Hot Rod Speedstar Alloway’33
Sans honte, je te le dis, mon Popu qui dévore mes écritures, intensément, chaque jour et chaque nuit : j’ai peur, j’ai les miquettes, la trouille bleue, verte, noire, la sainte trouille, j’ai les foies, la pétoche, les chocottes, je flippe ma race, j’ai les grelots, je balise, je clignote des castagnettes, je fouette du calcif, je sue des tifs, j’ai les boyaux en zigzag, les noix qui font bravo, j’ai les fumerons qui me manquent sous le ballon, bref, je psykote, J’ai peur… J’éprouve même plus qu’une petite anxiété. J’ai la certitude désormais qu’ils sont là, tapis dans l’ombre, prêts à nous sauter sur le râble, prêt à nous la mettre profond…
Nous les croisons tous les jours, ils ont l’apparence d’êtres normaux, mais ils ne sont pas comme nous, quoiqu’ils mangent comme nous, boivent comme nous, baisent les femmes comme nous, quoique parfois même les vôtres aussi au passage, mes Popu’s, mais s’ils aiment leurs enfants, leurs chiens aussi, ils n’aiment pas les “ceusses” comme nous, enfin, surtout comme vous… Bref, ils font tout comme nous, sauf qu’ils sont pas vraiment comme nous… Perso, je suis neutre, mais je ne discute plus avec les “ceusses” qui avancent des arguments contraires… Car quand je les écoute, j’ai la sensation de manger des clous…
Oui… Je cause des “ceusses” qui sont chargés de nous pourrir la vie en inventant et en appliquant des Lois liberticides… Toutes sortes de Lois, des directives contraignantes aussi, que des obligations assorties d’amendes, de punitions, d’obligations… Alors qu’on pense qu’ils n’iront pas plus loin que les dernières inventées, ils ajoutent des compléments, pires encore. Après avoir banni les libertés fondamentales, ils en rajoutent de pire encore afin d’être certain que ça va pourrir la vie des gens. Ils préconisent les moteurs électriques, mais les trottinettes électriques sont interdites d’usage…
Les gros 4X4 sont bannis des villes, les bonnes vieilles grosses gamelles V8 sont traquées pour incivisme pour pollution et surconsommations criminelles… Faites gaffe, ils tirent à vue… Ils rejettent toutes les automobiles différentes, divergentes, les Hot Rod’s, les Kustom’s, les Kit cars, les Néo Classiques sont bannis, traqués et tous ces fonctionnaires, en bandes organisées, aidés par la reconnaissance faciale, l’IA et autres, ils traquent les “Outlaws”… Ils ont leurs tableaux de chasse… Ils s’enorgueillissent d’avoir assassiné le Tuning qui ne leur avait pourtant pas porté préjudice…
Maintenant, ces “ceusses-là” qui poussent à l’électrique, font interdire les gros SUV 4X4 dans les grandes agglomérations, après avoir interdit les trottinettes électriques et ils obligent les motards à passer sous les fourches caudines du contrôle technique… Ces événements politisent inévitablement les débats, et amènent au tandem manifestations/répressions… C’est dans tous les domaines… Ils sont prêts à créer une guerre atomique mondiale parce que la Russie annexe Crimée et Donbass mais sont eux mêmes empêtrés d’avoir annexé les colonies/territoires d’outre-merde qui revendiquent leur liberté…
Nos colons qui “ont génocidé” les Amérindiens (Amérique du nord, centrale et du sud) et les Aborigènes d’Australie et alentours, qui ont créé les USA par colonisation, vol, et tout le pire de l’humain, qui créent depuis lors une guerre chaque année (ils ont atomisé le Japon et même annexé une part du Mexique et des Iles Pacifique)… sont prêts en 2024 a une nouvelle guerre atomique parce que la Russie annexe la Crimée et le Donbass ou les USA et l’Europe ont organisé et payé un coup d’Etat… Pas que là, l’Irak, l’Iran, l’Afrique, partout… Que des guerres sans cesse au nom de la liberté…
Parlons-en des libertés illusoires… Les vecteurs de communication, avec les réseaux asociaux, internet et les émissions TiVi Fake-news, rendant difficile tous dialogues et explications rationnelles démontrant que nous sommes entrés en “Dictatucratie”… Nous sommes tyrannisés sur tous les plateaux télé où “ils” interviennent librement, et y avancent des chiffres qu’ils n’ont évidemment pas vérifiés puisqu’ils les inventent… Attention, je n’ai rien contre le point Godwin. En philosophie logique, l’atteinte du point Godwin n’exprime pas l’épuisement préalable de tous les stratagèmes de conviction possibles.
En effet, la dialectique éristique, au carrefour de la dialectique et de la sophistique, répertorie trente-six stratagèmes rhétoriques, qui ne se limitent pas aux seuls sophismes et extrapolations. De ce point de vue, la loi de Godwin n’est pas une découverte scientifique originale s’agissant de l’identification de l’argument d’interruption de la controverse car la philosophie a analysé et systématisé ces procédés près d’un siècle auparavant. En revanche, son innovation réside dans le fait de s’appliquer aux discussions entre internautes et de s’exprimer sous la forme d’hypothèses probabilistes.
Par ailleurs, la loi de Godwin n’a aucune validité ni n’est démontrée ex nihilo par l’expérimentation et ne peut donc revendiquer la validité d’une loi de probabilité… 19h30 pétantes comme des culs de nonnes, me voilà à tapoter ce que vous lisez (peut-être, sinon c’est une remise à date ultérieure, qui ne doit pas avoir lieu, mais remplacée par un non-évènement qui est “désannulé” préventivement, si je puis l’écrire, et remis à une date ultérieure pré-annulée… Bref, je n’entrerai pas dans le débat pour des raisons de lâcheté. Bref, un coup d’œil à droite, un coup œil à gauche, pas de police politique, on franchit le pont-levis.
Il y a des choses immuables, des lois divines, comme le temps qui passe, les Pepito’s et ma fidélité aux soirées soiffardes. Donc, comment tapoter un compte-rendu déluré avec un esprit éveillé et libéré de tout préjugé astucieux, averti, débrouillard, dégourdi, déniaisé, dessalé, espiègle, futé, malin, vif… Bref, tout moi… Fallait-il tapoter tout ce qui précède ? Fallait-il être là nulle-part, ou être ailleurs n’importe où pour ne pas être là ? Être ou ne pas être, faire ou ne pas faire, telle est la question. Cette interrogation Shakespearienne exprime un doute absolu. Hamlet médite sur le rien en contemplant un crâne… et moi ?
Pourquoi l’humour se dégonfle-t-il ? Le “Plus cancéreux que moi, tumeur !” de Desproges révèle que le rire est une forme puissante de résistance, une rébellion face à l’inéluctable. Un humour made in Hamlet himself ! Ce dernier savait très bien à qui appartenait le crâne qu’il dressait face à son visage : à un bouffon, celui du Roi, Yorick ! Dans le cimetière où les fossoyeurs semblaient jouer avec les crânes, Hamlet se demandait : “Ces os n’ont-ils tant coûté à nourrir que pour finir en jeu de quilles ?”… Les têtes de mort ont toujours l’air de rire parce que les morts rient de s’être pris au sérieux de leur vivant.
Dans “En attendant Godot”, Samuel Beckett philosophe : “Voilà l’homme tout entier s’en prenant à sa chaussure alors que c’est son pied le coupable”. Remplacez “chaussure” par “pangolin” et “pied” par “mondialisation” et vous avez dans cette ironique pensée une bonne raison de rire des bouffons, des autres, des cons, des vaccinés, des pangolins, des chinois, des roux ou des pandas. L’homme, aveuglé de ses erreurs, rit fort du chaos du monde, tout en marchant, bancal, vers d’autres… Hamlet, reviens ! Bon… La digression est totale, je m’y perd moi-même… Je me suis pourtant juré de vérifier quelque-chose… Mais quoi ?
C’est l’univers glacé et anxiogène que distille notre Président Macron dans un monde sur le déclin, replié sur les nullités, se perdant parfois dans des réflexions bégayantes et verbeuses qui, à se vouloir trop théorique, finissent invariablement par tourner à vide avec des personnages froids et sans vie, alléchés par l’odeur de l’argent, du sexe et du sang, des nihilistes cyniques, vénéneux et obsessionnels désireux de nous mettre sous cloche, entièrement régis par les courbes des marchés et les tractations monétaires incluant des “returns” immédiats dans un nouveau monde de non-droits…
Il œuvre à ce que nos destins basculent irrémédiablement en unités de temps et de lieux, retranché dans son armure blindée où rien de l’extérieur ne pénètre sauf une sexualité déviante qu’il s’amuse à imposer… Qu’est-ce qui, alors, le relie à nos réalités ? Rien, et c’est bien-là le problème, qui causera notre perte. Peu impressionné, voire même excité par la potentielle menace d’une guerre planétaire atomique, il regarde sur ses écrans le monde se massacrer en direct et jouit de pouvoir tout amplifier. C’est un vampire dévoré par son insensibilité, son imperméabilité au malheur et à la souffrance.
Sueur, sang, bitume, crème fouettée, pisse et caniveau donnent le vertige. Alors, qu’ai-je donc le besoin de vous causer de Hot Rod’s et autres “choses” dans un tel climax de fin d’un monde ? Simple… L’opportunité qui se présente… Les Hot Rods et les avions de chasse, aussi différents soient-ils, ont aussi beaucoup de points communs. Les deux sont compatibles. Il y a des pilotes et certains volent en utilisant des ailes tandis que d’autres “volent” en pilotant des Hot Rods. Ils ressentent tous deux le besoin de vitesse et en ce cas, Virgil Winland rêvait depuis longtemps d’un Hot Rod sur le thème d’un avion de combat vintage.
Futilités ? Certes… Bien sur… Mais je n’ai aucun poids politique. Par contre, vous narrer la vie sous l’angle de passions diverses, quoique diversement appréciées voire dépréciées à desseins inavoués… Pffffffff ! Garret Kitchen de Garrets Rod Shop (GRS) a présenté à Virgil Winland ce dont il rêvait avec ce Hot Rod Roadster Ford Speedstar’33. Sa motivation étant bien sur d’en tirer une contrepartie financière à 6 chiffres… sur base d’une carrosserie Speedstar fabriquée à l’origine par Rat’s Glass exclusivement pour le Hot Rod Shop d’Alloway… 200% de profits ca$h…
Alors que la carrosserie constituait la base de la construction, Virgil Winland souhaitait toujours que le look vintage “Warbird” soit lié au thème général. C’est là que Garret Kitchen et le reste du personnel de GRS sont intervenus et ont tout rassemblé. Garrett m’a dit qu’il existait des centaines de pièces fabriquées sur mesure pour donner vie à diverses transformations. Ce Roadster appelé P-33 devait donc être évident, car saviez-vous qu’à l’époque, le “P” signifiait “Poursuite” et était attribué à des avions de guerre emblématiques tels que le P-38 et le P-51, qui étaient des chasseurs d’escorte à longue portée ?
Ce Roadster sur le thème des oiseaux de guerre regorge d’ailleurs de diverses “poursuites”… Regardez d’abord attentivement les photos, vous constaterez de nombreuses modifications thématiques qui lient vraiment ce Hot Rod aux avions de guerre du passé… La prise d’air qui sort des panneaux latéraux du capot est d’ailleurs typique. Sur les Warcraft vintage, ces bulles en tôle permettaient aux objets d’être normalement cachés dans le compartiment moteur, mais en dépassant des limites du compartiment moteur. Ils ressortent tout en conservant une bonne dose de l’aérodynamisme d’origine.
La même chose peut être dite pour Les Hot Rod’s. L’une des utilisations les plus courantes d’une bulle sur un panneau latéral de capot est de permettre aux culasses surdimensionnées des moteurs V8 modernes de sortir. Ou, dans certains cas, les tubes multi-collecteurs d’un système d’échappement. Ici, Le Warbird et le Hot Rod Vintage partagent le même besoin d’espace supplémentaire pour accueillir le moteur. Sur ce P-33, il permet au tube d’admission d’air froid de serpenter vers l’avant jusqu’à un système d’air dynamique filtré. La cuisine nous dit qu’elle est adaptée et fonctionnelle à son meilleur.
Il existe de nombreuses pièces uniques ; Kitchen a abordé ce projet en travaillant avec EVOD Industries car ils ont fait concevoir les pièces en CAO (conception assistée par ordinateur), puis les ont imprimées en 3D, et ensuite une machine CNC a découpé le produit en aluminium. Il est difficile d’avoir une bonne vue du moteur LS Chevy V8 de 6,0 L ou 376ci car il est emballé dans un compartiment moteur compact où il y a peu d’espace supplémentaire et le capot moteur lui-même est une œuvre d’art en acier fabriqué à partir de 120 pièces faites à la main par le personnel GRS de Kitchen.
Ils ont utilisé littéralement toutes les machines de tôlerie de l’atelier, en commençant par un rouleau à glissement, un rouleau à billes, un Pullmax, une presse à persiennes et un Kraftformer KF800. Il y a bien plus à faire que de “plier le métal” de nos jours ! Le Hot Rod a été peint en PPG Army Olive Drab. Et toutes les pièces en inox ont été polies. Le système d’échappement a été géré grâce à l’expertise d’ Ultimate Headers pour les collecteurs en acier inoxydable. À partir de là, les fabricants de GRS ont créé un système unique sur toute la longueur qui traverse les silencieux Flowmaster et se vide sous la suspension…
Les fils de bougies d’aspect vintage proviennent de chez Lokar Performance Products, et Cooling Components a fourni les ventilateurs électriques, un alternateur Vintage Air poli et une batterie Optima (montée dans le coffre). Les jantes Raceline Billet Bandits avec centres peints par GRS mesurent 17×7 et 20×10… Le caoutchouc vient de BFGoodrich 225/45R17 AV et 295/45R20 AR…. Le moteur LS de 6,0 L est soutenu par une transmission GM 4L70E qui transmet la puissance vers l’arrière à la suspension arrière indépendante Heidts Superride entièrement polie.
La carrosserie est celle d’un roadster Ford Speedstar Alloway ’33 (initialement posé par Rat’s Glass) qui a subi des centaines d’heures de modifications. Une grande partie de ce temps a été consacrée à la carrosserie afin de garantir une carrosserie lisse et bien ajustée. Les espaces vides témoignent de l’attention portée aux détails de construction (gag !). Notez la forme aérodynamique de la continuation “carrosserie” des appuie-têtes, le remplissage d’essence externe de style voiture de course, les ouvertures des portes qui sont remodelées et la jupe arrière inférieure inclinée avec immatriculation fantôme…
Le capot en acier unique comporte plusieurs blisters qui accueillent le paquet d’air frais. Les grandes quantités de carrosserie ont été gérées par Chris Hayes de GRS, et il a également pulvérisé du PPG Olive Drab Green (couleur Army) dans une combinaison de couche de base/vernis… Ne pas oublier également l’utilisation de cèdre espagnol dans le volant… À l’intérieur du cockpit, vous observerez immédiatement l’influence de l’avion d’époque. Le volant est calqué sur le manche et la colonne de commande de style avion (le pilier ididit est caché à l’intérieur). Le volant personnalisé lui-même a été conçu par Kitchen…
C’est avec le logiciel Autodesk Inventor et le résultat a été imprimé en 3D pour le test d’ajustement. Ensuite, un bloc d’aluminium 6061 a été usiné CNC dans l’ atelier Metal Brothers Hot Rod pour donner vie à la chose (aucun corps étranger à plusieurs constructions étonnantes n’est intervenu). Le tableau de bord est équipé d’un insert de style ailé qui abrite les compteurs de la série Moal Bomber provenant de Classic Instruments qui ont également imprimé le logo GRS sur le cadran du compteur. Steve Holcomb de Pro Auto Interior s’est occupé de toutes les coutures que vous voyez dans l’intérieur et dans le coffre.
Le coffre, en plus d’être le logement de la batterie Optima , abrite également le réservoir d’essence Rock Valley de 15 gallons qui est soigneusement recouvert par un coffre en cuir… Je ne sais plus ou j’en suis… J’ai stoppé hier soir au milieu du texte pour dormir… J’avais en tête diverses étrangetés… Que soit, je garde pour moi mes SecretsInterdits… Ce roadster à été exposé aux Autoramas de Detroit et de Chicago, au Builder’s Showcase aux NSRA Nationals , à plusieurs événements Goodguys, au SEMA et au Hot Rod Roundup (Shades of the Past) où il a remporté l’un des 7 prix Magnificent… Voilà… Clap clap clap…