Pfffffffffffffffff !
Les êtres humains que vous êtes, mes Popu’s que j’aime parce que vous êtes abonnés à mon Website 3 en 1, possèdent divers besoins biologiques tous fondamentaux dont vous ne pouvez vous passer pour vivre et qui donc conditionnent vos vies. Vous êtes programmés pour : Survivre. Manger/boire… Vous libérer des peurs, douleurs, dangers… Avoir un/une partenaire sexuel pour perpétuer l’espèce et prendre du plaisir… Vous créer des conditions de vie confortables, prospérer… Être supérieur aux autres, gagner, dominer… Protéger qui est avec vous… Avoir une reconnaissance sociale…
De grandes marques ont créé des empires en sachant cela et ont donc proposé des produits ou services, voire sévices, qui répondent à ces besoins : Mc Donalds (manger)… Coca Cola (boire)… Apple et Ferrari (obtenir la reconnaissance sociale)… Meetic, les boites de nuit (rencontrer l’âme sœur ou un(e) partenaire sexuel/le)… Plus vous réussirez à répondre à un besoin profond, plus vous pourrez vous vendre et vendre votre produit cher… De là découle le consumérisme qui est de la psychologie destinée à faire acheter aux autres très cher ce dont vous n’avez pas réellement besoin.
En découle l’obsolescence programmée des produits phares pour que vous les rachetiez le plus régulièrement possible, et en finale le consumérisme vous matraque, car c’est l’art et la manière de vous embobiner à acheter frénétiquement tout cela… Chromes&Flammes à ses débuts tombait pile-poil à un moment déterminé en Europe (dont la France) pour présenter un loisir automobile typiquement américain que strictement personne sauf des journalistes comme Jean-Lou Nory qui oeuvrait pour l’Auto-Journal, n’osait en publier quoi que ce soit qu’on voyait malgré tout dans des films pour cinémas de quartier…
C’est comme ça que les films Easy Rider et American Graffiti sont arrivés en Europe et que les loubards en Harley ou en vieilles américaines ont eu droit à 2 ou 4 pages dans quelques rares magazines. Chromes&Flammes est ainsi né parce que la presse ne diffusait que du “politiquement-correct”, des “chiens écrasés” et des comptines fleurs bleues pour femmes au foyer… En présentant la première exhibition de Dragsters sur le mythique circuit des 24heures du Mans, plus de 100.000 visiteurs d’un coup y sont venus sur 2 jours et ce fut le succès immédiat car cela répondait à quelques besoins biologiques fondamentaux…
Cela a amené divers énergumènes également poussés par d’autres besoins biologiques à venir me faire la guerre pour me ravir des parts de marché… La guerre du Kustom s’est ensuivie, chacun des camps s’affrontant jusque sur les shows et concentrations de tentes de camping qu’étaient les réunions de Kustomiseurs dans lesquelles se retrouvaient d’autres besoins fondamentaux sexuels qui se libéraient dans les Van’s… Belle époque que les plus âgés d’entrevous ont vécu… Ce n’est pas vraiment terminé, mais ce n’est plus du tout pareil car le Groupe Hommel a fait une faillite en centaines de millions…
Et ses sbires obéissant se sont retrouvés dans les caniveaux, certains survivant des éternels “chiens écrasés” avec des piges misérables, d’autres échouant en prison en Thaïlande pour des affaires sexuelles avec des gamines de 12 ans… Tout le monde étant de surcroit atteint par les changements sociétaux d’un monde en apocalypse flirtant de plus en plus vers les solutions radicales d’une apocalypse nucléaire pour camoufler leurs turpitudes financières jusqu’aux plus hauts niveaux corruptifs… C’est dire/écrire que vous causer de Hot Rodding et de Dragsters, c’est une persévérance quasi “survival” couteuse…
Après avoir constaté que les principales attractions sont maintenant quasi interdites par des lois liberticides édictées pour sauver l’industrie automobile, qui se casse malgré-tout la gueule en entrainant jusqu’à nos illusions et démontrant par l’absurde que nous votons pour des gangsters, des crapules et des arrivistes qui n’en ont strictement rien à f… de nos gueules d’imbéciles… Je n’irai pas jusqu’à écrire qu’on entre en résistance car cela donne l’image des concierges dénonçant tout le monde… Curieusement, c’est tout cela qui me donne le bonheur d’avoir 75 ans, ce qui suppose divers double-sens…
Ils sont liés aux espérances humaines de vie… Donc, c’est le moment d’en arriver à ce sujet avant que je préfère retourner à mes besoins fondamentaux qui rétrécissent en vieillissant, baiser moins, manger moins, boire moins, dormir moins et râler de plus en plus… En Hot Rodding, tout est souvent galvaudé pour étiqueter. Bien sûr, il y a encore beaucoup de marge de manœuvre entre les avis et commentaires en regard des réalités qui paraissent irréelles car un vrai Hot Rod est incroyablement décroché de toutes les habitudes…Il y a quelque temps, le badass était la norme, pour donner l’impression de l’extravagance
Il n’y a rien en ce sens en France, en comparaison des USA, de l’Angleterre et de divers pays nordiques… Les Rods français sont rares et les Kustom’s en voie de disparition sont (ou étaient) issus de divers bricolages détournant les lois liberticides… La Franchouille se gargarise les amygdales du style “ni trop en faire” glorifiant avec nostalgie une Simca Aronde top choppée avec un moteur de tondeuse à gazon comme étant le summum. Pffffffffff ! … Aucun n’a de châssis entièrement tubulaire propulsé par un V8 Ford Shelby FE en aluminium 526ci de 700 chevaux soutenu par une transmission manuelle à six vitesses Tremec.
Le concept d’être subtil a été mis dans un avion et envoyé en vacances en Ukraine dont on nous bassine la tête… À quel point le hors du commun est’il perçu en Europe ? Eh bien, la réalité est que nous nous sommes ruinés pour les couilles et le pénis de Volodimir Zeelinsky qui a remercié les donneurs et la donneuse en chef d’un retour sur investissement de 50%… Nous en avons été ruiné, rien ne va plus… On a confondu la roulette russe avec celle des casinos… Qu’on se soit fait “enculer” est une image réelle… Avec un peu de civilité ajoutée pour rendre l’enculade générale amusante car c’est raide et ce fut rapide !
Mais aussi parce que toutes et tous se comportent sans révolution, la soumission étant totale, bien huilée par les assistances financières… Nos politiques, ils et elles sont rapides comme l’éclair sans utiliser d’embrayage. C’est pareil que tout ce dont nous rêvions qu’un Hot Rod puisse être sur la route, sans tous les effets secondaires brutaux. Trop obscur pour avoir un sens commercial et trop chronophage pour être un projet personnel. L’Europe n’aurait pas dû être construite, et pourtant elle est là, nos chefs et cheffes font un doigt d’honneur perpétuel aux européens obligés d’en être. Bref, faut être bref et pas beauf…
Je me dois de ne causer que du “causable”… Je ne puis que retomber à vous tapoter une histoire de Hot Rod des USA , ou ils et elles sont devenus Trumpistes en très large majorité… Et cela cela correspond à ce qui est réellement en Russie, en Chine et quelques autres formant plus de la moitié du monde… On ne peut que constater qu’y sont développés des projets de passionnés visant mieux que la survie Franchouillarde ou prospère le transgénisme Macronien, et je pense que c’est ma phrase finale de l’écœurement global. qui dépasse la moitié du long de cet article… Pffffffff ! Trois fois que ce terme est tapoté…
Je m’attaque donc à cet instant à vous causer du Hot Rod bien illustré de 18 photos… Construire un Hot Rod réel de ses mains pour réaliser une machine exceptionnellement douée pour aller exceptionnellement vite, ce n’est donc pas l’ABC d’une construction traditionnelle rapidement identifiable et indéniablement cool quoique même controversée. Construire un Hot Rod tel que celui-ci, devrait être dans la liste des choses à faire avant de mourir. Qui pourrait ignorer l’attraction ? Du non-conventionnel présente divers défis. L’idée était de prendre une voiture improbable et d’en faire un Hot Rod génial.
L’inspiration est l’objectif. Il fallait un châssis sur mesure et de premier ordre, conçu par des gens d’expériences. C’est là qu’est intervenu Ron Sutton Race Technology. Ensuite, l’équipe a allumé pour la première fois le moteur. Un projet se déclenche-t-il du premier coup ? Il y a toujours une certaine difficulté après avoir construit une voiture entière. Les chances de tout avoir raison sont proches de zéro. Frustrations à répétition alors que la cervelle est grillée par toutes les nuits tardives. Des questions incessantes ont suivi… Mais à quoi ressemble la conduite ? Chaque Hot Rod a une personnalité, et deux mêmes…
Cela avec des pièces similaires, peuvent être des expériences de conduite totalement différentes. La conduite est rigide, mais avec l’amortisseur réglé sur du beurre complet, ce n’est pas choquant. Les engrenages “en anneau de chien” sur la boîte de vitesses nécessitent des changements de vitesse rapides, mais c’est amusant plutôt qu’ennuyeux. Les changements de vitesse sans embrayage à haut régime sont un rêve et un plaisir à mourir de rire ! On craignait que les supports envoient trop de vibrations à travers le châssis, mais les tubes à parois épaisses absorbent toute la dureté. C’est un non-problème total…
La visibilité est bonne, les freins sont excellents et la direction est outrageusement rapide sans être trop sensible. Le Hot Rod prend des virages en équerre… En prime, on peut même avoir une conversation à l’intérieur du Hot Rod pendant qu’il roule. Oui… Yes… Yeahhhhhh ! À grande vitesse, le moteur Shelby et l’échappement personnalisé ont un son incroyable et il n’y a aucun gaz d’échappement provenant des tuyaux d’échappement qui refflue dans l’habitacle. L’intérieur est tout simplement amusant à vivre. Il s’agit d’un Hot Rod, mais son ajustement et sa finition ressemblent à ceux d’une voiture d’exposition.
C’est un Hot Rod de vrai Hot Rodder et la passagère est là pour se taire et profiter de la balade en attente d’une baise épique, quasi surnaturelle, qui dans ce cas est juste la quantité parfaite. Moteur : Shelby 526ci en aluminium Ford FE ; 700cv avec carter sec Aviad… Pile à combustible via Cellule Fuel Safe de 22 gallons avec pompe Aeromotive… Transmission T56 à six vitesses de G-Force avec anneau de la première à la quatrième vitesse… Essieu arrière Speedway Engineering Ford 9 pouces avec Speedmaster à rapport de démultiplication de 3,89:1, différentiel à vis sans fin et essieux à 31 cannelures…
Ce n’est pas tout mes Popu’s que j’aime, encore quelques lignes et hop… Châssis GT Track-Warrior par Ron Sutton Race Technology… Direction à crémaillère à double puissance… Amortisseurs, ressorts hélicoïdaux réglables Penske avec réservoirs à distance… Disques et étriers : StopTech 14 pouces trophy road racing brakes… Maîtres-cylindres d’embrayage et de frein : Wilwood… Voilà, terminé, si ce n’est que le proprio du bestiau noir, possède également un Hot Rod T à compresseur. Je ne sais que vous en montrer que cette seule photo, les autres se sont perdues dans les arcanes de mon ordinateur…