Hot-Rod “Apocalypse”…
Autant mettre les pieds dans le plat tout de suite : âmes sensibles et autres thuriféraires d’élans “automobilistiques-romantiques” s’abstenir ! Avec ce Hot-Rod inhabituel on nage de facto en pleine déviance “U.S Dirty” et rarement un Hot-Rod aura été en dérive à l’aune du foutraquage pervers ici narré ! Sur fond torride d’érotisme hardcore mais pas has been, de cul sublimé et de partouzes hard sans limites, mon récit qui n’est qu’une chronique (j’accepte d’avouer que c’est une épopée féroce), baigne dans le stupre avec comme dénominateur commun le sexe sous toutes ses formes : classique, tendancieux, libidineux, débile, mutant, etc. etc. etc. etc…
D’un côté, un Hot-Rodder totalement givré qui décide de s’adonner, façon American Pie, à une mémorable orgie afin de fêter la création d’un Hot-Rod inhabituel ; de l’autre, sa famille de pervers dégénérés (sa vieille mère, ses deux frères et sa sœur, petite dernière nympho en diable vivant dans une décharge pourrie et qui littéralement culbutent et massacrent tout ce qui passe au coin de leur pinède reculée. Sexe paisible, un rien poétique et expérimental versus sexe destructeur, un poil crasseux et immonde, voilà, le funeste et fort décor grindhouse de cette narration est planté. En mêlant, à la bétonneuse livresque cradingue, le sexe, l’horreur et l’humour noir, autant dire la pisse, le foutre et la sueur…
Foin de toute limite et hors de toutes bornes, je me dois d’assumer votre jouissive lecture de la dualité freudienne entre Eros et Thanato qui transpire dans cette parodie Kustomiesque d’horreur hilarante reprenant les clichés du genre pour mieux les détourner. Je m’empare en effet des canons fondateurs des horreurs créées au pays des tarés en y ajoutant une giclée spermative “slasher gore” pour vous offrir une version Kustom de la totale décadence américaine. Sur fond de poncifs “Nitromaniaco-dépréssifs” et de ringardises primales au possible, vous avez ici le droit pour un euro d’abonnement pour le premier mois et un pneu moins de 5 pour les mois prochains a de bonnes vielles rasades (pas rasoir pour un euro) de crasseuses attitudes HotRoddeuses.
Le tout mixé caricature les protagonistes de méchantes casquettes vissées sur l’occiput (pour ne pas dire l’os qui pue) au surplomb de chicots bien destroy, de Rat-Rods débilos à l’instar du vit en rut de ces bons américains ultra-violents et amateurs de tortures en tous genres, of course ! Sans vouloir déflorer l’inventivité narrative et délirante qui a donné naissance à ce Hot-Rod, qui peut se poser à même le sol puis se soulever pour mieux retomber et recommencer pour la simple beauté d’un geste inutile ayant nécessité une chiée d’inventivité mêlant mécanique et bidules électriques, il peut se reposer avec maestria sur le sol tel mon texticule barbouillé via une plume imaginaire trempée dans moults sécrétions et excrétions.
Cela afin que les internautes mâles et femelles en extases extatiques (sic !) de lire (palpation intellectuelle) mes texticules couillus, puissent découvrir en cette chronique nanar-poisseuses fort olfactive et visuelle ( notamment aux confins pestilentiels de la cave muséale macabre de divers consanguins rednecks), d’intenses gorges profondes, des pénétrations compulsionnelles diverses et variées (parfois avariées), des viols tous azimuts (dont certains à l’aide d’outils), des sodomies “hénaurmes” (oserais-je citer un anthologique perforage d’anus au gode-perceuse ?), divers bondages forcenés, quelques castrations artisanales, divers élans et émois aussi incestueux que nécrophiles et des éjaculations faciales dont quelques fatales…
Dans ces clichés bien évidement extrapolés de la guerre d’Ukraine y mêlant la zoophilie frénétique locale, au choix, avec mouches, chèvre, gel vache et même un ours Russe nommé Vladimir, arrivant tardivement pour castrer un pianiste Ukrainien jouant avec son pénis érigé,une ritournelle sirupeuse à la cheffe de la communauté européenne, un pianiste qui se prétend bien doté par dame nature et qui vient d’être (au péril de sa renommée et de sa vie) admirablement caricaturé par Laurent Guerra ). A l’enseigne du désir et de la lascivité, l’hémoglobine et la cyprine coulent donc à flots dans cette histoire d’X devenue Z… (marquages des chars)… “En tournée partout en Europe, avec sa ménagerie ! a raillé l’humoriste, sur une musique de cirque. Sous le chapiteau Zelensky, tout droit venu de Bruxelles, venez retrouver la femme qui barbe : Ursula von der Leyen ! Venez vous divertir avec les clowns engagés BHL et Arielle, qui reçoivent des tartes à la crème larguées par drones. Ne manquez pas les Macron’s qui jouent avec des casseroles… et le clou du spectacle : l’homme canon fourni par l’OTAN“…
Rien d’étonnant à tout cela quand on sait que certains vagins se découpent au couteau de chasse en Ukraine avant de baigner dans des bocaux à formol)… Tout ce foutoir en cause de nos dirigeants attisés de haine par l’Amérique, met à bas sans état d’âme l’ensemble des codifications moralo-sociales régissant nos communautés ! En cette montagne farcesque-cauchemardesque, le naturel bestial autodestructeur, chassé par l’oppressive culture WASP, revient bien au galop et traque sans pitié aucune le moindre rudiment de représentation consciente et rationnelle. Portrait à l’huile de vidange de l’Homme en dégénéré ? C’est celui qui dit qui l’est.
Caractéristiques du Hot-Rod illustré : 1931 Studebaker Model 54 Hot Rod “Apocalypse”… 350 CI Chevrolet small block V-8 engine – Edelbrock carburetor and intake manifold – Powerglide 2-speed automatic transmission – Custom Orange BASF painted exterior with pinstriping – Black leather interior upholstery – Tilt steering column – Billet aluminum steering wheel – Lokar shifter – Custom comfort molded metal bucket seats – Door poppers – Filled side window channels – Body-color radiator surround – Air conditioning compressor – Glass sight for custom fuel tank – Airbag suspension with dual compressors – Ford headlights – Frenched tail lights – Wrapped open headers – Stretched front and rear axles – Stainless steel brakes lines – 4-wheel disc brakes…
De manière étrange et inquiétante, mais très efficacement, j’ai le sentiment d’avoir réussi à vous saisir, mes chers Popus adorés; lecteurs/lectrices assidu(e)s de mes achroniques et uchroniques histoires parfois noires mettant parfois en scène une société américaine qui vit perpétuellement dans le traumatisme et considère d’un mauvais œil le reste du monde… Une guerre sans merci (ni bonjour) est menée avec notre argent et invariablement les générations sont bercées par les histoires de conflits et de mêmes suspicions généralisées tout en fantasmant la mystérieuse existence d’un être unique et oscillant sans cesse entre rêves et cauchemars, une Amérique qui fait froid dans le dos !
En effet, cette Amérique met en exergue des thématiques qui nous sont malheureusement devenues contemporaines : racisme, exclusion, haine d’autrui, critique des autres, guerres perpétuelles exacerbation du pan-nationalisme idiosyncrasique baigné dans l’étroitesse d’esprit et de points de vues biaisés. Par les temps qui courent (ou plutôt qui stagnent), cette déconstruction méthodique de la non-civilisation américaine sans lois véritables, prend une résonance qui n’échappe à personne et qui éclaire sur la logique inversée du conditionnement et du mépris ayant conduit notre civilisation au marasme guerrier que nous affrontons plus ou moins confusément.
Pour lutter contre le néant traumatique qui se profile, je crois encore à la puissance rédemptrice des mots, je compte alors les jours, cultive mes souvenirs, dresse des inventaires, autant d’éléments qui sous-tendent à l’accoutumance du tissu du réel (un réel qui n’est cependant rendu que par le ressenti et non par un ensemble de perceptions objectives). Mais rien n’y fait. En quoi mes chroniques, seules, pourraient-elles bien ralentir la fin du monde ? A la lueur où à la pénombre du contexte, ô combien cauchemardesque, un certain nombre de références littéraires s’imposent : le “Demain les chiens” ironique de Clifford D. “Simak…” le Livre de Dave de Will Self, “L’Alphabet en flammes” de Ben Marcus, présentent un monde où le langage est devenu un poison pour les humains !
Qu’il soit oral ou écrit, chuchoté, crié ou lu… Il y a aussi “Enig marcheur” de Russel Hoban, racontant, dans une langue post-apocalyptique, la survie des humains, après la guerre nucléaire d’Ukraine, retournés à un état de non-civilisation proche de l’âge du fer. A chaque fois, l’écriture a presque disparu mais pas tout à fait, ce qui permet à divers narrateurs de conter leurs histoires qui sont des désarticulations entre la langue et la pensée, le signifiant et le signifié qui constituent une toile de fond kafkaïenne. Un doute funeste, qui n’est pas que linguistique, est alors mis en avant au gré des descriptions sises dans un éternel présent : Comment penser, comment écrire lorsque nous perdont ce qui fait notre civilisation ?
En quoi croire quand tout espoir semble anéanti en même temps que l’alpahbétisation ? C’est l’llustration que donnait déjà Denzel Washington luttant pour préserver la dernière Bible en braille sur terre dans “Le livre d’Eli”... Un questionnement auquel sont d’emblée confrontés mes lecteurs/lectrices en lecture de mes énigmatiques histoires ! Nul à vrai dire ne saura (les merdias restent silencieux) s’il s’agit d’écrits “elliptiques” (épileptiques ?) et fiévreux, d’une folie qui s’empare “de l’écrivant” (moi) qui voit la réalité alentour se disloquer et mes proches disparaître. Ce qui m’amène à assimiler les charognards à une sorte de cancer irrémissible en train de noircir, faute de mes pages, le monde et l’immonde de la société de consommation…
Les métastases sont connotées par la charogne et une marée noire omniprésentes, tandis qu’à rebours l’écriture se délite et rejoint une blancheur, une transparence aveugle au cœur même des textes publiés. Des témoignages déliquescents en pléthores d’assonances, de néologismes, d’anaphores, de jeux de mots, de phrases tronquées au sujet ou verbe absents et autres symboles d’une communication actuelle à tout-va où, chaque jour, sous nos yeux s’absente le sens de ce qui est énoncé et de la “crrôôaayance” qu’on y attache. Alors, internautes charøgnards, avez-vous un commentaire voire une une idée (littéraire) simple à oser m’écrire dans le réceptacle “ad-hoc” en finale de cet article ?
J’y réponds d’avance. Nous sommes tous otages de l’imminent défaut de paiement américain en cause de l’épuisement général des réserves car versées à l’Ukraine de Zeelinsky qui en ristourne la moitié aux donateurs… Le moment est-il venu de douter de l’économie américaine ? Son système financier est-il toujours aussi résistant aux épreuves ? Son architecture démocratique caractérisée par ce fameux “checks and balances” est-elle toujours si fonctionnelle ? Pas un jour ne passe, pourtant, sans qu’une nation n’appartenant plus à son bloc, n’annonce une mesure (à tout le moins une étape) dans ce qu’elle espère être un processus de dédollarisation afin de tenter d’asseoir sa propre force, comme la Russie, la Chine et l’Inde.
Cette volonté très sérieusement exprimée et affichée, de vouloir enfin détrôner le dollar, est également une assurance contre de potentielles sanctions US destinées à appauvrir et détruire les autres, que ce pays instaure par la courroie de transmission de sa monnaie. Les contestataires du billet vert se font largement aider depuis quelques semaines par les politiciens américains en personne en batailles autour du relèvement du plafond de la dette de leur pays. Cette tragi-comédie du microcosme Washingtonien revient épisodiquement polluer les débats depuis près de 30 ans. Pour autant, elle prend aujourd’hui une tournure relativement dramatique car la confiance en la Trésorerie américaine est tombée à zéro !
Considéré comme le placement le plus sûr et le plus liquide au monde avant la guerre d’Ukraine (qui devient un conflit mondial de la faute de nos stupides gouvernements) le T-Bond a permis à cette nation à travers les âges, les guerres, les pandémies, les faillites bancaires, de pouvoir se financer en toute facilité et à des taux inférieurs au reste du monde. Ces “US Treasury bonds” constituent rien moins que la clé de voute du système financier global. Son marché à 25 millions de milliards de dollars est le fondement incontournable de toute transaction à travers le globe. Le remue-ménage politicien insensé des divers irresponsables américains concernant la volonté de faire “enfin” la guerre totale à la Russie et à la Chine nous amène dans une crise économique majeure.
Elle ca créer la fin de notre civilisation occidentale. Les effets seront dévastateurs d’autant que personne n’est en mesure de prédire comment réagiront face au choc gigantesque du défaut de paiement américain, les Etats et les investisseurs institutionnels détenant force obligations dont les USA cesseront d’honorer la valeur. Nul n’est capable d’estimer les dégâts d’un tel évènement d’autant plus inconcevable qu’il ne sera pas provoqué par l’incapacité des USA à payer leurs dettes mais à cause d’une corruption généralisée qui nous mène en premier lieu dans un avenir très prochain, a un défaut de paiement des USA. Le monde entier se retrouve donc aujourd’hui, en 2023, captif !
C’est la cause d’un usage remontant à plus d’un siècle qui visait à l’époque à simplifier le processus de financement des guerres, car le Gouvernement des Etats-Unis était jusque-là obligé de faire adopter une nouvelle à chaque fois qu’il souhaitait lancer un emprunt de guerre. Ce plafond est devenu une arme de de suicide collectif massif. C’est en effet la troisième fois en moins de dix ans que les guerres permanentes américaines entrainent le monde au bord de l’abime et de la destruction totale. Si le désastreux défaut de paiement a pu être par deux fois évité au cours de l’histoire récente, les débats sont aujourd’hui d’une toute autre nature, une grotesque partie de poker à laquelle s’adonnent les plus importants responsables politiques des pays occidentaux !
Et cela dans un climat de haine anti Russie et Chine. Certains de leurs membres se complaisent dans des postures radicales, et sourient en chuchotant que les Etats-Unis ont toujours évité in extremis le pire qu’ils créent. La Trésorerie américaine a des flux entrants et sortants quotidiens de 185 milliards de $… Les USA ont la responsabilité universelle d’une déstabilisation apocalyptique pour des motifs à la fois de profits personnels entre chefs d’Etats “alliés”. Voilà pourquoi la seule question des journalistes devrait être de s’enquérir s’ils se rapprochent d’un accord avec la Russie et la Chine ou si leur intention est vraiment de provoquer la fin du monde occidental…
2 commentaires
l/homme canon dans les cirques est propulsé par un énorme ressort ,personne ne pourrait survivre à l/explosion de la poudre !
Oui, je note la différence entre un artifice et un feu d’artifice en extrapolation avec la poudre aux yeux et la poudre à canon par rapport à la poudre de perlinpinpin… C’est relativement explosif ! Ceci écrit, je ne saisis pas le rapport (textuel) avec l’apocalypse larvé du texte…
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