des sommes astronomiques pour des entretiens vite-faits et comportant un mot de sympathique mépris ;”Si vous n’avez pas les moyens de rouler en Ferrari, roulez avec une Peugeot”… et j’ai de suite exécré le gugusse qui tenait lieu de “patron” en l’absence du Patron.
C’était un certain Philippe Lambswerp ou un nom approchant… J’ai revendu direct mes Ferrailleries, acheté Corvette’s et Bentley’s et m’en “suisse” mieux porté… Quittant à tout jamais la lénifiante imbécillité d’un panier de crabes infligeant les pires bassesses aux autres, avec un ton badin, un air entendu et un sourire faux-cul… Avec le temps passant, un échange, un jour, je me suis retrouvé, mâle malheureux avec une Ferrari qui a fini par me miner totalement… Un matin, je l’ai trouvée horrible, kitch, de mauvais goût… J’ai même eu honte, abhorrant d’un coup tout ce que ce véhicule contenait de veulerie masquée et de faux-semblants consensuels, en effet, contrairement à toutes les sornettes racontées par les journaleux en quête de parapluies et colifichets gratuits en contrepartie d’une plume accommodante, ce n’était pas du tout une voiture “roulable-normalement” sur routes “ouvertes“… Non… Que nenni… C’était une grande fumisterie destinée à rassurer ceux qui, par snobisme, avaient déboursé plus d’un million d’euros pour l’acquérir…
En réalité, l’achat de cette machination, n’était (et n’est toujours en occazz’s de collection) qu’avant tout destinée qu’à se montrer vaniteux, friqué, snob et crétin dans des séances collectives masturbatoires sous formes de réunions chiantes et d’essais privés entre “meilleurs ennemis d’affaires du monde”… et à des évènements de démonstration “sodomiques” entre connaisseurs, organisés par Maserati et Ferrari (c’est pareil avec les Porsche). Pour circuler sur route, finasser est toujours la règle, l’immatriculer au nom d’une autre (Maserati ou Ferrari si s’en était une), comme rouler avec une voiture volée, rien d’utile en somme… Et tout cela en finale, pour avoir la gueule d’un Jacky-touch de luxe… quelle pitrerie ! (En 2023 avec les contrôles techniques renforcés, passer ce type d’engin avec les docs d’une autre s’avèrerait aussi sportif que rouler à 300km/h sur le périphérique Parisien)! Mais, ces petites contrariétés passées, les abrutis pénétraient (et pénètrent encore) alors dans un autre univers, de même façon que dans d’autres culs…
Etre béat d’éjaculer des conneries tout comme pisser dans les lavabos d’où on est invité, c’est pareil qu’emmerder le monde en faisant “Vroum-Vroum” devant les terrasses bondées… Où qu’assassiner moralement la belle p’tite greluche qui s’était laissée baiser dans l’espoir de se caser et menaçait ensuite de tout révéler à l’épouse, voire d’avoir été violée, avant d’avoir été jetée comme un sac poubelle avec les préservatifs… Cette MC12 se targuait de performances d’un autre monde réservées à quelques élites de l’argent facile… Maserati avait été plus loin, plus fort, voulant frapper un grand coup avec son interprétation (pour le moins sulfureuse) de la déjà très méchante Ferrari Enzo…, mais question décoration, les irresponsables de la marque au Trident s’était planté grave dans le kitch… Des préparateurs avaient direct creusés le filon d’or… Edo l’avait rebaptisée MC12XX en référence non dissimulée au programme Ferrari Enzo FXX gonflant la puissance du V12 de base pour obtenir 800cv à 8500 t/min, le couple grimpant à 5800 trs/min…
Côté modifications : nouvel échappement, quelques éléments aérodynamiques supplémentaires de très mauvais gout dont une peinture gold/black… et pour justifier partiellement le prix et susciter le délire auprès des beaufs, Edo avait placé des freins en céramique de 396 mm à l’avant et 360 mm à l’arrière… Ce kit-Kitch coûtant une fortune, mais incluant une journée de tests avec chronos, sur circuit, avec instructeurs et mécaniciens aux petits soins… C’est la pensée de cette ignominie ambulante qui m’a sorti de mon début de mort cérébrale, il me fallait ressusciter et agir avant que tout ceci ne devienne inarrêtable… Vivre pouvait encore être utile pour abréger les souffrances des décérébrés… Et par la même occasion éviter au reste du monde d’avoir à souffrir leur existence. Je me suis senti transporté, tout autre, je ne serais plus l’être rompu par la monotonie du quotidien et les ennuis de l’esprit en proie au vide intérieur… je serais le libérateur, le messie montrant la voie, j’avais de nouveau un but, j’allais le réaliser, je savais enfin que je n’étais pas né pour rien…
Mode d’emploi… Le mode Race retarde l´intervention de l´ASR et optimise l´injection et la vitesse de passage des rapports… Trois paramétrages du stupide antipatinage sont disponibles à partir des boutons situés sur la console centrale : Normal, Race ou “Sans filet“… L´absence de pédale d´embrayage et les palettes situées derrière le volant doivent spermettre à l’intrépide conducteur millionnaire ou beaucoup plus, de se concentrer exclusivement sur la conduite et d´enchaîner les vitesses en un éclair…. Ouaihhhhh ! La marche arrière se déclenche au moyen d´un Nième bouton et le “point mort” s´obtient en tirant simultanément sur les deux palettes… Surréalistement compliqué… La pédale d´accélérateur électronique (by Wire) est sensible pour autoriser un dosage précis des gaz… Doté d´une programmation d´injection spécifique, le V12 de la Maserati MC12 se caractérise par sa sonorité plus grave à l´accent légèrement américain… C’esr-y pas consuméristement crétin ?
L’essai… J’écrase la pédale et pousse sur divers boutons, tire quelques manettes et le moteur s´ébroue direct à 4.500 tr/min envoyant d´un coup l´aiguille du compte-tours vers la zone rouge. La seconde et la troisième vitesse, très courtes, enclanchent automatiquement le rupteur tant l´aiguille s´agite vite, les 270 km/h sont atteints en cinquième avec une facilité déconcertante et il reste un rapport pour atteindre les 330 km/h revendiqués… Mais il me faut alors ralentir brusquement pour éviter un chien errant… Les énormes disques ventilés freinent de manière impressionnante les 1.500 kilos (plus le plein de 115 litres et mes 100kg)… Le dosage s’effectue aléatoirement… Mais je ne dois plus hésiter à “taper dedans” malgré l´absence d´amplificateurs de jouissances sadomasochistes… Quoique les disques brûlants ne supportent pas l´exercice deux fois de suite car la MC12 n´a pas recours aux freins en carbone, en cause de la réglementation du championnat GT FIA imposant jusque-là des disques en acier…
Sans freins après deux freinages appuyés, c’est une très grosse et sublime plaisanterie à 3 millions d’euros… La direction autorise sous réserve des changements de cap plus ou moins nets et précis à haute vitesse et la stabilité de la voiture tolère vaguement les lâchers d´accélérateur en courbe pour “faire zoli avec les flammes qui sortent alors des échappements”, la MC12 ne manque pas de qualités débiles pour impressionner les foules éberluées. Un peu quoique beaucoup pointue, la mécanique n´apprécie toutefois pas d´enrouler sur le couple, elle s´exploite donc entre 5.000 et 7.000 tr/min, soit sur une plage d’utilisation très réduite… L’étagement des rapports et leur passage ultra rapide permettent toutefois de me maintenir continuellement dans cette zone de bonheur débilitant, le genre de bonheur qui laisse la bouche ouverte, un filet de salive s’écoulant sur le menton… Les nombreux virages me confirment la bonne étoile nécessaire en matière de tenue de route avec cette MC12 qui plonge à la corde en effleurant à peine le volant…
Les pneus et le différentiel autobloquant ne sont heureusement débordés qu´en cas d´accélération brutale, les roues braquées et dans ce cas, l’antipatinage ne peut empêcher le train arrière (supportant 63 % de la masse de la voiture à vide) de décrocher subitement, un vrai casse-gueule… Mais hormis cette règle de base enregistrée, la MC12 se conduit comme dans un jeu vidéo… Pourquoi dès-lors ne pas se contenter d’un jeu vidéo ? La suspension ne se préoccupe guère de filtrage et se concentre essentiellement sur la tenue de route… Résultat : la MC12 vire à plat comme s’il n’y avait pas de suspensions… L’effet “rigide” insensible à tout mouvement de caisse, la voiture est totalement inconfortable, elle vibre sur chaque pièce de monnaie… L´aspect pratique est aussi totalement négligé, le rétroviseur central est aux abonnés absents, le rayon de braquage est immense et le moindre gravillon résonne dans les passages de roue… je n’ose pas vous écrire des bruits de roulement et du vacarme du V12 omniprésent… Un cauchemar…
L´assemblage des différents panneaux de carrosserie en carbone repose sur des attaches rapides et quelques vis apparentes, un désastre façon JackyTouch… Et le tout grince lamentablement, incapable de faire oublier le V12 qui chauffe juste derrière. Les yeux rougis et le visage creusé par la fatigue, je rêve d’un havre improbable. Je me sens pleinement prophète… Je vais me libérer… Je vais me sauver de moi-même et je ne m’en doute même pas, je me plains presque… Mon corps n’est que tension et pourtant je sens un calme étrange pénétrer mon esprit… J’ai une certitude… Et je réalise celle-ci alors qu’à quelques mètres de la mort, je braque violemment… Maintenant, toujours vivant, je crève doucement de ne pas ressentir de douleurs insupportables, l’idée de la fin, la conscience de ma propre fin… cCest pour un autre jour… Et je ressens toujours ce calme étrange, cette conviction… j’ai existé. Pfffffffffffffffffff ! Me reste quoi à faire ? Encore quelques lignes à tirer… Puis foutre le camp… Loin… Expliquer encore ? Une dernière notr ? OK !
Suite au projet initié en 2001 pour la conception et la fabrication de la Maserati MC12, les ingénieurs Maserati sont allés puiser un maximum de pièces dans l’atelier de la Ferrari Enzo afin que le prix de revient soit au plus bas, Maserati s’est contenté d’habiller un châssis d’Enzo et ce d’autant plus facilement que la carrosserie n’était qu’en plastique, ce n’est pas plus complexe que cela. Pour valoriser cet ensemble, le grand Mickey qui dirige Ferrari-Maserati a dit au public que la Maserati MC12 devait être conçue comme une voiture de compétition, l’aérodynamique étant un des facteurs clés de sa conception et son design… Mais oui, cause toujours…Ll’empattement est passé de 2,65 mètres à 2,80 mètres ce qui, avec la faible garde au sol, empêche définitivement à cette voiture de passer la moindre dénivellation et donc n’importe quel casse-vitesse… Pour arriver à ce résultat, Maserati n’a pas fait appel à un “Jacky-Touch” qui l’aurait fait pour le plaisir de la connerie, mais a fait confiance à Giorgetto Giugiaro pour le dessin final de la Maserati MC12.
Parfois, l’arnaque est tellement énorme qu’on pleure de joie, s’il fallait en effet que l’auto soit belle et désirable afin qu’elle séduise les collectionneurs (fortunés !) et qu’elle conserve par la suite une cote soutenue après que les dits collectionneurs aient achetés une MC12 contre la somme de 717.600 euros de l’époque (plus taxes, options, frais et emmerdes)… c’est gagné parce que celle-ci est annoncée chez Sotheby’s pour 3.500.000 euros, vente à Paris en février 2024… Ratée, cette MC12 a un style qui date. L’intérêt de la Maserati MC12 sur le plan du style est totalement nul, non seulement elle ressemble à un vieux proto des 24 Heures du Mans, mais en plus pour rouler découvert (puisque le toit est amovible comme sur la Ferrari F50), il n’y a aucun espace de rangement… Le seul “truc” réussi, est que quasi-tout en elle respire la course des années ’80 avec ses jantes de 19 pouces à écrou central qui semblent des jantes de 15 pouces, des entrées d’air béantes, des grilles, un extracteur arrière en carbone et une prise d’air sur le toit.
Une fois installé après s’être contorsionné en tous sens, on est vraiment assis par terre… La position de conduite est moins que potable et plus ou moins réglable, tandis que les sièges baquets maintiennent (gag !) le corps d’autant plus que le conducteur est grand et large… C’est presque un siège baquet automatique et au vu des performances annoncées, et c’est mieux ainsi. Toute la platine centrale est recouverte d’aluminium très mal découpé, avec certains bords semi-ébréchés… et l’habitacle est traité en cuir et feuilles de carbone apparent, le tout fixé avec des vis apparentes… Un vrai massacre comparé à une Peugeot, à des années lumière de la finition d’une Rolls-Royce Phantom deux fois moins chère. Le cout de revient de cette Maserati MC12 n’était réellement pas très lourd, mes oreilles trainant un peu partouze, un prix de 50.000 euros m’a été rapporté, ce qui laissait un bénéfice surréaliste de 20 fois le coût par MC12 vendue, pas loin d’une Enzo malgré tout légèrement un peu mieux finie…
De plus, en reprenant le moteur V12 de la Ferrari Enzo, Maserati ne s’est pas cassé le c… Mais pour conserver une sorte de hiérarchie dans le groupe, la Maserati MC12 version route était vendue légèrement moins puissante que la Ferrari Enzo avec 630cv au lieu de 660, ce qui n’était en fait qu’une simple donnée catalogue destinée aux journaleux en manque d’idées afin qu’ils écrivent des comparatifs inutiles. Les performances annoncées par l’usine (0 à 100 km/h en 3,8 secondes, 330 km/h en pointe et le km DA en 20,1 secondes), étaient d’autre part invérifiables… Que cela soit sous le capot de la Ferrari Enzo, ou celui de la Maserati MC12, la sonorité de ce V12 glace toutefois toujours le sang à l’arrêt mais casse les oreilles au delà de quelques kilomètres… et les couilles au delà de 160 km/h…. Pour la boîte de vitesse, n’allez pas croire qu’il s’agissait d’une boîte Cambiocorsa, bien qu’elle en portait le nom, c’était une arnaque destinée aux connaisseurs…, c’était en réalité une boîte séquentielle accouplée à un embrayage bi disque…
En fait de “châssis“, c’était la cellule centrale en carbone que sur la Ferrari Enzo sur laquelle étaient fixés deux berceaux en aluminium supportant les trains roulants et l’ensemble moteur-boîte. C’est Giorgio Ascanelli qui avait travaillé sous la direction de Claudio Berro pour la conception du “châssis” de l’Enzo, châssis qui était utilisé pour la MC12… Châssis qui a gardé la particularité de se briser en deux à l’arrière de l’habitacle lors des ondulations pendulaires en cause de routes “vallonnées”… Le tout était excessivement simple à construire, donc peu couteux, et c’était le but, faire un max de pognon… Pour “faire zoli”, au bout des bras de suspensions, de belles jantes de 19 pouces de diamètre étaient montées et chaussées de très larges pneus en 245/35 à l’avant et 345/35 à l’arrière ! Les 50 propriétaires des versions routières avaient donc la satisfaction d’avoir des jantes un poil plus grandes en diamètre que celles des MC12 de course, puisque la FIA interdisait de monter des jantes de plus de 18 pouces…
Les freins étaient également touchés par les limites du règlement imposé par la FIA en GT… Les disques au diamètre conséquent pincés par des étriers Brembo six pistons, étant en acier et non en carbone. En complément pour la version routière, un ABS était monté et un antipatinage venait épauler le pilote (la clientèle visée n’étant que des tycoons et nababs sans aucune connaissance particulière de la course automobile, il fallait donc éviter qu’ils se tuent trop rapidement au volant en croyant jouer aux 24h du Mans). La version course qui n’avait pas le droit à ces aides “à la conduite” était donc plus simple encore, ce qui “justifiait” un prix de vente encore plus élevé… Entre-nous, nous n’en avons pas plus à f… de Ferrari, Maserati et Fiat qu’eux de vous et moi… Ils ignorent votre existence, ils ne connaissent les gens qu’en fonction de l’argent qu’ils payent et encore, faut-il que ce soit une Enzo ou une MC12, sinon ils restent des consommateurs… J’applaudis toutefois au génie de peut être réussir à vendre plus de 3 millions et demi, une voiture qui coutait 50.000 euros à fabriquer…