1923 Twin Turbo T’Bucket Hot Rod
Le Hot-Rod de style 1923 Twin Turbo T’Bucket de Lee Sklar’s fait partie des petits poucets ayant balancé pas mal sans jamais avoir eu de réelle résonnance. Ce jeune pépère de 80 ans aurait pu rester dans l’ombre, à l’instar des millions d’anonymes fanatiques de Hot-Rod’s toujours aussi productifs depuis les années ’50/’60. Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce gars et de son T’Bucket qui aurait pu rester (à tort) dans la masse des nainonymes. Déboulant au volant de son Hot-Rod dans divers show’s et rassemblements de Hot-Rodders, affublé d’un drapeau américain taillé en gilet sur le dos, ce diable de Lee Sklar’s m’a violé les rétines tant il est une sorte de croisement vivant entre le Old’Style et une digression Cyberpunk façon troisième âge en crise existentielle. Il a ainsi réussi à connecter mon système neuronal à des souvenirs aux relents nostalgiques.
Mais dès que gronde le V8 de son Hot-Rod, ce n’est pas la nostalgie qui hurle, c’est la joie d’encore vivre, le pilonnage des sens, le palpitant qui tressaute, les tympans qui abdiquent. Mais le plus fun, c’est que c’est génial, tant dès la première minute tout semble émerger « Sorti de nulle part » avec une dose Cyberpunk de l’enfer dans un rythme cadencé par un broyeur d’illusions dans une profondeur sonore impressionnante. Ça tape dur rétines et tympans, on croit que tout va exploser, c’est complètement fou et pousse à l’hystérie collective, on imagine que ça va sauter dans tous les coins, que les immeubles vont tomber, d’ailleurs, les gens hurlent, et, au milieu du chaos, on a l’impression de se retrouver dans une ville assiégée avec les derniers survivants courant se mettre à l’abri, évitant la désintégration générale, les Hot-rod’s en bandes désorganisées cherchant de l’humain à étriper !
Mais on finit par retrouver, son souffle, les moteurs se calmant, on recommence presque à penser, mais soudain ça repart presqu’à se faire désintégrer, le vacarme reprend, les oreilles se font rétamer, c’est absolument monstrueux. Ecouter ce charivari dantesque comme en concert, c’est se prendre une réelle mandale. Et ici, ça rentre encore plus dans le lard, hystérique, Power extrèèèèèèème du plus bel effet, pour nous passer à tabac. Les moteurs hurlent, ça s’entretue dans les échappements ! Hallu totale. La grosse violence sonore et visuelle ! J’ai soudain eu l’impression que ça me raclait le cerveau, mais, pas de problème, j’ai pris mon pied dans ce vrai massacre psychotropé empli d’échos en mille-feuilles dans un climax superbe de putasserie qui envoie dans les étoiles pour mourir sur une longue saturation, presque shoegaze cradingue ! Du tout bon…
Ce glissement scriptoriel opéré dès la longue introduction de ce texticule couillu n’est pas anodin, et vous vous attendiez sans nul doute à lire quelques phrasés enflammés vous dirigeant vers une toute autre facette de mon écriture, maintenant que le bourrinage glisse de côté ! Place donc au “Nu-Abstract”, pour que mes mots prennent le temps de se poser. Car attention à vous, je reste avant-tout politiquement incorrect ! Je secoue vos neurones avec mes écrits servis sur un plateau d’argent, oscillant vos pensées avec la prestance d’un “prestigicateur” qui cherche à éviter le dépeçage global des moutons de Panurge que vous êtes majoritairement.
En ce sens, j’ai échangé quelques mots en phrases avec un lecteur/internaute :
-De l’expérience que j’ai de la vie, mourir naturellement est semblable à s’endormir après une journée de merde… Je l’ai vécu plusieurs fois et d’avoir été en réanimation j’en suis revenu à la fois heureux et en même temps dépité qu’il faille encore se battre contre les stupidités des gens et du monde… Je suis “reviendou” pour mes vrais proches qui m’aiment et étaient désespérés que j’étais parti et ça m’a aidé à revivre et survivre après le tri qui s’est opéré me permettant de sentir ceux qui m’aiment vraiment et qui apprécient mes écritures et ceux qui sont indifférents et n’ont aucune importance… Plus personnellement, je vois ceux et celles qui s’abonnent pour lire mes textes dans www.GatsbyOnline.com / www.ChromesFlammes.com … les autres je ne les vois pas… Pareil aussi avec mes magazines “papier”, ceux et celles qui l’achetaient et ceux et celles qui demandaient à ce que je leur donne gratuitement… Pourquoi vouloir me lire sans me donner pitance ? Cela a créé en moi beaucoup de tristesse, quant à savoir ainsi ce que je représente vraiment. Je suis toutefois indulgent car l’humain ne peut ni donner ni offrir ce qu’il n’est pas et ce qu’il n’a pas. Cela me pousse toutefois à ne plus croire aux “raconteries”, balivernes, péroraisons et flatteries qui bercent d’illusions. L’homme est pire que l’homme…
Je n’ai pas eu de réponses enfièvrées mais un Internaute Gérard Pinot-Bach m’ a répondu dans l’exact même style qui convenait à un échange épistolaire…
– Une fois encore, ça me gêne de me poser en extraterrien, mais j’aborde le sujet, soit d’une manière holistique… soit strato-voire extrashpérique, au risque de paraître présomptueux… soit à l’altitude négative du Titanic… cela dépend de la fragrance du Bordeaux qui a induit ma gueule de bois… Mais de la désillusion, mon cher Patrice, je n’en ai point. Au lycée, je ne pigeais rien, je me délectais du latin, de l’allemand, je surfais sur l’anglais, car ça me permettait d’endosser théâtralement gratos des personnalités différentes (j’étudiais aussi, for fun, l’italien, l’espagnol, le japonais, Hiragana, Katagana… m’enlisais dans le canji, le russe. J’adore écrire et dire kakaya krassivaya divoutscka (Какая красивая девушка), quand j’en vois une, mais c’est rare, l’arabe, très joli calligraphiquement, je me suis arrêté au corse et au luxembourgeois en prenant conscience qu’on prenait l’eau (de vaisselle) ! Je méprisais les mathématiques et les sciences en me disant qu’on ne pouvait rien y faire et l’Histoire, conscient qu’elle était le passé et qu’on allait s’en farcir de nouveaux épisodes qui, comme dira plus tard Coluche, n’avaient de nouveau que la date… Et j’observais le zoo humain, prolégomènes de mon appétence pour l’éthologie, branche bipèdes à binocles avec focale de 1:7 sur les étranges bestioles du sexe opposé à condition qu’elles ne se la jouent pas femme-femmes, tout dans la nuance, comme disait Verlaine, je trouvais les philosophes du programme un peu légers, à part les “papys” de la Grèce antique (on n’enseignait ni Nietzsche, ni Kant (quoique je l’avais découvert au hasard d’un (Em)manuel dont on illustrait la finalité finale par la photo de la DS au salon 1956. Ni Schopenhauer, ni évidemment mon futur voisin nazi Martin Heidegger, pas plus que sa copine juive Hannah Arendt, c’est là qu’t’entraves la cosmogonie et l’Amour, fleuve qui prend sa source dans l’Argoun). Où en étais-je et dans quel état j’erre (comme un bateau sur son..) ? La DÉSILLUSION. je ne sais pas pourquoi, N-D de la Salette ne m’avait pas choisi, je me suis rattrapé depuis avec celle des 3 Épis, mais tout de suite, je me suis senti attiré par le monde merveilleux de Kierkegaard (Le traité du désespoir), Dostoïevski, Céline évidemment, mâtiné de Vian, Jarry, en même temps (je hais ce syntagme aujourd’hui, sali par le vermisseau tarlouzé) de Rimbaud, Verlaine, Isidore Lucien Ducasse (couizze, c’est qui ?) synthétisés par Ferré, l’anar lumineux, et Prévert et Tati, pas çui du XVIII°. Bref, faut que je finisse, il est encore pas d’heure comme tous les jours que je me dis que je ne vais plus fumer, plus boire que de l’eau de Wattwiller pauvre en sodium et qui nonobstant passe sous le cimetière.. Et par un message d’espoir (?) (J’avais un bon pote, qui a plus de trente ans étudiait l’art lyrique à Budapest et dont la sœur habitait la bicoque au-dessus de chez Klimt, à Vienne, et qui lisait toujours Cioran, et comme je m’en étonnais, il me répondait : “Quand j’ai le spleen je lis Cioran et je me dis que je suis plus optimiste que lui”...(leçon à retenir)… Plus de 50 ans après je me suis remis à relire (Je l’avais annoté il y a 30 ans déjà) “Le Désespéré” de Léon Bloy, quel pied ! (Dire qu’aujourd’hui on donne le Goncourt -j’avais un moulin de 1802 à 5 kms de l’endroit où ils étaient nés, les frères éponymes, c’est hors sujet, je sais, mais ça me bourdonne, merdre- à une radasse qui écrit avec ses pieds pour exposer la mémoire unglorious de ses vulgaires et peu ragoûtants charognards vestiges d’ovaires bousculés… et qui me renvoient à des images affligeantes de décharge municipale, la chair flétrie en sus, beurk !) donc où en étais-je bis, oui la “désillusion”, écriviez-vous. Je trouve que vous maniez la litote avec une rare élégance, c’est bien pire, il y a longtemps que le panneau “trop tard” bien connu des pilotes optimistes a été dépassé. Je tire pour ce soir -ce matin- ma révérence, faut pas que je rate les cauchemars qui me restent…
C’est ça que GatsbyOnline devrait-être, des échanges d’idées, rien de commun, rien de Nitro et autres… Dernier essai à chaque fois, mes chroniques dans GatsbyOnline/Chromes&Flammes vont devoir encore surprendre par leur direction, partant en effet rapidement dans un trip de haute volée. Attention, pas de truc linéaire, le tout est encore une fois pétri comme jamais, avec un rythme parfait, en retrait, pas bourrin, mais parfaitement cadencé… Hésitant constamment entre l’explosion et la retenue timide, à l’Interlope s’enrichissant graduellement de folies, explosant de partout, je porte l’estocade finale, j’écrase les cervelets avant de laisser mes lecteurs et lectrices sur une jolie divagation aérienne. Que c’est bôôoôô de rêver à la perfection des sens ! S’affranchir des convenances enfin faudrait-il que lecteurs/lectrices s’amusent (comme moi) à en écrire… En place, c’est clé de douze, chalumeau et marteau !
Alors que les Hot-Rods et la grande puissance sont généralement synonymes, le T ’23 de Lee est plus moteur que voiture. Bénéficiant d’un petit bloc 350ci biturbocompressé performant qui dépose une puissance à peine contrôlable de 900CV sur la chaussée, il n’y a rien pour retenir cette bête. Le taux de compression du moteur n’est que de 7,5: 1, donc à 15 psi de boost, le moteur performant 350ci agit davantage comme un moteur de 700ci… Si ce potentiel de puissance n’est pas assez effrayant, ces chiffres peuvent passer au niveau suivant, car le moteur peut être alimenté en bouteille (sic !) avec une explosion injectée d’oxyde nitrique. La puissance est canalisée par une transmission automatique Turbo 400 et un pont arrière de Jaguar V12 d’un rapport de 4.10 Dana. Les freins à disque font de leur mieux pour ralentir le monstre. Il n’y a pas de freins avant pour le fun de l’esthétique…
Faut être cinglé pour apprécier ! J’adore ! Ce Hot-Rod T’Bucket n’est pas seulement un chef-d’œuvre de puissance de force brute, mais c’est également une œuvre d’art en sa multitude de pièces uniques en aluminium poli et en laiton, et au refroidisseur de transmission monté à l’avant qui est peint pour ressembler à la plaque d’immatriculation californienne réelle. Le châssis de ce flyer flexible ne pèse qu’un peu plus qu’une croustille. À l’avant, il est habillé d’épingles à cheveux et de jantes Radir réservées à la course. (Mais pas de freins, conformément au dicton du vieux rodder : “Vous savez d’abord comment aller vite, puis vous vous inquiétez de vous arrêter”.). À l’arrière, le pont Jaguar V12 est amorti par des TCI et habillé d’un couvercle Quick-Change de Mr. Roadster.
Vous ne pouvez pas négliger le potentiel de puissance du Chevy Small bloc de Banks Power hérissé d’une paire de turbos jumeaux. Est-ce que ce gars est fou ou quoi? -Oui, c’est une folie, admet Sklar. Mais il n’a jamais suivi un cours conventionnel dans la vie, ayant réussi à la gagner en tant que musicien de session jouant de la basse pour Phil Collins, Jackson Browne, James Taylor, Clint Black et de nombreuses autres célébrités musicales. Au dernier décompte, il a tracé des pistes sur des centaines d’albums. Mais qu’en est-il de son T ? Eh bien, il remporte des trophées en affichant un sourire sournois à travers sa barbe touffue. On pourrait penser que c’est Raspoutine qui fait le spectacle quoique les énormes Mickey Thompson Sportsman demandent un peu de finesse sur la pédale. Pour garder ce moteur chaud au frais, un radiateur en laiton poli de Darold Wellbaum, fait l’affaire…
Un refroidisseur d’huile y aide, intelligemment peint pour ressembler à une plaque d’immatriculation. Lee a également encastré le pare-feu et découpé la porte passager dans la baignoire en fibre de verre de ce Rod repro ’23 T. Auparavant, le V8 Chevrolet ’78 355ci de Sklar était armé d’un compresseur 6-71 surmonté de quatre carbus DCOE 45 Weber. Banks Power a modernisé ce broyeur pour le T avec un allumage Unilite et un Accel EFI. Même avec le réglage informatisé, vous ne pouvez pas repérer l’électronique tout de suite, car le voyant du moteur de contrôle et le port de l’ordinateur portable sont cachés sous le siège en peluche.
Il nous en cause Lee :
-Je voulais toujours garder ce look d’antan, explique Sklar : J’ai dû cacher tous les fils pour créer l’apparence d’un moteur à carburateur. Banks a fabriqué et acheminé toutes les conduites en acier inoxydable et la plomberie pour le carburant, les freins, le boost et le réservoir de nitrous Oxyde. Pour gérer le volume d’air supplémentaire de la paire de turbo, un train de soupapes Comp-Coms dispose d’une large séparation des lobes et d’une meulage spécial Banks sur le bumpstick qui ferme l’admission le plus tard possible, avec très peu de chevauchement. Les élévateurs à purge rapide Rhodes assurent un ralenti en douceur sur le moteur, mais le font monter en régime et la pression d’huile dépasse le taux de purge pour un calage variable des cames. Donc, quand vous piétinez dessus, faites attention. Pour quiconque le drive, faut pas leur prêter d’argent…
Banks Power est connu pour sa large gamme d’améliorations de performances, allant des muscle-cars aux Hot-Rod’s dépassant les 220 mph, la configuration du turbo est beaucoup plus praticable en rue et les caractéristiques de ralenti sont de loin supérieures. Franchement, avec ces avantages et l’économie de carburant substantielle gagnée, une configuration turbo serait parfaite pour n’importe quel Hot-Rod. Les Hot-Rodders traditionnels peuvent cependant souligner que les turbocompresseurs créent une contre-pression d’échappement, ce qui augmente la perte de pompage sur la course d’échappement. Ce n’est pas le cas si le système est soigneusement conçu avec seulement une restriction d’échappement mineure pour les deux turbos, de sorte que la pression de suralimentation dépasse toujours la contre-pression du système d’échappement.
En termes simples, en termes de performances, un bon V8 350ci biturbo fera tourner le moteur à l’envers. Les moteurs plus gros ajoutent de la puissance, mais la suralimentation de moteurs plus gros fait vraiment le travail. Heureusement, il y a plus de bonnes nouvelles associées à la turbocompression d’un petit bloc Chevrolet V8, et presque tout se résume à la durabilité. L’industrie de la performance offrant une variété de blocs-cylindres à haute résistance ! En outre, une Chevrolet à petit bloc utilise cinq boulons de tête (ou goujons) entourant chaque cylindre pour aider à sécuriser les joints de culasse. Et bien sûr, le marché des pièces de rechange dispose également d’une variété de joints de tête haut de gamme. Ensuite, il existe d’autres pièces robustes facilement disponibles, telles que des vilebrequins forgés, des bielles forgées, des pistons forgés, des broches de piston spéciales et des bagues et roulements.
Bien sûr, le petit bloc Chevrolet V8 bénéficie également d’une grande variété de culasses haute performance, de collecteurs d’admission et de pièces de train de soupapes. En termes simples, presque tout ce qui améliore le flux d’air sur un moteur à aspiration normale améliorera également le débit total sur un moteur turbocompressé. La prochaine bonne nouvelle est que les pièces de transmission extrêmes sont facilement disponibles pour les moteurs V8. Cela comprend les embrayages, les transmissions, les joints en U, les différentiels et les essieux. La plupart de cela a été développé pour les courses de dragsters ou les courses sur piste circulaire. Une telle résistance et durabilité est importante lorsqu’il s’agit d’une puissance réelle. Par exemple, un V8 350ci fonctionnant à 20 psi boost est capable d’environ 900 lb/pi de couple. Bien sûr, vous n’avez pas besoin d’aller aussi loin.
Eh bien, dans le cas de Sklar, on ne sait jamais avec certitude. Même s’il joue de la musique pour gagner sa vie, il admet fièrement qu’il est avant tout un Hot-Rodder. Au fil des ans, il a possédé : Lincoln Zephyr’37 et ’39 Hudson, ’39 LaSalle, ’50 Coupe de Ville et ’38 Ford panel, parmi beaucoup d’autres. Donc, pendant qu’il dépose quelques lèches pour gagner sa vie, c’est tout pour déposer ces lèches dans la rue… Dans ma tête, il est incontestable, le chef d’œuvre du jour, fait table rase. C’est complètement barré, hystérique, hallucinant, qui détruit la colonne vertébrale sous l’ultra violence de sa mécanique qui flingue, arrache la gueule, donnant envie de chialer. Mais ce mec a décidé de pousser le vice comme jamais ! Alors ça tape de manière indescriptible, littéralement, il m’a retourné le cerveau et parasité tous mes trajets, mes longues marches…
Également mes soirées sexe avec deux trois nananas glissant dans un bordel typé hype pour être hype, mais trop bon pour être ignoré. Et ce n’est pas surprenant, quoique pourtant trop explicite comparativement à la tristesse, la solitude, la misère humaine, toutes qui violent le moral. Scriiiitchhhfizzzzz brambram Prrrrffffffcrrrr yeah yeah krrrrrrraaaaa ccccchhhhhhkrrrriiii. Au départ, c’est un peu ça. Du boucan bien bordélique, avec des voix dedans. C’est immense, j’ai tout de suite compris que cela allait voler mon âme, dépressive à me filer les larmes aux yeux. Incarnation parfaite de ce que je recherche avidement… Je reviens, je vais m’arracher les cheveux.
2 commentaires
Mon cher Gatsby,
En découvrant cette auto j’ai immédiatement pensé à votre Hot Rod C Cab Novel T, malgré votre joie toute enfantine, vous faites référence !
J’aime les Hot-Rod’T’Bucket… En plus, celui-là m’a spermétez-moi d’écrire différement!
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