Smart by Mansory
Jusqu’à présent dans GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits, je narre et décortique les bagnoles avec une prédilection positive pour les Hot Rod’s, mais ne me prive pas d’écrire les affaires de grands escrocs de l’automobile tels : John Z DeLoréan, Malcolm Bricklin, Preston Tucker, qui sont tous décédés, mais, qui, du temps de leurs “exploits”, étaient jeunes, avaient des idées ambitieuses et ont tous réussis à convaincre jusqu’aux plus hautes sphères politiques et économiques de réaliser leurs projets. Présents partout dans la presse financière, plébiscités, adulés, mis en exemple, ils sont d’abord acclamés pour avoir fait fortune en un temps record. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Car tous cachent un secret, qui, une fois découvert et mis au grand jour par des lanceurs d’alerte de mon style (des vieux gâteux de 75 ans qu’on dit resasser diverses choses), le secret caché décortiqué est mis au grand jour, ce qui cause la chute de ces héros, encore plus rapidement que leur ascension… Ces toutes dernières années leurs clones sont apparus dans d’autres domaines… Les plus géniaux sont le clown Ukrainien qui jouait du piano avec son pénis érigé et la Cheffe de l’Union Européenne qui ont tous deux réussis à mettre au point et en action les plus énormes et géniales escroqueries de tous les temps pré-testées avec un succès inouï par la Cheffe de l’UE qui l’avait de même pré-testée en détournant les fonds de la Bundeswehr Allemande puis en récidivant avec les retours de commission des faux Vaccins Covid…
Ce fut l’extase orgasmique financier et pour en gagner encore plus dans la plus gigantesque escroquerie de tous les temps, elle a ainsi poussé Volodymyr Zeelinski à quémander des milliards d’aides financières aux divers chefs de gouvernements en contrepartie d’un return d’entre 20 et 50% sur un compte off-Shore indétectable… Le mode opératoire est simplissime, c’est la peur qui pousse aux vaccins comme la religion Chrétienne à Jésus et ses Apôtres C’est la peur d’être dénoncé avec preuves qui fait se taire entre eux les escrocs… Quant au moteur c’est toujours la peur, soit d’une infection, soit des Russes. La peur d’attraper le Covid a généré un vaccin obligatoire commandé par les chefs de Gouvernements qui y ont un return d’intérêts et de plus payés avec nos impôts. Et la peur des Russes envahissant toute l’Europe après l’Ukraine, à de son coté, généré la demande 500 milliards d’Euros/dollars pour acheter des armes dont une part est revendue à des groupes terroristes, l’autre part à tuer des bouches inutiles moins une moitié reversée en partie aux donneurs chefs des gouvernements qui “offrent” leurs charités de nos impôts au chef Ukrainien qui redistribue à ses intérêts… De ces faits, d’évidence, tout ce monde cherche à faire durer le jeu au delà du raisonnable, chaque don ristourné servant de moyen de chantage, personne ne peut rien en dire, faute d’être lui même marqué au fer rouge, sauf Biden qui avant de quitter la présidence US s’est auto absous avec sa famille… 500 milliards, c’est “le casse” du siècle…
Comme Donald Trump est le seul à ne rien avoir reçu en retour, pour lui, faire cesser la guerre, c’est torpiller le casse du siècle, s’il n’a rien, les autres n’auront plus rien…Donc c’est feu vert à Poutine pour atomiser l’Ukraine et ses environs… Comme pour toutes les histoires de gangsters, il faut vider les encombrants et repartir à neuf de zéro…Il est d’autres escroqueries dont celle du vol de ma LéaFrancis au nom d’AXA, dont je cause depuis 15 ans; mais c’est minable en comparaison… Il y a aussi Theranos dont pas grand monde n’a parlé… Ca vaut le coup de lire pour un euro de 1er mois et 5 ensuite… Elizabeth Holmes est parvenue à berner hommes d’affaires et responsables politiques, jusqu’au jour où son secret a été découvert, et sa fortune de plus de 4 milliards de dollars s’est évaporée. comme s’évaporera les 300 milliards de Zeelinsky… Elizabeth Holmes aurait pu transformer la médecine, mais elle passera les dix prochaines années derrière les barreaux. Car son invention révolutionnaire n’était que du vent. Ni preuves, ni études scientifiques, ni revenus déclarés, donc zéro impôts… Elle qui fut désignée plus jeune self-made woman milliardaire en 2014 par Forbes, avait menti sur toute la ligne. Ses origines auraient pourtant pu la trahir. Elizabeth Holmes est née en 1984 à Washington. Sa mère, Noella Holmes, était employée au Congrès des États-Unis. Son père, Christian Rasmus Holmes IV, était quant à lui un des vice-présidents de la société Enron. Pour rappel, ce géant du trading en énergie s’est effondré en 2001…
Ce fut un scandale financier sans précédent, après la découverte de fraudes comptables de grande ampleur. Il fut toutefois licencié peu avant la faillite d’Enron, et poursuivit ensuite une carrière de cadre au sein de diverses agences gouvernementales américaines. De son coté, l’avenir d’Elizabeth Holmes semblait tout tracé. La famille s’était installée à Houston, au Texas, durant l’enfance d’Elizabeth Holmes. Au lycée, elle se démarqua des autres élèves par ses centres d’intérêt : cours de mandarin, codage informatique et premiers business. En 2002, elle entame des études d’ingénieure en chimie à l’Université Stanford, parmi les plus prestigieuses au monde, et réputée pour être le berceau des start-ups de la Silicon Valley. Google, HP, Cisco et LinkedIn figurent parmi les nombreuses entreprises nées sur ce campus californien. Après sa première année d’études, armée de sa connaissance du mandarin, Elizabeth Holmes effectue un stage d’été à Singapour. Elle y travaille sur un projet de puce électronique capable de détecter la présence du virus SRAS-CoV – qui fait alors des ravages… Une fois de retour à Stanford, en 2003, elle fonde “Real-Time Cures”, ou “remèdes en temps réel”, société qui vise à “démocratiser les soins de santé”… Rien que ça… Dans des documents internes, une faute de frappe transforme ironiquement ce nom en “Real-Time Curses”, ou “malédictions en temps réel”. La société est rapidement renommée Theranos, contraction de “Therapy” et “Diagnosis”.
Elizabeth Holmes quitte alors l’université et utilise ses frais de scolarité pour financer son projet. Celui-ci est simple: réaliser des tests sanguins à partir de quelques gouttes de sang, plutôt qu’avec une “grosse et effrayante seringue”, dont elle dit avoir une peur bleue. Les prélèvements sont ensuite analysés par une machine de diagnostic d’un nouveau genre, nommée Edison. Lorsque Elizabeth Holmes présente son projet de tests sanguins réalisés à partir de quelques gouttes de sang à des professeurs de médecine de Stanford, ceux-ci lui disent la trouver irréaliste. C’est pourtant un processus bien plus abordable que celui des prises de sang traditionnelles. Lorsqu’elle présente l’idée à des professeurs de médecine de Stanford, ceux-ci lui disent aussi la trouver irréaliste. Son professeur de génie chimique et doyen de la faculté Channing Robertson, lui, veut y croire. Il devient le premier membre du conseil d’administration de Theranos et présente Elizabeth Holmes à des grands noms du capital-risque de la Silicon Valley. Parmi les participants aux tours de table, on retrouve l’investisseur Tim Draper, le fondateur d’Oracle Larry Ellison, et même le magnat des médias Rupert Murdoch. Pendant près de dix ans, Theranos poursuit son développement dans le plus grand secret, suivant la stratégie d’Apple qui gardait ses produits jalousement cachés jusqu’à leur lancement. À la manière de Steve Jobs, Elizabeth Holmes avait d’ailleurs adopté le col roulé noir comme signature vestimentaire.
En plus d’un accord avec le groupe de supermarchés Safeway en 2012, le destin de Theranos prend un tournant en 2013 après l’annonce d’un partenariat avec la chaîne de (para) pharmacies Walgreens, une des plus grandes aux États-Unis avec plus de 8.000 magasins. Il est prévu que des tests sanguins rapides puissent être réalisés dans des “Theranos Welness Centers” au sein même des officines Walgreens. Les deux sociétés lorgnent alors les 75 milliards de dollars annuels que pèse le marché américain des prises de sang. Au pic de sa gloire, Theranos jouissait d’une valorisation de 9 milliards de dollars. Theranos, qui avait levé plus de 400 millions de dollars au total, est valorisée à 9 milliards de dollars, dont la moitié sont dans les mains d’Elizabeth Holmes. Elle multiplie les apparitions médiatiques, s’inventant une fausse voix grave. On la retrouve en couverture du New York Times Magazine, ou encore de Fortune, qui louent son génie. En 2014, Forbes la consacre plus jeune self-made woman milliardaire au monde. L’année suivante, des partenariats sont noués avec des hôpitaux et des assureurs. Les premières failles apparaissent début 2015, lorsqu’un professeur de Stanford affirme dans le “Journal of the American Medical Association” qu’aucune étude évaluée par des pairs n’a été publiée par Theranos. Des sources internes émettent également des doutes sur les tests de la société. Pour faire bonne figure, Elizabeth Holmes va jusqu’à inviter le vice-président Joe Biden à visiter ses installations.
Il s’y voit montrer un village Potemkine, fait de faux laboratoires. Le 16 octobre 2015, John Carreyrou, journaliste au Wall Street Journal, publie un article déclarant que Theranos n’utilise en réalité pas sa propre technologie pour les tests sanguins pratiqués. La vraie bombe explose le 16 octobre 2015. Ce jour-là, John Carreyrou, journaliste au Wall Street Journal et lauréat de deux prix Pulitzer, publie un article déclarant que Theranos n’utilise en réalité pas sa propre technologie pour les tests sanguins pratiqués. Les micro prélèvements, contenus dans des “nanotainers” sont majoritairement analysés par des machines Siemens, et non par la plateforme Edison, dont la société disait être en mesure de réaliser 240 types de tests différents. Les tests réalisés pour obtenir les autorisations règlementaires étaient également frauduleux. Quelques jours plus tard, Elizabeth Holmes se défend sur le plateau de CNBC. “C’est ce qui se passe lorsque vous tentez de changer les choses. Les gens vous prennent d’abord pour un fou, ils vous combattent, et tout à coup, vous changez le monde”... Theranos réfute toutes les accusations et traque les sources du WSJ avec ses avocats. Mais il est déjà trop tard. Les autorités sanitaires et fédérales enquêtent sur la société pour son non-respect des régulations en matière de santé publique et d’autorisations de mise sur le marché de dispositifs médicaux. Walgreens met alors précipitamment fin à son partenariat.
Suite aux manquements dans ses laboratoires, le Centers for Medicare & Medicaid Services du département de la Santé interdit à Elizabeth Holmes de détenir ou de diriger un centre de tests sanguins. En 2017, l’État de l’Arizona attaque Theranos en justice pour les 1,5 million de tests frauduleux effectués sur son territoire. La société met près de 5 millions de dollars sur la table pour mettre fin aux poursuites. En mars 2018, la Securities and Exchange Commission (SEC) attaque Elizabeth Holmes et Ramesh Balwani, son conjoint et directeur opérationnel de Theranos, pour fraude, en raison des 700 millions de dollars levés auprès d’investisseurs sur la base de fausses déclarations. La société avait en effet prétendu que le département américain de la Défense utilisait ses produits sur le champ de bataille et affirmé avoir réalisé plus de 100 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2014, alors que le chiffre réel n’était que de 100.000 dollars. Un arrangement à l’amiable est trouvé avec la SEC, moyennant une amende et une interdiction de diriger une entreprise cotée en bourse pendant 10 ans. Theranos annonce sa dissolution en 2018. Après deux ans d’une enquête menée par le bureau du procureur fédéral de San Francisco, un grand jury inculpe en 2018 les deux dirigeants de 11 chefs d’accusation, leur reprochant d’avoir non seulement escroqué les investisseurs, mais aussi les médecins et les patients. Le procès, reporté en raison de la pandémie, ne démarre qu’en août 2021.
Elizabeth Holmes y rejette la faute sur ses employés et son conjoint. Elle est jugée coupable le 3 janvier 2022 de fraude envers ses investisseurs, mais pas contre les patients. Sa condamnation tombe le 18 novembre: 11 ans et trois mois de prison, réduits à neuf ans et demi en cas de bonne conduite. Après de multiples tentatives d’appel, Elizabeth Holmes se rend le 30 mai 2023. Enfermée à la prison de Bryan, au Texas, elle ne devrait pas en sortir avant 2031 au moins. Mais à sa sortie, quelque part dorment 5 4 milliards de dollars… Donc, elle s’en moque des 10 ans de prison… Alors qu’elle termine à peine le lycée, Elizabeth Holmes avait fait à 18 ans la connaissance de Ramesh “Sunny” Balwani lors d’un voyage en Asie, un homme marié de 37 ans d’origine pakistanaise qui effectuait un MBA à l’Université de Californie à Berkeley. Devenu son ami, il l’aurait consolée après une agression sexuelle sur le campus de Stanford (confirmée par des enregistrements d’appels à la police). Sunny Balwani rejoint Theranos en 2009 et dirige les opérations quotidiennes de la société, sans aucune qualification médicale. Décrit comme paranoïaque et autoritaire par les employés, il ne fait que profiter d’une relation sexuelle sado-masochiste avec Elizabeth Holmes. Elle affirmera durant son procès qu’il la brutalisait et abusait d’elle sexuellement, ce qu’il réfute “catégoriquement”. Il quitte la société en 2016. Elle rencontre son nouveau conjoint, Billy Evans, en 2017, qu’elle épouse en 2019 dont elle aura deux enfants, le dernier avant d’entrer en prison.
Accusé en mars 2018 de fraude par la SEC, comme Elizabeth Holmes, Sunny Balwani fait l’objet de poursuites similaires par le bureau du procureur de San Francisco. Il est finalement reconnu coupable de toutes les charges retenues contre lui et est condamné le 7 décembre 2022 à près de 13 ans de prison. Enfermé depuis le 20 avril, il doit, avec Elizabeth Holmes, restituer 452 millions de dollars à ses victimes. Ces deux gourous avaient chacun une Smart Mansory… C’est le lien avec ce magazine que de causer d’autos. La conduite est une activité quotidienne pour beaucoup d’entre nous, mais elle peut souvent être une source de frustration et d’agacement. Qu’il s’agisse de faire face aux embouteillages ou aux conducteurs désemparés, nous avons tous notre part d’histoires de conduite à raconter. Parfois, la meilleure façon de faire face à ces situations est de faire preuve d’humour. Les citations de conduite sarcastiques ajoutent une touche d’esprit et de sarcasme aux frustrations auxquelles nous sommes confrontés sur la route. Pour ce qu’il en est des deux Smart’s Mansory acquises 180.000 dollars chacune et proposées à 50.000 dollars chacune, rien de particulier à en raconter sinon que c’est beaucoup de dollars pour du luxe, dans la même veine Aston Martin avait modifié quelques Toyota du gabarit de la Smart dont vous pouvez lire les deux articles après avoir fait un clic sur ce lien… puis un autre clic sur ce second lien… de plus, une autre Smart étrange mérite aussi le détour en un clic sur ce 3ième autre lien…