1981 Ferrari 400i V12 4L8 340cv Stretch Limo
La Ferrari 400 est arrivée en 1976 en tant qu’évolution directe de la 365 GT4 2+2 sortante. Les deux voitures partageaient le même châssis, ainsi que le même moteur Tipo F101 Colombo V-12 sous le capot avant. Pour l’introduction de la 400, Ferrari a poussé le moteur à 4L8, contre 4L4 dans la 365. C’était également la première Ferrari mise en vente avec une boîte automatique 3 rapports Turbo Hydramatic 400 fournie par General Motors. En 1979 l’injection va remplacer les carburateurs, les voitures adoptant alors le surnom 400i. Le travail de conversion Limo a été effectué par G & K Automotive à Anaheim, en Californie, en 1990, selon des plans fournis par Pininfarina. Cela pourrait expliquer pourquoi la construction a coûté environ 200.000 $ en plus de l’auto. Cette Ferrari vintage avait été considérablement étirée, la zone des sièges arrière contenant deux ensembles de fauteuils dirigés l’un vers l’autre. Les aménagements intérieurs n’ont pas exactement été reconstruits selon les normes de qualité de Ferrari, mais le propriétaire n’était pas un vrai Tifosi fanatique. La peinture blanche brillante lui a semblé appropriée sur une Ferrari de cette époque,
Les jantes personnalisées à cinq rayons de 18 pouces étaient destinées à refléter l’aspect des Ferrari plus modernes, mais je ne suis pas sûr qu’elles conviennent encore à une voiture de ce millésime, non pas qu’une 400i extra-longue soit censée être un véhicule subtil par tous les moyens, toutefois, le compartiment moteur avait été également relativement bien rangé ! La voiture n’était pas sans problèmes à la vente, car le compteur de vitesse et le compteur kilométrique ne fonctionnaient pas, tout comme l’air conditionné. Quoi qu’il en soit, la voiture était proposée sans prix de réserve (pour attirer un maximum de clients), avec un titre de kilométrage réel fourni par l’État de l’Arizona, qui indiquait seulement 14.899 miles. C’était donc, pour qui aime avoir une Ferrari 400i Limo, une possible bonne affaire évaluée à 100.000 US$… Et sur ce point ça va être la catastrophe totale… Cette Ferrari 400i V12 4L8 qui avait couté 200.000 euros pour en faire une Stretch-Limo 6 places, (en plus de l’achat de la voiture) n’a été revendue que 20.000 US$ soit 17.000 euros… Voir une Ferrari avec un long empattement est unique. Cependant, dans le monde fou des limousines, tout peut arriver et il y avait des détracteurs..
Cet étrange et unique Ferrari 400i transformée en “limousine” au départ d’une Ferrari 400i, dont un peu plus de 1200 exemplaires ont été produits entre la fin des années 1970 et le début des années 1980 avait été décrite par Enzo Ferrari comme : “Une Granturismo2+2 en tenue de soirée, aux lignes classico élégantes”.., donc elle était politiquement correcte, du moins dans sa configuration d’origine. Après sa transformation par un homme d’affaires américain de l’Illinois, la Ferrari est devenue au choix, soit une pièce de collection dans tous les sens du terme, soit un sacrilège abominable… Avant de participer à la vente aux enchères, la Ferrari avait été remise à neuf pour éliminer toute trace de rouille (la base est Ferrari) et lui redonner sa gloire d’antan. L’intérieur avait donc été restauré en cuir, sièges et panneaux. En outre, des écrans rétractables avaient été ajoutés pour les passagers arrière. Tout avait été réalisé en visant une vente à 100.000US$ sans prix de réserve pour attirer…Toutefois, malgré son bon état, cette 400i a été vendue à un prix d’occasion identique à celui d’une Fiat 500 neuve ! C’est un résultat désolant car elle méritait assurément un traitement quasi royal.
Il vous faut connaitre le pourquoi et les dessous de la vente qui a été perturbée par des tifosis-afficionados hurlant au scandale de cette Limo, menaçant d’y mettre le feu sacré-purificateur… La police ayant découvert des grenades et des armes à sollicité l’annulation de la vente alors qu’elle était sur le point de se terminer. De justesse la Limo a été adjugée 20.000 dollars ce qui n’était pas même le tiers des frais de restauration ! Le Propriétaire est alors décédé (crise cardiaque) par le choc financier brutal de l’adjudication désastreuse ! Ce sont les héritiers (fauchés) qui ont directement avalisé le résultat et poussé à en terminer prétextant qu’après tout, il leur était difficile d’imaginer revenir at-home pour l’enterrement, alors qu’étaient présents des gens qui voulaient posséder cette Ferrari vraiment unique ! Tout ces gens ont été considérés comme des imbéciles… Des imbéciles vendeurs bradant minablement une Ferrari unique au monde sur le cadavre de son propriétaire, raide mort de l’émotion…, Pour les uns les acquéreurs étaient des imbéciles cherchant du luxe bon marché… Pour les autres, c’étaient les héritiers vendeurs sans aucun respect pour le mort, terrassé par l’émotion !!!…
Une expression en est sortie : “L’art du luxe des imbéciles“ qui voulait signifier que le luxe automobile est une forme d’art superficielle dénuée de sens, réservée aux personnes sans goût ni culture. C’est une citation de l’écrivain Henri Duvernois, qui a écrit des comédies et des romans populaires au début du XXe siècle. Cette expression peut être utilisée pour critiquer le consumérisme, l’ostentation ou la vanité de certaines personnes qui dépensent beaucoup d’argent pour des objets ou des services de luxe sans apprécier leur valeur artistique ou culturelle. Par exemple, on pourrait dire : “Il a acheté une montre en diamants très chère, mais il ne sait même pas lire l’heure. C’est le luxe des imbéciles”… Il n’existe pas de définition universelle de l’imbécillité ou de la stupidité, on peut toutefois essayer de comprendre les motivations psychologiques qui peuvent pousser certaines personnes à applaudir des stupidités. Une première motivation possible est “la conformité sociale“. Il s’agit du phénomène par lequel les individus se conforment aux normes, aux opinions ou aux comportements du groupe auquel ils appartiennent ou qu’ils veulent intégrer.
La conformité sociale peut être due à une influence normative (le désir d’être accepté), ou à une influence informationnelle (le désir d’être correct et de suivre les sources jugées crédibles). Ainsi, certaines personnes peuvent applaudir des stupidités par peur du rejet, par besoin d’appartenance ou par manque de confiance en leur propre jugement. Une deuxième motivation possible est “la dissonance cognitive“. Il s’agit du malaise psychologique qui résulte de la contradiction entre deux cognitions (croyances, attitudes, valeurs, etc.) ou entre une cognition et un comportement. La dissonance cognitive peut être réduite en changeant l’une des cognitions, en ajoutant des cognitions justificatives ou en minimisant l’importance du conflit. Ainsi, certaines personnes peuvent applaudir des stupidités pour se convaincre qu’elles ont raison, pour rationaliser leur choix ou pour éviter de reconnaître leurs erreurs. Une troisième motivation possible est “le biais de confirmation“. Il s’agit de la tendance à rechercher, à interpréter et à mémoriser les informations qui confirment nos hypothèses ou nos attentes, et à ignorer ou rejeter celles qui les contredisent.
Le biais de confirmation peut être influencé par des facteurs affectifs (les émotions, les motivations, les préférences) ou cognitifs (les heuristiques, les stéréotypes, les croyances). Ainsi, certaines personnes peuvent applaudir des stupidités pour renforcer leur vision du monde, pour valider leurs opinions ou pour se protéger des informations dérangeantes. Ces trois motivations ne sont pas exclusives et peuvent se combiner chez un même individu. Elles ne sont pas non plus exhaustives !Il peut exister d’autres facteurs qui expliquent pourquoi certaines personnes applaudissent des stupidités. Il faut aussi souligner que le jugement de ce qui est stupide ou non est subjectif et relatif au contexte culturel, historique et social. Ce qui peut paraître stupide à certains peut être considéré comme intelligent, drôle ou pertinent par d’autres. A la question : “Pourquoi la stupidité est-elle confortée dans les automobiles de luxe et sportive ?“..., il n’existe pas de réponse unique à cette question, car le rapport entre la stupidité et les automobiles de luxe et sportive peut être envisagé sous différents angles. D’un point de vue économique, on pourrait dire que la stupidité est confortée dans les automobiles de luxe et sportive…
Pourquoi ? Parce que ces produits sont très rentables pour les constructeurs et les distributeurs qui profitent de la forte demande et de la faible élasticité-prix des consommateurs. Ces derniers sont prêts à payer des sommes très élevées pour acquérir des véhicules qui leur procurent du plaisir, du prestige ou du pouvoir, sans forcément tenir compte des coûts d’entretien, de la consommation de carburant, de l’impact environnemental ou des risques d’accident. D’un point de vue psychologique, on pourrait dire que la stupidité est confortée dans les automobiles de luxe et sportive parce que ces produits sont le reflet d’une certaine forme de narcissisme, d’arrogance ou d’insécurité chez les consommateurs. Ces derniers cherchent à compenser un manque affectif, à affirmer leur supériorité sociale ou à impressionner les autres par des signes extérieurs de richesse, sans se soucier du regard critique, du ressentiment ou de l’envie qu’ils suscitent. D’un point de vue sociologique, on pourrait dire que la stupidité est confortée dans les automobiles de luxe et sportive parce que ces produits sont le symbole d’une certaine forme d’aliénation, de conformisme ou d’individualisme chez les consommateurs.
Ces derniers adhèrent à des normes, des valeurs ou des modes imposées par la société de consommation, par les médias ou par les groupes de référence, sans développer leur esprit critique, leur sens civique ou leur solidarité. Ces trois points de vue ne sont pas exclusifs et peuvent se combiner chez un même individu. Ils ne sont pas non plus exhaustifs et il peut exister d’autres facteurs qui expliquent pourquoi la stupidité est confortée dans les automobiles de luxe et sportive. Il faut aussi souligner que le jugement de ce qui est stupide ou non est subjectif et relatif au contexte culturel, historique et social. Ce qui peut paraître stupide à certains peut être considéré comme intelligent, rationnel ou légitime par d’autres… L’art du consumérisme est-ce de l’arnaque ?
L’art du consumérisme est un concept qui peut être interprété de différentes manières selon les points de vue. D’un point de vue économique, l’art du consumérisme peut être vu comme une stratégie des entreprises pour stimuler la demande et augmenter leurs profits en créant des besoins artificiels, en jouant sur les émotions ou en utilisant des techniques de marketing persuasives.
Dans ce sens, l’art du consumérisme peut être considéré comme une forme d’arnaque qui exploite la crédulité, la naïveté ou la faiblesse des consommateurs.
D’un point de vue sociologique, l’art du consumérisme peut être vu comme un phénomène culturel qui reflète les valeurs, les normes et les modes de vie d’une société fondée sur la consommation. Dans ce sens, l’art du consumérisme peut être considéré comme une expression de l’identité, de la personnalité ou du statut social des individus qui choisissent des produits en fonction de leur signification symbolique, esthétique ou éthique.
D’un point de vue philosophique, l’art du consumérisme peut être vu comme une attitude existentielle qui cherche à donner du sens à la vie à travers la possession et l’usage des biens matériels. Dans ce sens, l’art du consumérisme peut être considéré comme une tentative de combler le vide, le malaise ou l’angoisse qui caractérisent la condition humaine moderne. Ces trois points de vue ne sont pas exclusifs et peuvent se combiner chez un même individu. Ils ne sont pas non plus exhaustifs et il peut exister d’autres interprétations de l’art du consumérisme.
Il faut aussi souligner que le jugement de ce qui est une arnaque ou non est subjectif et relatif au contexte historique, social et moral. Ce qui peut paraître une arnaque à certains peut être perçu comme un bénéfice, un plaisir ou un droit par d’autres. Je vais vous donner quelques exemples de produits qui peuvent être perçus différemment selon les consommateurs.
-Les produits de luxe : certains consommateurs les achètent pour se faire plaisir, se distinguer ou se valoriser, et considèrent qu’ils sont le reflet de leur goût ou de leur réussite. D’autres consommateurs les trouvent trop ostentatoires, trop superficiels ou trop inutiles, et préfèrent s’en détourner ou les critiquer.
-Les produits technologiques : certains consommateurs les achètent pour être à la pointe, se divertir ou se faciliter la vie, et considèrent qu’ils sont indispensables ou innovants. D’autres consommateurs les trouvent trop envahissants, trop complexes ou trop obsolètes, et préfèrent s’en méfier ou s’en passer.
Ces exemples montrent que la perception des produits dépend des valeurs, des besoins et des attentes de chaque consommateur. Ce qui peut paraître une arnaque à certains peut être perçu comme un bénéfice, un plaisir ou un droit par d’autres.
Le faux vrai et le vrai faux en automobile de collection sont des notions qui renvoient à la question de l’authenticité et de la valeur des véhicules anciens.
Le faux vrai désigne un véhicule qui a été modifié, restauré ou reconstruit à partir de pièces d’origine ou non, mais qui prétend être conforme à son état d’origine. Il s’agit souvent d’une tentative de tromperie ou de falsification pour augmenter la valeur du véhicule ou pour profiter de la rareté du modèle.
Le vrai faux désigne un véhicule qui a été reproduit, copié ou inspiré d’un modèle ancien, mais qui ne cache pas sa nature. Il s’agit souvent d’un hommage, d’une passion ou d’un plaisir pour le propriétaire ou le créateur du véhicule.
Ces notions sont parfois difficiles à distinguer, car il existe des cas intermédiaires ou ambigus. Par exemple, un véhicule qui a été modifié pour des raisons techniques, esthétiques ou historiques, mais qui conserve une partie de son identité originelle. Ou encore, un véhicule qui a été reproduit avec un haut degré de fidélité et de qualité, mais qui n’a pas l’intention de se faire passer pour l’original.
La valeur du faux vrai et du vrai faux en automobile de collection dépend de plusieurs facteurs, tels que la rareté, la qualité, la provenance, l’historique ou le marché du véhicule. Elle dépend aussi du regard et du goût des collectionneurs, des experts ou des amateurs. Certains préfèrent les véhicules authentiques et intacts, d’autres apprécient les modifications ou les reproductions. Il n’existe pas de règle universelle pour évaluer le faux vrai et le vrai faux en automobile de collection. Construire une ancienne automobile qui n’a jamais existé est un projet qui peut être motivé par différentes raisons. Par exemple :
La créativité : il s’agit de concevoir et de réaliser un véhicule unique, qui exprime la personnalité, le style ou l’imagination de son créateur. C’est une forme d’art ou d’artisanat qui demande des compétences techniques, artistiques et historiques.
La passion : il s’agit de rendre hommage à une marque, à un modèle ou à une époque qui a marqué l’histoire de l’automobile. C’est une forme de nostalgie ou de rêve qui demande des connaissances, des recherches et du respect.
Le défi : il s’agit de relever un challenge personnel ou collectif, qui implique de surmonter des difficultés, des contraintes ou des obstacles. C’est une forme d’aventure ou de sport qui demande du courage, de la persévérance et de la solidarité. Construire une ancienne automobile qui n’a jamais existé est un projet qui peut être source de satisfaction, de plaisir ou de fierté pour son créateur. Mais c’est aussi un projet qui peut être source de critiques, de controverses ou de rejet de la part des puristes, des experts ou des amateurs d’automobiles anciennes. Il faut donc être prêt à assumer ses choix et à les défendre face aux opinions divergentes.
L’art de paraître ce qu’on n’est pas pour vendre ce qu’on paraît être est une forme de manipulation qui vise à influencer le comportement ou les décisions d’autrui en utilisant des techniques de persuasion, de séduction ou de mensonge. Il s’agit de créer une image fausse ou trompeuse de soi-même ou de son produit, qui corresponde aux attentes, aux besoins ou aux désirs du public cible. Cela peut être motivé par différentes raisons. Par exemple :
Le profit : il s’agit de maximiser ses gains ou ses bénéfices en vendant un produit ou un service plus cher, plus souvent ou à plus de clients qu’il ne le vaut réellement. C’est une forme d’escroquerie ou d’abus qui demande de la ruse, de la malhonnêteté et du cynisme.
La notoriété : il s’agit de se faire connaître ou de se faire reconnaître par le plus grand nombre en vendant une image de soi-même ou de son produit qui soit attractive, originale ou remarquable. C’est une forme de marketing ou de communication qui demande du talent, de la créativité et du charisme.
L’estime : il s’agit de se valoriser ou de se rassurer en vendant une image de soi-même ou de son produit qui soit conforme à ses idéaux, à ses aspirations ou à ses fantasmes. C’est une forme d’illusion ou de compensation qui demande du courage, de l’optimisme et de l’ambition. Tout peut avoir des conséquences positives ou négatives selon les cas. Il peut permettre de réussir, de séduire ou de s’épanouir, mais il peut aussi entraîner des déceptions, des conflits ou des regrets. Il faut donc être prudent et responsable dans l’usage de cet art, et respecter les règles éthiques, juridiques et morales qui régissent les relations humaines.
Venir de rien pour n’aller nulle part est une expression qui peut avoir plusieurs sens selon le contexte.
Un sens pessimiste : il s’agit de décrire une situation de fatalisme, de résignation ou de désespoir, où l’on considère que l’on n’a pas de chance, pas de talent ou pas d’avenir, et que l’on ne peut pas changer sa condition ou réaliser ses rêves. C’est une forme de négativité ou de dépression qui demande du soutien, de l’aide ou de l’espoir.
Un sens réaliste : il s’agit de reconnaître une situation d’humilité, de modestie ou de simplicité, où l’on accepte son origine, son parcours ou son destin, sans chercher à se vanter, à se comparer ou à se plaindre. C’est une forme de sagesse ou de lucidité qui demande du respect, de la gratitude ou de la fierté.
Un sens ironique : il s’agit de critiquer une situation d’hypocrisie, de mensonge ou d’arrogance, où l’on prétend être parti de rien, avoir réussi par soi-même ou être arrivé au sommet, sans reconnaître ses privilèges, ses aides ou ses limites. C’est une forme d’humour ou de sarcasme qui demande du recul, de la dérision ou de la justice.
Ces sens ne sont pas exclusifs et peuvent se combiner selon les situations. Ils ne sont pas non plus exhaustifs et il peut exister d’autres interprétations de l’expression. Il faut aussi souligner que le jugement de ce qui est rien ou nulle part est subjectif et relatif au contexte personnel, social et culturel. Ce qui peut paraître rien ou nulle part à certains peut être considéré comme beaucoup ou quelque part par d’autres.
Gatsbyonline est un site web satirique qui se présente comme le plus sulfureux, déjanté, caustique, classe, snob et politiquement incorrect de toute la francophonie mondiale. Il propose des articles, des vidéos et des magazines sur des sujets variés, tels que l’automobile, la mode, la politique, la culture ou le sexe. La question de savoir si Gatsbyonline est un média hors du temps, un média de son temps ou un média inclassable dépend du point de vue de chacun. Il n’existe pas de réponse objective ou universelle à cette question. Il faut donc se référer à des critères subjectifs ou relatifs pour y répondre.
D’un point de vue historique, on pourrait dire que Gatsbyonline est un média hors du temps s’il propose une vision du monde qui n’est pas adaptée à la réalité actuelle, qui ignore les évolutions ou les changements qui ont eu lieu dans la société. On pourrait dire qu’il est un média de son temps s’il propose une vision du monde qui est en phase avec la réalité actuelle, qui prend en compte les enjeux ou les défis auxquels la société est confrontée. On pourrait dire qu’il est un média inclassable s’il propose une vision du monde qui est originale, innovante ou décalée, qui remet en question les normes ou les conventions établies dans la société.
D’un point de vue esthétique, Gatsbyonline est un média hors du temps, inclassable, utilisant des présentations originales, créatives et surprenantes.
D’un point de vue éthique, Gatsbyonline est un média hors du temps qui véhicule des valeurs, des principes et des idéaux progressistes mais parfois provocateurs. Ces points de vue ne sont pas exhaustifs et il exister d’autres critères pour juger Gatsbyonline, soulignant que le jugement de ce qui est hors du temps, de son temps ou inclassable est subjectif et relatif au contexte culturel, historique et social. Ce qui peut paraître hors du temps, de son temps ou inclassable à certains peut être considéré comme de son temps, hors du temps ou inclassable par d’autres…
Patrice De Bruyne est le fondateur, éditeur et le rédacteur en chef des magazines Home, Chromes & Flammes, Calandres, AutoChromes et TopWheels, Il est aussi le créateur du site-web Gatsbyonline, qui se présente comme le média le plus sulfureux, déjanté, caustique, classe, snob et politiquement incorrect de toute la francophonie mondiale. Patrice De Bruyne est né en 1949 à Saint-Tropez. Il a fait des études de sociologie à l’université de la Sorbonne et d’architecture à l’Institut St-Luc. Il a ensuite ouvert un bureau d’architecte, et édité un magazine d’architecture (Home)? C’est un scénariste provocateur, et un humoriste dissident, manœuvrant la critique avec dextérité, se moquant des “politicards et des journaleux aux ordres”… Personnage controversé, il suscite des réactions contrastées, mais ses lecteurs et internautes apprécient son style décalé, son ton caustique et son regard critique qui propose une pensée originale, cohérente et rigoureuse, qui apporte des réponses pertinentes aux problèmes fondamentaux de l’existence humaine.