Le loup bleu dans la bergerie de la White Collection Porsche !
Si vous mourez et que vous êtes envoyé au paradis Porsche, outre que vous y verrez Adolf Hitler statufié en hommage à l’amitié indéfectible qui le liait à Heer Doctor Porsche qui fut le génie créateur de la Vokswagen Käfer (quoique “pompée” sur la technologie de la Tatra), mais vous serez stupéfait de constater que le troupeau des Porschettes Blanches est gardé par un loup bleu : un Hot-Rod Ford B’32… Le paradis Porsche se trouve aux USA et pourrait ressembler à quelque chose comme “The White Collection”… 63 automobiles Porsche’s, dont 56 Supercar’s, toutes peintes en blanc, toutes rassemblées en une seule collection privée par Tim Goodrich, leur défunt propriétaire américain, axé sur la perfection et le génie Nazi de Ferdinand Porsche…
Rien n’est à en dire et critiquer puisque le père de Georges W. Bush (Président des USA) était fervent admirateur des Nazis et également ami d’Adolf Hitler. Manifestement la guerre 1939/45 a été industriellement gagnée par les Nazis, quoiqu’on puisse prétendre, puisqu’au départ de la petite Käfer/Cox/Beetle, Volkswagen possède Audi, Seat, Cupra, Škoda, Porsche, Lamborghini, Bentley, Jetta, Bugatti, Ducati, Scania, MAN, Navistar… et que BMW a racheté Rolls Royce… Beaucoup de survivants Nazis sont devenus Juifs-Ukrainiens et une grosse part en trop-plein ayant ainsi changé d’identité sont devenus plus Juifs que Juifs et sont partis coloniser la Palestine créant dernièrement un “Remake” d’Oradour-sur-Glane à Gaza-sur-Palestine…
Pourquoi un tel massacre ? À la suite du Débarquement du 6 juin 1944, l’armée allemande souhaitait se défaire de la menace que représentait la présence de Résistants (nommés Terroristes) à l’arrière du front. Une opération de terreur ayant pour objectif de servir d’exemple est alors mise au point… Résultat : 643 morts et aucun blessé à Oradour-sur-Glane et, en similitude, plus de 6.000 morts et 6.500 blessés à Gaza-en-Palestine… 20 X plus ! Pas à dire, en 79 ans les progrès sont considérables… Comme de plus, ma LéaFrancis volée par une bande criminelle organisée a été exfiltrée en Israël par l’Agent Général AXA Belge, ma coupe est pleine… Bien… Cette partie historique étant publiée et conforme aux faits historiques, je continue l’affaire du Paradis Porsche américain…
RM Sotheby’s est donc ravi d’organiser la vente aux enchères “The White Collection”, un rassemblement unique de modèles Porsche rares, toutes blanches. La collection, qui sera mise aux enchères les 1er et 2 décembre 2023, représente plus d’une décennie de collection dévouée. Toutefois, c’est avec beaucoup de tristesse que je dois annoncer que le propriétaire de cette collection, Tim Goodrich, est décédé dans son sommeil il y a quelques mois. Comme certains d’entre vous le savent, Tim Goodrich avait été diagnostiqué avec la maladie de Lou Gehrig il y a quelques années. La sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi connue sous le nom de la maladie de Lou-Gehrig ou de Charcot, est une maladie dégénérative qui atteint les neurones moteurs supérieurs.
Ce trouble neuromusculaire affecte graduellement les muscles qui s’affaiblissent au fil des ans. La grâce dans laquelle il a accepté sa foi finale était quelque chose de vraiment spécial. Rester positif et actif jusqu’à la toute fin. Tim Goodrich qui n’a aucun rapport avec les pneumatiques, a été impliqué dans les Porsche’s alors qu’elles étaient neuves, et qu’il il travaillait comme garçon de course et nettoyeur de carrosserie chez un concessionnaire Porsche. De là, rien de crédible n’a jamais été avancé pour justifier d’avoir soudain les moyens financiers pour créer une collection de 63 Porsche’s… Tim a repoussé les limites au maximum en dupliquant non seulement les couleurs et les matériaux, mais aussi en dupliquant exactement les textures de peinture, les défauts d’usine, etc.
Son incroyable souci du détail lui a valu de nombreux concours au plus haut niveau. À ce jour, les voitures qu’il a restaurées sont toujours considérées comme des étalons-or. Parmi les voitures avec lesquelles il a été impliqué, il y avait des modèles très spéciaux, des prototypes de Speedster, le premier Speedster Carrera, plusieurs GT, etc. À cela s’ajoutent 2 tracteurs Porsche et d’autres joyaux automobiles remarquables. En plus, un éventail encyclopédique de souvenirs Porsche, conservés en parfait état, comptant plus de pièces au total. La vente aux enchères se déroule dans un lieu inconnu, qui ne peut être décrit que comme un sanctuaire Porsche. Lumineux, vaste et méticuleusement organisé, l’espace y étant le reflet direct de la collection immaculée qu’il contient.
Des hauts plafonds aux planchers réfléchissants, chaque détail a été soigneusement conçu pour rehausser l’allure des voitures. “Chaque bolide commence par une vision” tel était l’esprit de Tim Goodrich, une esquisse mentale qui constituait la base de l’ensemble, sans donner le moindre élément expliquant sa constitution en moins de 10 ans… Alors que la plupart d’entre eux rapporteront une somme à six chiffres, cinq sont pratiquement garantis de se vendre à plus d’un million de dollars. Le joyau de la couronne est une Porsche Weissach Spyder 2015, un exemple d’un vaisseau amiral de l’époque qui a été spectaculairement aménagé avec environ 920.000 $ d’options, y compris le coloris sur mesure de Grand Prix White (000A9) sur un intérieur cuir.
Il y en a d’autre, telle une Porsche 1993 Carrera RSR 911.3L8 Weissach », qui comprend des jantes Weissach en magnésium peintes de couleur assortie avec des écrous de roue à verrouillage central anodisés rouges, des étriers de frein argentés, des détails en fibre de carbone apparents et assortis au tissage et une suppression des badges extérieurs. Proposée à un prix d’un peu plus d’un million de dollars à l’origine, elle devrait dépasser les 5 millions de dollars. Il y a également une Porsche 1993 Carrera RSR 911 évaluée 2,5 millions de dollars, est décrite par RM Sotheby’s comme la dernière 964 des 51 exemplaires RSR préparés pour la course construits par Porsche Motorsport, et le deuxième des deux spécimens exclusivement conçus pour la Strassenversion.
Non seulement l’intérieur est entièrement recouvert de cuir Can-Can Red et Grand Prix White sur mesure par des artisans Porsche, mais il a également été commandé avec un puissant six cylindres à plat de 3,8 litres à double allumage « Le Mans », un système complet de vérin pneumatique, une pile à combustible de 120 litres, un différentiel arrière verrouillable à 40%, des étriers de frein dorés et un ensemble de jantes Speedline RS en plusieurs parties. La plus importante des cinq Porsche de la collection blanche à sept chiffres est peut-être la 1997 GT911, la dernière grande 911 turbocompressée refroidie par air et l’un des 194 exemplaires routiers qui avaient été construits. Cette 993 ultime génération 911, devrait rapporter 3 millions de dollars…
Une autre Porsche Carrera RS 1973 2L7 dans une spécification rare “légère” devrait se vendre 2 millions de dollars. Ensuite, il y a une Porsche 1994 Turbo S Flat Nose de 85, l’une des deux seules à exister, une Porsche superlativement chère de son époque, grâce à des options telles qu’un tableau de bord Light Rootwood. Avec seulement 39 miles au compteur, elle devrait rapporter 2 millions de dollars. Je n’ai fait qu’effleurer la “White Collection” : rendez-vous chez RM Sotheby’s pour découvrir les 63 lots automobiles, ainsi que des centaines de pièces souvenirs Porsche. Mais pour ma part, la votre aussi si vous préférez les Hot-Rods aux Porscheries, une seule voiture de la collection m’a envouté, la seule qui n’est pas blanche mais bleue…
C’est un Hot-Rod B’32 Coupé qui a été réalisé sans regarder à la dépensede plusieurs années entre Goodrich et le propriétaire de la Ford dans une poursuite sans ménagement des dépenses. Le moteur est un V8 Chevy small bloc respirant à travers un compresseur/Blower Drive Service 6-71 alimenté par deux carburateurs Holley à quatre corps. Cet impressionnant moulin est couplé à une transmission automatique, avec un pont Qwick-Change. Des Jantes Shelby Halibrand se trouvent aux quatre coins, avec des freins à disque. Les compteurs Classic Instruments gardent le look minimaliste, avec toutefois un écran tactile pour le système de divertissement dissimulé sous le tableau de bord.
Dans une touche traditionnelle de voiture personnalisée, les poignées de porte sont érasées, les boutons poussoirs de porte à distance sont intégrés dans un badge « tg », la version ludique de Goodrich de l’emblème Porsche en forme de bouclier, situé bas sur le capot de la voiture. De toute évidence, c’était l’occasion pour Tim Goodrich, de déployer sa créativité sur un projet entièrement américain. Faisant partie de la “White Collection” ce Hot-Rod Ford jouant l’exagération ultime, et de son style, et de sa couleur, se présente magnifiquement, avec seulement 1.464 miles parcourus par Tim Goodrich : le “Bon Riche” est un nom prédestiné… Toutefois, comment un gars qui était nettoyeur de voiture a-t-il pu amasser pareille collection en seulement 10 ans ? Strange ?!?!?!?
2 commentaires
Maître, je m’étonne de lire que vous n’avez pas tenté le moindre jeu de mots en transformant Lou Gehrig en Lou Göring !
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi connue sous le nom de la maladie de Lou-Gehrig ou de Charcot, est une maladie dégénérative qui atteint les neurones moteurs supérieurs… Je suis sans doute atteint au premier stade qui m’empêche d’écrire de telles notes d’humour… Heureux de vous revoir pour nos échanges…
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