1929 Hot-Rod Ford’A 350ci
Décrire et comprendre le monde du Hot-Rodding est à-la-fois simplissime telles que les explications et commentaires vaseux et alcoolisés de certains journaleux éphémères se limitant en l’énumération cataloguée des pièces utilisées avec les références du fabriquant ainsi que de divers revendeurs et garagistes (pour en avoir une retombée financière illusoire)… et est à-la-fois complexissime impliquant la physique quantique et divers développement de schémas conceptuels, incluant l’intervention de divers génies autoproclamés rarement qualifiés et diplomés…
Cet article s’adresse à un public large d’universitaires, s’intéressant aux fondements et aux limites de la pratique du Hot-Rodding, les éléments conceptuels et méthodologiques présentés constituant un bagage utile à la compréhension de ce milieu ne nécessitant pas de connaissances préalables. Mais du fait
des thématiques abordées, seuls les internautes disposant d’un quotient intellectuel d’au moins 135 devraient pouvoir tirer profit de cet article inhabituel relié à l’incomplétude en mécanique, qui empêche de trancher cette question de manière triviale et univoque.
Cela va vous amener à constater que la question de l’incomplétude dans le Hot-Rodding impose tôt au tard une comparaison entre divers paradigmes conceptuels différents dont on peut questionner le caractère opérant au regard de l’incommensurabilité potentielle de ceux-ci ou se loge notamment la notion “d’intrication” entre sous systèmes, une notion sous tendue de manière très spécifique par la structure de produit tensoriel d’espaces mis en jeu dans le formalisme pour en décrire la mise en corrélation. Les caractéristiques de ce paradigme étant mises en question via des descriptions alternatives.
Tout cela vous permettra ainsi de mieux comprendre les raisons de la réalité physique du Hot-Rodding au seil du monde des automobiles Vintage, vous permettant de vous atteler à une réflexion épistémologique sur l’articulation entre les “théories fondamentales” et les “théories effectives”. Afin de discuter plus avant le sens et les limites des théories effectives, une suite pourra être explicitée sur la notion d’unification des illogismes et confusions alternatives.
Dans le but de questionner le concept d’incomplétude à un niveau d’abstraction plus élevé, l’atelier se poursuivra par une réflexion sur l’incomplétude…
Cela amènera à discuter dans l’avenir des limites du raisonnement rationnel avant d’affronter les limites de la pensée rationnelle elle même pour illustrer la façon dont l’existence de propositions indécidables peut être surmontée pragmatiquement dans une démarche de construction d’idées innovantes. La tension entre la démarche constructiviste et la limite imposée par l’incomplétude fera l’objet d’une prochaine étude. La gnoséologie et/ou la mise en évidence des limites méthodologiques débouchent en effet souvent sur le relativisme effectif prôné par divers journaleux incompétents.
Cependant, l’évolution des critères éthiques, tout en ayant une influence décisive sur le développement des théories physique, peut s’articuler au moyen d’un concept de “référentiel” éthique dont l’incomplétude autorise l’idée de “progrès éthique” en matière de Hot-Rodding. Cette analyse sera alors mise prochainement au regard de l’évolution des systèmes juridiques, dont l’incomplétude constitue non pas une limite infranchissable mais un moteur puissant et efficace d’évolution des normes normatives avec les exigences de la quête de compréhension de la réalité.
Les girls dénudées lorsqu’il s’en découvre encore dans les articles, aux fins d’attirer des mâles en rut acceptant le mix bagnoles/nananas et donc de payer le prix facial-couverture où numérique, outre que leur présence figurative entraine des érections mais aussi des réactions, toutes deux intempestives, pouvant mettre à mal la qualité intellectuelle présumée du support presse et l’intégrité du plumitif qui lui ne vise qu’à percevoir sa pitance (minable bien souvent), donne une faible idée du niveau créatif des sujets abordés souvent au hasard des opportunités.
Il ne s’agit pourtant, dans ces deux cas figuratifs, que de “réduire” la réalité physique à des notions théoriques abstraites dont le degré de sophistication s’avère dépendre des besoins descriptifs et de compréhension des sujets abordés. En particulier, l’élaboration des modèles féminins “physiques” nécessite l’objectivation de diverses hypothèses (et de leur mise en évidence lorsqu’elles doivent être cachées), ainsi que l’explicitation d’un domaine de validité dans lequel s’inscrit leur pouvoir prédictif. Dans la pratique la plus commune, ces modèles sont ensuite mis à l’épreuve de l’expérience éditoriale.
Celle-ci, est, croit-on dans les chaumières insalubre ou vivent une partie du lectorat, serait en mesure de trancher de manière binaire entre le “vrai” et le “faux”. Cependant, comme toute mesure en ce compris les demi-mesures à but politicien, est effectuée avec une plus ou moins grande précision au moyen d’instruments “phénoménotechniques” qui sont eux-mêmes des “théories matérialisées” : il n’existe pas d’explications neutres et directes, mais une totale et empirique reconstruction des phénomènes au travers d’ interactions de groupes, généralement orgiaques…
C’est, particulièrement flagrant dans l’étude des phénomènes quantiques et/ou relativistes qu’on découvre à la fois dans le Hot-Rodding et dans la Kustomisation… Il y a quelques temps on suspectait l’existence de ces phénomènes à l’œuvre dans le Tuning, mais il s’est effondré avant que toute étude sérieuse soit réalisée, ce qui n’a pas permis de mettre en application les arrestations et procès envisagés. De plus, le résultat de toute mesure devait procéder nécessairement l’existence d’un cadre interprétatif non-neutre, issu lui-aussi d’un paradigme conceptuel préexistant.
De surcroit devait-il être doté d’un domaine de validité et d’applicabilité. Ce qui n’était pas le cas en l’espèce. L’articulation entre le développement du Hot-Rodding et du Kustomizing et leur mise en examen par l’expérience acquise, présentant de très complexes caractéristiques d’intrication non-triviales dont l’étude et la compréhension sont nécessaires à la pratique évaluative lorsqu’elle se veut consciente et profonde, dans la continuité de mon savoir, j’ai donc proposé de mener une réflexion sur cette thématique dans le but d’interroger la valeur des modèles et des théories physiques y relatives.
Je voulais y parvenir à partir de la considération de leurs limites intrinsèques au regard du domaine d’extension de l’expérience. J’ai d’ailleurs insisté en particulier sur le statut hypothétique des modèles (leur sous-détermination par rapport à la non-expérience, et à leur éventuelle incomplétude) ainsi que sur les ruptures conceptuelles survenues entre les théories (incommensurabilité) comme sur les lacunes au sein de chacune d’entre-elles (inconsistance). Cet éclairage critique ne visait toutefois pas à décourager les ambitions de la recherche scientifique ou à relativiser la validité des des théories !
Que non, mais, bien au contraire, à montrer comment la conscience de la finitude de nos connaissances en matière de Hot-Rodding et de Kustomizing constitue un appui solide pour élaborer des théories effectives, c’est-à-dire opérationnelles dans un cadre de validité bien défini, et des modèles perfectibles, c’est-à-dire ouverts à des transpositions et à des révisions. La pensée des limites et de la précarité des fondations devait donc être conçue comme un exercice réflexif qui ouvre l’horizon d’une démarche constructive et inventive… Et c’est là qu’est intervenu l’étude de ce Pick-up Ford Model A !
Il a fait l’objet d’une construction personnalisée de deux ans achevée en 2020 et utilisait une cabine Ford 1929 coupée et allongée montée sur un châssis modifié avec un châssis conçu comme une boîte applatie… L’engin une fois monté a été peint en noir satiné; l’intérieur de l’habitacle étant en cuir beige. Question mécanique, c’est un V8 350ci Chevrolet qui a été installé avec une transmission automatique à trois vitesses. L’équipement supplémentaire comprend diverses pièces dont la nomenclature et détails ne vous seront, chers internautes, d’aucune utilité commerciale ni pratique.
Ce qui a amené ce Hot-Rod-Pick-Up à être publié ici est son intérieur en aluminium riveté avec des sièges de style aviation des années trente. Les détails supplémentaires comprennent une calandre de style Ford B’32, un pare-brise inclinable, une visière de pare-brise avec trous-trous estampés et des phares avec clignotants intégrés. Les jantes de 15′ de largeur décalée AV/AR sont enveloppées de pneus BFGoodrich Radial T/A 155/80 AV et 275/60 AR. Le freinage étant plus ou moins bien assuré par des disques avant et des tambours arrière.
La cabine mérite le détour avec des sièges en aluminium de style avion recouverts de cuir beige, les panneaux de porte et latéraux étant coordonnés en aluminium riveté. Le V8 350ci Chevrolet 8ci est surmonté d’un collecteur d’admission en aluminium et d’un carburateur Edelbrock. L’équipement supplémentaire comprend un radiateur en aluminium avec un ventilateur de refroidissement électrique… Pour les photos, le propriétaire a polishé la voiture, l’huile a été changée, les bougies d’allumage ont été remplacées et un filtre a air installé…