1935 Hot Rod Truck Pick-Up V8 Factory Five
Avant de vous causer du Hot-Rod Pick-Up V8 de Factory Five , vedette américaine de cet article publié en Mondavision Technicolor, je me dois de compliquer en vous causant d’une fin de monde, car le segment des Pony-cars s’évapore… La production de la Chevrolet Camaro prendra fin l’année prochaine, sans qu’aucun remplacement direct ne soit prévu.
La Dodge Challenger, la muscle car la plus vendue de 2022 et de 2023 jusqu’à présent, est sur le point de mourir pour laisser place à une remplaçante entièrement électrique… Il ne reste donc plus qu’une seule voiture de sport américaine à moteur avant : la Ford Mustang… Oui, car la Corvette a viré moteur central. Au lieu de faire passer la Mustang au tout électrique, avec une nouvelle plateforme, Ford a décidé de maintenir le cap avec la septième génération.
La Mustang 2024 a les mêmes proportions et les mêmes options de moteur que la voiture de dernière génération. Il n’y a pas de modèle hybride sur la liste des versions. À première vue, vous pourriez même penser que certaines des moulures de carrosserie sont les mêmes qu’auparavant. La Mustang 2024 ressemble plus à un rafraîchissement qu’à quelque chose de totalement nouveau, tant dans son apparence que dans sa conduite.
Cela donne les larmes aux yeux de la fin prochaine d’une époque… La mienne aussi, débutée avec la création de l’Olds’48 dans les année ’70 suivie de la période Chromes&Flammes “papier” devenue numérique depuis la fin des années ’90 en regroupant tous les titres… Beaucoup de choses ont changé… Pour ce qui est de la dernière vraie Muscle-Car, la Mustang, c’est la fin de la fin…
A l’intérieur. Les compteurs analogiques ont disparu, remplacés par un groupe entièrement numérique proposant cinq thèmes de conduites différents : D’abord 1°Normal, 2°Sport, 3°Piste et 4°Calme (qui réduit l’affichage pour n’afficher que les fonctions les plus importantes), mais il y a aussi un thème 5° nommé Fox Body qui reflète ce que vous verriez encore sur une Mustang de 1987 à 1993, ce qui est cool comme l’enfer.
Quoique perso j’aurais préféré un style plus dans l’esprit de mon ancienne Mustang Boss 302… Comme je suis resté Hot-Rodder, ce qui m’intéresse dans la Mustang c’est le moteur qui peut être récupéré sur une Mustang accidentée, comme les vieux Hot Rodders faisaient “Avant” qu’on se fasse chier grave avec les lois et autres emmerdes. Particulièrement en Europe…
Bordel, maintenant avec les lois liberticides étendues à l’usage des bagnoles, les Hot-Rodders survivants des pires avanies, lorsqu’ils osent se taper un Cruising, sont transpirants, moites, suintants le mauvais pinard et la chipolata avariée des fast-foods et baraques à merderies puantes, se morfondant de l’époque Chromes&Flammes des seventies et eighties, paniquant de tomber sur des gabelous, tremblant et attendant fébrilement des jours meilleurs.
Ces jours meilleurs ne reviendront plus. Certains irréductibles ont gardé une relative combativité devant les dépouilleurs qui déboulent partouzes. C’est à la dose de grossièreté que l’on est capable d’envoyer qu’on mesure le degré de morgue que l’on porte aux incultes et aux faux-culs de toutes espèces. Car les faux derches pullulent comme des lapins.
L’expression est toutefois tombée en désuétude du fait de la disparition progressive des fouteurs de merde qui ont créé la guerre du Kustom en Franchouille mais qui ont terminé en faillite, les illuminés chieurs émargeant maintenant aux petits boulots précaires. Etre escroqué de la sorte c’est fini. Je tiens en effet tête aux faux jetons, aux tartufes, aux faux-culs.
Même les trémoussements de leurs succubes ne changeront rien à ma détermination de les pourfendre. Il serait opportun de définir un concept antinomique et superfétatoire pour prévenir des récidives car les saccages du vécu sont, de toute évidence, supérieurs à ceux du futur qui fait pendre les gonades en dessous du niveau raisonnable d’estime de soi. Sachez, amis vénérés que les maniaques textuels hot-rodent…
Ma brillante démonstration justifie a priori diverses normes d’interprétations qui replacent l’interprétationniste que je suisse à mon corps dépendant, devant un dilemme, soit échouer à justifier ces normes, soit les rendre inutiles et impertinentes par cette justification même, d’autant que l’inscrutabilité de la référence peut biaiser toute escroquerie au jugement dès lors que l’extension pragmatique du principe peut pallier une indétermination.
Elle est absente en pratique, donc dès lors superfétatoire et infondée. J’espère avoir été aussi clair qu’un notaire cravaté en érection financière… Bref…plus le bruit est fort, plus vous avez de puissance. C’est généralement la partie de l’examen où je rejette les boîtes automatiques à 10 vitesses et vous dis de vous procurer une boite manuelle si vous êtes physiquement capable de conduire le bâton.
Un train avant engourdi avec une sensation de direction presque nulle n’aide pas les choses et crée parfois une ambiance de patin à glace sommaire parce que vous ne savez pas combien d’adhérence est disponible. Une fois habitué à la masse, comme avec une grosse nana, généralement on farfouille en bousculant les limites. Il suffit de gérer le poids et de garder un œil sur la température.
Un Hot Rod, là où il se sent le mieux c’est sur les routes droites où on peut tirer à donf et faisant cirer les pneus et en dégageant des nuages de fumée des pneus qui brûlent… Je sais que ça coute un pont de générer de la fumée. Cool ouiiiiiiii, mais les gens ignorent systématiquement ce genre de vains bonheurs forts couteux, autrefois titanesquement populaires.
Les gens maintenant se sentent coincés dans le temps de toutes les bonnes manières, mais certains résistent à la marche vers notre non-avenir sans combustion et les passionnés en sont d’autant plus bénis. Vive le Hot-Rodding… Les Hot-Rod’s Pick-Up style’35 présentés sont des créations de Factory Five Racing réalisées en petites séries et vendues en kit aux USA.
Fondée en 1995 en tant que Start-Up, au fil des ans Factory Five Racing est passé par tous les stades, des débuts dans un petit garage, en 20 ans la firme est devenue le plus grand fabricant mondial de kits-cars. 40 personnes œuvrent en ses locaux situés à Wareham, dans le Massachusetts (à environ une heure au sud de Boston), là où la fabrication automobile américaine est née.
Ces Hot-Rod’s Pick-Up sont propulsés des moteurs V8 aux choix des clients, Ford, Chevrolet, Dodge, voire à des “One-Off” d’artisans avec Blower et cylindrées monstrueuses de 10.000cc, tout est possible pour qui a les moyens de payer… Idem pour la boite de vitesse, auto ou manuelle avec XXX rapports… La carrosserie en composite est finie en couleurs aux choix des clients, de même que le sellerie et les tapis
Les Hot-Rod’s’ sont équipés généralement d’une direction assistée électrique, de combinés filetés réglables Koni, de freins à disque Wilwood à six pistons à l’avant et à un piston à l’arrière, de roues Wheel Smith à rayons métalliques de 18 pouces, d’une climatisation Vintage Air, d’une instrumentation AutoMeter, d’un régulateur de vitesse Dakota Digital, de vitres électriques, d’un éclairage extérieur à LED et d’un plancher de lit/benne en aluminium et faux bois.
Les sièges réglables Wise Guy sont reliés par une console centrale, des panneaux de porte et une moquette personnalisés de couleur assortie. Des tapis de marque Factory Five tapissent les sols, et les équipements optionnels comprennent la climatisation Vintage Air, un régulateur de vitesse Dakota Digital, un levier de vitesses sport électronique Lokar, un faisceau de câbles Ron Francis, une doublure Raptor et une isolation Dynamat
ll y a aussi l’option des des vitres électriques, des lumières sous le tableau de bord, d’un chargeur USB et d’un port allume-cigare de 12 volts. Un volant “Banjo” à trois branches avec des accents brillants est également une option monté sur une colonne de direction inclinable Ididit et le tableau de bord de la couleur de la carrosserie. Un compteur de vitesse AutoMeter de 120 mph, un tachymètre, une horloge électrique et des jauges auxiliaires…