Ford HotRoadster’32 V8 302ci
Un pare-brise façon chinoiserie, des jantes à rayons peintes en noir, une carrosserie violet métallisé et… Ni capote, ni hard-top… Waouwwwww ! Atypique… Heureusement que tout ça, faute de quoi d’autres choses, qu’à force de “faire dans les Hot Rod’s”, je deviens blasé… Ouaissss !… Blasé, pas indifférent d’en voir et d’en causer, mais fatigué… Je Célinise intérieurement… Oui c’est ça… Je deviens Célinien… Le Docteur Destouches m’a envouté… Pour parler franc, là entre nous, avec cet article, je pense finir encore plus vite mes texticules que j’ai le mal de commencer à les tapoter… Ohhh ! j’ai pas encore écrit mon dernier mot… Je me rerépète souvent qu’après bien des aller/retour, je dois chercher à en terminer au moins mal… Y a l’âge, vous me direz, oui, c’est entendu ! 75…
A 75 ans pluche trois mois d’été à Saint-Tropez, en plus que le monde de l’édition papier ne paye plus, il me devient extrêmement ardu de vouloir me refaire une vie d’éditeur papier et donc me relancer en éditions imprimées, ci ou là !… J’oublie le papier, même mâché, ça m’est indigeste !… Je suis toutefois toujours moi-même tapoteur de texticules… La clientèle des liseurs et liseuses (de vous à moi, confidentiellement), n’est pas seulement affaire de science et de conscience… car c’est avant tout, par-dessus tout, personnel… Notez qu’au trois-quart d’un siècle les perspectives d’arriver aux quatre-quarts n’ont plus les mêmes reliefs… Peut-être aller grignoter plus ?… J’intéresse surement encore quelques maniaques… Que des chercheurs d’énigmes ?… Mais les dames ?
Bonheur de ne pas être deviendou barbon tiré quatre épingles, parfumé, peinturluré, laqué !… Un épouvantail ?… Tout cousu d’or ?… Encore !… Toléré ?… Hmm !… Hmm !… Tolérable… Mais, lisez un peu les cancans me visant sur certains réseaux asociaux, leurs divagations méritent quelques détours… “Oh ! vous savez, quelle plume !… Il a compris tout de suite mon émoi à l’imaginer tapoter ses texticules pour en éjaculer des merveilles qui donnent de ces frissons ! Ce sont comme de ces gouttes à prendre ! Midi et soir !… Et quelles gouttes !… C’est merveilleux !”… Mazette.. Mais attendez encore que je doive mettre un texticule de rechange, pour usure de l’infini à écrire et relire… Wouawwwww ! Aurais-je une médaille pour l’honneur pour réagir correctement aux doigtés ??? Que nenni…
Mes ex-concurrents vont ressusciter, grincheux, édentés, ignorants, crachoteux, pour reprendre leurs actions quasi ordurières et machiavéliques, dans le but de régler mon compte… Si c’est pour régler mes oublis dans les 5 étoiles de la zone, passe encore, quoique… Le babil des dames est souverain !… Les hommes torchent les lois, les dames s’occupent des entre-jambes… Vous les avez pas pour vous, qui écrivent qu’elles aiment vos texticules ?… Sautez vous noyer !… Branlez vous, d’autant mieux ! Plus vous serez rédhibitoirement crétins, plus souveraines elles seront !… Rengainez vos ardeurs et “hardeurs”, ainsi que vos restes !… Le reste ?… Tout fourgué !… J’exagère pas, j’ai les preuves, les témoins, les noms… Le sens de l’Histoire passe par le mi des fesses !…
Vous devez être là, pantois à me déchiffrer plus que lire… Y a plus d’internautes que de lecteurs… Ce que je dois penser, c’est plus à la manière d’écrire que décrire les absurdités… Faut que je pense à la milliseconde quoi tapoter sur mon clavier. Si je réfléchis trop, comme un miroir, la transparence s’en mêle et je vais devoir démêler… Je tente une nouvelle fois avec ce Hot Rod Ford Highboy’32 qui a été construit entre 2019 et 2022 sur base d’une carrosserie Brockeville de Roadster en acier…. En quoi êtes-vous avancé de le savoir maintenant plutôt qu’avant voire plus tard ? Que vous importe plus qu’à moi, la puissance fournie par son V8 Ford 302ci équipé d’un carburateur à quatre corps, d’un allumage électronique PerTronix et de collecteurs de style zoomie ?
Rien… Rien de rien… Rien à foutre… Pourquoi donc écrire que ce moteur est soutenu par une transmission automatique à trois vitesses et que la bagnole roule sur un châssis renforcé en tube caissonné. Vous ne savez d’ailleurs pas ce que ça veut dire, ça : “caissonné”... Caissonné.. Caissonné… K’est cke que j’ai une gueule à caissonner pour passer mon temps à vous raconter du genre : “Koik’c’est-ce du caissonnage ?”… Même les pirates nitrocéphales et nitromaniaques dirigés par le Maréchal Rhommel n’en bababavaient rien à branler avant leur faillite de dizaines de millions d’€… Ces foutus pirates voulaient me saigner, que mes tripes dégoulinent que je laisse mes os en fosse, trois mètres sur trois !… Ils ont alors pensé à jeter du froid partouze, glaçage et tourbillonneries…
Médisances et calomnies… Délation fiscale en finale… Mazette, 117 millions… J’ai tenu ! Installé en Floride j’y ai lancé Top Wheels… La rigolade que ce fut !… Oh ! j’avais prévu les crapuleries !… Pressentiment !… Je suis pas le genre à découvrir ni a subir les crapuleries !… Je vous raconte pas, même pour la rigolade que c’est ainsi que j’ai eu l’idée du numérique… Mais, ma mère est morte par syncope, du cœur, à cause indirecte des délations du Maréchal Rhommel et sa clique… Il n’est pires sourds que ceux qui ne veulent pas entendre, n’ayez pas peur de ressasser… Je vous parle de ma mère, tout en elle est mort en cause des délations assassines, bien persuadée que ce n’était qu’un mauvais moment… Que ça allait passer… Elle a trépassé, je me suis surpassé. Je n’oublie rien.
Elle pensait qu’avec courage, on verrait la fin, que tout redeviendrait comme avant, que le petit sou revaudrait un sou, le quart de beurre vingt-cinq centimes… Elle était d’avant les guerres qui s’ensuivent, partouze… Elle avait horreur de la folle dépense… aussi le prix des calories… Pouvez pas savoir le bonheur d’être informé de la faillite du Maréchal Rhommel avec son troupeau de crapules médisantes finissant dans le ruisseau et tout son bazar aux enchères pour clopinettes et compagnie… Du moins presque… Lui restent ses antiquités… Bref… Arrivons-en à ce Hot Rod violet, cet apocalyptique engin, c’te machin aux jantes rayonnées… Cette diligence fantastique, avec des phares riquiqui et un pare-brise “Chinois”… J’en reviens au sujet que je tapote…
Il ne dispose pas d’une chaudière genre marmite de distillerie… Mais il affiche sans pudeur deux X quatre cheminées d’échappement riquiqui qui remontent horizontales, longues, immenses… Ca méritait une description à l’avenant de ce que ce n’est pas pour pisser dedans. Je me suisse abstenu, par pudeur Bof !… Dedans le moteur V8, des pistons cuivrés en oxyde de titane, terribles… Toutes des espèces de balanciers… des soupapes… Des ustensiles inouïs… Et puis quelques coquetteries sublimissimes, mais il manque des dais, guirlandes, crédences, fanfreluches et même quelques pots de fleurs et aussi un nain de jardin au volant… Important le nain… Et une naine sans culotte sur le siège de la passagère, mais avec une culotte de cheval acceptée pour faire zoli,…
C’est une beauté rare, une illuminescence de la connerie, ce bazar est un mélange de machinerie et de fanfreluches romantiques… N’y ne manque qu’une banderole ! Cet extraordinaire chariot walkyrien roulera même… Ouiiiii ! Dans un grand accompagnement de musique effrayante, avec cuivres et tubas, j’y invite… Pour une fête… Oui, mais au moment voulu… Que des tonnerres fulminants. Ah ! Quelle surprise que cette chose !… Vous avez vu cet émoi qui est mien ?… Qu’on est heureux de le voir !… Après tant d’années moroses… passées dans les larmes… Je veux être le tout premier à embrasser les constructeurs de cet engin… Quelle joie !… Quelle joie !… Sans nul doute des ingénieurs garantis d’époque… pesants… tranchants… discuteurs…
Ils doivent surement être affublés de redingotes… avec des aides portant divers instruments d’arpentage… des équerres… des chevalets… Ahhhh ! Mais je ne rêve pas, c’est vrai… Si croyez-moi, j’en agrippe un par le bras levé en salut, cet ingénieur me fait des signes, des calculs sur le sol… Je lui dit : “Monsieur !… Monsieur !… Qu’est-ce que cela ?… Quelle épouvante !”… L’ingénieur ne répond pas…, il est plongé dans ses calculs… ses assistants mesurent le sens du vent… mesurent encore… jaugent… estiment… les distances…, je m’affaire… m’effraye… Non vraiment cela !… Je ne comprend plus rien…, enfin les calculs sont terminés… Effroi… je regarde la mécanique… le sens des choses me tombe des mains…, très grande animation… A quoi sert cette abomination ?
C’est riquiqui… A aller au fond des tavernes… Bouges… Boutiques… Bastringues… Un bordel au coin d’une rue…? Et pour qui ? … Voyous débraillés… Marins ivres… Quelques bourgeois… Des nitrosexuels ? A ! Les nitrosexuels… Que des branleurs… Avant que c’était pas terminé, ils avaient toujours le Zob bien en main à branler… Confusion… cohue… Petits ensembles… Trios… Refonte des idées dans la masse… Le moment venu, viendou le temps de se faire enculer profond… Le principal intérêt de se pavaner dans l’objet c’était assurément de reluquer quelques filles de joie, qui, de joie, s’extasiaient d’horreur… Les prostituées en chemise sortaient effarées du bobinard… Débardeurs… soldats… poursuivants… marins… marchands de frites… Tout y passait !… Etc aussi…
Devaient suivre, d’épouvantables émeutes, suivies par des huissiers, avec la cavalerie, John Wayne ressuscité…, la charge héroïque, Apocalypse-now… Tirez pas sur le Maréchal ! Ils le voulaient vivant pour avoir les codes… C’était plus homogène… Imaginez l’hallali des gnous bêtifiants Nitrocéphales, des enculés transportant des sacs d’or pesants… ils avancaient en érection de béatitude à la queue leu leu… Abominable vision… Voyez ils se branlent autant que d’autres s’en branlent, ils avancent fort péniblement !… Mais toujours dansant, tanguant… Cependant pesants comme des ours… S’appuyant sur de lourdes cannes. Et éclate, à ce moment même, du moins c’est ainsi que ça devait être, au fond de votre écran, la farandole criarde de quelques mécaniques…
C’était la fanfaronnade des enculés… Fantaisies débridées… Une danse d’ensemble… Ils gesticulaient leur bonheur… Ils parvennaient même à jouir après mille efforts et puis, stomaqués de folie, disparaissaient dieu seul sait où… La foule !… Voyez, j’en cause et la foule arrive, transportée de joie pour acheter la machine… Piting ! La foule est là avec des soupières pleines d’or, avec des grosses valises remplies de billets, des vieux dollars… Malles, coffres etc… Tous les pays…Cchacun avec son véhicule typique à échanger, plus si affinités…, Un riche Prince Anglais avec son domestique… Un lord en mail-coach… Quelques Français avec leur béret basque, litron de pinard et baguette sous le bras… eux, sont les seuls qui demandent le prix du superbe engin…
On le leur dit… 150.000 dollars plus les suppléments, et il y a plus de suppléments que d’auto… Ils sont contents ! Gigue… Toute la foule danse un petit moment avec eux… Les fédéraux poulets essayent de ramener un peu de calme… Ils sont débordés, sacrent et menacent… Voici une famille mexicaine qui débarque par l’autre côté… Mère solennelle… Filles… Señora… Un grand char-à-bancs… Des mules… La route 66 en Hot Rod !… Voici des Russes qui débarquent avec leurs traîneaux et leurs ours… Danse des ours et de la foule… Les ivrognes aussi… Tout le monde danse, s’amuse fort… Mais voici d’autres clients… D’autres enculés vivants, le cul ouvert de bonheur… Pour peut on s’attend à ce qu’on officiel s’écrie : “Maréchal, nous voilà”… Comme avant…
Ceux-ci roulent d’énormes tonneaux d’or fondu… Danse autour des tonneaux… Autour… Entre… Sur les tonneaux… Farandole… Voici même des Marchands d’autos avec des pépettes plein les bras… Danses… Les filles du coin veulent arracher leurs vêtements, se doigter de plaisir… La police doit intervenir… Hop ! Grande bataille avec les enculés qui protègent les filles… L’ingénieur en chef est partout à la fois… Il gronde… Il tempête… Et les flics partout toujours, encore furetant, ramassant les billets voletants. Grande rigolade… Voici le vendeur qui débarque avec sa famille entière… Tous d’avance comptent l’or et les billets… Ils chevauchent un tandem tout primitif et un petit panier derrière pour les nombreux enfants, cinq ou six… et pour les dollars… 150.000 billets verts…
Voici un Sheikh et son harem sur un dromadaire… Danse… Voici un maharadjah avec son éléphant sacré… Danse… la foule s’amuse… Danse… Très très grand brouhaha… La folle mêlée… Mais voici la grande clique des journaleux en quête de parapluies, de colifichets, de gadgets, tout et n’importe quoi pourvu que c’est gratuit en échange de quelques papiers totalement à l’inverse de ce que j’écris… Tous congestionnés… Tous apoplectiques… Ho ! Hisse !… Ils tirent les journaleux… à coups d’efforts saccadés, soudés collés en grappe sur le câble du web… Immenses efforts… Ils sont vêtus de haillons… Terribles… Picoleux… Ils se passent le “rouge” tout en se recopiant leurs commentaires et titubant à la “régalade“… Tout ceci en musique “putassière“… C’est la fête…
Toute la grappe des journaleux est par instant, par sursauts, happée par le vide, c’est le besoin d’aller chercher d’autres parapluies et colifichets ailleurs d’ici… C’est que le monde entier, le monde des enculés, vient à leur aide… Bientôt tous s’y mettent… Ils lisent leurs conneries… Ils y croient même… C’est écrit dans le journal, donc c’est vrai de vrai… Débardeurs… Truands… Soldats… Marins… Putains… C’est la grande entr’aide des cons, comme dans un salon de l’auto, toujours en flux et reflux… La file le midi pour pitances gratuites pour remercier les bons papiers à faire… Victoires et défaites… Le vent des pets conjugués de la médiocrité… Cependant, le temps est plus fort, iil entraîne tout le monde vers l’absurde… Le monde se vide ! Y a plus de presse ni de shows…
Toute cette foule est pompée à rebours par un retrait soudain de leur câble… Tous essoufflés ils rencontrent des ceusses qui se sont fait avoir dans la grande profondeur… Niveau puits sans fond de la connerie, juste débarqués… Et bien malades… Ces nauséeux chavirent, roulent et tanguent… Allant et venant… Regrettant de s’être faits enculer grâââââve… Ils sont verdâtres et défaits… Ils sortent de leur inconscient… Iils ne savent rien du tout !… Ils veulent rentrer chez eux dans leur auto grise poursuivre leur voyage vers le néant… On leur montre l’écriteau : “A vendre, prix d’ami : 150.000$“… Stupéfait que ce ne soit pas gratuit, ils s’en vont par là-bas au loin, titubants avec leur mélancolie… Joie !… Joie !… Minutes émouvantes au possible !
On s’embrasse… On s’étreint !… Triomphe !… On se fête… On se cajole… On s’esclaffe… On jubile… Tout cela très vivement… Sadique… Cruels mélanges… Chaos… Tout est en ébullition… Moi-même, au comble de la joie de voir tant de mascarade inutile, je me rue sur ma voisine, au hasard… Le hasard fait bien les choses, grande mince, blonde, aux gros seins pendouillant… J’arrache son corsage… Sa robe… La voici presque nue… Elle a perdu toute pudeur… Sa copine est outrée… Elle essaye de me raisonner : “Monsieur, vous êtes quelqu’un de biens, prenez-moi plutôt qu’elle”... On la retient, elle veut me violer, avoir mes biens, les dilapider… Ma voisine sanglote, elle ne peut plus rien pour ma turgescence, terminée, c’est l’âge… Je suis maudit…, L’esprit du mal est en moi…
Sa copine si finement, gracieusement réservée et convenable, est à présent déchaînée… Elle arrache ses vêtements… Contaminée elle se mêle aux voyous… Puis aux prostituées… Elle exige toujours plus de liqueur… Il lui faut du lubrique !… De la frénésie, soit, mais le délire l’a déjà saisie, il monte en elle… Elle danse avec plus de flamme encore, plus de fougue, plus de provocation, de lubricité, que tout à l’heure… C’est une furie… Une furie dansante… Mais voici qu’entends-je un boucan énorme !… Fantastique !… Un bruit de locomotive… De pistons… De vapeur… De cloches… De trompettes… De chaînes… De ferrailleries… Tout cela horriblement mélangé… Les ingénieurs de tout à l’heure repoussent la foule, se frayent un chemin et crient : “Pas de Ferrailleries ici”…
Un gamin les précède avec un drapeau rouge et une cloche qu’il agite… Qu’on s’écarte… Qu’on s’écarte !.. Place !… Voilà l’engin terrible, rugissant, soufflant, vrombissant… Il apparaît peu à peu… C’est un autre Hot Rod,… Il est phénoménal… Ancêtre d’une locomotive de course, équipée d’une mécanique fulminante, c’est un engin fantastique… Il a sa musique, genre fanfare en elle… La foule se tourne vers le monstre…. La machine infernale avance toujours peu à peu… Un homme debout sur le capot, joue de la trompette, l’émotion dans la foule est à son comble… L’enthousiasme aussi… Des Hells Angels l’entourent… Les cops tirent du pistolet… Une farandole débute autour du monstre… Faire du bruit !… Faire du bruit… Faire du bruit… Stop… Trop de bruit pour rien…
On aperçoit à présent tout cet énorme ustensile qui avance tonitruant et majestueux… On fête le monstre vrombissant… On se passionne… Le drapeau américain est déployé… La foule ne peut s’empêcher de regarder… Fascinée… Fascination et fascisation emmêlés, la foule s’engouffre derrière ce Hot Rod… Des jeunes filles, toutes émoustillées, effrénées, bondissantes, affirment que la vie est courte et qu’il faut s’amuser… Toujours plus loin… Il faut acheter ce Hot rod… Il faut boire et oublier… C’est tout… Et c’est trop… Cette magnifique bêtise violet, se décrit en quelques lignes mais il en faut beaucoup plus pour comprendre… J’aurais peut-être été moins virulent, sanglant en d’autres circonstances, mais l’ambiance était trop hautaine pour être acceptable…
Je renvoie donc le pot de chambre, plein à ras bord… Vous avez bien le bonjour… Mort aux cons… Me faut quand même citer quelques remarques… Parmi les points forts de la construction, les freins à disque aux quatre roues, un essieu avant abaissé et percé, des roues à rayons contrefaites et peintes. Garni de beige, l’intérieur comprend des sièges baquets à dossier bas, une colonne de direction inclinable et un levier de vitesses Lokar. La carrosserie en acier est peinte en Fazer Purple. Les caractéristiques extérieures comprennent un pare-brise “chinois”, des phares Harley-Davidson, un rétroviseur latéral unique, un couvercle de coffre à charnière inversée et des feux arrière intégrés dans une barre d’écartement BDSM retravaillée à l’arrière…
Les klaxons à air sont montés sous la voiture mais sont débranchés, et aucun toit n’est inclus dans la vente, ni de capote… Et baiser sans capote n’est pas sécurisant… Les jantes à rayons contrefaites mesurent 16″ de diamètre. Ils portent des pneus Coker Classic 5.5R16 à l’avant et 7.5R16 à l’arrière. L’essieu avant abaissé et percé est également fini dans la couleur de la carrosserie et dispose d’un ressort à lames transversal et d’amortisseurs Pete & Jakes. L’arrière est équipé d’une configuration à quatre bras et de combinés filetés… et le freinage est assuré par des disques ventilés aux quatre coins. L’habitacle est doté de sièges à dossier bas en aluminium recouverts de vinyle beige, et la porte et les panneaux latéraux sont garnis pour s’agencer.
Les aménagements intérieurs supplémentaires comprennent une colonne de direction inclinable Ididit, un volant à trois branches en bois et un levier de vitesses au plancher Lokar. La batterie est située sous un couvercle derrière le siège passager. L’instrumentation provient d’Equus et comprend un compteur de vitesse de 160 mph et un tachymètre à 8.000 tr/min, ainsi que des compteurs pour la pression d’huile, la température de l’eau, la tension et le niveau de carburant. Le compteur kilométrique indique un peu plus de 1.000 miles. Le V8 302ci est équipé d’un carburateur Holley à quatre corps, d’un allumage PerTronix Flame-Thrower HEI, d’embases de style zoomie, de couvercles de soupape en billette et d’un radiateur en aluminium avec ventilateur électrique.
Voilà… Le bout du bout de cette affaire, de cet article, de cette chronique, de cette histoire, est à son terme… Me reste à indiquer quelques compléments et banalités, par exemple que la puissance est envoyée aux roues arrière par l’intermédiaire d’une transmission automatique à trois vitesses…. Mais ne l’ai-je déjà indiqué ??? Oui, Ahhhh… L’enlever détruirait le rythme des 5 lignes maxi entre les photos… L’arrière de 9 pouces présente un rapport de démultiplication final de 3,25 et a été reconstruit en novembre 2023. La voiture est immatriculée comme un Roadster Ford de 1932 utilisant le numéro d’identification attribué par l’Arizona AZ388121, pratique légale aux USA… Voilà, c’est pas plus… En prime, une Pub ci-après pour www.SecretsInterdits.com