Rizz-Rod’31 A’Roadster
RIZZ-Rod ! Vous ne connaissez pas le mot “RIZZ”... C’est “LE” mot d’un groupe de huit d’une liste restreinte, tous choisis pour refléter l’humeur, l’éthique ou les préoccupations de 2023… C’est “LE” mot de l’année 2023 qui est massivement utilisé en ligne, avec des milliards de vues du hashtag “Rizz” sur TikTok… Ouiiiiiii ! L’application de lavage de cerveau des États-Unis et de la Chine sur les réseaux asociaux… “Ca viendre” sur “Fesses-de-boucs”… Selon “Oxford University Press”, qui publie le fameux “Oxford English Dictionary”, le “Rizz” est défini comme : “le style”, “le charme” ou “l’attractivité”… C’est aussi la capacité d’attirer un/une partenaire romantique ou sexuel(le) et ça s’est étendu à celle (la capacité) d’avoir, de posséder, une bagnole spéciale pour “Rizzer à Donf”…
On pense que ce terme vient d’une forme abrégée du mot “charisme”. Il s’agit essentiellement d’une version récente du “jeu sexuel”, définie comme l’habileté, les prouesses et la capacité d’attirer les autres sexuellement. Certes, Gérard Depardieu, aussi “basiquement-Rizz” (sic !) interroge sur sa capacité à pouvoir jouer avec les sentiments des autres. En d’autres termes, si les personnes qui ont beaucoup de partenaires sont les plus charismatiques, l’extrapolation au monde (en perdition) qu’est le Hot-Rodding est curieuse si ce n’est un retour aux sources consistant à embarquer des jeunes nananas en jupettes plissées avec chaussettes, chemisette boutonnée et cheveux en couettes façon Sheila à ses débuts… Quel Hot-Rodder aurait eu le besoin sexuel d’embarquer Sheila ?
Tout cela est construit sur un fond de pédophilie façon “American Grafitti” (le film) et autres niaiseries ou le basique était : “Au plus vous vous baisez et faites l’amour, mieux les baloches des Hot-Rodders se portent”… Un Hot-Rodder n’est pertinent pour les autres Hot-Rodders que s’il affiche beaucoup de “touche-pipi” et relations sexuelles avec de nombreuses gamines-partenaires différentes… En fait, cela s’aligne sur les définitions de la “prédation sexuelle camouflée”, tel que filmé dans “American Graffiti”, le but de toutes ces balades étant une masturbation réciproque bien cachée derrière les minuscules vitres dues aux toits “Top-choppés” des Hot-Rods. Pas étonnant que le VIH, le sida et toutes les autres MST comme la syphilis, la gonorrhée et la chlamydia montaient en flèche…
Idem pour le nombre de viols… Dans ce style débilos (c’est pareil à Monaco dans les Supercars qui défilent), à l’intérieur des bagnoles les jeux de mains baladeuses précèdent les jeux de corps dans les motels crasseux pour les Hot-Rodders et les Hôtels/Palaces de luxe pour les “ceusses” de la haute. La finalité d’avoir une “pension alimentaire” étant le but des nananas carnivores, à défaut d’être actives au tarif “putes de luxe à Monaco” à 1.000 euros la balade et 10.000 euros la demi-nuit de baise (20.000 euros si pratiques sado-maso dans un donjon aménagé)… Dans le genre, j’ai payé (cher) de ma personne pour en connaître davantage… Euhhhhhhh ! Je cause des phrasettes types… Je suis toujours sous l’émotion de manipuler Sheila dans un Hot-Rod… Purée….
Drapeau beige : C’est un trait de caractère qui indique qu’un partenaire ou un partenaire potentiel est ennuyeux ou manque d’originalité ; C’est aussi une habitude, en particulier d’un partenaire ou d’un partenaire potentiel, considéré comme extrêmement caractéristique, pas distinctement bon ou mochard.
Situationship : C’est une relation amoureuse ou sexuelle qui n’est pas considérée comme formelle ou établie.
Parasocial : Désigne une relation caractérisée par le sentiment unilatéral et non réciproque d’intimité ressenti par un spectateur/une spectatrice, un/une fan ou un/une adepte pour une personnalité bien connue ou éminente (généralement une célébrité merdiatique), dans laquelle l’adepte ou le/la fan en vient à penser (faussement) qu’il/elle va pouvoir le/la baiser.
Dôme de chaleur : Système météorologique anticyclonique persistant au-dessus d’une zone géographique particulière, qui emprisonne une masse d’air chaud en dessous.
Prompt : Instruction donnée au cerveau de même façon qu’à un programme d’intelligence artificielle, à un algorithme, etc., qui détermine ou influence le contenu qu’il va génèrer…
Désinfluence : Pratique consistant à dissuader les gens d’acheter des produits particuliers, ou à encourager les gens à réduire leur consommation de biens matériels, en particulier via les merdias sociaux.
Il ne s’agit littéralement que d’un dictionnaire et non d’une manière de propager de fausses valeurs et de faux modes de vie qui ne conduiront qu’à l’effondrement et à la destruction de notre civilisation… Mais cela aurait pu être encore pire… Acceptez simplement “Rizz” et soyez heureux que ce ne soit pas“Gyatt” où “Skibidi”… “Skibidi Toilet”, c’est la web-série absurde aux 5 milliards de vues… Oubliez les succès de Netflix comme “Squid Games” et autres “Mercredi Adams”. La série préférée des 8-18 ans est un drôle d’objet dont vous n’avez probablement jamais entendu parler, la série est fabriquée à partir d’un vieux logiciel d’animation 3d pour jeux vidéo’s et a cumulé en l’espace de 5 mois plus de 5 milliards et 320 millions de vues sur YouTube.
La première vidéo qui dure 12 secondes montre le point de vue d’une caméra qui entre dans des toilettes et qui zoome sur la cuvette. Gros cacas en attente… De cette cuvette de merde sort subitement une tête qui se met à chanter un morceau qui est maintenant devenu “Kulte” sur TikTok. Le concept de base est simple comme bonjour et parfaitement stupide, mais ça ne s’arrête pas là… Que non… Dans les épisodes suivants on se rend compte que le “Skibidi Toilet” attaque les humains et tente de conquérir le monde. Rien que ça… Heureusement, une armée d’hommes à tête de caméra entre en résistance. Pour vaincre ces chiottes de l’enfer, il suffit de tirer la chasse… Logique… Ne soyez donc pas étonné que les “djeunes” sont réellement des bêtes immondes qui se branlent !
Je ne vais pas vous abandonner sans vous plonger dans le journalisme Kustomaniaque qui rend fou et le monde des forçats de la désinfo… Le Groupe Michel Hommel en est crevé d’indigestion avec les rubriques “Timing, courses et trophées” agrémentées d’un regard pathétique sur l’intérieur des culs de pilotes et autres pontifes par le biais d’une armé de pigistes totalement crétins obnubilés par les exploits sexuels et textuels d’un Chinois et d’un amateur de jeunettes en Thaïlande… soit, ils sont tout juste sortis d’école et plantés devant leur ordinateur à réécrire des conneries, soit, ils sont d’anciennes grandes gueules du Kustom désireuses de perpétuer à donner leurs avis.
Tout ce bordel, des années plus tard, n’a pas vraiment changé avec les repreneurs au rabais du copier, coller, recommencer… Tapoter de la merde pour gagner de la merde, c’est le fonctionnement actuel des rédactions. Le constat a de quoi déprimer, le bâtonnage de conneries devenant la norme, cette pratique consiste à reprendre les articles publiés (souvent sur ChromesFlammes et GatsbyOnline), de les retoucher puis de les publier, sauf qu’en “papier” ce n’est pas immédiat, deux mois se passent, d’où l’usage de sujets éculés, un phénomène qui explique le suivisme général… C’est suite à la délation dont j’ai fait l’objet que je me suis retranché sur le Web qui est un puits sans fond, car il n’y a pas de limitation de pages comme pour un magazine, ni de temps.
On peut écrire autant d’articles qu’on veut dans le temps qu’on veut avec un temps de réaction qu’on veut ultra-court de moins d’une demi-journée. Avec 10.000 visites/jours soit 300.000/mois à 1 euro prix d’entrée/premier mois et 5 euros pour les mois suivants, pas besoin de pubs pour générer presque environ 200 millions par an (quel gag !), de toutes façons les bloqueurs de publicité sont devenus légion sur le web et, dans les faits, ce sont plutôt Google et Facebook qui captent à eux deux 90% des revenus publicitaires. Cela représente des milliards… Le but est d’apparaitre le premier dans les recherches Google quand un sujet déboule, ce qui génère du trafic, donc du volume, consécutivement des euros et dollars, sans devoir se faire chier pour être payé.
Pour réaliser 10 millions de visiteurs uniques par mois sur un site internet, il faut avoir Shape, un algorithme propriétaire qui permet de savoir quels sont les sujets qui sont les plus évoqués sur le Web. C’est grâce à lui que l’on détermine à l’avance le coût de production de l’article pour 1.000 vues ainsi que son RPM (revenu pour milles vues). Si on connait très bien l’audience, on sait tout de suite quelle marge va dégager un article plutôt qu’un autre. Sans atteindre ce niveau d’automatisation, de nombreuses rédactions Web affichent sur des écrans les audiences en temps réel du site. Cette course au chiffre en épuise plus d’un… Mais cela rapporte des milliards… C’est la fortune des grands sites…
Donc, en finale de cet article, est-il vraiment nécessaire de demander pourquoi j’ai stoppé les publications “papier” ? Est-il également utile de commenter ce Hot-Rod basique ? Oui ? Non ? Pfffffffff ! Je le tapote ce texte, en abrégeant la douleur… Ce roadster Ford Model A est un Highboy (ou Hi-Boy) à carrosserie en acier qui a été remis à neuf et modifié après avoir été acquis en Floride en 2020 à l’état d’épave, donc pour presque rien… Le V8 350ci est lié à une transmission automatique Turbo350 trois rapports et à un pont arrière Ford 9 po. Parmi les autres modifications, je cie des portes rasées, des linteaux de style Lake, des roues en acier de 15 pouces, un levier de vitesses à cliquet et une instrumentation AutoMeter.
Ce Hot-Rod était à l’origine un coupé cinq fenêtres avant d’être modifié pour sa configuration actuelle de roadster pur et dur sans capote, l’usage étant local pour des dragues… Les roues de 15 po en acier peintes en orange sont équipées d’enjoliveurs et d’anneaux de garniture chromés et sont montées avec des pneus Coker Classic à flancs blancs. La suspension est dotée d’un essieu avant abaissé, de ressorts à lames transversaux, de bras radiaux avant, de barres d’échelle arrière et d’amortisseurs tubulaires. Des freins à tambour hydrauliques sont montés aux quatre coins. Les sièges baquets en aluminium sont équipés de coussins en cuir orange ainsi que de ceintures de sécurité à loquets. Des panneaux en aluminium tapissent les planchers et les portes.
Le Hot-Rod, achat de la base comprise a couté peanuts car tout a été fabriqué avec des pièces obtenues dans une casse, c’est donc l’archétype du Hot-Rod, présenté en milieu naturel de vie… Un retour aux sources de comment c’était “Avant”… C’est à dire bien loin d’ici… Quid dès-lors du Hot-Rodding ? J’ai demandé l’avis de son propriétaire qui m’a répondu avant que je lui pose la question : “Bonzour Anfin ke j’po parlé!!! Vwala nou pouvoire parlé avék tou bann rési sirtou ék ‘screen shot ChromFlame nou rélévé, kouma ti promét… linn pran éxtra létan, an atandan ranfor, avék bann aksion térin ék bann lézot réalité lavi ki bizin fér fas. Mé mo ti konfian, parski ènn maximëm rési tinn byin gardé avék swin (an pasan li asé inkrwayab ki bann masinn pé inprim bann rési… ki éfasé??!!! Mil fwa ti ékrir lamé lamé kouma lontan!) La kot bann rési ilizib, finn inklir ènn foto kot inn klarifié ar plim. Si éna kik problèm, nék sinialé. Donk j’aclam bin for patron del boss d’ChromFlamm de plu qu’avé Gatsby de bon parol di… Bravo de vo !”…