1974 MG GTX V8 DOUBLE AGENT
Bienvenue aux paraphiles qui n’aiment que tout ce qui est déviant, anormal et qui jouissent dans la perversion. Faites dès-lors sortir les pubères, les grenouilles de bénitiers, les demeuré(e)s les bien-pensant(e)s, les politiquement correct(e)s et les innocent(e)s, car voici une super p’tite salope, anglaise, vicieuse et pute comme les gros masos les aiment et vénèrent…
Woaaaahhhh ! La question de la paraphilie peut être abordée sous l’angle social et ses limites amènent à diverses interrogations. Le philosophe Michel Onfray, dans son ouvrage intitulé “Le souci des plaisirs”, propose de se réorienter sur la notion de contrat intersubjectif s’approchant de celle adoptée par Charles Fourier en 1817, l’utopiste admettant qu’il existe une infinité de fantasmes que les individus peuvent compléter.
Mais, tout en sachant que ce qui fait plaisir à plusieurs personnes sans préjudicier à aucune, est toujours un bien sur lequel on doit spéculer en harmonie et où il est nécessaire de varier les plaisirs à l’infini… Pour mieux comprendre et vous faire choir dans la perversion et les déviances je me suis rendu à l’édition annuelle des Tranny Awards à Glendale, en Californie.
L’événement décerne des récompenses pour les champion(ne)s des catégories telles que “She-Strokers of the Year” et “Model T-Trans of the Year”… pas de quoi paniquer donc… Quoiqu’il ne s’agit pas de Hot Rod’s malgré que ces appellations semblent y concerner. Vous ne le savez sûrement pas, même si vous visitez régulièrement www.SecretsInterdits.com, mais le terme “Trans” est considéré comme une insulte… Une explication s’impose…
Kelly Osbourne, Neil Patrick Harris et Gabourey Sidibe ont tous récemment eu des ennuis (aux USA) pour l’avoir utilisé… Donc, il me semblait utile et nécessaire d’aller assister à la remise des divers prix et d’en connaître plus sur ce que cachent les dessous de ces affaires. J’étais super préparé à soulager une partie de ma culpabilité libérale, sans toutefois pouvoir décider de ce qui est ou n’est pas offensant pour les personnes qui le sont.
La majorité des personnes à qui j’ai parlé lors de l’événement n’étaient pas très heureuses de l’utilisation du mot “trans” qui allait figurer dans mon reportage, mais elles étaient tellement excitées qu’elles étaient “prêtes à s’en foutre avec moi pour la nuit”... Je n’ai pas bien compris sur le moment… Mais, surmontant l’étrangeté initiale de voir quelqu’un accepter un prix en larmes tout en remerciant “tout le monde à FTMFucker & co”, l’événement est devenu émouvant.
C’était comme les Oscars du cinéma pour ces gens… Pressentant divers dangers, j’ai serré les fesses et protégé mes attributs, attentif à ne pas m’exposer entièrement, félicitant tous les nominé(e)s et gagnant(e)s… Le lendemain, épuisé, me rendant compte de ma méprise, je me suis rendu à une toute autre adresse ou se trouvait une MGX transgenre shemale BDSM comme greffée d’un pénis d’éléphant et de nibards XXXL, une opération réalisée aux USA…
Ouiiiiiiii, il s’agit d’un MG modifiée (comme les transgenre, d’où ma méprise), équipée d’un moteur Ford Coyote-Elephant de 840 chevaux construit par Roush et bien fourré sous la jupe et la majeure partie du capot de cette MG de 1974…. Ah bon ? Si les Trans/Shemales ont votre préférence, foncez dans la section SecretsInterdits… Et pour répondre à votre prochaine question, oui, c’est une fusée et un plaisir absolu à prendre en main et conduire au paradis…
La plupart des MGB construites en Grande-Bretagne sont des roadsters biplaces conçus par le célèbre designer automobile italien Pininfarina. La ’74 en vedette de cet article appartient à un prénommé Michael. Le design du coupé à hayon a été proposé à l’origine en 1965 et bien que 1974 ait été la dernière année pour les exportations américaines, le style de carrosserie s’est poursuivi jusqu’en 1980 en UK.
L’engin de Michael conserve son identité et son style incomparable, mais a évidemment été “gonflé” et complètement modifiée pour une apparence plus virile. C’est un double sens car Michael m’a dit A D O R E R la pompe vacuum pour pénis, ce qui était peu approprié dans le temps imparti pour réaliser mon reportage sur la MG X qui était la vision et le travail manuel de Joe Holyfield, avec l’aide de ses amis partageant les mêmes idées déviantes…
En ce cas, c’est dans le but de construire une sportive britannique vintage transgenre avec une très grosse… euhhhh… puissance V8 américaine. Le cœur de l’affaire est un V8 Roush Coyote Elephant de 5,0 litres surmonté d’une configuration EFI Borla 8-Stack polie. Un système de gestion du carburant AEM contrôle le mélange air/carburant et le calage de l’allumage, tandis qu’un ensemble de collecteurs de MotoFab dirige les fumées usées vers une paire de….
Une paire de quoi ??? Mais de tuyaux latéraux personnalisés, bande de vicieux et vicieuses… Un radiateur DeWitt est chargé de garder le Coyote au frais. Michael peut contrôler cette puissance Roush grâce à une transmission MT-82 à six vitesses reliée par un embrayage à double friction McLeod. Un pont arrière Ford de 8,8 pouces abrite des vitesses de 4,30:1 et est coiffé de freins Wilwood et de jantes de course Jongbloed de 18 pouces.
Elles sont chaussées d’une bande de roulement Nitto. La construction monocoque d’usine a nécessité de sérieux travaux sur le châssis pour accueillir le moteur V8 et une puissance de sortie accrue. Pour répondre à ces besoins, a été installé un ensemble IFS tubulaire de Fast Cars complété par des amortisseurs hélicoïdaux QA1, une barre stabilisatrice de 27 mm et une crémaillère de direction rapide comme l’éclair de 20:1.
Pour ajouter de la résistance à l’ensemble de la carrosserie, les points de tension ont été renforcés avec des extensions allant de l’avant vers l’arrière. Mummmmmm ! L’arrière du moteur est sécurisé par une plaque centrale qui sert également de pare-feu, ajoutant encore plus de résistance couplée à un tunnel de trans… mission… à paroi épaisse. La suspension arrière se compose d’un quatre bras réglable avec une liaison de Watt.
S’y ajoute une configuration d’amortisseurs hélicoïdaux en porte-à-faux que les curieux/vicieux peuvent voir pour en imaginer le fonctionnement à travers la vitre du hayon. La suspension est réglée avec un ensemble de ressorts hélicoïdaux QA1 à double réglage que Michael peut voir à l’œuvre chaque fois qu’il jette un coup d’œil au rétroviseur. Pesant moins de 2 300 livres la bête bénéficie d’une répartition du poids presque parfaite de 50/50.
Vous pouvez imaginer les capacités d’accélération et le plaisir de prendre les virages de cette p’tit pute salope… Je m’égare, désolé…Une fois la suspension et le groupe motopropulseur exampinés en détails, je peux attirer votre attention vers la carrosserie de la MGB. Les rails d’égouttement ont été rétrécis et l’ajout le plus visible fut une prise d’air sur le toit de la voiture qui dirige l’air frais dans les tubes de refroidissement du casque…. C’est assez maso…
La carrosserie a été élargie de 6 pouces avec un kit de carrosserie Preform Resources avant d’être préparée et peinte en jaune phoenix, une couleur BMW de 2001. L’intérieur a été construit pour les affaires perso inqualifiables mais tournées vers les relations humaines… Le plancher est en aluminium riveté comportant un tunnel surmonté d’un levier de vitesses Barton à courte portée. Michael a ajouté un peu de moquette pour aider à réduire un peu le bruit.
Il a également installé une paire de sièges plus confortables que ceux d’origine, avec des harnais Schroth à quatre points et des inserts beige cousus en formes diamant pour correspondre aux coutures complexes qui maintiennent le cuir noir autour de l’arceau de sécurité et des garnitures intérieures. Le tableau de bord est rempli de compteurs de la série Classic Instruments Auto-Cross, d’interrupteurs à grille pour contrôler l’éclairage LED KC.
La colonne de direction est une Pro Lite Ididit surmontée d’un volant Momo. Le réservoir de carburant a été réalisé en acier inoxydable par Rick’s Tanks. Cette MG a prouvé qu’elle était plus qu’une super salope vicieuse, c’est une guerrière de la route capable des pires méthodes pour jouir à son volant. En plus de quelques exhibitions sur le “Hot Rod Power Tour”, Michael s’est amusé à parcourir les routes du désert de l’Arizona dans la fusée britannique.
Cette MGB GT n’est peut-être pas idéale pour un long trajet, mais son facteur cool et la quantité de plaisir que vous pouvez avoir au volant l’emportent de loin sur l’absence d’un porte-gobelet… Quoique… C’est un élément de confort important… Concernant les valeurs, il faut distinguer les valeurs morales des immorales et c’est une tâche complexe voire impossible… J’estime m’en être bien sorti sans trop de descriptions libidineuses…@pluche…
2 commentaires
Maître, Le positionnement de l’alternateur à l’arrière indique combien la place doit être comptée pour faire rentrer le gros V8… mais qu’est-ce que ça change ? Bienheureux ceux qui vivent dans les pays où tout cela reste autorisé !
Ce doit être sauf oubli la cinquième MGB/MBC équipée de plus gros moteurs que je publie dans ChromesFlammes/GatsbyOnline, celle-ci est une ex-Racing qui “racing encore”.
Une autre était un caprice de fortuné (John Cenna lutteur/boxeur) qui l’a revendue peu après : https://www.gatsbyonline.com/automobile/hot-rods/mgc-g69-v8-ls3-by-john-cena-479708/
Encore une autre était une petite anglaise transgenre restée en perfide Albion avec des moches finitions : https://www.gatsbyonline.com/automobile/hot-rods/kustom-tuned-mgb-gt-v6-300cv-477256/
Et en remontant plus loin j’avais réalisé un moche reportage avec de moches photos de mon ancienne MGC Cabrio rouge : https://www.gatsbyonline.com/automobile/mg-b-c-r-v8-351675/
Il y avait ensuite un moins moche reportage que j’avais également réalisé, avec de moins moches photos de mon ancienne MGB Cabrio rouge achetée en Italie : https://www.gatsbyonline.com/automobile/1972-mg-b-351836/
J’avais acheté cette MGB en Italie pour ne pas rentrer à vide, au retour de la vente de mon ancienne Intermeccanica jaune : https://www.gatsbyonline.com/automobile/americars/1967-1973-intermeccanica-italia-351750/
Sur l’article que j’ai fait de la MGB se trouve le roman de mon aventure : https://www.gatsbyonline.com/automobile/1972-mg-b-351836/…
J’ai eu d’autres MG plus anciennes : https://www.gatsbyonline.com/automobile/1951-mg-td-mki-362796/
Pour répondre à votre question qui me semble être une remarque suite à constatation, oui, placer un V8 américain sous le capot d’une MGB/C nécessite une assistance façon chausse-pied… Je vous déconseille l’aventure.