BUGANTIC…
Bugatti fabrique des Hyper-cars ridiculement rapides et chères comme la Bugatti Chiron et diverses dérivations qui vont devenir, dans un temps incertain, des pseudos électrifications partielles destinées à donner une image “politiquement-correcte” de “Bonne-conscience”. Mais ce ne sont que des décors créés pour masquer les folies financières de Heer Piech et autres secrets VW, via un code de conduite de 52 pages que personne n’arrivera à lire de bout en bout…
Un retour “examinatif” pour qui possède les livres adéquats sur les Bugatti’s classiques prouve d’où viennent le style, le luxe, le paraitre et l’esbrouffe qui ont été recréés suite au rachat des vestiges, ce qui ne comportait strictement aucun héritage “de sang” dans l’hypothèse ou on aurait cru découvrir des brins d’ADN d’Ettore et Jean Bugatti… Il n’en est rien, ce n’est que du consumérisme…
Après un épisode de copies et répliques via DeLaChapelle (En 1984, la société Messier-Hispano-Bugatti a autorisé Xavier de La Chapelle à apposer le badge BUGATTI sur la calandre de sa Type 55), puis la création d’un premier faux ADN Bugatti avec Romano Artiroli rachetant la marque en 1987 pour créer l”EB110 en 1991, en 1995, après la construction d’environ 128 véhicules, il a déposé le bilan…
En 1998, Volkswagen a acquis la marque Bugatti pour quasi rien dans le but de créer une affaire fiscale de grande envergure selon les caprices de Ferdinand Piesch alors président du groupe Volkswagen. Paradoxalement, c’est grâce à Volkswagen que Bugatti est retournée en France en 2005, lorsque le constructeur allemand a réinstallé son siège à Molsheim, en Alsace.
En réalité les nouvelles Bugatti étaient produites chez Porsche/VW sous l’aspect de véhicules emblématiques tels que la Veyron et la Chiron… Cependant après 16 ans, en 2021, en pleine tourmente fiscale en sus de l’escroquerie des moteurs VW hyper polluants, Bugatti a été partiellement cédée à Bugatti Rimac, une entreprise d’Europe de l’Est créée spécialement pour une nouvelle opération fiscale…
Celle-ci permettant à Volkswagen, via Porsche, d’augmenter sa participation dans l’entreprise sans devoir se fourvoyer dans des explications nébuleuses… Rimac situé à Sveta Nedelja en Croatie, détient 55% et Porsche 45%… Il n’y a plus de “Rideau de Fer” Soviétique à franchir mais les secrets y sont bien gardés.
J’ai débuté mes “Réplications-Bugatti’s” avec une réplique de Royale, puis successivement avec deux Excalibur 35X qui avaient été construites chez Ghia en Italie sous ordre/commande de Guy Storr qui était le premier importateur des Excalibur’s Américaines de la famille Stevens, qui, elles, imitaient les Mercedes SSK et ensuite les 540K.
Je suis venu aux Bugatti deLaChapelle en rachetant la faillite de AX&CO à Breendonk/Belgique une société qui construisait les premières Stimula / AX&co / DeLaChapelle55 et a tenté de les vendre aux USA, sans y parvenir en cause d’un trop petit moteur 4cyl… J’ai donc fait placer des V8 Rover 3L5 avec boites manuelles dans les AX&co… et les ai ainsi toutes vendues dans divers pays européens.
Deux carrosseries incomplètes sans châssis ont été construites sur un châssis Jaego Britannique façon Hot-Rod, une jaune puis une rouge et noire avec un moteur Rover 3L5 BA. Les autres Stimula AX&co converties en V8 Rover ont conservé le look “Bugatti 35” Classique telle celle ci-dessus (jaune) mes deux préférées restant les réalisations façon Hot-Rods notamment la rouge et noire ci-dessous.
Un garage britannique a par la suite collaboré avec Xavier deLaChapelle pour remotoriser ses répliques Atalante en V8 Rover… Peu avant j’avais également acheté une DLC Atalante 6cyl BMW bleue et noire au Musée du Forez situé entre Clermont-Ferrant et Lyon fief de Xavier deLaChapelle..
La Bugatti Type 57 SC Atlantic de 1937 est une icône, et cet élégant coupé transmet également son caractère unique du passé au futur. On pourrait encore la considérer comme l’une des voitures de sport les plus somptueuses construites pour les collectionneurs – et jusqu’à aujourd’hui, elle sert d’inspiration à tous les modèles Bugatti modernes, comme la “Chiron Profilee” et la “Mistral Roadster”.
J’ai gardé l’idée d’acquérir une réplique de Bugatti Atlantic après en avoir raté une de peu chez Artcurial, mais j’ai toujours en projet de réaliser un Hot-Rod “Bugantic” selon le travail d’un artiste numérique dont voici divers “rendus” 3D de cette Type 57Atlantic réinventée façon Hot-Rod une spectaculaire et extraordinaire monstruosité dotée soit d’un V10 Chrysler soit d’un 454ci V8 à compresseur. Une Bugatti Atlantic façon Hot Rod : Waouhhhhh !!!
C’est un rendu numérique d’une 1937 Bugatti Type 57 Hot Rod by Abimelec Design. La forme originale de la voiture demeure, ce qui est beau en soi, mais un travail de peinture volontairement grossier ainsi que des zones rouillées indiquent qu’il ne s’agit pas d’une Bugatti Atlantic dans les normes “classieuses”. Le look Hot-Rod sidère les “honnètes gens”. Les éléments de design “miteux” ajoutent encore à l’attrait de ce classique .
Le long capot a été supprimé pour mieux voir le Hemi V8 qui devrait plus tard être équipé d’un compresseur. La longueur de la Type 57 SC Atlantic est inchangée à 3700 mm d’empattement. La partie arrière arbore un arrière hyper sexy. Le design caractéristique qui comprend la couture surélevée ne part pas du capot, mais du pare-brise, il s’étend sur le toit et descend jusqu’à l’arrière.
Les échappements chromés à sortie latérales qui dépassent derrière les ailes avant magnifiquement incurvées sont également typique des Hot-Rods. La plupart des rivets qui maintiennent les panneaux métalliques Gauche et droit ont reçu un aspect rouillé. Les roues en acier sont assorties à la couleur de la carrosserie et sont enveloppées de pneus Firestone à flancs blancs vintage.
Arellano mentionne également que son rendu Hot-Rod comprend une suspension avant Ford de type modèle A. Les lignes de fermeture des deux portes empiètent sur le toit pour donner plus d’espace pour entrer et sortir du coupé surbaissé. Les phares de capot ne sont pas inspirés des deux premières Atlantic qui ont été fabriquées, mais des deux autres qui ont suivi.
Des proportions de ce genre étaient inédites à cette époque et restent encore stupéfiantes actuellement. L’artiste numérique est un adepte des moteurs Hemi V8 étincelants, et vous devez admettre qu’il a réussi en termes de look. Il serait approprié d’utiliser le même V8 Hemi de 7,0 litres avec Blower associé à une transmission automatique à 4 vitesses du type Plymouth Barracuda 1970 .
Avec le compresseur surdimensionné, le moteur devrait être capable de développer 650cv ch. Alors que l’authentique Type 57 Atlantic d’origine était propulsée par un huit cylindres en ligne de 3,3 litres presque silencieux produisant à peine 197cv lui permettant toutefois d’atteindre une vitesse de pointe de 200 km/h… et c’était à une époque où les calèches étaient toujours là.
La direction, le tableau de bord et la doublure intérieure du pare-brise sont finis en bois de première qualité. Il y a deux grands cadrans centraux et de nombreux autres indicateurs plus petits. De nombreuses commandes ont une finition métallique, comme les minuscules interrupteurs à bascule et le levier de vitesses surmonté d’une boule en bois brillant. On peut opter pour une boite manuelle, mais l’automatique est plus cool…
La sellerie mexicaine Sarape sur les sièges et les panneaux de porte a des couleurs arc-en-ciel, rappelant l’extérieur de la Mini Paul Smith. Selon classic.com, la valeur d’une Bugatti Type 57 est de 16 millions de dollars, une même a été vendue 14 millions de dollars. Seules quatre Type 57SC Atlantic ont été fabriquées entre 1936 et 1938.