Hop Up’23 Tub Ford’T Touring
Le 1er avril de l’année 2025 ou j’ai commencé à tapoter ce texte, je n’avais pas l’inspiration “Hot Rod” et ça me pesait même, en limite de surchauffe, de me mettre “en route/on road” en attente de mon satisfecit de pondre un chef-d’œuvre littéral et littéraire de plus que les autres, tout en étant lassé/crevé/fatigué de sans cesse en TV, radio et Web, devoir subir des commentaires, des flashs/infos et autres pitreries merdiatiques, mettant le nazi Ukrainien Volodymyr Zelenskyy en vedette dans le rôle du magistral escroc réussissant le casse financier du siècle par le biais d’un tour de magie réalisé avec l’assistance rétribuée et complice d’Ursula la Hyène cheffe de la désunion Européenne… Quel souk de Ouf…
Pensez-y, ce clown pianiste tapotant le clavier avec son pénis érigé pour n’en avoir qu’un succès modeste, grâce aux conseils et au suivi d’Ursula, a convaincu d’abord le vieux Joe Biden Président sénile des États-Unis d’Amérique et tout un panel de dirigeants européens en ce compris Macronpoléon, de lui offrir plus de 600 milliards de dollars pour une guerre qui ne pouvait pas être gagnée, qui n’aurait jamais dû commencer et qu’il ne pourra jamais rembourser…. Rien que les États-Unis d’avant Donald Trump ont ainsi jeté/dépensé 350 milliards de dollars et l’Europe 250 milliards, ce qui donne avec une “calculation” rapide, un total de 600 milliards de dollars que Zelenskyy a empoché… Ni l’Europe ni les Etats-Unis, en tant que nations, n’obtiendront rien en retour.
Par contre Zelenskyy, Ursula la Hyène, Macropoléon et toute la clique de ses suiveurs Présidents va-t’en-guerre des Etats Européens et d’ailleurs, se sont partagés ensemble un pactole à titre personnel, quoiqu’un petit % servant réellement à l’achat d’armes et munitions sur lesquels des commissions étaient également versées, mais une bonne moitié de l’arsenal étant vendu à des groupes terroristes… Comme TOUS les Chef(fe)s d’Etat perçoivent et partagent avec Zelensky et la Hyène (l’organisatrice a l’expérience avec le Bundeswher et les faux vaccins Covid), tous s’entendent pour que le système continue le plus longtemps possible. Le dernier informé, Trump, à piqué une rage sur Zelensky et a cassé le système en instaurant des droits de douane apocalyptiques…
Maintenant que l’heure des comptes et décomptes devrait sonner, Zelenskyy admet QUE LA MOITIE DES MILLIARDS RECUS EST MANQUANT dans les bilans comptables Ukrainiens. Trump et son équipe ont en effet utilisé leurs moyens d’investigation… Le N°2 Américain, Vance, a décrit la situation en février 2025, traitant les Européens de maffieux et gangsters, Macronpoléon en tête, chef de gang, et lorsque Zelenskyy est revenu à la Maison Blanche quémander encore quelques milliards en tendant sa sébile, Trump à pété un plomb, d’où dispute… Macronpoléon et Ursula la Hyène ont sautés sur l’occasion pour siphonner ce qui pouvait encore l’être…
Ils ont créés une diversion en prétendant que la Russie était l’ennemi qui allait envahir l’Europe… Ouaihhhhh ! Ce qui a déclenché l’IRE de Donald Trump qui a imaginé surtaxer tous les pays du monde car selon lui les dirigeants européens se tiennent, aucun ne peux “cracher le morceau car ils agissent en bande criminelle organisée”… La nouvelle politique étrangère américaine laisse donc, depuis ces péripéties, l’Europe livrée à elle-même, stipulant que l’Ukraine doit conclure un accord avec la Russie parce que les USA en ont totalement terminé avec ce gâchis. Dans ses remarques, Trump a déclaré : “Je pense que j’ai le pouvoir de mettre fin à cette guerre. Et je pense que ça se passe très bien”…
Il a ajouté peu de temps après : “Mais aujourd’hui, j’ai entendu que nous n’étions pas invités. Eh bien, vous êtes là depuis trois ans. Vous auriez dû y mettre fin depuis trois ans. Vous auriez pu faire un marché”.… Tout le monde s’est énervé à propos de la formulation et Zelenskyy a fait traduire “The Art of the Deal” en ukrainien pour discerner la prochaine action de Trump qui a poursuivi sur Truth Social, où nous devons tous nous tourner pour des mises à jour géopolitiques… Pour ajouter l’insulte à l’injure, Trump a demandé à l’Ukraine d’organiser des élections avant qu’une paix ne soit atteinte, un coup bas pour Zelenskyy parce qu’apparemment il ne la gagnera pas…
Et Trump demande aussi une part de 50 % des revenus provenant des minéraux, du pétrole et du gaz, des ports et d’autres infrastructures de l’Ukraine, en guise de remboursement de toutes les dépenses américaines. Pour justifier cette nouvelle action, Trump à dit : “C’est juste, n’est-ce pas ? Nous l’avons fait en Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale. Honnêtement, l’idée de donner autant d’argent et de ne rien obtenir en retour que la satisfaction d’avoir sauvé le monde libre et sauvé l’Europe à nouveau ne nous enrichit pas… eh bien, je veux quelques ports. Je veux un baril de pétrole, peut-être les deux”... Et Sanna Marin, l’ancienne Première ministre finlandaise, la plus chaude des dirigeantes européennes, a voulu se démarquer…
Elle a déclaré cette semaine que les Américains avaient raison : “Il est tout à fait raisonnable pour les contribuables américains de se demander pourquoi ils devraient assumer une plus grande part du coût de la sécurité européenne que l’Europe elle-même”... Et tout cela ne préoccupe pas l’Amérique profonde… Aux States, les Hot Rodder’s n’en ont nanana rien à foutre de tout ce bordel… Tom Red Hynes, un Hot Rodder de plus de 95 ans a compati à mes angoisses issues de ce que je viens de vous débiter et m’a entrainé à ce que je réalise un article sur le Hot Rodding des vrais Hot Rodder’s (sic !) en enfouissant les crapuleries européennes dans un coin inaccessible de mon cerveau pour en revenir à causer de Hot Rod’s…
On s’est installé avec un stock de bière et de goinfreries pour anthropophages et on a papoté… Nous sommes en avril 2025 et il est né en avril 1930), il est entré dans la marine en 1948 après la guerre 41/45, il avait 18 ans et a servi son pays en tant que second machiniste sur un destroyer de la classe “Sullivan” et quand il s’est mobilisé : “Le truc du Hot Rodding frappait fort chez les jeunes”, me raconte t’il… Dans cette frénésie de “Hop-Up’s” d’après-guerre (le terme Hot Rod est arrivé plus tard avec le nom d’un magazine), un ami marin de la même galère/Destroyer, à proposé la Ford T’23 de ses parents décédés pour 40 $ à Tom… “À l’époque, 50 $ pouvaient à peine permettre de sortir un A-Bone complet d’une casse”, me dit Tom Rod Hynes…
Il s’est ensuite retrouvé à avoir besoin d’un tas de pièces pour se construire un “Hop-Up” durant ses jours de permissions. Le plan de Tom était de se construire un “Hop-Up” pour rivaliser avec les “Roaring Roadsters” dans les arènes de terre de la “California Roadster Association”. Il a soudé les portes de sa baignoire et l’a démontée pour la compétition, mais s’est vite rendu compte que la baignoire devrait aussi lui servir de moyen de transport quotidien parce qu’il n’avait pas les moyens financiers d’avoir plusieurs automobiles. Il a donc mis ses plans en veilleuse et a plutôt obtenu sa dose de vitesse sur les lacs asséchés le week-end, en courant avec la “Mojave Timing Association”, SCTA et Russetta en tant que membre du club “Road Dusters”.
Son “Hop-Up” est devenu un “Hot Rod Tub” et il va flinguer les moteurs les uns après les autres, aussi bien des 4cyl que des 6 en ligne (rares) et des V8… Tous sous son capot jaune. (Et, oui, il a toujours été jaune, ou une nuance de jaune, à travers trois repeintures au fil des ans). Le premier moteur de Tom était un bloc V8 modèle B doté d’un vilebrequin modèle C et équipé d’une conversion Miller à simple arbre à cames avec deux carburateurs Winfield à tirage latéral. C’est avec ce moteur que Tom a atteint 101 mph, sa vitesse la plus rapide sur les lacs. C’est aussi le moteur qui se trouvait dans la voiture lorsque Tom Medley a photographié ce Tub pour un reportage dans le magazine HOT ROD de juillet 1950.
Pourquoi ?Parce que son “Tub” était fraichement motorisé d’un V8/60 Flathead qui était l’un des moteurs Midget de Louie Senter, une star… À l’époque, Louie, cofondateur d’Ansen Automotive, motorisait ses Midget’s avec des moteurs Offenhauser et son contremaître d’atelier, Bob Morton, avait informé Tom de la disponibilité d’un moteur pour ce qui était alors nommé “Hot Rod”. (Dans le petit monde du Hot Rodding d’après-guerre, Bob Morton était un partenaire de George Rubio, dont le Roadster ’29 a été le premier Highboy à franchir la barre des 150 mph sur les lacs. De plus il s’avère que George était un cousin de Tom.) Le V8/60 a été suivi d’un V8 Flathead Mercury 296ci qui a trouvé la mort aux mains de l’un des voisins de Tom… Boum !
Il m’en parle comme si tout était normal : “Papa n’hésitait pas à laisser les gens l’emprunter pour passer une soirée amusante. Le voisin l’a ramené avec les tiges de soupapes qui pendaient du moteur.”… La réaction de Tom ? : “Mon père était l’une des personnes les plus cool que j’aie jamais connues. Il n’avait pas d’ennemis. Je n’ai jamais entendu personne dire du mal de lui. C’était un gars trop gentil, pour la plupart. Alors il n’a pas réagi, il n’est pas sorti déséquilibré. Il l’a juste démonté, puis a compris quel moteur allait y aller ensuite et il l’a acheté et installé. Quand la merde arrive, vous faites ce que vous avez à faire”. Son père a déniché un small bloc Chevrolet 265ci et l’a installé et c’est ce qu’il y a toujours dans la voiture maintenant.
Mais le moteur devrait être reconstruit après avoir parcouru quelque 60 000 miles : “Mon fils va y mettre un nouveau joint principal. À 3 000 tr/min sur l’autoroute, on ne peux pas garder d’huile dedans, cela inonde les routes d’un litre tous les 300 miles”. Tom Hynes a utilisé sa “baignoire” comme moyen de transport quotidien entre 1947 et 1965 : “Nous vivions à San Fernando, et je le conduisais tous les jours au travail jusqu’à la centrale de Boylston Street Water and Power. Le cancer finira par emporter mon père en 1987“. Comme vous pouvez l’imaginer, les souvenirs de Tom avec son Hot Rod “BathTub” (baignoire), remontent aussi loin qu’il s’en souvienne. C’était une partie importante de sa vie, qu’il conserve. Maintenant son fils sera la 3ième génération pour la rélève…
Tom se souvient de s’être emmitouflé pour des promenades glaciales sur “The Grapevine” en route vers des réunions de Hot Rodder’s à El Mirage. À une époque où il lançait sa propre carrière de course avec un dragster “Fuel Altered” destiné prioritairement à la “Coors Light Altered” et son incarnation “Quadzilla Rod’s”, il vivait dans son garage avec et dans son “Tub”. Il l’avait démonté pour reconstruire le moteur et il ne s’est pas passé grand-chose pendant environ trois ans et demi. Comme son père avant lui, il voulait faire du Dragster. Et maintenant c’est son fils de 65 ans, qui a pris le relais. “C’est une addiction/affliction, de famille. Monfiston sera la 3ième génération. Certaines personnes peuvent s’en aller en mourant, mais je ne peux pas faire ça. Je suis Hot Rodder depuis mes 18 ans”.
Il parle de son dernier projet, une carrosserie de Hot Roadster’27 avec deux V8 Bangers Tempest 389ci montés en ligne… “Je désire juste faire quelque chose de différent. Mais ma baignoire jaune sera toujours là aussi”… Ses racines sont profondes. Il se souvient très bien d’une nuit de 1960 : “Mon père avait l’habitude d’emmener ma baignoire chez Don Brown pour le laisser faire quelques tours dans le champ de terre près de sa maison à Chatsworth. Don était un coureur de Sprint Car, un coureur Indy, était un incroyable réparateur. Il a travaillé pour A.J. Watson à la construction de Roadsters Indy. Je suppose que faire des longueurs dans la terre dans ma baignoire était une façon d’évacuer le stress. Quoi qu’il en soit, en 1960, la baignoire contenait encore la grande Merc”…
“Je roulais avec papa jusqu’à la maison de Don et nous avons été arrêtés par un flic à Laurel Canyon et San Fernando Mission Road. Papa pensait qu’il allait avoir une contravention, mais le flic a dit de ne pas s’inquiéter, il voulait juste jeter un coup d’œil à la voiture… Papa a ouvert le capot et le flic a demandé “Combien voulez-vous pour ça ?” Et mon père m’a montré du doigt et dit “C’est à mon fils”. Alors le flic m’a dit : “Combien ?” Et j’ai dit : “10.000 dollars”. Eh bien, le flic a ri et a dit : “C’est presque autant que ce que nous avons payé pour notre maison”. C’est évidemment hors de question. Et c’est là que j’ai su à quel point la voiture comptait pour moi”… Les valeurs d’argent ont changé depuis… Pour la suite, c’est Bobby mon fils, 3ième génération qui vous répondra et vous préviendra de mon décès…