GODSIL V16 : Make America great again…
Les moteurs électriques ne sont pas aussi sexuels que les moteurs à explosions… même si les gadgets sexuels sont électriques (et électrisants) ils n’évoquent pas la puissance d’une bielle en va-et-vient qui spermet au piston de ramoner à donf à grands renfort d’huile lubrifiante… Vous imaginez “LE” cylindre n symbole érotique… mais s’y ajoutent simultanément 2, 4, 5, 6, 8, 10 voire 16 cylindres…, c’est la partouze mécanique…
De la philosophie aux balloches, il n’y a qu’un pas que j’ose allégrement franchir : les texticules sont-ce un sujet plus délicat que les testicules ? Et en écrivant “délicat” c’est évidemment un double-sens qui touche également les “Gay’s”… mais, à force (du poignet) à me lire, vous êtes deviendou rompus aux sujets touchant au plus profond de l’inhumanité, néanmoins, je conseille aux familles d’éloigner les êtres qui pourraient être choqués par tant de bêtises.
Les femmes se sont, de tout temps, tartinées la poire et la figue avec toutes sortes de crèmes, d’avocats, de concombres, de yaourts… pour maintenir une illusion de cette jeunesse qui s’envole et coule inexorablement entre nos doigts comme un maroilles trop fait. Aujourd’hui, les hommes, même les vrais, les mâles… s’y sont mis. A grand coup de crèmes hydratantes pour nous les hommes, parce que nous le valons bien.
Un laboratoire spécialisé dans l’intime a même lancé une crème anti-âge pour nos joyeuses valseuses baladeuses. Je ne sais pas pour vous, mais perso, je ne passe pas assez de temps à admirer mes roubignoles. Je n’ai donc jamais songé à me tartiner les rouleaux avec une crème concentrée en plantes indiennes, hydratante (tante étant également un double-sens “gay” pour les ceusses qui pratiquent manuellement entre mâles) qui raffermira, apaisera et lissera la peau de mes balloches en me délestant les bourses d’une petite centaine d’euros quand même.
Grâce à mon argent, le cours de bourse du laboratoire remontera plus vite que mes roubignoles. Mais moins rapidement qu’avec le Coronavirus… ça, c’est une autre histoire ! En attendant, pour rendre à mes breloques la jeunesse qui les fuit et pour éviter les sillons sur mes roustons, je bois un Pouilly assez couillu.
Malgré les contraintes écologiques de plus en plus pesantes, l’industrie automobile parvient toujours à faire rêver en pimentant les pubs de sexe. Et le jeune constructeur américain Godsil espère faire partie des acteurs qui entretiennent la flamme de la passion par le biais de connotations sexuelles diverses mettant en scène virtuelle un spectaculaire coupé néo-rétro, baptisé Manhattan.
En matière d’esthétique, Godsil explique s’être inspiré du mouvement Art déco qui sévissait au début du siècle dernier. On retrouve ainsi des volumes généreux et travaillés, de nombreux chromes, une calandre spectaculaire, de larges prises d’air latérales et même des portes à ouverture antagoniste. D’une façon générale, ce coupé quatre places ne manque pas d’allure. Godsil veut équiper sa Manhattan d’un moteur 16 cylindres dans une sorte d’hommage aux productions passées, l’inspiration provenant ici de certaines voitures américaines des années 30 ou 40 qui utilisaient elles aussi des 16 cylindres. Jason Godsil, fondateur et patron de la firme, annonce tout et rien à la fois : mais principalement se focalise sur Rolls-Royce en soulignant une sorte d’évolution rétrograde…
Du coup, la Godsil Manhattan devient, sans exister vraiment, une alternative à Rolls-Royce, soulignant que la Manhatan à la même longueur qu’une Phantom Coupé, soit autour de 5,50m, avec un empattement de 3,40m et quatre places à bord. Du capot interminable part un pare-brise qui fait le lien avec un arrière rappelant les bateaux et les “aéro-coupés” d’époque. Un toit vitré est disponible. Les portes s’articulent par l’arrière (suicide doors). Le pourtour de la calandre, les grands extracteurs d’ailes avant ou encore les montants du pavillon se parent d’inox brossé. Les feux avant en “C” sont à LED, comme les blocs optiques arrière verticaux. Le coupé repose sur des jantes de 22 pouces… et le logo de la marque s’illumine en bleu au bas des ailes avant lors du démarrage !
L’une des principales originalités de la Godsil Manhattan est son moteur, V16 13.000cc à double arbre à cames en tête, carburant au gaz naturel compressé, ce qui lui permet de développer environ 1.000 chevaux (selon le constructeur). Là encore, l’inspiration est à chercher dans le passé. Le V16 est le ‘Saint Graal’ des moteurs à combustion interne. Si peu ont été construits (essentiellement dans les années 1930-1940) que la plupart des gens n’en ont jamais vu un”… dixit Jason Godsil qui présente la Manhattan comme “Une voiture vitrine pour l’Amérique”…
Godsil dit avoir opté pour le gaz naturel du fait que les EtatsUnis en possèdent une des plus grandes réserves mondiales : “Grâce à notre voiture, l’Amérique pourra arrêter d’acheter du pétrole à des pays qui ne nous aiment pas beaucoup”... peut-on lire dans le communiqué de la marque. Godsil souhaite utiliser la Manhattan pour promouvoir l’usage du gaz naturel encore timide dans l’industrie du transport. Le constructeur dit avoir tenté en vain de négocier avec les Etats américains et le gouvernement fédéral, l’utilisation de certaines amendes payées par Volkswagen suite au Dieselgate pour développer son projet.
Godsil annonce d’ores et déjà la sortie d’une quatre-portes, d’un SUV et d’une supercar à moteur central… et se targue de les nommer selon des éléments iconiques de l’Amérique, de les construire aux Etats-Unis et d’utiliser du gaz américain. D’ici-là, il faut attendre de voir rouler la Manhattan, pour laquelle aucune date de mise en production n’est encore indiquée. Le constructeur américain Godsil envisage de produire rapidement le coupé Manhattan V16 fonctionnant au gaz naturel, et s’est associé avec Panoz à cet effet.
En décembre 2019, la société américaine Godsil Motorcars fondée en 2010 avait présenté quelques illustrations préparatoires et le projet de son
premier modèle, le luxueux coupé Manhattan V16… une annonce proche de l’ouverture du salon de Detroit et la promesse de la réalisation d’un prototype pour 2020 nous laissaient imaginer la présentation d’un concept-car en janvier, mais il n’en fut rien.
Le projet ne semble pas enterré pour autant, loin de là puisque le site officiel de Godsil a été récemment mis à jour et tend à prouver que la
Manhattan est en bonne voie.
L’information qui fait prendre le plus de corps possible à la Godsil Manhattan actuellement, est l’implication de Panoz dans le projet. Le constructeur, qui produit quelques sportives en marge de ses engagements en compétition, fournirait à Godsil un tout nouveau châssis et serait chargé de l’assemblage du coupé. C’est Peter Aylett, un ancien de chez Ford, Lotus, Mercedes, Chevrolet ou encore Mazda qui est chargé du design. Il a notamment participé à
L’élaboration de la Lotus Esprit Turbo et de la Mazda RX-8. De nouveaux croquis de travail viennent d’être révélés, mais Godsil précise que le
design final de la Manhattan s’en éloignera. Verra-t-on vraiment un concept-car Godsil cette année 2020 ?
Après une introspection de mon cortex cérébral, je pense qu’on ne reste pas assez chez soi pour profiter de sa vie… c’est le drame de notre foutu monde, c’est de ne pas avoir de dérivatif pour oublier la folie des hommes. A l’occasion, mon Popu que j’aime… il faut que je te raconte ici un truc qui m’est arrivé le mois dernier, un grand moment, l’instant où ma réflexion a définitivement penché dans des irrationnelles loufoqueries. Putain de grand moment ! J’avais dû m’asseoir et pourtant j’étais déjà assis ! Tu te demandes soudain : “Pourquoi le mois dernier alors qu’il nous arrive des merdes sur la tronche tous les jours ?” …
Ouais t’as raison mon beau blaireau, sauf que le présent, c’est du concret, genre une fraise des bois dans le pif, un rif de Keith Richards dans la trompette, une joue de bœuf dans la bouche… le passé, c’est la mémoire, les méninges, la puissance de l’esprit, et ça c’est plus fort qu’une daube bien mijotée. Je te conseille de prendre tout ton temps et un peu du mien si ça ne suffit pas, ça risque d’être long et un peu embrouillé, je risque aussi de digresser et te raconter autre chose comme une après-midi à sauter mes voisines !
Quitte à te mettre les coings sur les ouïes, et même si tu es helvète, je me répète, je pète et répète, les hommes sont cons comme des bites. J’ai bien dit les hommes, pas les femmes, il y a quand même beaucoup moins de kamikazes femelles. Un jour, quelqu’un finira par payer pour tous les autres, je le fumerai comme un jambon de parme sur l’autel désabusé de mes sentiments distingués ! Je fumerais surement aussi deux trois petits blancs racistes, un moustachu antisémite, quelques roux et deux ou trois pandas, pour faire bonne mesure. Je hais tous les connards. Tous ces connards me cassent les couilles, ils sont le nouvel opium du peuple… les connards, pas mes couilles, encore que !
L’individualisme, c’est l’opium des cons, l’égoïsme, leur mantra ! Tous ces “pas-finis” pathétiques se regroupent autour d’un signe de reconnaissance, créant des communautés, des ligues, des partis, sorte de troupeau paissant mollement dans les verts pâturages de leurs convictions avariées. Je sais, je dérive et j’en ai oublié mon grand moment. Le moment où il m’arrive de m’accouder pour un demi-frais ou un pti’blanc, je ne reste pas et n’en prends jamais plus d’un. Les piliers de comptoir ne comprendront jamais la délicieuse subtilité du plaisir solitaire… ils se contentent de l’ivrognerie lugubre !
D’ailleurs je ne leur parle jamais aux pochetrons, je n’ai pas grand-chose à leur raconter. Mais, le mois dernier, une “Tache” surnommée Aristote, Nietzche ou Mounir, je sais plus, m’a dit que l’Homme est condamné à revivre sa vie éternellement, il se crée son enfer en quelque sorte ou son paradis, c’est selon. Il a conclu par un citation : “La vie a été créée par un dealer qui s’est gouré dans les dosages et du coup ce surplus de conscience nous colle au steak comme un étron de teckel sur les sièges d’une Bentley neuve… Quand il y a vie c’est qu’il n’y a pas mort et quand il y a mort c’est qu’il n’y a plus vie et nous revivons éternellement les mêmes conneries. Nous avons fabriqué des dieux et des légendes qui vont avec, la panoplie complète, les costumes et tout et puis comme au final ça nous a gonflés ben on l’a buté”
Point à la ligne, mon Popu ! Tu peux ranger ta Fuego “Young-timer-à-la-con” au garage, on s’en bat les couilles, sujet suivant… Je suis rentré chez moi, démoralisé et j’ai retouché un paquet de photos en sirotant un Mojito…