1934 Hot-Rod Ford Coupe Zipper
Pendant l’ère de la prohibition aux États-Unis (1920-1933), les contrebandiers modifiaient leurs voitures pour les faire rouler plus vite que les voitures des agents des douanes et assises et autres forces de l’ordre, et cela peut être considéré comme un prédécesseur du passe-temps que sont devenus les Hot-Rod’s depuis la sortie du film éponyme avec James Dean en vedette. L’esprit Hot-Rod depuis lors, à l’inverse de tout ce qu’on aurait pu croire, a tourné le dos à cette façon d’être désaxé et rapidement le Hot-Rodding n’a plus symbolisé l’esprit de “Rebel without a cause” qui n’était qu’une fausse apologie des Jeunes rebelles sans cause qui formaient l’Amérique des années cinquante. Le film mal rebaptisé “La fureur de vivre” n’a pas bien vieilli, et la prétendue performance de James Dean ressemble plus à du Marlon Brando manqué qu’à la naissance d’un talent important.
Mais tout cela a eu une influence énorme à l’époque, une étape importante dans la création d’une nouvelle idée sur les jeunes. Marlon Brando en tant que chef de gang de motards dans “The Wild One” (1953), James Dean en dans “Rebel without a cause” (1955), et l’émergence d’Elvis Presley en 1956. Ces trois modèles ont changé de manière décisive la façon dont les jeunes hommes pouvaient être vus dans la culture populaire basique américaine. Le fait de présenter “le père du prétendu héros raté” Frank Stark (Jim Backus) en une sorte d’émasculé dans une scène grotesque ou il porte un tablier à froufrous par-dessus son costume d’affaires minables tout en nettoyant la nourriture renversée alors que Jim (James Dean) dit “S’il avait le courage de frapper maman froidement une fois, alors peut-être qu’elle serait heureuse” en dit long sur la réelle mentalité machiste américaine…
De ce fait, le film n’a pas été révolutionnaire, seulement documentaire d’une époque ou les fauchés volaient les autos des bourgeois pour en faire des Hot-Rod’s. En ce qui concerne les causes inexistantes, Jim ne se classe pas parmi les droits civiques et la résistance à la guerre, mais dans la psychologie pop. Le film s’était basé sur un livre de 1944 du même nom de Robert Lindner, et reflétait l’inquiétude suscitée par la “délinquance juvénile”, un terme alors très utilisé inspiré d’un livre de 1943 de Philip Wylie, aujourd’hui oublié : “A Generation of Vipers”, qui a inventé le terme “Momisme” et a blâmé une domination féminine ascendante pour une grande partie de ce qui n’allait pas avec l’Amérique moderne machiste. C’est comme le dégoût de Hamlet face à la trahison de son père par sa mère, les sentiments de Jim masquent un malaise, un sentiment que la vie est un choix inutile entre être et ne pas être.
En France à l’époque, cela s’appelait l’existentialisme, mais dans le Los Angeles de Jim, les rebelles n’étaient pas aussi articulés. Le décor philosophique du duel de fin du film avait été planté lors d’un voyage de classe à l’observatoire de Griffith Park où le sujet était “La fin de l’homme” avec un conférencier qui décrivait joyeusement le soleil qui grossissait jusqu’à ce qu’il explose et efface toute trace de l’humanité : “La Terre ne manquera pas”, informait le conférencier aux étudiants : “À travers les étendues infinies de l’espace, les problèmes de l’homme semblent triviaux et naïfs, et l’homme existant seul semble lui-même un épisode de peu d’importance”... La suite furent les guerres traditionnelles qui empêchèrent les gens de trop penser, le Viet-Nam et autres, toutes techniques de manipulations qui créent une population d’abrutis débiles dont la seule préoccupation est le sport qu’ils regardent en TV avachis en bouffant des chip’s.
Actuellement c’est un mix entre le Football auquel jouent des multimilliardaires “crétinisés” pour le bonheur d’abrutis fauchés/lobotomisés… et l’Ukraine débité en Fake-News officielles comme des tranches de jambon avarié qui crée un esprit artificiel de corps pour les mêmes abrutis fauchés/lobotomisés qu’on prépare à une guerre atomique globale plus efficiente/efficace que la lente désintégration par le biais de vaccins et autres “tuent-civilisations”. C’est plus radical pour arriver plus rapidement au Nouvel-Ordre-Mondial après éradication de 90% des populations qui crèvent la planète en surexploitation ! Bien, j’écris, j’écris, mais je suis conscient que pas grand monde ne comprend la lente désintégration générale, donc, j’en reviens au Hot-Rod-Zipper que personne en Europe ne connait, tant la mauvaise influence des sbires de feu Hommel (avec Nitro) ont foutu la merde partouze avant de se casser la gueule…
Les plus anciennes utilisations connues du terme Hot-Rod datent de la fin des années 1940, lorsqu’au sud de la Californie, aux États-Unis, des fauchés modifiaient des voitures volées ou venant de diverses casses et les faisaient courir sur les immenses lits de lacs asséchés situés au nord-est de Los Angeles. La “Southern California Timing Association” (SCTA) avait été créée par des aigrefins dans le but de normaliser les règles des courses de vitesse terrestre dans le but d’en tirer profit. L’origine du terme Hot-Rod n’est par ailleurs pas claire, même après 80 ans et quelques, mais cela doit venir des améliorations mécaniques, dont le remplacement de l’arbre à cames, par une version “plus chaude” quoique le terme “Hot-Road” a ma préférence plutôt que “Hot-Roadster”. Notez qu’en faits, tout le monde s’en branle !
Offerte à votre plaisir visuel, voici donc une version totalement différente des Hot-Rod’s traditionnels. Dans le monde actuel de la haute technologie et des Hot -Rods à gros prix façon Boyd Coddington (il en a profité et est finalement décédé car tel est le sort des hommes), il est difficile pour un gars ou une fille à petit budget d’avoir une voiture différente de celles de la masse. Darrell Zipp, le fondateur de Zipper Motorcars, un vétéran de l’armée américaine de la guerre du Vietnam qui est rentré chez lui en 1968 et a travaillé comme artiste indépendant avant d’être embauché par Ed “Big Daddy” Roth pour travailler sur le magazine “Chopper” d’Ed Roth avec Tom Mc-Mullen, a reconnu le talent de Darrell Zipp et a organisé une entrevue pour Darrell avec la société de maquettes plastiques à coller Revell Inc. Darrell a donc travaillé pour Revell comme chef de la recherche et du développement.
Mais c’était tout en rêvant de construire des voitures à grande échelle. En 1976, il a créé et ouvert “Traditional Street Rods” à Newville, en Californie, qui a fonctionné pendant 3 ans et demi et a fait des ravages car Darrell était toujours employé à temps plein par Revell. Il créait des Hot-Rod’s bizarres en vrai et avec Revell, ils étaient fabriqués en maquettes plastiques, dont les fameuses Zipper’s en Roadster et Coupé… Avance rapide jusqu’en 1992 et le salon du Roadster de Los Angeles à Pomona, ou le Zipper-Rod “Diamond Anniversary Deuce” a fait ses débuts et à partir de là, les gens ont commencé à appeler ce type de Hot-Rod et d’autres que Darrell Zipp avait construit, des “Zipper’s”. Remerciez-moi ainsi que ChromesFlammes intégré dans www.GatsbyOnline.com (since 1990) de vous raconter tout cela plutôt que de m’extasier devant les anciennes camionnettes déclassées de la poste Belge…
Ces vétustes choses de plus de 400.000kms, achetées en lots de 100 à l’équivalent de 50 euros pièce par divers garagistes-importateurs de Bruxelles étaient revendues telles qu’elles l’équivalent d’entre 1.000 et 4.000 euros pièces à des futurs “Vanneur’s-Kustomizeur’s” candides qui souvent tombaient en panne dès que passé le coin de la rue. C’est en grande partie pour cela que les débuts du “Kustomizing” en Franchouille furent essentiellement des “Van’s” et des “Kustom’s basés sur d’antique Peugeot 203. Il doit y avoir quelques 4.000 épaves qui pourrissent en Franchouille parfoiss encore remises en état (bidouillées) par divers opportunistes boostés par différentes émissions TV… Dans ce méli-mélo, les Hot-Rod’s tels que je les présentais dans Chromes&Flammes étaient et sont restés rarissimes et parfois malvenus conséquemment aux Pigeots203 à casquettes de toit…
Cela a engendré la “guerre du Kustom” comme maintenant la “guerre en “Ukraine”, qui s’est terminée dans une atomisation générale, en même temps que le naufrage de la presse “papier”… Tout cela est mort de mort partouze ! Pourtant Chromes&Flammes était super bien implanté dans les pays de l’est et en Allemagne surtout pour les américaines. Mais la planification générale Yankee n’en avait rien à foutre, tout n’étant que des “moyens”, d’ou un total et général désillusionnement de se rendre compte d’avoir été dupé par l’Amérique ! Bref, on va pas pleurer mais “faire avec”... Ah, le Hot-Rodding, quelle saga de Ouf’s ! J’en reviens aux Hot-Rod’s, un cran au-dessus de la moto dans le confort des créatures, qui appellent à l’enthousiasme avec en fond sonore un chant de sirènes en agonies car violées par des hordes de matins grégaires… Cela à un attrait sexuel irrésistible.
Les vétérans Hot-Rodder’s ont réinventé les Hot-Rod’s d’innombrables fois et souvent leurs efforts les plus réussis sont basés sur des concepts traditionnels. Dennis Incardone de Fairfield, en Californie, s’est ainsi façonné une longue et colorée histoire avec des vélos, des motos, des Choppers et des Hot-Rods. Sa carrière de 22 ans dans tous les domaines de l’automobile a véritablement commencé par la construction de Choppers Harley en plus d’une variété de Hot-Rod’s basés sur des voitures volées ou récupérées des années ’20 et ’30… et a culminé avec des courses sur les petits lacs asséchés de Californie. Les bagnoles modifiées méchamment décrites ci-avant étaient son gagne-petit-pains… L’inspiration initiale est venue en lisant un des magazines Street-Rodder de mon ami décédé Tom McMullen, qui présentait le Hot-Rod du chef rédacteur Brian Brennan.
Et lorsque Dennis Incardone a “télescopé” cet engin, en vrai, aux mains de Harry Claycroft lors du Goodguys de Pleasanton Fairgrounds, le virus du Hot-Rodding modifié l’a intoxiqué dur et profond. Dans la tradition classique des constructeurs de Hot-Rods à travers l’histoire pathétique du Hot-Rodding, Dennis a commencé à amasser/voler une pile de pièces pour commencer la construction. L’optimiste Dennis Incardone a trouvé un combo de groupe motopropulseur T-Touring 350ci et l’a visualisé en train de se diriger vers les terrains de chasse des Hot-Rods. Cette approche quasi séculaire imposait cependant certaines limites au constructeur telles qu’une pensée que n’aurait pas reniée un philousophe tel que Pascal : “Vous ne pouvez aller aussi loin que vos pièces vous le permettent”… Cela signifie qu’il faut attendre de découvrir/voler les composants nécessaires, ce qui peut frustrer l’amateur de Hot-Rod !
Du moins celui qui veut rouler et ne pas rester assis à espérer que les pièces nécessaires à l’achèvement tomberont du ciel. Une fois que la réalité de sa situation précaire a frappé Dennis là où ça fait mal, il a eu une révélation : Appelez Zipper Motors. Commander une carrosserie et un châssis. Chercher une pile de pièces lors de diverses réunions d’échanges… L’histoire ne commente pas le braquage de la banque, mais seulement que l’atelier/garage d’un spécialiste des Hot-Rods a été très heureux de voir débarquer Dennis Incardone de même que Darrell Zip le constructeur de Kit/Hot-Rods Zipper’s… Que du bonheur ! Dennis Incardone devenu miraculeusement riche a donc pu rapidement commander autant de pièces que possible afin d’obtenir le meilleur possible pour la réalisation de son projet de Hot-Rod.
Au lieu d’années de recherche, seulement huit mois d’attente se sont écoulés avant que les gens assignés à la construction l’appellent et disent: “Venez chercher et payer”! Dennis Incardone et son ami complice Ralph McWhirter, ont accroché une remorque fermée derrière leur nouveau Bronco et sont partis à Grand Junction, Colorado, la maison de Zipper Motors. Parce que rien n’est jamais facile, le duo intrépide a bravé la pluie et la neige dans leur effort incessant pour obtenir les pièces du projet. Bien sûr, une fois arrivés, ils devaient attendre l’assemblage final et le montage de roues en contreplaqué personnalisées qui permettraient les dégagements requis pour insérer la voiture dans la remorque. Une fois chargés, les gars sont retournés en Californie ensoleillée pour commencer l’assemblage. L’avantage d’obtenir toutes les pièces en une fois est que vous pouvez faire de sérieux progrès très rapidement.
Le temps de construction approximatif jusqu’à l’étape d’assemblage final n’a donc été que d’environ six mois très concentrés. Le châssis est une version Zipper de 108 pouces construite à partir de tubes rectangulaires de 2 x 3 pouces. Les propres modifications de Dennis comprennent l’installation de signaux directionnels discrets et l’installation de ses propres supports de réservoir d’essence à la main. Le “rearend” fut en ce cas un “Quick Change” Winters avec des essieux Dutchman et un rapport de démultiplication final de 2:70 à 1:00. Dennis a déclaré que son moment le plus mémorable dans la construction de son Hot-Rod Zipper Coupé est survenu lorsqu’il s’est rendu compte que la raison pour laquelle il n’atteignait que 10 mph à 2.000t/min était qu’il avait installé les engrenages dans le Quickie à l’envers !
Les suspensions à l’avant et à l’arrière sont constituées de ressorts quart elliptiques montés en parallèle et “snobés” avec des amortisseurs à friction propres à Zipper Motors. Dennis est un fan de l’esthétique fine de l’essieu avant tubulaire et sa version est située avec une configuration à quatre barres, tout comme le “rearend”. Les jantes avant Ford forgées ’37-41 sont montées en 15×4 1/2 Vintique’s 88 Series Billet Lakester… Et les jantes arrière correspondantes sont des 15×10’s. Dans une concession bien avisée aux normes modernes de performance et de sécurité, les freins à disque Wilwood à quatre pistons sont utilisés à l’avant et à l’arrière, percés de 12 pouces à l’arrière et percés 11 à l’avant. Un maître-cylindre Wilwood de 2 3/4 pouces pousse le fluide vers les freins lorsque la pression du pied est appliquée à la pédale Wilwood. Le contrôle directionnel est effectué par un boîtier de direction Flaming River Vega.
La connexion du boîtier de direction au “draglink” se fait par le capot dans la plus pure tradition des Hot-Rod’s. Un volant Speedway de 14 pouces se trouve au sommet de la colonne en acier inoxydable. Au lieu de subtilités inutiles comme un “Turtledeck”, Dennis a fabriqué un réservoir de carburant à partir d’un morceau de tuyau d’irrigation en aluminium de 10 pouces et l’a monté sur ses propres supports percés à la main. L’aspect professionnel de l’arrière du Coupé est ainsi rendu particulièrement unique. Les portes ont été élargies de 4 pouces pour permettre l’accès à tout corps plus grand qu’une gerbille. La hotte en acier a été fabriquée par Rootlieb et posée par le propriétaire Dennis qui a également construit l’insert de grille en acier. La “capuche” et la “jupe ventrale” ont été sévèrement ventilées par autant de persiennes que possible sous le principe : “Ne laissez aucun pouce carré sans coup de poing”. ..
Toute la carrosserie a été réalisée par Dennis et un autre de ses amis : Brian Jennings, de Concord, en Californie. Brian a également été enrôlé comme peintre. Dans un moment d’inspiration peut-être catholique, Dennis a choisi l’émail acrylique PPG Cardinal Red comme moitié haute de peinture. Dieu merci, il n’a pas non plus choisi le chapeau de cardinal. La couleur semble bonne sur le Coupé, mais ce petit Rod rouge et blanc serait quelque chose de moins que macho qui se balade sur la gourde de Dennis alors qu’il se coince à la course à des vitesses excessives. Les graphismes de “Mr. Horsepower” définissent vaguement le thème de la course et ont été réalisés par Mike Schartel et Pee Wee Flass. Les lampes Henry Ford de1928, fournissent un éclairage avant et arrière et les rétroviseurs sont des unités personnalisées Zipper.
Les composants utilitaires ont reçu soit un chromage par Sherm’s à Sacramento, en Californie, soit un revêtement en poudre par The Red Baron. Bien qu’il ne soit pas particulièrement spacieux, l’intérieur est bien quoique peu aménagé. Dennis a modifié le tableau de bord Zipper avec un panneau en aluminium pour contenir l’instrumentation technologique Moon. Un système directionnel auto-annulant empêche le pilote d’avoir à trop réfléchir lorsqu’il change de direction. Apparemment, Dennis a peu ou pas de honte quand il s’agit de faire travailler ses copains sur sa voiture. D’une manière ou d’une autre, on a demandé à Ray Ogden d’installer le câblage dans le petit lakester Coupé en utilisant des composants Gem. Les ceintures de sécurité sont également Gem. Gary Gardner de l’atelier de rembourrage de Baker à Fairfield, en Californie, est responsable du travail de couture fine dans le petit chariot de Dennis.
Les sièges escamotables de Zipper sont recouverts de Naugahyde et cuir rouge, et Gary a également façonné les poches de rangement personnalisées dans les portes et la console, tout en utilisant des tapis en laine à poils courts pour l’interface pied-sol. Il n’y a pas de chaîne stéréo, de télévision, de Playstation II, d’iPod ou d’autre appareil de divertissement électronique dans ce véhicule. Apparemment, Dennis est au courant de l’un des secrets les plus anciens et les plus sacrés de la société Hot-Rod : tout le divertissement dont vous avez besoin dans un Hot-Rod est le son du moteur et la sensation de la brise dans votre visage. Oh oui, et aussi les regards convoités des piétons que l’on rencontre en déchirant la campagne dans cette machine amusante et ultime. Certains composants clés ont été retirés comme les ailes et l’empattement de la voiture a été allongé et abaissé.
La longue calandre de style rail basculant vers l’avant et le capot allongé ouvrent la voie. Les phares flanquent la petite calandre ovale et planent au-dessus de la suspension avant chromée exposée et nous donnent le début du look. En nous déplaçant sur les côtés, nous pouvons respirer le merveilleux schéma de peinture noir et rouge avec une incrustation peinte en argent délimitant le noir inférieur du rouge supérieur. Cette incrustation enveloppe la carrosserie et donne une impression de mouvement même immobile. Un autre swoosh argenté met en valeur le compartiment moteur exposé et a l’air tout simplement fabuleux avec les tuyaux de collecteur chromés qui atteignent l’arrière. Un capot extrêmement raccourci ramène à l’habitacle à porte suicide où les indices de style ’34 entrent vraiment en jeu. Une carrosserie arrière de style berline entoure l’arrière de la cabine donnant un aspect « shorty » à la conception.
Les feux arrière sont montés bas sur la cabine et le coup de génie de toute cette voiture est la suspension arrière exposée et chromée ainsi que l’essieu arrière Quick Change. Boyd Coddington, mange ton cœur ! Cuir rouge première classe avec de grands inserts de repli et de rouleaux et des traversins lisses remplissent l’intérieur . Le cuir plissé profond recouvre les inserts de ce banc profilé avec des traversins lisses entourant ce motif au-dessus et au-dessous. Une découpe rapide est visible au centre du coussin inférieur constitue l’emplacement idéal pour le levier de vitesses Hurst à poignée pistolet. Ce cuir rouge fait son apparition également sur les panneaux de porte mettant en valeur les panneaux gris lisses avec un insert noir inférieur. Ce gris et noir enveloppe chaleureusement les panneaux arrière et les coups de pied d’orteils.
Un tableau de bord noir ovale 32 coupé contenant les jauges à face blanche Shark et quelques feux d’avertissement et tirettes sont assis sur les côtés. Le volant à dégagement rapide fait face à ce tableau de bord profond de plusieurs kilomètres et une moquette recouvre les planchers. C’est tout simplement fantastique du côté de l’apparence et du confort. Enfoncé sous le capot inclinable vers l’avant se trouve un V8 Chevrolet 350ci dans sa gloire. Il est doté de couvercles de culbuteurs Chevrolet nervurés chromés personnalisés et d’un ensemble de filtre à air chromé Edelbrock. Alimentant les quantités d’air finement réglées de carburant le carburateur Holley 4bbl est fixé au sommet d’un collecteur d’admission en aluminium Edelbrock. Boulonnée à l’arrière de ce moulin se trouve une transmission automatique TH350 à 3 vitesses qui, à son tour, renvoie la puissance à l’essieu arrière chromé Winters Quick Change.
Tout est maintenu au frais par un ventilateur de refroidissement électrique attaché à un radiateur tout en aluminium. L’expiration se fait via des en-têtes chromées personnalisées qui peuvent s’enchaîner pour que le monde entier puisse les entendre ! Une merveille d’ingénierie apparaît sous la forêt. Nous parlons d’un essieu avant chromé à poutre en I qui a été abandonné avec des amortisseurs de friction de genou de style Zipper et un arrangement à 4 barres. À l’arrière, nous remarquons un essieu arrière indépendant avec un ressort à lames transversal et plus d’amortisseurs à genoux Zipper. Cette suspension est chromée et polie jusqu’au neuf et est si propre que vous pourriez vous raser dans votre reflet. Les freins à disque sont une gracieuseté des gens de Wilwood à l’avant et à l’arrière. Le bac ventral se double également des deux réservoirs de carburant et le châssis est entièrement personnalisé Zipper.
C’est juste la perfection et grâce aux portes suicide et au volant à dégagement rapide, entrer et sortir est fort simple et facile. Et tout a l’air bien en le faisant. 5 étoiles pour ce zonker ! De l’esprit habile du grand Darrel Zipp et construit par Zipp lui-même avec les 2 propriétaires de “Fiberblast Hot-Rod’s” avant leur acquisition de la société Zipper, c’est l’une des 2 voitures construites par ces 3 grands. Comme nulle autre ! Me reste à vous présenter le Roadster sur l’article suivant… Ce Hot-Rod est proposé à 69.000$ par Classic Auto Mall au milieu de 650 autres véhicules à vendre dans un espace d’exposition pouvant accueillir jusqu’à 1 000 véhicules à Morgantown, en Pennsylvanie, situé à seulement 1 heure à l’ouest de Philadelphie sur l’autoroute I-76 Pennsylvania Turnpike. Le numéro de téléphone est le (888) 227-0914. Veuillez les contacter en tout temps pour plus d’informations ou pour venir voir le véhicule.