1932 McGee Hot-Roadster
Le chapô introductif est l’élément principal qui déterminera le nombre de lecteurs qui liront mon article. Sa bonne construction doit permettre aux internautes, en quelques secondes seulement, de décider si l’article vaut la peine d’être lu. Mais quelles sont les astuces redoutables pour attirer les lecteurs d’un seul coup ? En d’autres mots, le chapô introductif doit résumer, en quelques phrases, l’ensemble des points que je vais traiter sur un sujet défini qui doit être clairement cité dans le titre. Les authentiques vrais journalistes professionnels l’ont bien compris et appliquent ces conseils/directives : sans s’appliquer sur le chapô d’un article, le succès du travail réalisé est peine perdue : bâcler l’introduction textuelle peut anéantir l’effort d’y passer mon temps précieux ! Une fois ce chapô couplé à une image adaptée (une jolie plante vénéneuse nue, en pot, par exemple) et une titraille (par exemple : “Bande de connards allez vous faire enculer !“), un maximum de gens des deux sexes devraient jouir rien qu’à me lire… Evidemment, la construction d’un chapô textuel introductif ne peut être hasardeuse. Comment résumer, en quelques lignes seulement, l’ensemble de mon article ?
Je suis un chirurgien des mots qui triture les cerveaux mis à nu pour y déverser le futile, l’inutile, voire le nuisible, avec un plaisir assassin… Je tapote des contes sur mon clavier à piles qui traitent de désenchantements, de défaillances, de destructions, de rêves, de cauchemars, de joies et bonheurs aussi, parfois alors que l’humain se déglingue dans un monde qui explose. Ou presque ! Et ce Web-Site est comme un fond de scène où le routinier se mêle au fantastique. J’y installe un ton empreint d’une sorte d’affection ironique qu’il me faut maintenir, jusqu’au bout de tout et de rien, peu importe le genre ou le style des autres histoires. Vient ensuite un récit saugrenu qui fait exploser la tête de mes lecteurs, s’ils se sont accrochés. L’art des mots est parfois impraticable, voire dangereux, surtout pour les imbéciles et demeurés pathétiques, mais l’humour est toujours là, cependant… Je deviens de plus en plus translucide face au théâtre des gens du dehors d’ici, qui vivent et meurent. LA constatation angoissante qui s’abat au dedans de mon moi-même profond est que je passe sans-doute un peu à côté de la vie ou quoique celle-ci se passait très bien de moi… Reste, toutefois, le passé qui remonte à la surface lors de mes travaux intellectuels de reconstruction !
Alors que je suis toujours là, seul (logique puisque j’écris, sinon il n’y aurait rien à lire) avec mon Blacky qui léche mes orteils, je viens de décider d’en finir avec un sujet dormant… Je vais écrire l’épopée du 1932 McGee Hot-Rod Roadster ! Si, si ! Seuls les Yankees connassent ! C’ est LE Hot-Rod des Hot -Rods. Le Hot-Rod ultime ! Le Saint-Graal ! La perfection ! L’idéalisation totale ! Le créateur de tendances par excellence ! C’est aussi le dernier sujet de Up Close, la série de vidéos textuelles de “l’Historic Vehicle Association” concernant les véhicules sélectionnés à positionner dans le “Registre national américain des véhicules historiques” ! Mazette ! La classe ! Et c’est la section Chromes&Flammes de www.GatsbyOnline.com qui diffuse cela ! Chromes&Flammes cultive l’esprit Chromes&Flammes ! L’étroite complicité qui lie Chromes&Flammes et les internautes dans www.GatsbyOnline.com est unique. De l’actualité du monde du Kustomizing au monde du Hot-Rodding… Il n’y a que Chromes&Flammes pour faire rimer l’utile et le futile, s’intéresser à l’essentiel comme à l’accessoire, passer du rire aux larmes au diapason des envies et de votre vie ! Ce qui vous passionne, vous concerne et vous touche, vous donne rendez-vous 24h sur 24 dans ce site-web ! Tout y est d’importance pour tous ! Tapotez ici de suite www.GatsbyOnline.com et téléportez-vous-y ! Quoique, fichtre, si vous lisez ceci c’est que vous y êtes déjà !
Un texticule récréatif-apéritif, avant d’attaquer le 1932 McGee Hot-Rod Roadster ! “Chers Tousses ! Sachez que le créateur des célèbres Buggy Manx Meyers est décédé en début d’année 2021, à l’âge de 94 ans. Bruce Meyers, héros de la seconde guerre mondiale où il officiait dans la Navy sur un porte-avions qui fut attaqué par des kamikazes, fait partie de ces hommes qui font l’histoire sans en avoir conscience, presque en s’excusant. Il faut dire que d’avoir dû sauter d’un porte-avions en flammes et d’avoir survécu, ça vous fait relativiser beaucoup de choses… Epicurien et surfeur (s’agit-il d’un pléonasme ?), établi en Californie du Sud en pleine période “Sex, drugs and rock & roll”, ce créateur génial mais businessman pas toujours avisé, allait rencontrer à son retour de la guerre un certain Dale Velzy, premier fabricant de planches de surf en fibre de verre. Tiens, tiens… Il allait y développer sa maîtrise de cette technologie qu’il allait ensuite perfectionner chez le constructeur de bateau Jensen Marine. Le catamaran qu’il y développa fut tellement performant qu’il se fit remarquer par un certain Hobie Alter, lequel allait utiliser les talents de Bruce pour développer ses Hobby’s-Cats, aujourd’hui célèbres dans le milieu de la voile. Un business florissant qui se développera sans Bruce Meyers, laissé sur le côté de la route. Qu’importait pour cet homme qui en avait vu d’autres…
C’est alors qu’il va se tourner vers l’automobile pour créer ses célèbres Dune-Buggy – dont le premier “Old Red” en 1964 – au dessin tellement simple et génial qu’il allait se voir plagié par plus de 300 sociétés dans le monde qui sortiront ensemble plus de 350.000 copies, quand seuls 7.000 vrais kits Manx Meyers auront vu le jour, essentiellement basés sur des VW Coccinelle ! Artiste plus que financier, Bruce Meyers n’avait pas protégé son dessin ni son concept, qui fut donc largement repris, y compris en Belgique par Apal, Ritter, Van Clee et autres… Alors, certes en ce début d’année 2021, on n’a pas rendu hommage à Ferdinand Porsche ou à Enzo Ferrari, aux destins autrement mieux éclairés par les projecteurs de l’histoire, mais à un homme qui avait tout compris à la simplicité des choses.
Son credo était d’ailleurs : “Faites des choses simples et efficaces, n’ajoutez pas d’éléments qui n’ajouteront que des coûts” ! Légende de la contre-culture américaine, Bruce Meyers nous aura laissé ses Buggys, au départ simplement pensés pour évoluer dans le sable, à la recherche des meilleurs spots de surf possibles. A une époque où la simplicité et l’insouciance régnaient en maître. Oui, Bruce Meyers aura réussi comme personne à joindre le futile à l’agréable. Rien que pour cela il mérite une place au panthéon des légendes de l’histoire de l’automobile, ne serait-ce que pour se souvenir que non, tout n’a pas toujours été aussi cadenassé qu’aujourd’hui”… Voilà une bonne chose d’écrite, je peux donc m’épancher relax sur l’emblématique Ford 1932 qui a reçu son surnom de McGee Roadster après que son propriétaire a attrapé la fièvre du Hot-Rodding à la fin de la Seconde Guerre mondiale…
C’est devenu une sorte de tradition, la Californie du Sud est le Paradis des Hot-Rodders et fait sans cesse ressortir le meilleur des amateurs de Hot-Rods, une tendance qui a débuté bien avant la Seconde Guerre mondiale. Avec un peu d’argent dans leurs poches et un appétit féroce pour vivre l’excitation de vivre, certains ont fabriqué et créé des autos de loisirs basiques et bon-marché au départ de vieilles Ford des années ’30 facilement disponibles et parfois accidentées. En enlevant “l’inutile”, en y plaçant des moteurs V8 provenant d’automobiles “roulables” quoiqu’accidentées, leurs récupérations s’avéraient plus performantes et plus ludiques. C’est à-peu-près comme ça que sont nés les Hot-Rods. Bob McGee avait déjà créé un Hot-Rod avant son départ (comme beaucoup de ses contemporains partis servir les USA pendant la Seconde Guerre mondiale) pour combattre les Japonais aux Philippines. C’était un pionnier du Hot-Rodding puisqu’il s’était fabriqué en 1939 un Hot-Rod Ford V-8 Roadster de 1932.
McGee faisait partie du premier contingent de jeunes Californiens obsédés par la vitesse. Il était même membre d’un des premiers clubs connu sous le nom de “Gear Grinders”. Son Hot-Roadster était un “Gow-job” comme on les appelait avant que le terme “Hot-Rod” n’entre dans la langue vernaculaire et qu’il a couru par sur les lacs asséchés en 1941. Lorsque McGee est revenu de son séjour dans le théâtre guerrier du Pacifique, il était prêt à se relancer “dans la soupe” de son V-8 Ford. Malheureusement, alors qu’il était en guerre, son ami Bob Binyon avait détruit ce premier Hot-Roadster de McGee, mais avait pu récupérer/ramasser un maximum de pièces afin qu’à son retour, McGee puisse le réparer/reconstruire. McGee allait ainsi créer ce qui allait devenir “LE” mythe ultime du Hot Rod emblématique d’après-guerre ! Lorsque les voitures modifiées étaient encore considérées comme des “Gow-jobs”, leur majorité étaient des Roadsters… et la voiture à avoir était la Ford’32 car elle offrait le châssis idéal pour subir des adaptations/transformations, les composants les plus solides, le moteur le plus puissant pour le moins d’argent et le plus beau style général.
Alors que les constructeurs automobiles avaient repris la production automobile industrielle après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un surplus de voitures d’occasion permettait d’obtenir pour presque rien, des voitures qui étaient déjà abordables et puissantes d’autant plus que comparée aux voitures modernes de la fin des années 1940, une Ford Roadster de 1932 était minuscule et d’une époque révolue. Mais une fois modifiée, elle ressemblait à une voiture de course. Son poids léger combiné à un moteur puissant et à un châssis solide la rendaient idéale pour les conducteurs/coureurs avides de vitesse. Le terme Hot-Rod est souvent crédité comme étant dérivé de Hot-Roadster, un terme souvent utilisé pour désigner les voitures Topless modifiées devenant de plus en plus présentes dans les rues du sud de la Californie. Mais actuellement c’est un terme crédité provennant de “Bielle-Chaude” en anglais ! Cela n’a finalement aucune importance !
Bob McGee, lorsqu’il a été libéré en 1945 et vu sa voiture en pièces n’a pas perdu son temps à pleurer et se lamenter, il a cherché une autre Ford 1932 et en à localisé une presque neuve qu’il a obtenu pour presque rien. En septembre 1947, son Hot-Rod-Roadster était totalement transformé. Les suspensions avant et arrière avaient été considérablement abaissées à l’appui des roues d’une Ford de 1940 montées à l’avant et les roues d’une Lincoln-Zephyr placées à l’arrière. La calandre avait été lissée avec le bouchon du radiateur enlevé, le capot modifié en une unité en trois pièces dotée de persiennes personnalisées, tandis que les 4 ailes avaient été enlevées, les charnières des portes cachées et les poignées enlevées. Pour couronner le tout, la voiture avait eu droit à un travail de peinture exceptionnel façon “voiture de luxe”. Le Hot-Rod était motorisé d’un V8 Ford de 1934 re-travaillé avec un équipement “de vitesse”, tel le collecteur d’admission à double carburateur “Burn”, des culasses en cuivre à ailettes “Federal Mogul”, un allumage “Spalding” et un filtre à huile “Filcoolater”. Même si cette voiture deviendrait le quotidien de McGee, les pièces qui n’amélioraient pas la vitesse ou l’apparence avaient été jetées (remarquez que le Hot-Rod fonctionnait sans générateur ni pompe à eau).
Entre se rendre à l’Université de Californie du Sud et servir de “Tacle” dans l’équipe de football locale, la voiture pouvait être trouvée au cœur de la scène florissante des Hot-Rods dans les lacs asséchés entourant Los Angeles. À Harper’s Dry Lake, la voiture a atteint une vitesse de 112,21 mph en 1947. L’étiquette de chronométrage originale de la Southern California Timing Association (SCTA) le confirme, elle peut être vue rivetée au tableau de bord aujourd’hui ! Mais les exploits du Roadster en course n’ont pas été ce qui a solidifié sa place dans l’histoire du Hot-Rodding qui était devenu “une épidémie dangereuse” selon les médias grand public, et les gens respectables qui conduisaient des voitures d’usine pour transporter leur famille en toute religiosité et patriotisme ! Les automobiles modifiées étaient constamment vilipendés. “Hot-Rodder” est devenu un terme péjoratif. Cependant, en septembre 1948, la principale organisation de Hot-Rods, la SCTA, a rassemblé 37 clubs, 300 Hot-Rodders, des capitaines de police et un juge municipal lors d’une réunion à Maywood, en Californie, pour dénoncer la conduite dangereuse et prendre l’engagement “Green Cross for Safety” du Conseil national de la sécurité. Parmi les multitudes de voitures modifiées présentes, la McGee Roadster a été choisie comme “voiture signature emblématique” et a été présentée dans le journal “Los Angeles Times” recevant son autocollant de sécurité Green Cross… Un triomphe pour Bob McGee !
Seulement un mois plus tard, McGee et son Roadster de plus en plus célèbre, sont apparus sur la couverture du magazine “Hot-Rod” dans son année inaugurale. Photographiée par le fondateur de Hot Rod, Robert (Pete) Petersen, devant le campus américain de Los-Angeles-Californie, cela assurait à la voiture une place spéciale dans l’histoire ! Bob McGee a vendu son Hot-Rod au milieu des années 1950 après l’avoir conduit comme étant son principal moyen de transport. C’est Dick Hirschberg d’Hollywood, en Californie, qui l’a acheté et l’a repeint en jaune vif. Hirschberg n’a cependant pas possédé le roadster longtemps. Dick Scritchfield, un employé de la National Hot Rod Association (NHRA) qui avait déménagé de Kansas City à Los Angeles, a repéré le roadster jaune dans une station-service et a rapidement échangé sa Lincoln Continental 1948 à moteur Cadillac à Hirschberg contre le Hot-Rod. Ensuite, Dick Scritchfield a ensuite aidé à fonder le L.A. Roadsters Club, un groupe qui est devenu une force notable au sein de la communauté des Hot-Rods. Au début, Scritchfield a laissé la voiture en grande partie telle quelle. Après avoir croisé le cascadeur hollywoodien George Dockstader, il a commencé à prêter la voiture pour des films et des émissions de télévision cherchant à capitaliser sur la tendance du Hot-Rodding. Sa première apparition a été dans le film “Hot Rod Gang” (1958) que vous pouvez visionner en totalité dans la section “Cinéma”. Ironiquement, la voiture qui a été choisie pour la première fois comme représentation de la sécurité parmi les Hot-Rodders en 1948 est devenue la star d’un film plein de conduites imprudentes, exploitant le stéréotype négatif du “Hot-Rodder”…
Tout au long du reste de la décennie et dans les années 1960, la voiture a été appelée à maintes reprises pour être un extra à la télévision et au cinéma. Au cours de cette période, Dick a commencé à changer la voiture pour s’adapter aux styles fluctuants. En 1960, le Hot-Rod a été restauré et repeint, c’était l’un des premiers vrais travaux de peinture en métalflake comme toile d’essai pour la société Dobeckmun qui allait bientôt lancer le nouveau type de peinture sur le marché. À la fin des années ’60, les roues en acier d’origine du roadster ont finalement été remplacées par des roues “mag” à fentes, remettant encore un peu plus à jour son apparence. En 1970, les prouesses compétitives du Roadster ont de nouveau été testées. Scritchfield a emmené la voiture aux “Bonneville Salt Flats”, où elle a atteint 165 mph dans la classe “Street Roadster”. L’année suivante, le Hot-Rod a remporté le titre de “Roadster le plus rapide du monde”, qu’il a détenu pendant près d’une décennie ! Utilisant un petit bloc de 350ci mis à jour, il a établi le record à 167,212 mph, qui a duré jusqu’en 1979 ! Tout au long des années 1970, le roadster de Scritchfield a continué à apparaître dans des émissions de télévision et dans des films tels que “Happy Days”, “Fantasy Island” et “Van Nuys Boulevard”, jouant toujours le Hot-Rod par excellence. La voiture avait reçu un nouveau travail de peinture après que les en-têtes mis par Hirschberg aient carbonisé la peinture en métalflake lors de la première course de la voiture à Bonneville. Au moment où il était de retour à l’écran, le Roadster arborait de la peinture noire et des rayures jaunes.
En 1989, Scritchfield et sa femme ont déménagé à Hawaï, un État qui nécessitait de placer des ailes aux 4 roues… et lui et le roadster se sont séparés ! La voiture est passée par quelques propriétaires avant d’être acquise par son gardien actuel, Bruce Meyer qui n’a aucun rapport ni de près ni de loin avec le Bruce Meyer des Buggy’s ! Avec l’aide de So-Cal Speed Shop et en travaillant directement avec Bob McGee et son album personnel, Meyer a fait revenir la voiture presque exactement à son apparence et à ses spécifications d’origine. Malgré diverses modifications cosmétiques et des changements de motorisation, la voiture est restée dans un état d’origine remarquable pour un Hot-Rod datant d’avant 1940, car la carrosserie et le châssis n’avaient jamais été modifiés de manière significative.
La restauration de la voiture a été achevée en 1999 et a participé à la fois au “50e Grand National Roadster Show” annuel et au “Concours d’élégance de Pebble Beach” cette année-là. Et comme si cela ne suffisait pas, lorsque les services postaux américains ont décidé de mettre un Hot-Rod sur un timbre en 2014, l’emblématique McGee Roadster était l’une des deux seules Ford de 1932 choisie. Bien qu’il ait commencé sa vie comme l’un des Hot-Rods les plus distinctifs, il a suivi la tradition du Hot-Rodding et s’est transformé au fil des décennies, toujours à l’avant-garde des tendances élégantes grâce à ses propriétaires. Comme Gypsy Rose dans la communauté lowrider, cette icône automobile instantanément reconnaissable a depuis servi de référence pour de nombreux Hot-Rods ultérieurs. En effet, il est maintenant difficile d’évoquer l’image d’un Hot-Rod d’époque sans que celle du McGee Roadster ne vienne immédiatement à l’esprit ! En 2018, le McGee Roadster est devenu la 16ème voiture ajoutée au “Registre national des véhicules historiques”.
2 commentaires
Mon cher Gatsby,
Une fois de plus, j’en prends plein les yeux… et les neurones ! Votre texte très didactique ne peut que contribuer à mon éducation, et je vous en remercie vivement !
Arghhhhhh ! Merci ! Notez que l’article sur la Corvette 61 me semble encore plus abouti…
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