1930 Ford’A Hot Rod Supercharged 350ci V-8
Déboulant du fond de l’horizon, arrive avec furie un Hot Rod crachant des flammes, dans un bruit apocalyptique comme seule l’éruption d’un volcan peut provoquer, tout cela au milieu de clameurs, de bruits, de cris… Une beauté suave, genre sauvageonne, en sort, éructant des insanités au milieu de la tempête qu’elle a provoqué. Sa coiffure rousse-pute tirebouchonne dessous son chapeau, son rimmel, son vert à z’œils, son ocre à pommettes, son rose à joues, son violet à lèvres dégoulinent comme sur un masque de cire en train de fondre. Ahhhhhh ! Ce qu’il me faut assister dans cette vie. J’hurle, mélange, torture les plus faibles et offre leurs restes aux griffes des plus forts, tonne de la voix, exhorte, dis les vertus du politiquement incorrect, questionne sur les causes des conflits, les accentue de toutes mes forces, mobilisant toutes les amoralités, donnant acte de mon antipathie ! Et un tant-bien-que-mal de calme s’établit.
Chacun halète pour soi, se rajustant, s’épongeant, maugréant des commentaires incompréhensibles enrobés de borborygmes. Et puis, l’explication a lieu, dans un grand fourbi d’entre-coupages, l’un voulant causer plus fort que l’autre… Si bien que j’en appelle formellement à un témoignage dont la neutralité impartiale serait réceptrice de vérités mensongères… Nous vivons les temps du négligé, où la cravate fait honte à l’homme et où une robe habillée donne à celle qui la porte l’impression d’être en deuil à la cour d’Angleterre, c’est l’ultime élégance de notre époque. Il suffit d’exagérer. C’est ce qui donne “le style Français” depuis la cérémonie de clôture des jeux olympiques de Paris 2024, ou les déglingué(e)s clamaient d’une même voix rauque la même moche chanson, affublé(e)s d’oripeaux, ces “gueusailles” parvenant quelquefois à se hiérarchiser en exagérant leurs extravagances et le volume de leurs couilles…
Quelle engeance ! Surtout qu’est compris le fait de s’afficher transgenre les couilles pendouillantes comme les battants des cloches de Notre-Dame… Là-dessus, la sauvageonne qui en est un, se dresse, et son “je ne sais quoi” fait de même à l’horizontale plutôt que de disparaître sous sa jupe, au vif regret de la populace, en transe. Mais, tel que démarre tout ce bordel, les relations ne sont que des télescopages au-delà de tout ce qu’on pourrait imaginer déconner… J’ai obtenu des antagonistes l’explication de leur corrida. Simple comme la vie… Mais quasi impubliable, ça se réduit à reluire les putes et brûler l’essence qu’on paye au prix du caviar, que bientôt, on aura intérêt à trouver des V8 fonctionnant aux parfums Dior ou Guerlain. C’est sauvage, les mâles, quand l’honneur les prend. Heureusement que l’honneur est en voie de disparition…
Oui, car sinon, avec la pléthore d’individus sur le globe, ça serait la lâcheté accompagnée de veuleries pour calmer les plaies d’amour-propre. Et la rasade est générale. Le ou la pute m’ a planté sec, sans autre forme de procédés, entraînant sa conquête au pas de charge. Trop de sérieux, trop de self-control, de tartufferies et autres vicieuses bricoles accumulées ; trop de mauvaises fréquentations dans les labyrinthes du pouvoir qui est usé par des années d’arnaques et sodomisations Elyséennes en tout genre. Elle semble niaise, mais doit être salope. Et exiger quoi d’autre, en pareil cas ? Un doctorat en lettres ? Des citations proustiennes ? Des considérations élevées sur l’hypertrophie de la vessie masculine ? Un cours de morale ? Un moment de vif plaisir quasi professoral. Tringlette expresse forcément réciproque, mais bien venue, équilibrée, un brin ardente, même… Coït de camping, j’admets, mais capiteux…
Bon pied, bon œil. La bourrache saine, nette et précise, sans faux lyrisme ni autres dégueulasseries. Quelques beaux allers-retours vrillés qui les font geindre de plaisir, une arc-boutée pré-finale, et c’est l’embellie ponctuée d’une ruade, le coignage apothéotique incomparable avec emplâtrage taurin. Pas bégueule, elle a remarqué que les cons rigolent toujours quand ils viennent de jouir, un peu comme si ça leur faisait honte et qu’ils jouent les esprits forts. Ah que non ! Pas de scandale ! Silence ! L’honneur avant tout. Sa Majesté, toujours efforcée au calme, garde son self. Pas de panique! C’est dans le froid de la raison qu’on puise les ressources salvatrices. Les sujets ne manquent pas ! L’existence,, ça ressemble à une tartine de merde dont on bouffe une bouchée chaque jour. Je jouis en y pensant C’est trop longtemps que je n’ai plus enfilé de chinoiseries, ni de mongoles, comme Gengis Khan savait le faire…
L’Extrême-Orient, , tous comptes faits, merci bien, c’est source de chieries et toutim ! Je ne baiserai jamais plus à gauche que l’Italie. L’Ukraine, à la rigueur, dans un grand concert copulatoire sur un piano à queue, comme Zeelinski qui est franc du collier, large du cul comme une porte cochère. Praticable comme un pot de vaseline. Rien de comparable à ces obscures extrêmes orientales, tout en pas de vis et recoins confus, cent mille courbettes et des trémolos. Homme de tempérament pugnace, il va pas se laisser carboniser une affaire de cette importance sur le piano vedette qui l’a fait connaitre, par un p’tit Macro-branleur avec ses pleurnicheries incessantes… Ou en suis-je là et las de ces cochonneries ? Nulle-part !Il me faut en venir avant d’en finir… Donc j’y vais… Je discoure… Toute automobile que vous découvrez illustrée dans ChromesFlammes et/où GatsbyOnline, vieillit avec le temps qui ne fait que passer.
A peine né on commence à mourir. Je suis dans le lot… (pas le département du Lot, puisque j’ai migré à Saint-Tropez, situé dans le Var… Pfffff ! Ca commence bien !),… Ayant dépassé le mitan de l’année de mes 75 ans et étant dans le quart restant qui est rarement dépassé sauf par les centenaires, je suis donc dans le lot (tout en étant dans le Var), devant considérer que mes chances de survie s’amenuisent et il m’est apparu (c’est un signe de l’au-delà) que, comme on n’est correctement servi que par soi-même, je devais m’atteler à ma nécrologie… Mais quoi en écrire d’autre que les 4.500 articles qui forment ce website ??? Il est toutefois d’évidence que ce serait un moyen d’attirer les populations en pleurs, à venir lire ma nécro et tout le teste, l’accès étant défini payant ce qui devrait satisfaire mon héritage ainsi suralimenté dans ma dernière course…
Cela m’apparait toutefois pathétiquement-rentable, suscitant le regret que ne mourant qu’une fois c’est in-répétable, quoique divers artifices sont possibles telle une disparition avec demande de rançon, ou mieux encore, une mort avec résurrection (c’est le socle des religions). Oui… Parce qu’écrire mes mémoires, c’est éculé, et je n’en verrai rien passer une fois décédé, ce qui est parfois préférable si personne ne les achète… Ce qui m’amène à les tapoter de mon encore vivant… Mais quoi raconter qui chromes et (en)flammes les foules hébétées et éberluées, quoique certains/certaines seront en joie plus qu’en malheur du style : “L’est crevé le vieux con d’emmerdeur”... Rien à espérer de mes anciennes amantes et amoures, elles-mêmes craquelées de partouzes devenues hypothétiques… Quant à mes ami(e)s, les congratulations s’effectueront avec ma chère ex-épouse et notre fille qui n’ont jamais (ou presque) lu mes articles.
Elles sont heureuses de ne donc tourner que l’ultime page… Voilà qui est bien fait… J’ai ai gardé quatre sous la table, que je ne nommerai pas pour éviter la rancœur des autres oublié(e)s espérant percevoir une part d’héritage… Quand j’avais une douzaine d’années, je disais à ses parents que j’allais devenir Bob Morane et que j’allais remplir des cahiers de mes aventures pour en réaliser des livres tels les “Marabout” au format “Poche” que je dévorais aux temps libres de mes études. Dix ans plus tard, devenu architecte et éditeur d’un mag d’architecture “Home”, j’étais simultanément devenu une sorte de gourou-local des automobiles politiquement-incorrectes, Morgan, Mustang Boss 302, Shelby GT350 cabrio, Morgan, Panther J72 et DeVille, Excalibur et autres folies, l’une poussant/remplaçant l’autre, comme Kyle MacDonald qui s’est rendu célèbre dans le troc.
Vous voulez en plus connaître ? Il est parvenu, par une série de trocs à partir d’un trombone rouge, à obtenir une maison dans la ville de Kipling en Saskatchewan. Kyle a commencé par échanger son trombone contre un stylo en forme de poisson, lui-même échangé contre un bouton de porte sculpté, lui-même troqué contre un réchaud, suivi d’un générateur électrique. Le générateur est ensuite échangé contre une pompe à bière, puis une motoneige, une camionnette, un contrat avec une maison de disques pour enregistrer une maquette, un an de location gratuite à Phoenix… Au fil des échanges, les médias s’intéressent à son pari un peu fou et une communauté de fans s’établit autour de Kyle. Il échange ensuite l’année de location contre un après-midi avec son idole Alice Cooper, après-midi qu’il troque contre une boule à neige. Les fans ne comprennent pas ce choix, qu’ils jugent régressif.
Pourtant, quelque temps après, l’acteur américain Corbin Bernsen, grand collectionneur de boule à neige, le contacte et lui propose d’échanger la boule à neige contre un rôle dans son prochain film. Début juillet 2006, donc dans le délai que Kyle s’était imposé, la ville de Kipling échange ce petit rôle contre une maison, où s’installe Kyle peu de temps après. Chaque échange s’est fait dans une ville différente ; ce pari l’a beaucoup fait voyager, et l’a amené à rencontrer des gens avec qui il a beaucoup partagé. En troquant avec Alice Cooper contre une boule à neige, Kyle voulait montrer que ce n’était pas la valeur matérielle de l’objet qui comptait, mais la valeur subjective et sentimentale qu’on pouvait lui apporter. La preuve en fut donnée avec Corbin Bernsen, qui attachait énormément d’importance à posséder tous les types de boule à neige…
Tout ce cheminement c’était être revenu aux bases du commerce : le troc, fondé sur le véritable échange, la communication, le dialogue et l’attachement. Kyle MacDonald est entré dans le Livre Guinness des records 2008, dans la catégorie “Most successful Internet trade”. Son histoire a inspiré de nombreuses personnes qui se sont à leur tour lancées dans le jeu du troc. La plupart ont échoué, se heurtant aux difficultés de l’exercice. Inspirée par ces folies, l’Américaine Demi Skipper, a dans le cadre de son projet “TradeMeProject” troqué en 28 échanges une épingle à cheveux contre une maison à Clarksville, dans le Tennessee. Son projet a duré 18 mois… Tout est donc possible pour qui ose. Chromes&Flammes vient de cette même veine, au départ de “PrettyCar” qui présentait mon Hot Rod Olds’48 (qui était le tout premier en Europe)… Comme quoi il suffit d’oser…
Ayant créé Chromes&Flammes et étant particulièrement fasciné par les courses de dragsters qui attiraient les foules en Angleterre et aux USA et comme en France il n’existait dans les années 60 et 70 aucune règlementation y concernant, ni par ailleurs aucune concernant les KitCars, Hot Rods, Van’s, Chopper’s, tout a soudain explosé, en 2 éditions… PrettyCar est devenu Chromes&Flammes passant de 10.000 à 100.000 exemplaires et j’ai refait pareil dans tous les pays européens pour atteindre en moins d’un an 500.000 exemplaires en 5 éditions mensuelles… Cela a attiré les “nuisibles” et copieurs tel le Groupe Michel Hommel qui s’est battu sous la ceinture en croyant m’éliminer par une délation fiscale amenant à m’imposer de 147 millions… Mon immersion dans la mare aux crabes m’a appris tout ce que l’université ne peut éduquer…
Je m’en suis sorti en publiant “TopWheels” aux USA et en important les Excalibur’s en Europe, puis voyant que le marché “Presse-papier” partait en couilles, j’ai converti mes mag’s en éditions numériques qui ont directement attiré quelques dizaines de milliers d’enthousiastes prenant en compte ce qui pousse les gens à s’attacher à des véhicules étranges tels les Hot Rods. Lorsque je vivais en Floride à cheval entre deux siècles 1999/2000 dans un monde de rêve, j’ai paniqué de voir un ami qui fumait une cigarette en versant négligemment de l’essence d’un bidon dans le réservoir de sa voiturette de golf (un véhicule de ravitaillement standard sur les pistes de dragster). Les gens comme Paul Brown, qui ont des décennies d’expérience avec les dragsters, savent ce qu’est le vrai danger, et donc l’humour made in USA, comme je le voyais, était que des formes mineures de risques, comme fumer en manipulant de l’essence.
Elles n’étaient pas graves, car alimentant diverses petites moqueries sur le chaos de plus en plus général. C’est ainsi que j’ai appris qu’une cigarette allumée n’enflamme pas l’essence car la cigarette n’est pas assez chaude et inflammable. Ce genre d’histoire qui s’imbrique sans cesse voire toujours dans d’autres à l’affût de petites ironies et épiphanies, je saisis les détails les plus riches tel ce que je viens de vous décrire et incorpore le tout comme dans un monde de rêves qui n’en est pas un. C’est pourtant souvent réel quoique partiel et ça nous tombe dessus presque toujours par hasard. Et dans cette mouvance, qui, n’a pas au moins entendu parler des courses de dragsters ? Qui ne serait pas capable d’évoquer une image, aussi vague soit-elle, de ce que c’est ? Notre sursaut d’intérêt concerne généralement les sous-genres, même si nous finissons par les considérer comme des Supergenres…
Rien à voir avec les facéties sexuelles du Président Macron. Attention… Un rien et ça dérape… En frôlant sans cesse les aspects dragqueen’s en bisouteries d’accolades sachant que filmées et passés en TV, on comprend que cela entraine le transgenrisme à s’affirmer, tel que mis en scène dans la fête de clôture Parisienne des Jeux Olympiques. Et de là, on choit de nos hauteurs entrainant nos auteurs d’écritures à s’affirmer les couilles au vent… filmées en direct… L’aspect gênant de cette attitude, c’est que c’est Elyséen, donc Français, venant d’un Président de la France, qui a vécu ses premiers émois sexuels du temps de la descente des testicules avec son institutrice et maîtresse de cours non-inscrits dans le programme éducationnel, que divers prétendent transgenre… Et c’est cette image qui pénètre l’esprit des autres populations du monde…
Elle crée et développe 1° aux USA : des sourires entendus à l’appui de : “Well, yiiiiiouuu are a French gay ?”… et 2° : en Russie par l’allongement maximal de la table des discussions aux fins d’éviter les congratulations enfiévrées avec tapettes (amicales) dans le dos. Ca crispe les âmes sensibles aussi pire que les dons de charité à l’Ukraine, par milliards, ristournés aux donneurs/donneuses. Voyez à quoi cela nous mène ! Partout en partouzes et galipettes, tapettes dans le dos (en double sens ça s’accentue)… Voilà… Comme vous le constatez je n’ai pas su ni pu résister à tapoter correctement ma nécrologie, je me suis emporté aux détails, ce qui n’est pas si mal car cela ajoute de la vie à la mort pas encore effective… Je vais donc continuer à vivre au mieux en emmerdant un maximum de stupides imbéciles… Voilà qui est bien envoyé et écrit… Reste à vous indiquer sans les commenter, les aspects techniques de ce Hot Rod (en anglais)…
Custom built chassis : Summit Racing 350 CI small block Chevrolet 4 bolt main with 202 double hump heads : Blower pistons and forged rods : 471 GMC blower with Tri-Power and custom coating/polishing : Summit Racing Turbo 350 with holeshot B&M converter : 4-link with Currie 9-inch Ford rear end with Lincoln drum brakes : 5-inch front drop axle with Lincoln drum brakes : Chopped 5 inches and channeled over the chassis : Custom fuel tank cap counter sunk into the body : Mercedes-Benz cloth top : 1932 shortened grille shell with polished stainless insert : BASF Glasurit Brandywine paint : Custom-made headers with mufflers built in, assembled and built by KMP Performance & Machine : 18 and 20-inch Wire Wheelworks wheels and radial tires : Custom interior with Bomber seats with Black leather and Red stitching : Work done by NCD Specialties and ProRides