1924 Ford T-Bucket V8 Blower
La quintessence du politiquement incorrect est une formule émergente symbolisant la liberté de parole et de ses actes ainsi que la transgression des normes imposées par le politiquement correct qui gagne en popularité dans les sociétés démocratiques, brisant les tabous et les normes imposées, revendiquant la liberté de pensée et d’expression sans limitations… Cette notion incarne une audace à agir et dire/publier des vérités mêmes peu attrayantes, sans les atténuer, contrairement aux contraintes du politiquement correct. La réaction de la société au politiquement incorrect est complexe et varie en fonction du contexte culturel, social et individuel, mais suscite souvent des débats passionnés… GatsbyOnline/ChromesFlammes est politiquement incorrect…
Certains considèrent qu’il est essentiel pour la liberté d’expression et la remise en question des normes établies. D’autres le voient comme une menace. Certaines personnes applaudissent la transgression des tabous, tandis que d’autres condamnent l’insensibilité et l’offense. La société évolue constamment, et les normes changent avec elle. Ce qui était autrefois politiquement incorrect peut devenir acceptable, et vice versa. Les mouvements sociaux et les débats publics influencent ces évolutions. Les réseaux sociaux ont amplifié les réactions au politiquement incorrect. Les commentaires controversés se propagent rapidement, entraînant parfois des conséquences personnelles et professionnelles pour leurs auteurs.
Sensibiliser les gens aux conséquences de leurs mots et actions peut favoriser une réflexion plus nuancée. En fin de compte, la réaction de la société au politiquement incorrect est un mélange de tolérance, de colère, de compréhension et de changement. En automobile, les Hot-Rods sont politiquement incorrects. Ces voitures personnalisées, avec leurs moteurs puissants, leurs modifications audacieuses et leur esthétique rebelle, défient les conventions et les normes établies. Elles incarnent une forme de liberté et d’individualisme, mais elles peuvent également être perçues comme bruyantes, polluantes et dangereuses. Toutefois, leur popularité persiste, malgré (ou peut-être à cause de) leur statut controversé.
La culture des Hot-Rods a une histoire riche et variée dont la perception varie selon les contextes culturels et individuels. Voici un aperçu de la façon dont les Hot-Rods sont perçus dans différentes cultures : Aux États-Unis, les Hot-Rods sont profondément enracinés dans la culture automobile. Ils sont considérés comme des symboles de liberté, d’individualisme et de créativité. Les Hot-Rods y ont évolué à partir de la fin des années 1940, lorsque des passionnés ont commencé à modifier leurs voitures pour les faire courir sur les lits de lac asséchés en Californie. Les premiers Hot-Rods étaient souvent des Ford Model T, Model A et Model B modifiées. Après la Seconde Guerre mondiale, le mouvement a pris de l’ampleur, attirant des hommes revenant du service militaire…
Ils avaient l’envie d’améliorer leurs voitures pour s’amuser. Dans les années’60, les Hot-Rods ont évolué vers les Street -Rods, conçus pour être conduits sur de plus longues distances plutôt que pour des courses quart de mile. Cette scène englobe une grande partie de la culture des Hot-Rods actuels. En Europe, les Hot-Rods sont souvent perçus comme exotiques et emblématiques de l’Amérique. Ils sont associés à la culture américaine, aux films hollywoodiens et à la musique rock. Certains pays européens ont leurs propres scènes de Hot-Rods qui ont été créées et mises en avant par Chromes&Flammes. Le Japon a une passion pour les voitures personnalisées. Les Japonais ont adapté le style Hot-Rod à leur propre esthétique, créant des machines uniques et très détaillées.
L’Australie a une scène de Hot-Rods dynamique, avec des événements, des clubs et des rassemblements fréquents. Les Australiens apprécient la créativité et l’ingéniosité des Hot-Rods, ainsi que leur capacité à repousser les limites. En somme, la perception des Hot-Rods varie, mais ils continuent d’incarner la passion, la liberté et l’expression individuelle à travers le monde… “La vie est comme un livre. Certains chapitres sont tristes, d’autres joyeux. Mais si vous ne tournez jamais la page, vous ne saurez jamais ce que le prochain chapitre vous réserve”... Pour les amateurs d’automobiles puissantes, les années 1960 ont été un moment fort pour les passionnés. En 1964, “les quatre grands constructeurs automobiles” se sont retrouvés mêlés à une bataille pour le marché des jeunes…
En effet, lorsque Ford a lancé sa nouvelle voiture “sportive”, la Mustang, cette voiture a créé des records en vendant plus de 400.000 exemplaires au cours de sa première année et un million d’exemplaires pour la fin de la deuxième année. Les autres constructeurs automobiles se sont donc précipités pour rattraper leur retard… et, en conséquence, les constructions de Hot-Rods ont diminué. La Mustang, responsable de la création d’un nouveau genre de berlines sportives, est donc responsable de la plongée des réalisations de Hot-Rods d’autant plus que passant de la petite Mustang originale à moteur six cylindres aux supercars à peine homologuées pour la route, propulsées par un V8 et déchiquetant les pneus. Ford a ensuite eu le marché à lui tout seul…
Cela n’a duré qu’une courte période, la réponse de General Motors a créé une concurrence sérieuse lorsque sa Chevrolet Camaro a été dévoilée en 1966. Malgré un “gentleman’s agrement” entre les grands constructeurs automobiles pour rester à l’écart du sport automobile, le directeur des ventes de Ford, Lee Iacocca, a compris la valeur de la publicité auprès d’un public plus jeune et a lancé un programme visant à transformer la Mustang en voiture de course. GM n’a eu d’autre choix que de suivre son exemple, ce qui a conduit à la création de la Camaro Z28, une version équipée d’un moteur V8 de 5L7 (350ci) adapté à une utilisation dans la très populaire et compétitive série de courses Trans-Am. Peu de temps en suite, les Big Bloc ont déferlé…
Cela a finalement relancé les Hot-Rods qui récupéraient toute la manne de ces nouveaux V8 hyper puissants auxquels étaient ajoutés des compresseurs… Ce Hot-Rod est ainsi né… Ce que peu de gens mentionnent, c’est à quel point un antique Hot-Rod T’Buckett avec un V8 équipé d’un Blower peut être Hyper-Fun et agréable à conduire tout en étant politiquement incorrect… Le conduire, c’est vivre une expérience inédite qui parvient à snober un propriétaire de Supercar. Quelques heures au volant et une poignée de routes sinueuses aboutissent au nirvana automobile du plus haut degré. C’est le mélange parfait de la folie et du politiquement incorrect, sans feedback analogique et sans subtilités technologiques modernes, le tout dans un look démentiel…
Il ne fait toutefois qu’écarquiller les yeux et s’ouvrir les bouches (surtout les grandes gueules)… L’habitacle de ce Hot-Rod T’Buckett est simplissime. Il y a une quantité surprenante d’espace dans toutes les directions sauf celles utiles à la conduite… et c’est bien plus qu’une sensation de légèreté qui domine, mais l’impression d’un “Zéro-Gravité” grâce à l’abondance de vide, ce qui offre une visibilité rafraîchissante vers l’extérieur. Chaque commande est facile à atteindre si vous savez ou elles se cachent et vous n’avez pas besoin de vous contorsionner plus que si vous enfourchiez un tracteur pour monter et descendre de l’inconfortable banquette, à votre charge d’y faire monter une beauté sexuelle destinée à rendre jaloux la totalité des spectateurs…
C’est ici que vous réalisez à quel point ce Hot-Rod T’Buckkett peut être Fun et Politiquement incorrect. La direction est pleine de sensations sans aucune précision, il n’y a pas de climatisation, les amortisseurs sont inréglables, la boîte automatique est commandée par une magnifique affaire à long col, résistante si vous hésitez avec les mouvements de votre poignet. Sur la route, ce Hot-Rod T’Buckett est pratiquement irréprochable. La position assise/accroupie est parfaite et la direction est parmi les meilleures de tous les tracteurs à barres de renvois que j’ai jamais ressenties dans un engin agricole. Ce n’est pas aussi rapide qu’une Ferrari actuelle, mais les très fines jantes avant à rayons vous indiquent approximativement où pointent les roues.
L’accélérateur est aussi facile à moduler que n’importe quelle voiture neuve et la suspension est incontrôlable et archaïque. Mieux encore, le fait qu’il n’y a pas de climatisation ne signifie pas que vous fondrez après quelques minutes au soleil, car tout est ouvert. C’est une expérience extrêmement saisissante. La même chose peut être dite pour le moteur, au moins sur un aspect. Le V8 5L7 350ci peut être excusé pour tous ses défauts liés à la fiabilité uniquement en raison du son qu’il produit en cause du compresseur… C’est diabolique et stupéfie le public pré-effaré…. Le bruit d’échappement est un véritable vacarme apocalyptique qui vous pose en tant que Saigneur. Mais l’entendre de la banquette est une expérience totalement différente.
Le moteur sonne beaucoup plus guttural depuis l’extérieur, presque comme si l’échappement avait été réglé pour produire un son digne de l’explosion d’un char en Ukraine. À bas régime, le moteur est presque contrarié, comme s’il était en colère contre vous parce que vous n’exploitiez pas tout son potentiel. Bien sûr, vous pouvez rouler en ville à moins de 3.000 tours, mais l’ensemble de la transmission est beaucoup plus contenu lorsqu’il est poussé à la ligne rouge. Ce n’est pas que du théâtre non plus. Le moteur développe 800 chevaux, suffisamment pour que ce Hot-Rod se sente légitimement rapide. J’ai réussi à réaliser un temps de 0 à 1OOkm/h en seulement 4,5 secondes. Passer du temps à son volant invite à des notions dangereuses …
“Wow, j’adorerais le posséder” pensez-vous peut-être… À moins que votre compte bancaire ne soit rempli à ras-bord dont vous vous sépareriez volontiers encore et encore, je vous déconseille cela. En retenant tout autre problème détecté par un technicien, l’usage vous coûtera surement trop… Et rassurez-vous, d’autres problèmes seront découverts. En plus de la tendance à tomber en panne d’essence, il est difficile de trouver un réparateur de V8 à compresseur en France… Les guides de soupape en bronze doivent être remplacés fréquemment pour éviter des dommages. Ensuite, il y a les collecteurs d’échappement qui se fissurent et les pneus arrière ne durent généralement qu’environ 500kms si vous aimez les burnout’s…
Ce Hot-Rod est donc l’expérience unique parfaite si vous en avez les moyens, car c’est le Hot-Rod ultime. Il coche toutes les cases : look exotique, sons sauvages, maniabilité inexistante, direction approximative et freinage aléatoire. C’est presque ce même tout ce que vous pourriez rêver de ressentir au volant d’une Ferrari. Mais bien plus que n’importe quel exotique à prix similaire, il y a le prix à payer pour en mettre un homologué sur route en Franchouille. Nous vous suggérons de vous abonner à www.ChromesFlammes.com… et faire un tour chez un ami riche au lieu d’en acheter un, à moins que vous ne souhaitiez consacrer une bonne partie de la valeur du Hot-Rod à l’entretien toutes les quelques années. Tel est le prix à payer.
TECH : V8 350ci Chevrolet engine with 650 blower / Automatic transmission / Burgundy with Gray leather interior / 4,642 miles since completion / Brass steering wheel and radiator / Chrome suspension including rear axle housing / Estimated over $75,000 invested in build / Chrome wire wheels in front / Polished aluminum wheels in back /Soft top