Roadster Magnolia Special…
Entre 2008 et 2020, le “Roadster Magnolia Special” a été créé et construit, il ne venait de rien pour n’aller nulle part. Son géniteur n’en avait rien d’en avoir à en faire et nulle part où l’amener, ni aller au-delà de tout effort et de causalité. Dans la nature de son esprit, il n’y avait surement plus de place pour en méditer, pas de but concret à atteindre, pas d’étapes ou de finalité régénératrice à suivre, pas de mandala à créer, pas de récitation de mantras, ni de besoin de créer ou d’accomplir autre-chose ! Il n’y avait plus même l’ombre d’un but, ni de rumeur d’une destination à choisir… Juste le besoin d’une envolée vers un autre nulle-part pour se dépayser un peu. Jusqu’à rêver de faire semblant de voyager comme le dit l’adage : “Dans le voyage l’important, ce n’est pas la destination, c’est le taux de CO2 relâché dans l’air”… Personne n’avait pensé à un moyen aussi basiquement simplissime pour rouler en Roadster “à l’ancienne” dans nos années 2000/2010/2020 ! “Venir de nulle-part pour aller vers l’infinité du rien”… était-ce la seule alternative ?
Une sacrée affaire ! Si on devait expliquer ce concept à un Pangolin sachant comprendre, penser et parler, la bestiole dirait : “Ok, vous savez, finalement, pourquoi dépenser autant d’argent pour n’aller nulle part ? Ne pas savoir où on va, c’est déjà notre quotidien ! On ne sait pas si on pourra encore aller boire des coups la semaine prochaine, on ne sait pas si on doit annuler ou pas ! En plus pour n’aller nulle part, c’est gratos !”… Alors quoi ? Faut-il venir en aide aux pauvres gens où aux gens pauvres ? Faut-il fréquenter les pauvres cons (et connes) ou les cons (et connes) pauvres ? Quitte à réaliser et rêver de commercialiser des choses dont des automobiles gratuites dans leur esprit, mais horriblement couteuses dans leur réalité ! C’est absurde ! Je propose en cette réflexion idéalisée qu’on commercialise le saut en parachute sans parachute… Comme ça on laisserait Darwin opérer le vol vers nulle-part, sans retour possible, gravité oblige, on mettrait ainsi l’art de rebondir, la résilience, au pinacle du nul !
L’affaire était complexe à “couvrir” afin que GatsbyOnline soit le premier à en causer, car vous vous doutez, chers tousses, que “la presse” qui est avide de reportages exceptionnels, est prête à toutes les bassesses ! Les journaleux ont faim et soif et leur pitance dépend de ce qu’ils peuvent obtenir en tant qu’individualistes œuvrant essentiellement dans un but très lucratif. Dans le but de sodomiser à tout va et à tout vent ,les journaleux se regroupent dès-lors en bande et en meutes s’activant à se coopter entre-eux selon des statuts faisant régulièrement l’objet de railleries de la part des gens des “Relations-publiques” qui se précipitent ventre à terre dès lors qu’ils sont appelés pour une baiserie générale à l’occasion d’un salon automobile, voire de séances d’essais façon BDSM, assistées par de belles “RP” affublées de qualificatifs aussi flatteurs que “Superbes baiseuses, bonnes pipeuses et gratouilleuses hors-pair de couilles”… Toutes mâles-heuresement dirigées par leurs patrons “Séniles, Hors-sol et Corrompus”… mais à l’abri des impôts ! Un monde relativement pourri…
Certains membres de cette association, forts d’un investissement personnel d’une déraisonnable intensité perverse, perçoivent ainsi, des sur-mensualités, ce qui, au regard des médiocres tarifs usuels de l’inactivité crasse du journalisme automobile, relève objectivement de divers sérieux “coup de pouce” et de plusieurs “palettes de beurre dans les épinards” de la part des constructeurs : Invitations dans des palaces, cadeaux de marques telles que des montres ou des bouteilles de vin, accès privilégiés à des sauteries désorganisées et à divers avantages en nature ! Ils sont qualifiés en bloc d’être “un cartel de salopards”, à la fois ultra-courtisés et totalement méprisés. L’argent y dépensé pour obtenir “des avantages”, participe de cette même bulle à facettes et faussaires, où tout semble être passé à la broyeuse dorée à l’or fin ! Surtout ce qui pourrait ressembler à un enthousiasme sincère ou une admiration sans arrière-pensée… C’est un univers que je dépeins avec une morgue “néovintage” assidue et sans efforts dans le site www.GatsbyOnline.com …!
JT Nesbitt n’est heureusement et toutefois pas un “Grand-Constructeur”, c’est un artiste et un artisan du Québec, le genre de personne qui rêve de quelque chose de relativement tangible et passe les six années suivantes à en imaginer et comprendre tous les détails avant qu’il n’en débute la construction. Il n’a toutefois pas peur de quelque chose qu’il ne sait pas faire. Il passe juste du temps à apprendre dans le but de sortir un obstacle de son chemin. C’est le genre de gars qui ne quitte jamais sa maison sans son carnet de croquis, sachant que ses idées coulent toujours à quasi-rien et prennent des années à se concrétiser. JT Nesbitt se considère en effet comme (tenez-vous bien, ça dépote grâve) : “Un environnementaliste ayant un lien profond avec l’environnement dans lequel il vit”. JT Nesbitt n’a pas fuit la Nouvelle-Orléans après l’Ouragan Katrina, que nenni, en fait, il a creusé plus profondément la terre et aidé ses voisins autant qu’il le pouvait. C’est dire que “Le Cartel” n’avait pas sa place ici et que j’ai ainsi pu me positionner sur ce reportage exclusif sans devoir coucher avec lui et une horde de harpies “RP” perverses… J’étais seul sur ce coup, trop seul pour être honnête
JT Nesbitt a créé sa propre entreprise dans le quartier Français appelé Bienville et y a réalisé sa conceptualisation de son improbable “Roadster Magnolia Special”, affirmant partouze qu’étant du Québec, il ne devait pas être étonnant aux yeux du reste du monde que son Roadster n’ait pas l’air britannique ni même français, voire même européen : “Mon Roadster Magnolia Spécial est unique et carbure plein-pot au gaz naturel comprimé, il a été conçu et construit à la Nouvelle-Orléans. Le développement a commencé en 2008 et s’est terminé quelques temps plus tard (12 ans quand même !) en 2020, utilisant le moteur 4,2 litres straight-6 de la Jaguar E-Type (en réalité récupéré sur une XJ6 dans une casse automobile)... puis spécialement converti pour fonctionner au GNC. J’ai choisi ce moteur en raison de sa sortie de couple élevé et sa taille fine façon pin-up ! Le moteur sort 200hp et 300nM de couple et comme mon Roadster ne pèse que 2.700 lbs il a un rapport hp/poids légèrement meilleur qu’une Porsche pas trop minable. L’équivalent de notation d’octane pour le gaz naturel est 130, par conséquent, pour cette compression élevée de 12.5:1 les pistons ont été spécialement forgés et des camshafts de courte durée utilisés”...
Vous avez peut-être remarqué les grands éléments chromés sur les deux côtés de la voiture… ils sont en fait les réservoirs de Gaz Naturel “GNC” et ils servent aussi en tant que raidisseurs du châssis (sic !) tout en offrant de quoi parcourir une portée totale de plus de 700 miles. La carrosserie a été entièrement fabriquée des nobles mains/paluches de JT Nesbitt à partir d’aluminium… et l’intérieur a été créé sur mesure. Malheureusement ou heureusement selon que vous aimez où détestez le résultat final, JT Nesbitt n’a pas l’intention de mettre son Roadster Magnolia Special en production, donc ce fut et c’est et sera définitivement le premier et le dernier exemplaire que vous verrez de votre vivant et même à l’infini !
Ça a eu donc l’air presque d’un crime, lorsque JT Nesbitt et son ami se sont mis en tête de partir à la conquête de rien que le vide intellectuel de l’Amérique, juste et simplement JT Nesbitt et son ami Max Materne dans une sorte de tournée des bars des États-Unis en automne, de la Nouvelle-Orléans à New York, puis à travers les USA sur la Route 66 afin de mettre en valeur et en évidence la viabilité du Gaz “GNC” comme étant une source de carburant automobile fiable et d’avenir. Une noble initiative qui n’a eu aucun écho, pas la moindre retombée. Le monde entier a ainsi démontré se moquer totalement du Gaz “GNC” ! Avec un équipement préhistorique de course installé à bord, l’accent québécois de l’œuvre s’est déplacé vers la création de la carrosserie, utilisant la technique “Super léger” avec des éléments de châssis “Stringer” renforcés avec des tubes en acier entourant la cabine de pilotage (l’habitacle). L’habillage s’est fait avec des feuilles d’aluminium des séries 1100 et 3000 (dont l’épaisseur varie de 0,045 à 0,135), formés “à la main”. Et c’est un système d’attaches en laiton permettant l’enlèvement plus où moins facile de presque tous les panneaux de carrosserie qui a été utilisé pour faciliter l’accès au châssis et effectuer la réparation des dommages éventuels.
L’ensemble de l’instrumentation a été conçu, exclusivement construit et attelé à un harnais métallique d’architecture robuste, mais élégante. La plus grande attention aux détails a été accordée à la création d’un système électrique qui serait théoriquement imperméable à l’eau mais facilement inspecté… Des montages divers d’éléments “avioniques” ont été utilisés. Les poignées des portes (inutiles), les loquets à capuchon, le porte-bagages et divers autres appareillages ont été fabriqués spécialement en acier inoxydable. La carrosserie a finalement été peinte à l’aide d’une combinaison d’amorce d’époxy et de polyester, avec un top-coat d’uréthane, tandis que la sellerie a été conçue avec amour (sic !) d’une manière traditionnelle et très conservatrice !
À l’automne 2011, après validation et essais d’endurance, le Roadster Magnolia Special s’est lancé dans une course record inutile d’un océan à l’autre, de la Nouvelle-Orléans à New York à Los Angeles, parce qu’elle avait été construite dans cet esprit. Chaque décision d’ingénierie étant inspirée par le désir de produire une voiture de course d’endurance longue distance “à l’ancienne” dans l’esprit du Québec afin de vanter au monde entier les vertus d’un carburant domestique propre ! Des considérations esthétiques typiquement locales ont été appliquées en sus, les influences régionales prenant le pas de toutes considérations mondiales. Et le 25 octobre 2011, le Roadster Magnolia Special a tenu sa promesse – La Nouvelle Orléans à New York à Los Angeles en seulement 89 heures, en consommant exclusivement du Gaz “GNC” !
J’ai eu “Le privilège” de recevoir la copie des notes officielles de ce périple et il en est ressorti que la seule manière de vous faire vivre cette épopée surréaliste était de compiler dans l’ordre les notes officielles des deux héros ! Accrochez-vous, c’est particulièrement émouvant quoiqu’indubitablement crétin, ne manque que l’accent Québécois final et du gloss fraise pour adolescents décorés de colliers de fleurs en plastique, qui pissent dans les pitcher’s, tels des faluchards comateux, accrochez-vous, c’est parti !
“Nous sommes sur la route. Heure officielle de départ 02:13. C’est commencé. JT a son visage sérieux sur le démarrage qui ressort fort. Tabernacle ! Je viens d’atteindre Baltimore. Remplissez le numéro 2 à Gaithersburg MD. Pas de problèmes jusqu’à présent, espérons que cela reste le cas de sorte que notre seule douleur sera le champagne. Nous nous sommes endormis et le feu s’est déclaré la nuit dernière, ce qui nous a permis de découvrir que -40 degrés, c’est vraiment froid. Belle journée de conduite à travers NC, le temps pour les aviateurs, au moins pour Max, JT est un peu plus grave. Nous sommes sur la route depuis 24 heures ! Je viens d’ajouter une nouvelle jauge au tableau de bord : Un Altimeter, cela nous permettra d’utiliser ses informations ainsi que les informations de notre jauge de capteur O2 à large bande pour régler la voiture pour une économie de carburant optimale tout en changeant l’altitude et la pression barométrique. Plutôt soignée. Conduire à travers Hotlanta est Funny. Le dilemme de notre gamme raccourcie peut être répondu par une simple erreur. Lors des derniers essais du système de GNC, JT a mal installé le clip sur un réservoir primaire. Sur le côté positif, il ne nous a coûté que 11 miles supplémentaires et le temps de reconnecter le réservoir. Maintenant que nous avons eu notre erreur stupide de la façon dont il est à pleine vitesse à venir. Je n’ai jamais eu aussi froid de toute ma vie sur le chemin de Shreveport. Sans dormir pour l’un de nous depuis jeudi, JT a vu un stegosaurus traverser la route et nous avons décidé de nous arrêter au motel local pour la nuit en dehors de Jackson. De retour en Louisiane, il y a eu quelques taches rugueuses, mais devrait être la voile en douceur à partir d’ici. Récapitulatif : mauvaise #CNG remplir Birmingham, avertissements de gel, grille d’enregistrement des conduits complets pour augmenter la température du moteur et l’aérodynamique, voiture bébé à 60 mph pour être efficace, dormir sous la pluie verglaçante, courir sur les fumées et l’adrénaline pour se rendre à la station suivante. Quitter Elk City Oklahoma livré pour notre traversée du désert Récapitulatif : Après 1000 miles tout droit battu par le vent boursouflé, la nuit du désert a été plus froide que toute autre. Nous nous sommes arrêtés, avons dormi sur un banc de parc pendant environ une heure, puis nous avons continué. Quelques centaines de miles de plus dans une nuit sans lune et il était temps de prendre une douche et d’attendre le soleil. Une autre heure dans un motel et nous sommes de retour sur la route, mais notre jauge de carburant montre plus bas que lorsque nous avions tiré dans, cela ne peut s’expliquer que par le refroidissement des réservoirs ou une fuite possible. La perte de puissance est évidente que nous baril vers le bas I40, mais nous l’attribuons à notre lecture Altimeter de 2200 pieds. Nous nous faufilons derrière l’écran et croisons les doigts pour les 300 miles de plus à Albuquerque. Le marketing est confus « ailes » avec « la nervosité ». On s’est #high à NM. Altimeter a fini par lire 5000ft. Remplissage à l’aéroport d’Albuquerque et vérifications majeures avant la plus longue section à ce jour. C’est toujours quelque chose ! Cette vue est peut-être magnifique, mais l’altitude tue notre kilométrage et la puissance de monter les collines, sans parler des conditions froides à Flagstaff prévoir une baisse de pression dans nos réservoirs. Encore un autre mordant à ongles. Je vois de la pluie dans notre avenir. Après avoir porté un casque pendant 3 jours, il commence à faire mal. Ce coucher de soleil est tout simplement trop beau pour ne pas montrer à nouveau, sans le pare-brise couvert bug cette fois. Dernier remplissage du voyage !!!! Chaud, sec, bon remplissage, en cours d’exécution grande. Navigation en douceur tout droit sur la I10 jusqu’à Los Angeles. On est à Los Angeles ! Fait à 4:13. Le record de New York à Los Angeles pour l’automobile à énergie alternative a été établi. Pas de véhicule de soutien. Installations d’accès public seulement. 100% de carburant produit localement. Le Magnolia Special, piloté par JT Nesbitt et Maxwell Materne, a terminé le voyage en un temps écoulé de 89 heures exactement. Merci! JT, Max et Maggie se sont réveillés du coma induit par le voyage sale et douloureux, mais néanmoins triomphant. Nous n’aurions pas pu terminer ce voyage épique sans l’amour et le soutien que tout le monde nous a montrés, ainsi que la recherche d’une alternative énergétique réaliste. Encore une fois, nous vous remercions et espérons avoir créé un précédent qui mènera la voie à un avenir meilleur. Aucun ordinateur n’a été blessé pendant la construction de cette voiture !”…
M. Nesbitt m’a dit que lors de la conception de la voiture, il avait donné la priorité à la beauté et à l’ingénierie par rapport au confort des créatures amenés à conduire “la bête”…, C’est peut-être une approche peu orthodoxe pour ce qui serait utilisé avant-tout comme un grand tourer de cross-country. Mais lors de notre rencontre dans le Lower Manhattan, lui et son partenaire de conduite Maxwell Materne, navigateur et ingénieur électricien de la voiture, m’ont avoué que leur intention était très basique : “Conduire le Roadster Magnolia Special à Los Angeles le plus rapidement possible, vêtus l’un-l’autre impeccablement de costumes gris clair avec gilets assortis pour avoir l’air de vivre un retour à une autre époque que la voiture. J’aime les choses qui sont mécaniques, ils ont un lien plus humain”, m’a précisé M. Nesbitt, qui, depuis sa boutique, Bienville Studios, à la Nouvelle-Orléans, a conçu des couteaux très décorés, des armes à feu et des motos. Avant de fonder Bienville, M. Nesbitt a travaillé pour Confederate Motorcycles, où il a conçu “le Wraith”, un vélo v-twin de 55.000 $ qui est depuis devenu un objet de collection très recherché !
“Le Roadster Magnolia Special m’a pris environ deux ans pour le concevoir et construire”, m’a-t-il dit. “Le châssis est un cadre en acier équipé d’un 6 cylindres en ligne 4,2 litres, provenant non pas d’une Type-E, mais d’une Jaguar XJ6. Presque toutes les fonctionnalités sont uniques à la voiture. Il y a des charnières de capot sur mesure, ainsi qu’un panneau en cuir sur le tableau de bord qui obscurcit les boutons pour les phares et autres fonctions du véhicule. Plus immédiatement évidents sont les réservoirs latéraux côtelés et polis. Situés de chaque côté de la carrosserie, ils sont l’endroit où une grande partie du GNC du Magnolia Special est stockée ; en effet il y a des réservoirs supplémentaires à l’arrière. L’autonomie est estimée entre 600 et 700 miles, selon les conditions de conduite. Contrairement à d’autres voitures alimentées au GNC, elle a été construite pour fonctionner super cool et très bien dès le début. Nous avons été vendus cette notion que pour être vert, nous devons être de haute technologie”… M. Nesbitt n’est toujours pas convaincu des mérites des voitures électriques, qu’il considère comme trop compliquées, coûteuses et peu pratiques pour les longs trajets : “L’infrastructure de livraison du gaz naturel est là maintenant. Toutefois, pour tracer l’itinéraire, il a fallu prendre des précautions supplémentaires pour s’assurer que les stations de GNC étaient disponibles au besoin”…
Quelques jours plus tard, la voiture et ses deux conducteurs sont arrivés à Los Angeles, mais pas sans quelques hoquets le long du chemin : “La voiture a fonctionné magnifiquement. Il n’y a même pas eu de problèmes mécaniques. Au total, le voyage a duré 89 heures de Manhattan aux limites de la ville de Los Angeles, soit plus d’une journée complète de plus que prévu. J’ai oublié d’activer l’un des réservoirs de carburant, ce qui nous a coûté deux ou trois heures. Un autre retard s’est produit en Caroline du Nord, où la promesse d’une station de GNC 24 heures sur 24 n’a pas tout à fait été à la mesure de sa facturation. Nous avons passé cinq heures à frissonner dans la nuit. Au total, la voiture a été ravitaillée 10 fois pendant le voyage”…
Lorsque je lui ai demandé en finale s’il avait l’intention de mettre le Roadster Magnolia Special en vente, M. Nesbitt s’est arrêté une pleine minute avant de répondre : “Le Roadster fonctionne bien, je ne l’ai pas construite juste pour le mettre sous cloche”… Dans dix ans peut-etre vais-je le vendre”…
J.T. Nesbitt/Bienville Studio ; jt@bienvillestudios.com
2 commentaires
Ce drôle d’engin a une disposition de réservoir similaire à la Lancia / Ferrari D50 !
Je n’ai pas considéré ce fait… Je n’aime pas cet engin au look torturé qu’on conduit en position trop haute, ni n’aime qu’il fonctionne avec un gaz introuvable en Europe, ni quoi que ce soit, sauf sa finition et sa qualité de fabrication “aviation”, quoique les rivets, il y en a beaucoup…
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