Le Hot Rodding face au Kustom Vanning… Yé-Yeaaaah !
Le Kustom-Vanning multi-personnalisé et colorisé de peinturlurations naïves et dantesques aux 9/10ièmes immondes et puériles, découle curieusement des “Hot Rod’s unicolors” (avec parfois des flammes peintes). Il a muté dans les années ’50 et ’60, né des camionnettes transportant les planches des Surfeurs Californiens, chantés/beuglés par divers groupes musicaux “gratouilleurs” de guitares… Le surf-rock du début des sixties, c’est un peu l’histoire d’un alignement des planètes au dessus de la Californie, une terre où la jeunesse américaine s’est mise à rêver d’un autre mode de vie que l’American Way of Life.
C’était une Amérique très conformiste malgré son allure rebelle et les Hot Rods qui s’y voulaient être les destriers des nouveaux Cow-Boys y oscillaient dans un style situé entre la Zizique-Country-Western et le rock’n’roll qui mélangeait des influences instrumentales diverses issues de pionniers malgré eux comme Link Wray, Santo & Johnny, ou encore Johnny Smith… C’est avec une reprise que “The Ventures” arrivera sur le devant de la nouvelle scène Surf-Rock : “Walk Don’t Run”… Dick Dale, The Vultures, ou encore The Surfaris (et leur tube Wipe Out), ce fut l’âge d’or du Surf-Rock.
Surtout avec Jan & Dean réalisant un ADN Do-Woop mis au service du surf, tel par exemple “Surf City” en 1963, un immense tube de Brian Wilson des Beach Boys, le groupe iconique de la Surf-Musik… Les frères Wilson n’étaient absolument pas Surfers, mais des opportunistes qui visaient devenir les stars ultimes de la “Surf-Pop”, consacrant le mariage avec le “Do-woop”… Le titre “Surfin USA” sera en conséquence un succès qui va enchaîner les hits, dépassant largement les frontières de la Californie et sera un temps rival direct des Beatles au nom de l’Oncle Sam…
Les Beach Boys seront quasi les seuls à résister à la British Invasion dès 1964, date à laquelle des groupes du British-Blues-Boom vont provoquer une nouvelle révolution. Le flair aiguisé et le génie torturé de Brian & Co quittera la planche à surf pour explorer de nouveaux horizons. Tout ce barnum n’a curieusement pas été récupéré par les “Big-Three” de Detroit, mais sur-le-tard par Renault, créant le Van-Espace qui aurait pu devenir emblématique au sein des communautés de Vanner’s-Customiseurs-franchouillards qui utilisaient en masse des vieilles camionnettes Bedford.
Un ingénieux margoulin sympathique (William VanHove) récupérait ces Bedford en Belgique dans les surplus destinés “à-la-casse”, les services postaux belges les liquidaient au prix de la ferraille… Ils étaient donc achetés pour quasi rien (l’équivalent de 500€ ) et revendus 30 fois plus par William Van Hove sous le couvert du garage “Sport-Car-Center” situé à Bruxelles au pied de la RTBF. Ces épaves “retapées” et “peinturlurées” formeront la base du “Vanning Franchouille”... Sur le tard, Renault constatant l’existence d’une cible, à imaginé et créé le Van-Espace en production industrielle.
Les gens de renault étaient certains qu’il allait glaner des résultats de vente stratosphériques dans le milieu des “Vanner’s-Franchouilles”... Mais Renault n’a finalement pas osé investir cet aspect de la “Kustom-Kulture Californienne en France” et à positionné cet engin comme une familiale d’avenir dans un segment qui n’existait pas… et n’existera jamais. Les multiples refontes du bestiau nommé “Van Espace” n’aboutiront à aucun engouement de masse en France… Par contre aux USA l’idée créatrice a été récupérée dans un calcul de mécanisation semi-industrielle.
Cela a amené un des géants de Détroit (Dodge/Pymouth/Chrysler) à créer et commercialiser trois véhicules “à-la-chaine” : 1° La Dodge Viper en catégorie Street Machine “Killer Corvette”.. 2° Le Chrysler Prowler en catégorie Hot Rod’s… 3° Le PT-Cruiser Chrysler, catégorie Street Rods Van’s, qui aurait du être également “le Hot Rod des familles”, ce que divers puristes “à l’ancienne” ont décidé de remettre en question en inventant/créant la révolte des mécaniciens déjantés… De son coté l’Europe a édicté des lois liberticides interdisant les modifications automobiles dans le but de satisfaire les grands constructeurs.
Ces sommités “officielles” n’y ont strictement rien gagné… La méthode “Macron” étant que les centres de Contrôles Techniques rejettent d’office toutes les modifications non validées par les constructeurs, le Hot Rodding devenant interdit tout comme le Tuning. L’industrie automobile Française n’a strictement rien gagné de ces grands mouvements prétendument “libérateurs” destinés à garder intactes les parts de marché des constructeurs nationaux… Par contre les libertaires automobiles ont ainsi disparu avec leurs Van’s et Hot-Rods qui terminaient leurs résurrections illusoires dans des casses et des déchetteries.
C’était en même temps que la presse qui en vivait… Au nom de l’écologie, la préservation de la nature et autres était considéré comme un bienfait quasi humanitaire… L’interdiction des “Poubelles de la route” qu’étaient pour le sauveur “Macron”, les Répliques, les Hot Rods, les Van’s , les Custom’s et les automobiles Tuning n’a pas relancé la machine économique automobile Française, que du contraire. Il aurait fallu à notre Président Macron un meilleur entourage que ses lêcheurs de bottes et porte-serviettes de plus en plus transgenres…
Ils/Elles agissaient en Lobbyistes pour que les dérivatifs automobiles qui renforcent aux USA chez les Hot Rodders l’amour du drapeau étoilé, continuent d’être d’inoffensifs amusements automobiles en France et en Europe… Mais, quasi simultanément le Covid et ses vaccins créés avant lui… ont alimenté la pompe des restrictions des libertés qui allait amener à une montée en puissance d’un sentiment de “se faire sodomiser bien profond par des politiciens vérolés qui touchent des commissions”... Ce système a d’ailleurs ensuite été peaufiné sous forme de retour sur comptes off-shores des dons de charité à l’Ukraine…
Arghhhhh ! Que d’embrassades malsaines ponctuées de rires et attouchements… C’était une amélioration des pillages sous forme de prétendues guerres libératrices (Liban, Afghanistan, Irak, Syrie, Afrique et autres nations esclaves) des dictateurs au pouvoir des nations jusque là considérées comme des “sous-merdes” et exploitées à tous niveaux par la civilisation Occidentale… Nos “valeurs” occidentales n’ont été que colonisations et pillages, Les génocides des Aborigènes Australiens et des Amérindiens ainsi que divers pays Africains par l’Angleterre et toute l’Europe… Pareil en Chine, au Moyen Orient…
Nos valeurs occidentales ne sont que mensonges, pillages, vols, tortures et tueries… Si on s’insurge qu’Israël vient de commettre un génocide de plus de 30.000 hommes, femmes et enfants (et continue) , on est poursuivi pour antisémitisme… Un Israélien a fait voler ma voiture de collection LéaFrancis par les soins d’AXA qui est liée avec Israël dans le financement des colonies. AXA couvre la réalisation de multiples faux, a fait voler le dossier pénal en payant un Procureur pour qu’il détruise aussi un enregistrement des organisateurs démontrant qu’ils ont sous-organisé le vol…
L’affaire a été ainsi enterrée depuis bientôt 15 ans de crapuleries… et comme ça touche à Israël personne n’ose bouger… Ou sont passés les milliards du Liban ? Et les milliards de la Libye ? Et les milliards de l’Irak ? Et la presse occidentale couvre et étouffe tout et suit le même chemin menant aux abysses, avec des intensités diverses en fonction des moyens financiers et intellectuels…. Les retrusturations et fausses crises en viennent à metre en a faillite divers groupes de presse et d’industrie…
Quid des dizaines de millions du Groupe Hommel en France et l’arrêt de trois dizaines de magazines aux USA et ailleurs dans le monde, qui a vu disparaitre tout ce qui était “Politiquement Incorrect” dont les magazines de Kustom’s et Hot Rods dans le monde entier. Aux USA, on a cru que “Hot Rod magazine” (le pionnier copié sur Throttle qui a fait l’objet d’un article impliquant le Groupe Hommel et Nitro, allait survivre, mais ce n’était qu’une gigantesque illusion : https://www.gatsbyonline.com/automobile/hot-rods/441402-441402/ … Seul ChromesFlammes et GatsbyOnline ainsi que SecretsInterdits ont survécu…
Cela en devenant numériques sous forme d’un magazine sans cesse renouvelé et accessible à domicile (ordinateurs) et partout (Smartphones) 2’h sur 24 dans toutes les langues du monde grâce aux logiciels de traduction et à l’IA…. un événement qui a dépassé 350 000 vues/jours dans une pléthore de traductions automatiques pour devenir un phénomène sociétal provoquant parfois un débat public sur la complaisance d’un milieu maffieux qui a laissé faire. Le style télévisé ampoulé et roboratif de pitres amène un dégout du public envers leurs dires et affirmations labellisées “politiquement-correctes”…
Elles sont Gouvernementalement imposées (comme les vaccins) et génèrent un début de révolte contrecarré par le fait de brandir une menace atomique…. Voyez ce que sont les chaines TV de Fakes-désinfos de nuit, toutes roboratives… Le monde entier est ainsi manipulé et ne sait qu’en survivre que l’âme et le corps en lambeaux. Les prédateurs continuent de maintenir le contact avec les populations lobotomisées tout en créant de multiples provocations.. L’évidence creuse un trou noir, les mots allant là où l’image ne le peut pas.
D’où une impasse avec laquelle il faut sans cesse négocier sans résoudre et éradiquer les causes du mal. Vient s’ajouter de la fiction qui fait écran, stérilise la puissance des textes dénonciateurs par le moyen de “parlottes” qui n’apportent rien au moulin de la réflexion sur l’emprise d’un monde sur d’autres. Bien… Du coup d’avoir écrit tout ceci entre chez Brigitte et Bernard à Saint-Tropez, vous pensez peut-être que j’ai vraisemblablement tort de m’exciter les doigts et les neuronnes en tapotant mes textes de chroniques assassines… D’autant plus que c’est réalisé de nuit… Justement, c’est comme une tuerie…
Il faudrait m’attaquer pour tuerie des rêves humains interdits… Je rétorquerais que c’est de l’auto-défense ET l’information au public de faits mettant la vie de divers en péril amenant à un génocide qui irait jusqu’à l’être pour la pensée…Il est plus simple de me faire disparaitre, la mer est proche… Vous voulez vraiment que j’en termine en vous causant (enfin) de ce Hot Rod Pick-Up jaune ? OK… Pour un euro par internaute… Savez-vous exactement ce qu’est ce Pick-Up Hot-Rodster (Roadster) et pensez qu’il s’agit d’une construction en usine avec quelques modifications.
Que nenni… La vérité est que Ron Wiggins a construit cet engin à partir d’une berline 4 portes. Vous êtes sous le choc ? Ok !Apprécierez la lecture de la suite, tirée des paroles de Ron. -“Pour une raison folle que je ne vous dévoilerai pas, j’ai construit plusieurs voitures à partir de berlines Ford 1932 modèle A quatre portes. Peut-être parce qu’elles étaient bon marché par rapport aux B’32 et B’34 qui sont comme des valeurs-or. Je voulais également prouver que des voitures cool pouvaient être construites à partir de voitures à quatre portes. C’est important car le prix de les modifier ne les fera pas atteindre les valeurs données aux 2 portes. J’ai donc construit un Hot Rod 2 portes au départ d’une carrosserie 4 portes berline. Peu de temps après, j’ai acheté une autre berline, une Ford 32 “Town” carrosserie Murray 1929 dans l’idée d’en réaliser un Hot Rod pick-up full cabriolet. J’ai passé les dix années suivantes à construire mon Hot Rod Ford Pick Up 1929. Les lignes nervurées de la carrosserie Murray à quatre portes transformée en Roadster Pick Up 3 porte Hi-Boy, c’était fou… et je suis fou”... Une fois la carrosserie terminée, j’ai créé un châssis incurvé assorti et j’ai ajouté des renforts aux rails latéraux . Au cours des dix années suivantes, j’ai construit la plupart des pièces de cette voiture. Pour la puissance, j’ai choisi un vrai Ford Boss Cleveland 351 de 1971, j’ai fabriqué le collecteur d’admission et positionné une boîte Tremec 5 vitesses avec un pont Halibrand QC 4,11. La partie la plus difficile d’une construction sur dix ans est probablement de la maintenir à jour, car les choses deviennent très rapidement obsolètes. Mais achevé en 2004, je l’aime toujours en 2024, donc je suis vraiment heureux du résultat d’autant qu’il est à 98% identique en 20 ans d’usage. La fiche détaillée ci-après explique la plupart des éléments sur lesquels les internautes doivent se poser des questions. Quand vous êtes fou et que vous croyez que là où il y a une volonté, il y a un chemin, les rêves peuvent devenir réalité. Notez donc que Ce Street Rod entièrement en acier a été construit dans mon garage privé pour 2 voitures sur une période de dix ans”….
• La carrosserie a été créée à partir d’une berline de ville à quatre portes Ford Murray de 1929, rouillée et abandonnée, achetée dans une décharge pour 5 $
• Le châssis à empattement de 104 pouces a été construit de toutes pièces avec des rails latéraux pour ressembler à un cadre de 1932, spécialement conçu pour s’adapter à la carrosserie et à la caisse du pick-up dans un style hi-boy.
• Les roues Boyd sont de conception «Sprint Deco» à 6 rayons, il s’agit de véritables contrefaçons en18×10 et 16×7.
• La transmission comprend un moteur Ford Boss 351C 1971 préparé pour la course, doté d’une admission 2×4 en aluminium et une transmission WC T-5 à cinq vitesses avec un Halibrand V-8 Quick Change 4,11. :1.
• Les côtés ont été raccourcis pour des raisons esthétiques, adaptés à la courbure de la carrosserie, et la descente des nervures a été réalignée sur le nouvel empattement.
• La fabrication approfondie du châssis et de la carrosserie comprennent les modifications suivantes :
o utilisation du thème Art Déco nervuré en acier inoxydable de ¼ x ¼ de pouce. Toutes les pièces ont été pliées/préparées individuellement
o La console nervurée est faite sur mesure
o Lagarniture de custode en inox poli sur le toit rigide en aluminium
o L’électronique fonctionne dans un tiroir spécial pour un accès facile
o La suspension arrière est à ressorts réglables en continu
o Le pare-feu nervuré dispose de huit niveaux de « caractères » différents
o Des amortisseurs à gaz, situés entre le pare-feu et le tableau de bord, soutiennent le capot
o L’essieu avant a été fraisé vec des billes de 1″ avec évidements “finis par marteau” et localisateur de roulement central (élimine la tige Panhard)
o La coque de radiateur est incurvée avec l’évaporateur incurvé assorti
o Les feux arrière Pontiac de 1950 ont été convertis en LED et sont encastrés dans des tunnels de lit coniques personnalisés fabriqués à partir de mégaphones d’échappement.
o Le pare-chocs arrière de style Art déco a été fabriqué à partir d’un cadre d’immatriculation Chevrolet de 1949, d’une calandre Plymouth de 1954, de protections de pare-chocs Buick de 1953 et de plusieurs pièces d’acier de calibre 10 formées à la main.
o Le bac à lit roulé est fait maison en acier de calibre 18 avec nervures en acier inoxydable
o Les supports de coil-over avant sont intégrés et les supports de phares sont nervurés
o Les barres nerf latérales de type sprint ont été fabriquées à partir d’acier laminé à froid de 7/8″, chauffées et façonnées.
o Le capot de 9 pièces de style alligator a été formé à partir d’acier de calibre 18
• Les sièges et panneaux intérieurs ont été construits de haute qualité et finis en cuir bleu marine par Kent Biedenharn et Lonnie King de Twin City Upholstery à Bloomington, Illinois (309) 829-3839.
• Kent et Lonnie ont également fini le toit rigide en aluminium et le couvre-lit en tissu Hartz bleu marine et en cuir ultra blanc et bleu marine.
• Un autoradio Sony est situé dans la console, l’ampli à 4 canaux et le caisson de basses de 10 pouces sont situés dans le lit de benne Pick-Up. Les haut-parleurs sont Boston Acoustics.
• Le groupe des compteurs et les pédales en aluminium ont été usinés par Jeff Bertrand chez J&B Microfinish à Pontiac Il.
• Les Chromes sont de Quality Chrome (Sterling Il) et Sun Plating (Leroy, Il).
• Les travaux de carrosserie et peinture sont réalisés avec l’aide de Dave Mounce.
• Ce Hot Rod a été terminé le 24/02/2004 et présenté pour la première fois au Detroit Autorama 2004. C’est la première fois que ce Rod fait l’objet d’un article au niveau Mondial ici dans GatsbyOnline + ChromesFlammes
• Constructeurs/Propriétaires : Ron et Karen Wiggins, Bloomington Illinois