1941 Willys Custom Pickup Detroit Autorama Great 8 Finalist
Une décennie après l’instauration de la dictature du “Politically correct”, me déclarer en être un, “fait” toujours très chic en société. Le slogan évoque la posture héroïque du dissident ou du résistant que menace d’écraser la dictature du “Politically correct” qui est tout à la fois un état d’esprit aux prétentions totalitaires et un mouvement social pratiquant la censure et l’exclusion… L’expression “Politically correct” vient directement des milieux de gauche des États-Unis épaulant leurs “Camarades Européens” et d’ailleurs du monde des années 1930 et 1940, où les socialistes modérés et les communistes libertaires étiquetaient comme “Politically corrects” les camarades qui acceptaient les directives venant du parti inféodé à Moscou et à son chef, Joseph Staline.
L’expression évoquait l’ironie. Quelques décennies plus tard, le terme est repris par des universitaires de gauche ou des intellectuelles féministes pour s’autocritiquer en soulignant l’écart entre les principes (politiquement corrects) qu’ils enseignaient et leur mode de vie. Là encore, l’expression est teintée d’ironie et sert à indiquer un positionnement individuel au sein du mouvement de gauche. C’est vers 1990 que l’expression est reprise par des gens situés à droite (droite morale ou économique, ou les deux à la fois) sur l’échiquier politique américain pour stigmatiser leurs adversaires de gauche. L’expression devient rapidement très populaire malgré le sens totalement inversé puisqu’actuellement ce sont les vieux barbons qui s’accrochent à leurs prérogatives.
Surtout partisanes, fussent-elles de gauche où de droite.. Actuellement, être “politiquement correct” c’est ne pas créer de vagues, accepter l’ordre et les directives, être obéissant…. En cherchant sur une base de données consacrée aux médias (NEXIS), on découvre ainsi que s’il n’y a aucun article qui mentionnait le “political correctness” en 1985, alors qu’on en compte 65 en 1990, 6.985 en 1994 et des millions actuellement. Les “Politiquement corrects” ne sont généralement apolitiques… Leurs adversaires étant de gauche ET de droite (cette dichotomie est nécessairement quelque peu caricaturale). Il s’agit d’une gauche et d’une droite qui ne s’opposent plus en termes économiques, car ils partagent une haine commune pour le néolibéralisme économique.
Mais n’ayant à proposer aucune solution de rechange économique au capitalisme, les “Politiquement corrects” et les “Anti-Politiquement corrects” qui ne sont pas des “Politiquement Incorrects”, (comme moi) ont préféré délaisser la réflexion socio-économique pour s’affronter autour d’enjeux moraux et culturels qui se définissent par “Faire du vent” et “Parler pour ne rien dire”… L’enjeu du combat entre cette gauche et cette droite, toutes deux moralisatrices est le contrôle de l’imaginaire social qui empêche les gens de trop penser et réfléchir, ce qui explique toute l’importance accordée à l’art, à la littérature et à la philosophie ainsi qu’aux mots et aux appellations. Vous en avez eu un exemple flagrant ce vendredi 28 juillet en soirée (pluvieuse) d’ouverture des jeux…
Tous unis pour placer les Transgenres, homos, lesbiennes, femmelettes à barbes et à grosses burnes, ainsi qu’hominidés sexuels s’exhibant en érections sous-jacentes afin de promouvoir le sport olympique, le tout naviguant si pas en eaux troubles car nettoyées par la Maîresse en personne, mais en en hauts et bas troublants… Le comble fut atteint avec une chantonneuse bien à l’aise, mettant la fanfare militaire aux pas de danse (mal assurés)… J’ai trouvé tout cela pitoyable, ne manquait que de les obliger à porter un tutu rose… C’était la Gay-Prade olympique… Finalement et objectivement je pense que les Russes assez Orthodoxes (même en double-sens), ont du être heureux de ne pas avoir été invité à ce bordel général… J’espère que vous appréciez ma saillie…
Les détracteurs des Politiquement corrects leur reprochent de se bercer d’illusions en croyant enrayer la discrimination en troquant “nègre” pour “noir” ou “mal voyant” pour “aveugle”. Nombreux anti-Politiquement corrects n’hésitent pas à pousser la critique plus loin, accusant les Politiquement corrects d’imposer un véritable totalitarisme sous prétexte de rectitude politique. Ceci étant dit/écrit, le discours anti-Politiquement correct souffre d’une véritable enflure verbale qui frise la mauvaise foi. La censure politiquement correcte est définie comme pire que la censure de l’Inquisition des catholiques espagnols qui menait au bûcher, pire que la censure monarchique française qui mena le Marquis de Sade à la Bastille…
Pire que la censure révolutionnaire des Jacobins qui mena des centaines d’innocents à la guillotine, pire que la censure nazie qui menait à la chambre à gaz, pire que la censure du KGB qui menait en Sibérie, pire que les Netanayens qui génocident 35.000 Palestiniens femmes et enfants en priorité pour libérer la bande de Gaza qui dispose de réserves pétrolières gigantesques dans leurs eaux Méditerranéennes (c’est le vrai enjeu depuis Arafat)… Mais si la censure Politiquement correcte est plus terrible encore que toutes ces censures, quel miracle explique que ces preux intellectuels parviennent non seulement à survivre, mais également à publier leurs brûlots dans des maisons d’éditions qui ont pignon sur rue ?…
Tout ça me génère bien évidement des maux de tête alors que ce qui m’intéresse est plus basique : savoir si par exemple un Hot Rod est politiquement incorrect, d’autant plus s’il est motorisé d’un V8 500ci de 1.000cv avec l’appui inconditionnel d’un Blower (compresseur) qui spermet une consommation dantesque de 50 litres aux 100, au mieux… Et, autre angoissante question, quel sort est à donner aux Kustom’s et Leadsled’s surchargés de peintures diverses, parfois d’un “dévilisme religieux” qui fait peur… Pour tenter d’éclairer le phénomène, un questionnement de divers philosophes devait être mené… Allan Bloom et Alain Finkielkraut disent : “Ne soyez pas intelligents, soyez tolérants”... Bof… Pas très complexe comme réflexion… Nuls ces deux là…
François Furet, lui, se désole de l’extraordinaire popularité qu’ont les Hot Rod’s et Kustom’s qui pourraient meubler les séminaires y consacrés car la tradition automobile européenne, des Grecs jusqu’aux Lumières, est mise en accusation, comme coupable de passéisme… Pour Furet, ce ne ne sont que des cris de colère et ne sont en aucun cas philosophiquement ou historiquement substantiels… Diantre, quel souk… Je n’ai vu ni lu dans aucun livre de critiques envers les Hot Rod’s et les Kustom’car’s. que ce soit d’Aristote, d’Emmanuel Kant, de John Locke, de Karl Marx, de John-Stuart Mill, de Montaigne, de Thomas Hobbes… J’ai même relu plusieurs fois “La République” de Platon, “Le Contrat Social” de Jean-Jacques Rousseau et “Le Prince” de Machiavel”… Rien…
En grossissant à l’excès l’image menaçante des Hot Rod’s et Kustom Car’s, certains se spermettent de prétendre que leurs propriétaires sont des Lucifériens masturbateurs pratiquant les rapports sexuels hors mariage entre adultes consentants. Allez savoir pourquoi… Plutôt que de nous présenter une analyse sérieuse et substantielle, Furet pousse plutôt un cri de colère anti-masturbation… Des siècles de guerre, et des costumes, des chapeaux, des uniformes, des soutanes et des guerriers, des colonels, des généraux, des partisans, des stratèges, et des politiques, des professeurs, des théoriciens du politique, des théologiens, chercheraient en vain quoique ce soit permettant aux Politiquement Corrects d’interdire toutes les dérives dont font partie selon eux… ah ah !
Ouiiii ! Les Hot Rod’s et Kustom Car’s… Les plus grands philosophes prendraient de leur temps pour coucher leurs thèses concernant le danger représenté par ces véhicules quasi diaboliques. Comment l’Occident (l’ OXYDANT), peut-il frémir devant des Hot Rod’s et Kustom’s ? Cet Occident fort de milliers de bombes atomiques, de centaines de milliards de dollars, d’IBM, d’Exxon, de McDonald, d’Hollywood, de salons du livre, de sa bibliothèque du Congrès, de ses revues littéraires, de ses centaines d’universités, de “Think tank’s”, de ses maisons d’éditions, de ses journaux et de ses agences de presses, de ses chaînes de télévision, de ses multiples éditions et rééditions et analyses de la Bible, de Platon, d’Aristote, de Machiavel, de Locke, de Rousseau, de Kant, etc… Pffffffff !
L’Occident a si bien fait le ménage autour de lui qu’il tremble maintenant à la vue d’un Hot Rod… Il est vrai qu’entre deux pôles, le politique est souvent plus important dans leurs écrits que la philosophie. Mais la philosophie politique des philosophes universalistes est elle aussi à la fois philosophique et politique. Sinon quoi ? Les seuls universalistes seraient Platon qui vante le pouvoir des philosophes-rois, Aristote qui légitime la domination des Grecs sur les métèques et les esclaves, Saint-Augustin fasciné par la grandeur de la chrétienté, Machiavel écrivant pour qu’un prince l’engage comme conseiller et qu’ensemble ils réunifient l’Italie, Locke et Montesquieu rationalisant les droits des chefs de familles propriétaires terriens,… Quoi de qui encore ?
De Marx pensant le monde pour libérer les prolétaires, d’Hegel présentant l’État prussien comme l’aboutissement de la raison… Et l’on s’insurge des Hot Rods etKustom Car’s ??? Nos zouaves aux commandes du monde, ne pensent pas le monde, mais la domination de l’Occident sur le monde. Penser la domination qu’exerce la pensée universelle, n’y a-t-il là vraiment rien que l’Occident ne puisse méditer ? La culture occidentale si abstraite, si universaliste et si rationaliste s’est d’ailleurs très souvent développée d’une façon qui suivait la puissance économique, militaire et politique des nations. Au fur et à mesure que la puissance commerciale et militaire de la Grèce décline, l’évolution de la pensée grecque (Platon, Aristote) s’arrête au profit de la pensée romaine…
Celle de Cicéron, puis qui passe à l’aire chrétienne (Saint-Augustin, Saint-Thomas), puis anglaise (Thomas Hobbes, John Locke), puis française (Montesquieu, Jean-Jacques Rousseau), puis allemande (Emmanuel Kant, Fredrich Hegel, Karl Mark, Nietzsche, Martin Heidegger), puis aujourd’hui américaine (John Rawls)… Je les ai tous lus… Ce qui me pousse à dire et écrire : “Ne voyez-vous pas que la pensée Politiquement correcte, toute universelle soit-elle, court toujours dans le sillage de l’argent et des armes ?”… Comment préserver l’universalisme et la rationalité de notre pensée dans un tel contexte ? Les grands prêtres d’une vaste cérémonie de paranoïa collective face à un déferlement “Politiquement correct tyrannique” !
Résultat : si on lit toujours très peu Fanon et Menchù à l’université, on y lit tous les jours Platon, Montesquieu, Molière, Balzac ainsi qu’une multitude de slogans publicitaires de Coke, Volkswagen et Stellantis… Furet et Bloom ont été ridiculement alarmistes, scandaleusement aveugles. Plutôt que de se livrer à une foire d’empoigne, ils devraient cesser de tout analyser et régenter d’un point de vue moral et culturel et revenir à des considérations socio-économiques. Ils devraient également cesser d’entretenir une vision dichotomique, manichéenne du monde, et admettre que la réalité sociale et intellectuelle est trop complexe pour ne se diviser qu’en deux camps opposés. Certes, les pratiques socio-politiques et intellectuelles des “Politiquement corrects” sont néfastes…
… Friedmann et Hayek l’ont bien expliqué : impossible de dévier de ces lois économiques sous peine de catastrophes sociales. N’y aurait-il pas là une véritable tentation totalitaire visant à contrôler la pensée et les mots ? Bref, ce discours à prétention universaliste et rationaliste de l’économie libérale ne cherche-t-il pas à imposer une rectitude politique bien plus implacable et inquiétante que celle du mouvement Politiquement correct ? Vacuité substantielle, tolérance radicale… Cette formule du sociologue Ulrich Beck semble parfaitement adaptée à ce que nous vivons aujourd’hui. Les extrêmes sont devenues monnaies courantes, y compris chez ceux que l’on qualifiait autrefois de raisonnables qui grimpent à leur tour, le cœur léger, dans le train des outrances.
L’extrême centre lui-même fut amplement théorisé. Dans un univers où c’est la modération qui étonne, la pratique démocratique fait désormais systématiquement appel aux dérives. Une culture belliqueuse s’est implantée dans le paysage politique et sociétal. Dans sa guerre du Péloponnèse, Thucydide avait décrit cette mécanique de la haine des autres débouchant fatalement sur la guerre totale. Les poisons menaçant notre démocratie ne sont pas d’autre nature que cette dynamique de guerre civile contée par Thucydide. Celui-ci montrait à quel point les processus de polarisation font sombrer dans la partialité, privent de tout recul. Exactement comme les habitants de Corcyre, persuadés en 427 avant J.C. de leur victoire totale…
Ils s’étaient laissés aller à une colère et à des postures radicales, toutefois légitimes à leurs yeux. A l’issue de leur victoire (grâce à l’alliance nouée avec la cité d’Athènes incarnant alors l’Etat de droit), les démocrates de Corcyre se vengent brutalement sur les oligarques, faisant couler sans hésitation leur sang comme celui de leurs soutiens. Subtilement, Thucydide suggère l’inutilité de l’éradication de l’adversaire car toute victoire totale est par définition dangereuse, déstabilisante. La victoire totale porte en son sein les graines de la perversion, car les démocrates ne valent dès lors pas plus que les oligarques. Si l’objectif des démocrates de Corcyre était de pérenniser leur système, ils usèrent cependant pour y parvenir des mêmes méthodes que leurs ennemis.
L’essence de la démocratie, pourtant, est de ne pas réduire son adversaire au silence, encore moins de l’éradiquer du système. John Stuart Mill expliquait que c’est précisément pour n’avoir pu consacrer de vainqueur que les guerres de religion ouvrirent la voie de la coexistence entre réformés et catholiques. Si nous acceptons, rappelle Tocqueville, de nous retrouver aujourd’hui parmi les perdants d’une élection, c’est dans l’espoir que nous soyons victorieux demain. Hier comme aujourd’hui, la violence sous toutes ses formes ne peut être évitée qu’à la condition expresse d’abandonner ce mythe de la victoire totale. N’attendons jamais – n’espérons jamais – la défaite consommée de l’autre, qui sera nécessairement la voie royale vers la violence.
Tandis que l’impasse et que le doute mènent à la tolérance envers l’autre, dût-on le haïr. Orwell mettait en garde contre la polarisation, Huxley contre la tyrannie. Saviez-vous que les modérés de Corcyre furent, eux aussi à leur tour, massacrés ? Leur hésitation à prendre parti (entre démocrates et oligarques) fut interprétée comme une injure envers ceux qui risquaient leur vie pour leurs convictions. L’existence même de ces modérés à Corcyre – et leur survie – était devenues un affront aux polarisés de tous bords. Pour les belligérants des deux extrêmes, la modération n’était plus acceptable. La modération n’était plus que lâcheté, voire complicité. Moralité : même un démocrate est capable de se transformer en dictateur, si c’est pour de bonnes raisons…
Pour beaucoup d’entre nous, aujourd’hui, notre démocratie est devenue aliénante, elle tourne parfois au totalitarisme. Autrefois laboratoire de l’humanité, la France devient progressivement une civilisation périmée. Elle a renoncé à la politique. Elle n’a plus rien à apporter au monde. Elle n’est plus qu’une sorte d’assemblée de copropriétaires rébarbative. Ses disfonctionnements à tous les niveaux douchent toute espérance d’une vie meilleure. Pour beaucoup d’autres, ce pays est synonyme de brutalité, de brimades. “Il faut obliger les gens à être libre”, lançait Jean-Jacques Rousseau. “Le prix de la liberté est la vigilance éternelle”, avertissait Thomas Jefferson. Mais à quoi sert-il d’être libre et miséreux, libre et jamais considéré ?
Il ne me reste qu’à décortiquer le Hot Rod décrié par les sommités de la Philosophie. Il est difficile d’imaginer que cette Willys 41 Pick-Up, ma foi très chic et Classe, puisse devenir l’objet d’une crise quasi existentielle… et surtout créer une telle polémique… Eh bien, peut-être pas dans sa tenue actuelle, mais ce Hot Rod semble être l’héritage de nombreuses voitures ou camions Willys ! Il est rapporté que ce camion a couru à Lakeland Drag Strip en Floride, mais a passé ses soirées chez lui à Memphis, dans le Tennessee. C’est là que Steve Legens de l’atelier Legens Hot Rod à Martins, Tennessee, a trouvé et construit ce pick’up pour Seth Wagner de Crystal Lake, Illinois. Seth est un passionné qui a toujours voulu plus.
Je n’ai pas envie de contester quatre années d’efforts considérables de la part de LHR et l’effet cumulatif de 241 modifications artisanales… Ce Hot Rod a fait ses débuts à l’Autorama de Détroit, remportant la reconnaissance de toute l’Amérique des HotRodders en remportant le Great 8 pour le prestigieux prix Ridler. La Willys a été construite sur un châssis LHR en tubes d’acier de 125 pouces. L’ancrage du châssis à empattement de 100 pouces est un Kugel IFS avec des amortisseurs hélicoïdaux Aldan et des rotors/freins à disque Wilwood de 13 pouces actionnés par un ensemble maître-cylindre/pédale Kugel. La direction se fait par le biais d’une crémaillère Sweet et l’’IRS est basé sur un Quick Change Winters à glissement limité de 4,11
Il y a dans ce fourbi du diable, des montants et des essieux Kugel, des freins à disque Wilwood, quatre amortisseurs hélicoïdaux Aldan et beaucoup de chrome et de polissage. Les jantes Budnik Revolver sont des 20×8 1/2 AV et 22×10 AR équipées de pneus Nitto en 245/35/ZR20 et 285/35/ZR22. À l’intérieur, le pick-up est tout aussi unique, tout est personnalisé, modifié à la main et tiré de l’imagination de Steve. Le tableau de bord et les gabarits fabriqués abritent les Classic Instrument à cadrans personnalisés avec un logo “W” pour Seth Wagner. Le levier de vitesses est un McLeod. L’air conditionné est un Vintage Air et il y a aussi un système DVD/GPS Eclipse qui alimente les haut-parleurs Pioneer de 4 pouces et 6 x 9 pouces.
L’isolation provient de Dynamat et le câblage de Ron Francis, deux systèmes installés par LHR. La colonne de direction Flaming River est surmontée d’un Volant Holden ’52 de Pearlcraft (Australie) équipée d’un bouton de klaxon personnalisé. Les garnissages sont en cuir de buffle dans une teinte caramel avec une moquette en velours safran. Les panneaux de porte, le rétroviseur, les bouches de climatisation et les pédales sont tous des LHR, taillées dans de l’aluminium… Voilà, vous ai-je tout écrit sur cette Willys… Non ! Heureusement, je me dois d’estimer qu’il n’y a plus assez de place pour vraiment rendre justice à toutes les modifications et à l’artisanat tout simplement astucieux de cette Willys.
– Professional build by Legens Hot Rod Shop in Martins, Tennessee
– 241 handcrafted body modifications
– Detroit Autorama Great 8 finalist
– Featured on the cover of Street Rodder and Super Rod magazine
– Custom steel tube chassis
– Supercharged 5.7L Hemi engine
– Winters quick-change rear end with 4.11 limited-slip gearing
– Intercooled Magnuson supercharger
– FAST injection and computer system
– Vintage air conditioning
– Independent front suspension with Aldan coilover shocks
– Independent rear suspension with four Aldan coilover shocks
– Wilwood 4-wheel disc brakes with 13-inch front rotors
– One-off 20×8.5-inch front and 22×10-inch rear Budnik Revolver wheels
– Nitto 245/35/ZR20 and 285/35/ZR22 tires
– Rack and pinion steering
– Kugel underdash master cylinder/pedal assembly
– Inland Empire polished aluminum driveshaft
– COMP Cams camshaft
– Stainless steel headers and custom exhaust
– Magnaflow stainless mufflers
– Custom fabricated dashboard and gauge pods
– Classic Instrument gauges with custom faced with W logo
– Custom-built floor mounted console
– Eclipse DVD/GPS stereo with Pioneer speakers
– Dynamat insulation
– Ron Francis wiring
– Flaming River steering column
– 1952 Holden wheel by Pearlcraft with custom horn button
– Buffalo leather bucket seats
– BMW velour carpeting