454-Powered 1937 Chevrolet Sedan Street Rod
Pour bavasser, papoter et retracer les racines du Hot-Rodding, ce n’est ni en Ukraine ni en Russie, ni en Iran et encore moins en Palestine, au Liban en Egypte et Libye, de même qu’en Belgitude et Franchouille, que se trouvent les réponses aux questions stériles et débiles que posent les ceusses qui glandouillent dans les réseaux asociaux tel que “Fesses de boucs”... Nâââââ !… Il faut s’américaniser grââââve, applaudir aux massacres des populations amérindiennes (les indiens peaux-rouges) et des bisons, tout en proclamant vénérer John Wayne, le symbole de l’Amérique-Western….
Si vous le pouvez, en vous déguisant en Cow-Boy avec Santiags et chapeau en carton bouilli, c’est Street-crédible… Ovation !… Ca implique d’afficher aimer les pires saloperies, mâcher du chewing-gum, casser la gueule des bougnoules et des yeux bridés et cracher dans la soupe des autres… Là vous êtes un vrai Yankee Franchouillard… Le reste de votre conversion dépend de vos finances… Rien de pire que Kustomiser une Renault Dauphine avec des échappement latéraux et un autocollant Nitro sur le coffre… Cette mise au point de départ faite, vous allez surement de suite déblatérer sur les réseaux asociaux…
Pourquoi ? Mais pour faire savoir que vous avez croisé l’infâme Patrice De Bruyne (moi) qui est surement un terroriste… L’alternative (car il y a des alternatives à presque tout), vous vous vautrez dans un fauteuil en bouffant des chips arrosés de Coke pour regarder LesConnardsIrréductibles, ou pire encore : BDSMTV…. Arghhhhh ! Vous vous regardez souvent dans un miroir en vous secouant la nouille ?… Ouaiiissss !… Yeaahhhhhh !… Cool chers Tousses… Je vais passer une partie de mon temps (précieux) pour tapoter un texticule couillu sur un Hot-Rod qui a trop de carrosserie pour être honnête…
Je suis surement sectaire mais pour moi un Rod c’est un T’Bucket ou un 32, 33, 34, quoique je reconnais que mon Old’s’48 était sans nul doute aussi à coté de la plaque que la Simca Aronde Omlet Baveuzzzz… C’est fait, c’est fait… De toute façon, je vous présente une Chevy’37 qui m’est indifférente, mais j’ai résolu de faire un effort pour qu’elle me le soit moins… D’autant qu’elle a une histoire qui remonte à presque un siècle. Lorsque la prohibition est entrée en vigueur en 1920, elle a donné naissance à toute une industrie de la contrebande. Ouaissss ! C’est vrai de vrai !…
Aux USA, les agents des forces de l’ordre ont arrêté de nombreux contrebandiers de la première heure, mais ceux qui ont échappé au bras de la loi l’ont fait en se glissant au volant de voitures qui semblaient assez discrètes mais qui avaient reçu de nombreuses améliorations. Une fois la prohibition abrogée, la tendance à modifier les voitures pour améliorer leurs performances s’est poursuivie et s’est développée après la guerre 39/45 dans la scène des Hot-Rods que nous connaissons aujourd’hui. Cette Chevrolet berline 2 portes de 1937 est donc un Hot-Rod à l’ancienne qui se présente extrêmement bien poliment.
Cela dans des teintes et un “enflammage” que l’entreprise Chevrolet n’offrait pas en 1937. Les panneaux sont droits et propres, avec des espaces aussi serrés et cohérents que l’on peut s’y attendre dans ce qui est effectivement un véhicule reconstruit à la main où l’accent a été mis sur une présentation parfaite qui signifie qu’il n’y a pas de problèmes de rouille à résoudre pour l’acheteur éventuel. L’une des caractéristiques déterminantes de tout Hot-Rod est ce que l’on trouve sous le capot. Tout ce que le propriétaire insère dans cet espace doit produire invariablement beaucoup plus de puissance que le moteur d’origine,
Cette Chevrolet ne fait pas exception. Si mes notes sont exactes, elle est équipée d’un V8 Chevrolet 454ci. Pour faciliter l’expérience de conduite, le constructeur de ce Rod l’a également équipé d’une direction assistée et de freins à disque. Une chose est sûre, ce bloc produit beaucoup plus que les 85cv offerts par le six cylindres d’origine. Les nouvelles sont donc ici principalement positives. Ce Hot-Rod n’a pas eu beaucoup d’utilisation récemment, donc le véhicule fonctionne et roule bien. Le moteur est puissant, la transmission passe les vitesses en douceur et ce moteur produit un grondement sain et agréable.
Il semble qu’il faudra très peu de travail pour que la voiture soit en parfait état mécanique, prête pour une conduite agréable le week-end. Rien n’a été laissé au hasard dans la création de ce bolide, et cette Chevrolet fait honneur à son propriétaire… Lorsqu’on porte attention sur l’intérieur de la voiture, on constate que les touches personnalisées abondent. Les sièges sont recouverts de manière professionnelle, les choix des matériaux s’accordent et se poursuivent sur toutes les surfaces rembourrées restantes. Dans l’ensemble, l’état de la sellerie est excellent. La moquette semble en bon éta.
Les instruments d’usine ont fait place à un ensemble de compteurs électroniques. Le thème rétro est poursuivi par le volant et le levier de vitesses Lokar pour la transmission automatique. En plus, cette Chevrolet offre quelques caractéristiques de confort supplémentaires pour rendre la vie sur la route agréable. Il s’agit notamment de la climatisation (glacée) et d’une chaîne stéréo CD avec Bluetooth… La scène des Hot-Rod s’est développée à partir de 1945 et, lorsque les Poneys-Cars et les Muscles-Cars sont devenus des alternatives abordables dans les années 1960, cela a presque sonné le glas de la scène.
Cependant, la crise pétrolière du début des années 1970 et le durcissement de la réglementation sur les émissions se sont avérés être leur sauveur. Attribuer une valeur à un véhicule comme celui-ci peut être délicat car les modifications signifient que les règles habituelles ne s’appliquent pas. Cependant, lorsque vous regardez l’état général et les spécifications de cette Chevrolet, elle offre beaucoup aux acheteurs potentiels pour les 70.000$ espérés. Le prix demandé est compétitif, pour un Rod abordable où l’originalité impeccable n’est pas une priorité, cette voiture mérite donc d’être examinée de plus près.
Les vieilles habitudes sont difficiles à briser, surtout lorsqu’elles sont bonnes. Richard Corbitt de Yorba Linda, en Californie, est un fan de longue date de Chevrolet (enfant, il regardait les Gazers courir sur les pistes d’accélérations) et pour cause. Sa première berline Chevrolet de 1937, équipée d’une 350ci, a fait la couverture du magazine Street Rodder d’octobre 1986 de mon ami Tom McMullen malheureusement décédé avec son épouse Déana dans un crash de leur bimoteur personnel… Une minute de silence s’impose…. Avance rapide de 20 ans et voici Richard avec une autre Chevrolet, celle de ce reportage…
C’est une Master Sedan’37… Après avoir vendu la première Chevrolet, ce n’est qu’en 2001 qu’il a acheté sa voiture actuelle à son ami de longue date Larry Shaleen, qui possédait la voiture depuis 1994 mais n’avait pas pu terminer le projet. Le châssis à un empattement de 117 pouces et a été fabriqué par Progressive Automotive, le moteur V8 GM Performance 454ci est relié à une transmission automatique à quatre rapports 700R4 avec un pont AR de 9 pouces de chez Currie Enterprises. Les traverses en 2×3, toutes personnalisées et le châssis dit “en boîte” ne sont que deux des nombreuses modifications.
L’utilisation d’une plomberie en acier inoxydable est un “Must”… Les amortisseurs arrière sont des Monroe, et à l’avant “des ondes de choc” d’Air Ride Technologies sont utilisées. La carrosserie est basée sur une berline Chevrolet ’37 de série avec des modifications subtiles mais bien pensées, notamment des charnières cachées pour les portes. Le capot et le couvercle du coffre sont électriques et télécommandés. Parmi les autres modifications de carrosserie notables, citons la suppression des larmiers, des persiennes de capot, de l’évent de capot et la création des vitres latérales d’une seule pièce.
Les phares ont été convertis en halogène et les feux arrière sont des ’37 avec des lentilles rouges personnalisées et de l’électronique LED… Chacun des baquets a été abaissé de 2 pouces. Du côté de la conduite, les rétroviseurs Vision ont des clignotants intégrés. Toute la tôle est peinte en DuPont. Les flammes ont été réalisées par Kent Garcia. La voiture est finie en or Sundance avec des flammes noires aérographiées et l’intérieur est en cuir Fawn Gold et crème personnalisé avec des garnitures en simili bois et cuir noir. Le Big-Bloc est équipé d’une injection électronique Arizona Speed & Marine.
La climatisation est une Vintage Air et les systèmes d’accessoires sont de chez Front Runner. Les freins à disque avant Wilwood sont assistés, les jantes Intro Twisted Matrix sont des 18 et 20 pouces enveloppés de pneus BFGoodrich g-Force T/A KDW 225/45 à l’avant et 265/50 à l’arrière,. Les sièges baquets avant sont à réglage électrique et la chaîne stéréo CD Alpine est reliée à deux amplificateurs Alpine avec caissons de basses JL Audio. Le magazine Street Rod Builder présentant la voiture ainsi que toutes les factures de construction, les manuels d’instructions, sont stockées dans le coffre en souvenir….
Voilà, je suis arrivé au bout de l’histoire, vous aussi… Pas mécontent, car c’est franchement difficile d’écrire un texte sur une bagnole sur laquelle il n’y a pas grand chose à raconter… Si vous voulez mieux faire un jour que vos potes vous disent, comme ça, l’air de rien y toucher, :“Tu devrais écrire comme De Bruyne, comme ça tu vas gagner des millions !”... Pfffffffffffff ! Faites semblant de pas les connaître ou, si vous ne pouvez pas faire autrement, faites comme si vous aviez compris : “Tu as une Pigot 203, tu devrais en faire un Hot-Rod”, cela vous évitera de passer des nuits blanches, devant votre clavier à faire patte blanche…
C’est comme devant une feuille blanche… Cela ne se sait que trop peu, mais écrire des texticules couillus ne se fait pas à la va-vite, en traine savate, à la petite-semaine, cela demande du travail, de l’abnégation, d’être besogneux et, bien sûr, de disposer d’un solide réseau d’informateurs capable de vous indiquer les bagnoles qui méritent d’être utilisées comme sujets d’articles. Pas d’excuses, genre : “C’est l’heure de faire mon devoir conjugal”..., Non, il faut se mettre au boulot, rassembler ses souvenirs et rédiger plusieurs articles dans la même journée …
Longtemps je me suis levé débonnaire, croyant que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Prenez les éboueurs et vous constatez que c’est une connerie. Prenez un connard au saut du lit, emmenez-le en quête de Hot-Rods dans la Franchouille profonde… et vous verrez que c’est une méga-connerie. A peine arrivé dans le premier self autoroutier venu et c’est le stupide accident de queue. Ne vous méprenez pas, rien de tendancieux, une bête queue d’attente qui a mal tourné entrainant un accrochage avec une “prima donna” bon chic et mauvais genre, que vous ne connasse encore ni des lèvres, ni des dents…
Et encore moins de vulve… l’empêcheuse de déjeuner en rond…, la tourmentée du bulbe, l’endeuillée du slip. Tous les dégouts sont dans la raclure. Donc lui raconter deux tomes d’histoire de saloperies, c’est érotique, bien Français, mais que nenni, devant le regard acide de celle qui est surement le résultat de l’accouplement d’un bull mastiff et d’une chimère blennorragique, une grognasse moustachue, distinguée comme une paire de couille, rouge de trogne avec des dents à changement de vitesse, il faut rester calme, zen comme une vache sacrée, il faut la dédaigner, la mépriser du regard…
Il faut lui faire comprendre qu’entre le superflu et l’œuvre procréative, vous préférez les croissants. Vous me connaissez, enfin un peu quand même, vous savez qu’à chaque fois qu’il ne se passe pas un truc, il faut que je j’en fasse un post. C’est parce qu’il y a quelque chose de très inspirant dans le rien, le néant ou le vide, du coup mon imagination s’envole vers des contrées aussi reculées que lointaines. Aujourd’hui c’est samedi 21 octobre 2023 et il est bientôt 3 heures 30 du mat’… Bon dieu c’est un nouveau jour à la con qui pointe, enfin les autres jours aussi vous me direz, mais le lendemain sera dimanche…
Dimanche, c’est jour de pénitence. C’est le jour des bigotes congelées, avant qu’il manque mourir, avant qu’il manque crever dans l’atroce, c’était le jour à Michel Drucker, au Picon bière, au gigot flageolets, au tiercé et aux chevaux dopés… Le cheval est capricieux par nature, si, de surcroît, il est toxico, le pire est à craindre. C’est le jour où, avant d’aller regarder une émission sur les crustacés, les bourges sortent leur Bedlington Terrier, sympa, un peu moche, mais surtout très con. Le dimanche m’inspire des histoires de pandas neurasthéniques et de poneys roux pendus à leur licol. Moi, le dimanche, je ne fais rien…
Comme un gros manche, le dimanche je passe ma journée en calebar, en cherchant un truc à faire sans jamais le trouver, c’est le jour où je reste planté devant mon PC, c’est le jour où je me fais tellement chier que j’écume le web à la recherche d’un plan pour pouvoir saigner tous les trolls qui gâcheraient mon dimanche. Bon, c’est aussi le jour où j’ouvre quelques quilles pour pouvoir dormir toute la fin d’après-midi avant de me taper 3 big mac, 2 frites et 5 litres de coca. Un dimanche comme un autre me voit dépité, désappointé, désillusionné, désenchanté voit même un peu déçu du monde.
Inutile de me voiler la farce, malgré mes efforts pour faire de ce web-site, le premier au Rank Googlelito, et malgré une deuxième place, personne n’est venu me proposer un mirobolant contrat d’édition, ni même une proposition. Dans la vie, parfois, parfois on manque cruellement d’inspiration, si on est comptable, militaire, tireur de pousse-pousse ou accordeur de piano aqueux pour l’orchestre symphonique des débiles profonds de Cwmystwyth, personne n’en tiendra rigueur, à personne d’autre sauf si l’œil étincelant de désir, on se propose un filet au poivre vert…
C’est bien évidement sous le fallacieux prétexte de mettre un peu de piment dans la journée. Bien, c’est l’heure des quatre vérités à la volée… Zooouuuuu !… Je ne vais pas vous le cacher plus longtemps, j’ai une petite baisse d’inspiration depuis 19 lignes de texte. La gauche molle s’amollit davantage que le temps passe. En réalité tout cela me fait chier grâââââve, de même que les scandaleuses disparitions de mes petits pains au chocolat, les guerres, la chute des actions, BDSMTV en continu, l’apathie des autres, que sais-je encore ? Donc je stoppe ici… Bye bye…