Mercedes G63 AMG 6×6 Brabus B63S-700 2014
Les temps, les mœurs, les coûts de la vie et de la mort changent vite actuellement avec la guerre Otan/Russie qui se déroule en Ukraine. L’Allemagne ne sort toutefois pas ses tanks Léopard à l’assaut des hordes Russes, comme pour singer Adolf Hitler qui avait envoyé ses chars Panzer et Tigre plus d’autres monstres de l’époque nazie, vaincre les Russes qualifiés alors (mais c’est pareil actuellement) de Russes-Soviets-Dégénérés-Mongols…
En militaria, c’est toujours la démesure grotesque qui prévaut, mais, bizarrement, les quantités allemandes de tanks Léopard sont proportionnelles inverses aux capacités promises. Les Léopards sont une espèce en voie de disparition ! Voir, par exemple sur BFMTV, cinquante fois par minute les mêmes 4 chars qui fument comme les Hippies à Woodstock, ne font pas miraculeusement 200 chars Léopards fonçant vers les hordes de Russes-Soviets-Dégénérés-Mongols !
Bien évidement caricaturés en guenilles, affamés, tueurs d’enfants et violeurs de femmes Ukrainiennes, qu’on peut pourtant trouver à 500 euros la passe (rapide) dans les petites annonces de charité… Par contre, plus un mot des Polonais/Polskis qui espéraient toucher plusieurs centaines de milliards des Allemands-réunis, en dédommagement des massacres perpétrés envers eux par les hordes nazies des années ’40… Cela fait mauvais genre !
Quoique les américains, pas plus que les britanniques, n’ont eux-mêmes non plus pas (sic !) dédommagés les Amérindiens, les Australobipèdes (merde j’ai fait une faute) et les Indiens/Hindous… Les réalités sont toujours autres. C’est comme pour la France et les retraites, à quoi bon manifester alors qu’il y a bien plus de possibilités d’être atomisés en représailles que d’avoir le chomdu à 50 ans pour toutes et tous… Pffffffff !
J’en viens au Char de la route made in Germany, non pas le Léopard mais le Mercedes 6 roues.. Ses lignes sont plus cinglantes que la morsure d’un fouet SM, sa peinture plus léchée que des cuissardes et son allure, plus autoritaire que le claquement de talons aiguilles. Dominatrices et dominateurs automobiles, préparez-vous à faire jouir les populaces de douleur ! Rien que pour vos sévices, les psychopathes de Brabus ont conçus à votre disposition la Mercedes G…
Non content de chasser de la file de gauche les automobilistes faibles qui oseraient ne pas se ranger devant ce char de l’apocalypse, vous pourrez transporter vos esclaves sexuelles que vous enchaînerez sur de sévères banquettes revêtues d’un cuir aussi heureux qu’un concert de Black Métal après un bad-trip ! Mein Got, on souffre en famille ! A la moindre protestation des passagers, un bouton placé sur le tableau de bord spermet de faire jaillir clous et pointes !
Haï ! Ça fait mal derrière, mais les cris de douleur excitent tellement ! Et si malgré ce genre d’attentions, les esclaves n’apprécient pas leur dressage, il faut les enfermer dans l’habitacle et leur faire goûter à l’intensité dramatique d’un concert de Rammstein, bien connu pour ses berceuses et autres chansons douces dignes de la Grosse Bertha, volume à fond, oreilles collées à quelques uns des vingt-cinq haut-parleurs. Malheureusement, pas souffrir plus d’une heure !
C’est le temps nécessaire à mettre les deux batteries complètement Kaput ! Pour ne léser personne, il reste à se munir d’un câble d’acier et à traîner les chères petites soumises Ukrainiennes à 500 euros la passe d’amour, derrière le G. Pied au plancher, cela va sans dire. En espérant rester sur la route au-delà du premier virage, tant il est vrai que dompter 700 chevaux montés sur un châssis de bahut et des essieux de charrette marocaine, relève du masochisme.
A l’origine, c’était un solide gaillard doué d’une solide constitution que rien ne prédisposait à jouer les stars. Elevé au fin fond de la Styrie, dans un milieu où le prestige des cheveux longs n’égalait pas tout à fait celui de la veste brandebourg, il ne rêvait que de montées au front dans l’ivresse et le sang, de charges héroïques au son du clairon, de gloire par le fer et le feu. Physique martial et grégarisme troufion le prédestinaient à embrasser le drapeau et marcher au pas.
Le service militaire fut pour lui l’occasion d’affirmer d’impressionnantes capacités de franchiseurs de lignes Maginot ainsi qu’une remarquable aptitude à la survie en terrain hostile. Très vite avisée des retombées pécuniaires qu’elle pouvait tirer d’une telle force de la nature, sa famille allemande lui refusa la vie de caserne qu’il convoitait. En tant qu’ambassadeur de la qualité Mercedes, notre benêt dut porter l’étoile argentée jusque dans les contrées reculées.
Mais tandis qu’il s’attachait bon gré mal gré à sa tâche bassement promotionnelle, le réserviste de classe G, attendait ardemment de tomber en héros, sinon en compote, durant la Troisième Guerre Mondiale. Hélas pour lui, le mur de la honte entraîna dans sa chute ses plus beaux espoirs de boucherie sous la neige quand la menace d’une invasion de moujiks enragés se fit de plus en plus improbable. Qu’allait-il donc devenir ?
En cette année 2023 honnie des va-t-en-guerre, les stratèges de l’étoile l’envoient disputer au Range Rover les faveurs des nouveaux riches. Une mission d’affable émasculé pour notre frustré du treillis, mais le pire est encore à venir. En glissant irrémédiablement du type W460 au modèle W463, du 240 GD agricole au G500 décadent, l’ancien mulet à quatre pattes s’est mis en six roues, pliant ses dons manuels aux asservissements électroniques.
Et, comble du déshonneur, troquer sa toile militaire pour le plus salace des cuirs luisants afin de le rendre plus sexy encore à l’heure où les Hummer’s de l’US Army commencent à exciter la libido des beaufs enrichis sur toutes les chaînes de télévision. On lui a donc administré des stéroïdes et agents dopants nécessaires à l’exhibition décomplexée de son profil parallélépipédique alors qu’il s’apprêtait à conquérir le Nouveau Monde.
Vingt ans après qu’une autre armure à glace autrichienne devenue depuis Governator de Californie, on l’avait affublé de parures clinquantes de courtisanes patentées et autres chausses taille basse d’allumeuses en chaleur. Au pays de toutes les orgies, la faune du show-biz, Pamela gonflables et consorts n’eurent bientôt d’yeux que pour ses arrêtes vives et ses plates surfaces. Une star était née. Bien malgré elle.
La dernière fois que l’ai vu, c’était aux abords d’un luxueux bézodrome à satrape, au sortir d’une de ces soirées orgiaques où les VIP excentriques viennent promener leurs chiennes en laisse et vice et versa. Alors qu’à l’abri de ses vitrages surteintés, je ne sais quels bouffons cathodiques forniquaient dans des cris de guerre peu compatibles avec l’audition respectueuse d’une marche militaire, j’ai eu pitié de lui. Pauvre petit soldat !
Les seuls bruits de botte qu’il n’ait jamais entendus proviennent des salopes en cuir claquetant du talon aiguille sur le marbre de la jet-set. Les seules musiques militaires sur lesquelles il n’ait jamais marché se limitent aux vomissures à décibel de quelques hard-rockers camés. Pis, la seule décoration qu’il n’ait jamais reçue – le prix Tuvalu pour contribution zélée au réchauffement climatique – lui a été attribuée par ses ennemis écologistes.
Quelle humiliation pour un militaire que de se voir ainsi brocardé par la vermine verdissante ! Et pour faire déborder le vase, il aura eu la baise éclair au lieu de la guerre de position… C’est alors que du coin de son œil tout rond de grosse brute hébétée, j’ai vu perler comme une larme. Une belle grosse larme qui semblait dire, du fond du cœur : “Mon Dieu, que je suis malheureux ! Regardez ce qu’ils ont fait de moi ! S’il vous plaît, rendez-moi ma vie d’autrefois, j’aimerais tellement entendre à nouveau sonner le clairon, braver vaillamment la mitraille avec mes camarades et voir la couleur du sang !” …
Hélas, je ne le savais que trop, le malheureux mourra le cul dans la graisse, juché sur son socle de légende vivante. Alors, impuissant et résigné, j’ai passé mon chemin. Personne d’autre que moi ne l’aura vu pleurer. J’en suis encore tout retourné. Alors, crésus, ploutocrates ou simple parvenus, au lieu d’aller étaler vos bonnes grâces télégéniques aux Restos du cœur pour vous excuser de payer vos impôts en Suisse, s’il vous plaît, commettez enfin une vraie bonne action.
Faites don de votre Mercedes Classe G à l’armée, à l’Otan ou à l’Ukraine, peu importe, mais de grâce, rendez-le à la vie de caserne qu’il n’aurait jamais dû quitter ! Brabus a toutefois fait passer la ridicule Mercedes AMG 6×6 au niveau supérieur… Arrêtez-vous dans un restaurant chic ou une boîte de nuit dans l’un de ces soi-disant exotiques banals et vous remarquerez à peine un regard passager des masses désensibilisées.
Cependant, un véhicule dont le cachet et la présence physique attirent l’attention comme un événement de premier contact extraterrestre reste le Mercedes-Brabus G63 700 6×6. Alors que je naviguais dans les rues de Newport Beach, les habitants (qui sont assez nonchalants à propos des voitures coûteuses dans leur capot) ont visiblement pris note. Les enfants tiraient sur les bras de leurs parents, me montrant du doigt avec enthousiasme.
Des adolescents ont failli tomber de leurs planches à roulettes. Et je pouvais voir d’étranges personnes âgées prononcer les mots “Qu’est-ce que ce… “ à la vue de mon monster truck à six roues à gréement carré. Le Brabus G63 6×6 a cet effet sur les gens, ce qui en soi peut être une source inépuisable d’amusement pour ses occupants. Le contrepoint est le fait que la “Big G”, cette Mercedes sous stéroïdes, est assez grande pour faire paraître un HUMMER H2 normal…
C’est en fait un véhicule utile. Il est idéal pour le dénigrement des dunes, ou même quelque chose d’aussi banal que de ramasser du bois de chauffage tout en utilisant ses capacités de ramassage. Si vous vivez à Hollywood, ni l’un ni l’autre ne sera une activité probable. Au lieu de cela, cette voiture est une déclaration d’individualité. Le G63 AMG 6×6 est le SUV Mercedes le plus grand, le plus extrême et le plus cher de tous les temps.
Sa taille, son unicité et son prix princier lui confèrent dès le départ une grande dose de gravité. Bien qu’il s’agisse d’un moteur puissant dans une Classe E ou même une Classe S, le rapport puissance-poids très important va rapidement vers le sud si l’on considère l’énorme poids à vide de 8 325 livres. Donc, même si le chronomètre indique que ce camion monstre plus où moins légal pour la rue atteindra 62 mph en 6 secondes rapides sur le chemin d’une vitesse maximale limitée électroniquement à 100 mph, le propriétaire a décidé d’améliorer ce ratio.
Passer au niveau supérieur a nécessité des discussions avec Brabus USA à Irvine, en Californie, où le plan devait inclure une rénovation intérieure haute couture ainsi que le muscle supplémentaire. Peter Moeller, directeur de Brabus USA, l’a expliqué : “Le propriétaire est un de nos clients VIP qui vise toujours le sommet et aime mettre son empreinte personnelle sur ses voitures. L’idée d’avoir le premier modèle 6×6 G aux États-Unis et de le rendre encore plus puissant et plus individuel est typique de son approche. Comme des conversions majeures comme celle-ci sont toutes effectuées au siège de Brabus en Allemagne, il était logique de détourner cette voiture américaine vers Bottrop dès sa construction, d’effectuer les mises à niveau, puis de l’expédier à sa destination finale”.
La nouvelle réalité est que Brabus, maître de la cylindrée accrue, peut reconcevoir le moteur AMG à vie en tant que moteur de 6,0 L. Cependant, comme les limitations de puissance et de couple du groupe motopropulseur du G63 sont son talon d’Achille, la bosse de déplacement beaucoup plus coûteuse n’est pas nécessaire. La conversion plus simple du B63S 700 implique l’usinage interne des boîtiers des unités de turbocompresseur pour prendre plus grands.
Chaque turbo est ensuite monté sur un collecteur d’échappement sur mesure avec des tuyaux de plus grand diamètre réalisés aussi près que possible de la même longueur dans l’espace confiné du compartiment moteur. Pour aider à absorber et à dissiper l’inévitable chaleur supplémentaire, une matrice de refroidisseur intermédiaire refroidie à l’eau supplémentaire est installée, et un matériau réfléchissant la chaleur en or enveloppe les tuyaux d’admission.
Avec 3 pouces (75 mm) de diamètre, les tuyaux de descente sont plus grands que le stock et chaque banc de cylindres envoie ses gaz à l’arrière par un tuyau de 3 pouces, via des silencieux centraux, éjectant éventuellement les gaz usés des gros tuyaux latéraux hautement polis. Autrefois, Brabus aurait également équipé des arbres à cames d’une portance plus élevée et d’une durée plus longue pour optimiser le rendement.
Une telle supercherie est maintenant terminée avec la carte de calage variable des soupapes de l’ECU. Ainsi, ce qui nécessitait auparavant du nouveau matériel est maintenant devenu un exercice de peaufinage logiciel. Les cartes de ravitaillement, d’allumage et de pression de suralimentation sont également recalibrées pour tirer pleinement parti des turbocompresseurs plus gros et de la contre-pression plus faible du système d’échappement sur mesure.
Ce recalibrage permet également au moteur de fonctionner plus près de la détonation pour plus de puissance. Ceci est assez sûr, car les capteurs de cognement d’usine sont finement réglés pour retarder l’allumage bien avant le point de danger, protégeant ainsi le moteur en cas de mauvaise qualité de carburant, en particulier à des températures ambiantes élevées. Le moteur Brabus 700 est homologué selon les réglementations actuelles EU6 et US 50 États sur les émissions, nécessitant la dernière technologie de convertisseur catalytique sport.
Ici, Brabus a travaillé avec un fournisseur d’équipement d’origine pour obtenir une unité métallique de 400 cellules avec le double de la surface réactive, mais sans plus de contre-pression que les unités de 200 cellules utilisées auparavant. Les nouveaux chiffres principaux sont de 700 ch, avec un couple de 708 lb-pi entre 2 000 et 4 500 tr / min. Le sprint révisé de 0 à 62 mph d’un spectaculaire 4,4 secondes rend cet énorme 6×6 assez rapide pour écraser la plupart des machines haute performance des feux de circulation et gravement ébranler l’ego de leurs pilotes dans le processus.
Cela ne signifie pas une augmentation de la vitesse de pointe. Cela reste fixé à 100 mph, une limitation imposée par les roues en deux parties Hutchinson de 18 pouces en option avec des verrous de perles et des pneus tout-terrain spécialisés qui peuvent être dégonflés et gonflés par les pompes à air embarquées. Mais c’est bien. L’idée de décélérer à la hâte un gros véhicule lourd avec un centre de gravité élevé à partir de très grandes vitesses est vraiment effrayante.
Il est donc préférable de profiter de la vue depuis la position de conduite dominante de Big G à des vitesses plus modestes, tout en se prélassant dans un habitacle traité aux arrimages de cette autre spécialité de Brabus: les garnitures en cuir souple. Inhabituel, mais pas inattendu, la garniture en « fibre de carbone » pour la console centrale, l’insert de poignée de maintien du passager et les cadres de réglage des sièges dans les panneaux de porte.
Les touches finales sont le jeu de pédales en aluminium, les goupilles de verrouillage des portes et les plaques de kickplate en acier inoxydable avec des logos Brabus rétroéclairés par LED bleus. Les pièces en carbone visible au fini mat Brabus, qui comprennent le renflement du capot avec airscoop, les évents simulés du dessus de l’aile avant, les couvercles de rétroviseurs et les pièces d’extension de toit avec des feux de circulation LED supplémentaires, embellissent la palette de couleurs extérieures.
Les pièces de carrosserie Brabus supplémentaires sont les éléments de pare-chocs avant avec feux de circulation à LED, la section supérieure du pare-chocs avant, l’insert double-B qui remplace l’étoile Mercedes à trois branches dans la calandre et une version polie de la protection anti-encastrement avant d’usine. Les marchepieds Brabus peuvent se rétracter et s’étendre électroniquement. La puissance supplémentaire du moteur n’est ressentie que lors de l’application à plein régime, mais le raz-de-marée du couple amélioré est là tout le temps.
Comme je l’ai observé précédemment, le 6×6 n’est pas exactement lent, malgré son poids gargantuesque, mais avec environ 25% de couple en plus pour un régime moteur donné, le Big G a une sensation beaucoup plus facile. Ce qui est vécu ici n’est pas la capacité de flottaison dans la façon dont la Classe S ultra-lisse et raffinée le fournit. Au contraire, il y a un sentiment d’être assis sur un énorme paquebot quittant le port à pleine vapeur, un léger frisson du groupe motopropulseur pseudo-militaire du G-wagon agissant comme un contrepoint au décorum cultivé de l’intérieur somptueux.
Tout cela fait partie du caractère mécanique sans vergogne du G-wagon qui vient d’une époque antérieure. Appelez-la une machine analogique à l’ère numérique, mais il semble que ce soit quelque chose qui attire sans aucun doute les propriétaires de longue date de ces véhicules. Et après avoir passé la journée avec cet incroyable Brabus G63 6×6, je comprends aussi. Cette Mercedes-Benz G63 AMG 6×6 a été modifiée avec le groupe Brabus B63S-700…
Il comprend la mise à niveau du moteur Brabus 700 ainsi que des éléments de carrosserie en fibre de carbone, un éclairage LED et une sellerie en cuir matelassé. Le camion est fini en bleu mystique sur une sellerie en cuir noir et est propulsé par un V8 de 5,5 litres à double turbocompresseur qui envoie de la puissance aux six roues grâce à une transmission automatique à sept vitesses AMG Speedshift 7G-Tronic, une boîte de transfert à double gamme et cinq blocages de différentiel électroniques.
L’équipement comprend un système central de gonflage des pneus, des composants de suspension Öhlins, des roues à talons de 18 pouces, des essieux portiques, un lit lambrissé, des sièges chauffants et ventilés et la navigation. Le camion a été acquis par le vendeur au Koweït et importé aux États-Unis en janvier 2022 en vertu d’une exemption de “spectacle ou d’exposition”. Ce G63 AMG 6×6 a 23k miles et est offert dans le Connecticut avec des documents NHTSA “show or display” et un titre du Montana.
Basé sur une version à trois essieux du Geländewagen produite pour un usage militaire, le G63 AMG 6×6 pèse plus de 4,5 tonnes et dispose d’une garde au sol de 18 ». Cet exemple est fini en bleu mystique et comprend une pelle de capot en fibre de carbone, des extensions d’ailes et une visière de toit avec lumières intégrées ainsi que des badges Brabus 700, un pare-buffles, un arceau de sécurité et des marchepieds latéraux rétractables.
Les roues perlées de 18 po au fini noir avec des capuchons centraux bleus portant le logo Brabus sont montées avec des pneus BFGoodrich Mud Terrain T/A KM2 de 37×12,5 po. Le 6×6 est doté d’un compresseur d’air intégré avec commandes en cabine qui peuvent gonfler ou dégonfler les pneus. La puissance de freinage est fournie par des disques percés en croix aux six roues. L’équipement standard comprend des amortisseurs de dérivation Öhlins, des ressorts plus rigides et des butées anti-chocs robustes. Une roue de secours est montée dans la caisse de chargement lambrissée.
L’habitacle est doté de sièges baquets chauffants et ventilés à réglage électrique à l’avant et à l’arrière, recouverts de cuir noir matelassé avec surpiqûres rouges. Des badges Brabus sont apposés sur les appuie-tête et les dossiers des sièges, tandis que des garnitures de style carbone noir accentuent le tableau de bord et la console centrale. Les rendez-vous comprennent des pédales en aluminium, un toit ouvrant, des plaques de seuil en acier inoxydable Brabus rétroéclairées bleues, des revêtements de sol matelassés, une climatisation automatique à deux zones, un système de divertissement aux sièges arrière et COMAND avec navigation.
Le volant multifonction encadre un compteur de vitesse de 280 km/h, un tachymètre et un écran numérique ainsi que des jauges pour la température du liquide de refroidissement et le niveau de carburant. Les commandes du système de compresseur d’air sont montées dans la console supérieure avec deux manomètres d’air. L’odomètre numérique indique 23 000 milles.
Le V8 M157 de 5,5 litres à double turbocompresseur a été assemblé par AMG et dispose de la conversion Brabus B63-S 700, qui a été évaluée à 700 chevaux et 708 lb-pi de couple. La conversion Brabus comprenait l’usinage des carters de turbocompresseur pour accueillir des roues de compresseur plus grandes, l’installation de tuyaux de collecteur d’échappement de plus grand diamètre, l’ajout d’une matrice de refroidisseur intermédiaire refroidie par eau supplémentaire et l’installation d’un matériau réfléchissant la chaleur en or sur les tuyaux d’admission d’air et les tubes de suralimentation du turbo.
Le camion est équipé d’essieux portiques et divise la puissance en 30:40:30 grâce à une transmission automatique AMG Speedshift 7G-Tronic à sept vitesses, deux arbres de transmission, une boîte de transfert à double plage et cinq blocages de différentiel électroniques. L’huile pour engrenages portiques avant et arrière et l’huile différentielle arrière ont été remplacées en 2019.
Un autocollant apposé sur le camion montre qu’il a été modifié par J.K. Technologies, L.L.C. de Baltimore, Maryland. Une lettre d’octobre 2021 de la NHTSA indique que le camion a été autorisé à être importé aux États-Unis en vertu d’une exemption « montrer ou exposer », qui permet une utilisation limitée sur route jusqu’à 2 500 miles par an. Pour tout acheteur potentiel de cette voiture, veuillez prendre note que le véhicule est aux États-Unis en vertu d’une exemption approuvée “montrer ou exposer”.
Le transfert de propriété doit être approuvé par la NHTSA avant que le titre ne change de mains. L’acheteur doit également demander une nouvelle approbation « show or display » de la NHTSA et fournir des photos actuelles de la voiture. Les acheteurs potentiels doivent savoir que le véhicule est limité à 2 500 miles par an et doit être mis à disposition pour inspection par la NHTSA jusqu’à ce qu’il n’ait pas moins de 25 ans.